Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 avril 1922 10 avril 1922
Description : 1922/04/10 (T20,N2026). 1922/04/10 (T20,N2026).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253395h
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
j ¿ FINISTÈRE
DRS
4 tPAIl\ES ÉTRANGÈRES
N° 2026
Lundi 10 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
V
SOMMAIRE
~SE ALLEMANDE. — La conférence de
Gênes: la participation allemande
fank$urter Zeitung). — Le contrôle
^litaire interallié (Munchner Neueste
lvachrichlen). - La note de la com-
fission, des réparations du '21. mars
(Maximilien Harden dans Zukunft).
SE AMÉRICAINE. — L'envoi éventuel d'un
Relégué américain à la commission des
ré.parations (New York Evening Post).
SE ANGLAISE. — La conférence de Gê-
nes : les chances de succès (Crawfurd
rice dans Sunday Times ; Daily
lJerald). — La réduction de l'armée :
Une déclaration de lord Haig (Yorkshire
P°st).
PnESSE ESPAGNOLE. •— La conférence de Gê-
nes ; les chances de succès (A. Barcia,
dans Libertad). — Les négociations
commerciales franco-espagnoles (Im-
Parcial). — Le voyage de M. Millerand
(Epoca, Libéral)..
^ESSE ITALIENNE. — La conférence de Gê-
nes : les chances de succès (Corriere
Ilel'la Sera) ; l'Italie et la reconnaissance
des Soviets (Stampa).
[{EsSE SUISSE. — La neutralité de la Suisse
à Gênes (Züricher Post).
; POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
'- tEs CHANCES DE SUCCES. -
SE ANGLAISE. — De Gênes, 7 avril :
Tout le monde s'accorde à dire que M. Lloyd
t ge joue gros jeu en venant à Gênes. Il
a, dès le début, en présence
cles formidables, car il ne faut pas
Ill} lelr que la maladie de l'Europe traverse
telle crise que seul un remède héroïque
chanceis d'en effectuer la guérison et
Si je Allemands peuvent être considérés
i e le germe qui a provoqué cette mala-
di el le fait demeure que les Français n'ont
DrêtQIS souhaité la conférence et qu'ils sont
fefêt à la torpiller si faire se peut. L'idée
de t. met l'Allemagne sur pied ann de lui
8^1*6 l'Allemagne sur pied afin de lui
ettre de payer ses dettes ne leur sou-
fit nUllement. Si momentané que puisse être
Cet â Va,11tage, ils ont acquis en Europe une
snpp,rïla^e politique et militaire qu'ils sont
réso, Us à conserver, soit que l'Allemagne
paie, soit qu'elle ne paie pas, et à cet égard
la recrudescence actuelle d'allusions à l'oc-
cupation éventuelle de la Ruhr est des plus
significatives.
Ayant réussi à limiter l'ampleur de la
conférence, la France vient d'ordonner que
toutes-les décisions devront être déférées à
Paris, ce qui réduit, le rôle de M. Barthou à
celui de simple observateur. Incidemment,
cette méthode fournit à M. Tchitcherine l'oc-
casion de se dérober facilement à bon nom-
bre de questions embarrassantes en prétex-
tant la nécessité de consulter Moscou. Lelllir
tactique à tous deux sera probablement une
tactique d'obstruction pure et simple qui
compromettra nécessairement le succès des
travaux de la conférence, si on ne se décide
pas à passer outre. Et il ne faut pas oublier
qu'un échec constituerait, pour la France la
victoire politique désirée, car l'Allemagne
devant inévitablement manquer à ses enga-
gements, la question de l'occupation de la
Ruhr reviendrait sur le tapis.
Il est donc évident que des considérations
politiques importantes et à peine voilées se
dissimuleront derrière les pourparlers éco-
nomiques et si j'ai cité le danger principal,
il en est d'autres encore, qui sont à peine
moins vitaux. Il sera peut-être possible
d'éviter toute apparence de sympathie ex-
cessive envers l'Allemagne, sentiment que
rien ne justifierait, mais dans l'état actuel
de l'Europe il s'agit surtout de savoir si la
France est sincèrement disposée à collabo-
rer à l'œuvre de la reconstruction générale
au lieu de se préoccuper exclusivement de
la protection de ses propres intérêts immé-
diats. Nous nous retrouvons ainsi en pré-
sence d'une ancienne divergence de vues-qui
n'a pas cessé depuis les premiers jours de
la conférence de Paris, de miner les fonde-
ments de l'Entente.
Il est probable que si les débats suivent
un cours normal, ils deviendront purement
techniques et n'accompliront pas grand'
chose. La seule chance d'obtenir un résultat
positif serait l'explosion de quelque bombe
politique qui réduirait en poussière les idées
préconçues des obstructionnistes. Le jeu est
gros de part et d'autre, les risques sont
formidables et cela étant, Gênes peut abou-
tir soit à un fiasco économique, soit à quel-
que événement politique sensationnel. C'est
même là ce qui en fait surtout l'intérêt le
plus immédiat. — (De notre correspondant
Crawfurd Price).
SVNDAY TIMES, 9.4
— L'essence même du projet de Gênes et
l'esprit dans lequel furent envoyées et ac-
ceptées les invitations — exige que ce soit
une conférence entre égaux et non pas
une conférence où les puissances alliées
aient la prétention de juger et de diriger les
Allemands et les Russes.
C'est là la condition fondamentale de l'en-
treprise : toute tentative que feraient les al-
liés pour dicter des conditions, pour exiger
des autres états, en une sorte d'ultimatum,
certains engagements ou certaines garan-
ties, enfreindrait manifestement cette con-
dition fondamentale et tuerait sans rémis-
sion la conférence avant même qu'elle s'ou-
vrit.
Russes et Allemands viennent à Gênes
pour discuter les problèmes et les proposi-
tions énoncés dans le mémorandum de
Cannes. Le monde demande que ces pro-
blèmes soient discutés et qu'il soit fait un
effort sincère en vue de les résoudre.
Que les gouvernements renoncent une
bonne fois aux inutïles « conversations pré-
liminaires » et qu'ils s'attellent à la tâche
autrement. sérieuse de restaurer le com-
merce, d'équilibrer leurs budgets et de
limiter les armements. — (Ed.)
DAILY HERALD, 8.4.
PRESSE ITALIENNE. — Le moment choisi
pour la conférence est favorable et signifi-
catif. L'Allemagne de Wirth, de Rathenau,
de Stinnes, subit de mauvais gré, mais avec
une habile résignation, les conséquences de
la guerre. En Russie, les chefs de la révo-
lution se sont attelés à une restauration
progressive. Les nouveaux états nés de la
guerre se stabilisent. Les combats ont cessé
sur presque tous les fronts. Nous avons der-
rière nous l'exemple de la conférence de
Washington, où des renonciations récipro-
ques ont réciproquement rassuré les états
rivaux et ont dissipé toute menace immé-
diate de guerre. En face de nous, il y a les
difficultés économiques évidentes d'aujour-
d'hui et l'approche de nouveaux maux, que
l'aosence défiante de l'Amérique et l'appa-
rition soudaine, mais préméditée, d'une-
Angleterre brandissant ses créances, ren-
dent plus dramatiques encore. Amérique et
Angleterre semblent dire à l'Europe, avec
une éloquence implicite dont on peut nier
la noblesse, mais dont on ne peut nier la
clarté, que si l'Europe ne veut pas se soi-
gner de bon gré, on le soignera par force.
De nombreuses circonstances permettent
donc de prévoir un bilan relativement bon
pour la conférence de Gênes. Relativement
seulement ; rien ne serait en effet plus vain
et plus dangereux en même temps que de
s'attendre à une régénération totale et à de
décisifs coups de théâtre. Si ces miracles
étaient possibles, il y a déjà quelques an-
nées que Lénine aurait peut-être triomphé.
Non, ce n'est pas le miracle qui compte,
mais un travail tenace et une inlassable
espérance. Il faut, dès le premier jour, se
bien mettre dans la tête que le tapis vert
de Gênes n'est pas celui de Monte-Carlo,
que les eaux de la Méditerranée ne sont
DRS
4 tPAIl\ES ÉTRANGÈRES
N° 2026
Lundi 10 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
V
SOMMAIRE
~SE ALLEMANDE. — La conférence de
Gênes: la participation allemande
fank$urter Zeitung). — Le contrôle
^litaire interallié (Munchner Neueste
lvachrichlen). - La note de la com-
fission, des réparations du '21. mars
(Maximilien Harden dans Zukunft).
SE AMÉRICAINE. — L'envoi éventuel d'un
Relégué américain à la commission des
ré.parations (New York Evening Post).
SE ANGLAISE. — La conférence de Gê-
nes : les chances de succès (Crawfurd
rice dans Sunday Times ; Daily
lJerald). — La réduction de l'armée :
Une déclaration de lord Haig (Yorkshire
P°st).
PnESSE ESPAGNOLE. •— La conférence de Gê-
nes ; les chances de succès (A. Barcia,
dans Libertad). — Les négociations
commerciales franco-espagnoles (Im-
Parcial). — Le voyage de M. Millerand
(Epoca, Libéral)..
^ESSE ITALIENNE. — La conférence de Gê-
nes : les chances de succès (Corriere
Ilel'la Sera) ; l'Italie et la reconnaissance
des Soviets (Stampa).
[{EsSE SUISSE. — La neutralité de la Suisse
à Gênes (Züricher Post).
; POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
'- tEs CHANCES DE SUCCES. -
SE ANGLAISE. — De Gênes, 7 avril :
Tout le monde s'accorde à dire que M. Lloyd
t ge joue gros jeu en venant à Gênes. Il
a, dès le début, en présence
cles formidables, car il ne faut pas
Ill} lelr que la maladie de l'Europe traverse
telle crise que seul un remède héroïque
chanceis d'en effectuer la guérison et
Si je Allemands peuvent être considérés
i e le germe qui a provoqué cette mala-
di el le fait demeure que les Français n'ont
DrêtQIS souhaité la conférence et qu'ils sont
fefêt à la torpiller si faire se peut. L'idée
de t. met l'Allemagne sur pied ann de lui
8^1*6 l'Allemagne sur pied afin de lui
ettre de payer ses dettes ne leur sou-
fit nUllement. Si momentané que puisse être
Cet â Va,11tage, ils ont acquis en Europe une
snpp,rïla^e politique et militaire qu'ils sont
réso, Us à conserver, soit que l'Allemagne
paie, soit qu'elle ne paie pas, et à cet égard
la recrudescence actuelle d'allusions à l'oc-
cupation éventuelle de la Ruhr est des plus
significatives.
Ayant réussi à limiter l'ampleur de la
conférence, la France vient d'ordonner que
toutes-les décisions devront être déférées à
Paris, ce qui réduit, le rôle de M. Barthou à
celui de simple observateur. Incidemment,
cette méthode fournit à M. Tchitcherine l'oc-
casion de se dérober facilement à bon nom-
bre de questions embarrassantes en prétex-
tant la nécessité de consulter Moscou. Lelllir
tactique à tous deux sera probablement une
tactique d'obstruction pure et simple qui
compromettra nécessairement le succès des
travaux de la conférence, si on ne se décide
pas à passer outre. Et il ne faut pas oublier
qu'un échec constituerait, pour la France la
victoire politique désirée, car l'Allemagne
devant inévitablement manquer à ses enga-
gements, la question de l'occupation de la
Ruhr reviendrait sur le tapis.
Il est donc évident que des considérations
politiques importantes et à peine voilées se
dissimuleront derrière les pourparlers éco-
nomiques et si j'ai cité le danger principal,
il en est d'autres encore, qui sont à peine
moins vitaux. Il sera peut-être possible
d'éviter toute apparence de sympathie ex-
cessive envers l'Allemagne, sentiment que
rien ne justifierait, mais dans l'état actuel
de l'Europe il s'agit surtout de savoir si la
France est sincèrement disposée à collabo-
rer à l'œuvre de la reconstruction générale
au lieu de se préoccuper exclusivement de
la protection de ses propres intérêts immé-
diats. Nous nous retrouvons ainsi en pré-
sence d'une ancienne divergence de vues-qui
n'a pas cessé depuis les premiers jours de
la conférence de Paris, de miner les fonde-
ments de l'Entente.
Il est probable que si les débats suivent
un cours normal, ils deviendront purement
techniques et n'accompliront pas grand'
chose. La seule chance d'obtenir un résultat
positif serait l'explosion de quelque bombe
politique qui réduirait en poussière les idées
préconçues des obstructionnistes. Le jeu est
gros de part et d'autre, les risques sont
formidables et cela étant, Gênes peut abou-
tir soit à un fiasco économique, soit à quel-
que événement politique sensationnel. C'est
même là ce qui en fait surtout l'intérêt le
plus immédiat. — (De notre correspondant
Crawfurd Price).
SVNDAY TIMES, 9.4
— L'essence même du projet de Gênes et
l'esprit dans lequel furent envoyées et ac-
ceptées les invitations — exige que ce soit
une conférence entre égaux et non pas
une conférence où les puissances alliées
aient la prétention de juger et de diriger les
Allemands et les Russes.
C'est là la condition fondamentale de l'en-
treprise : toute tentative que feraient les al-
liés pour dicter des conditions, pour exiger
des autres états, en une sorte d'ultimatum,
certains engagements ou certaines garan-
ties, enfreindrait manifestement cette con-
dition fondamentale et tuerait sans rémis-
sion la conférence avant même qu'elle s'ou-
vrit.
Russes et Allemands viennent à Gênes
pour discuter les problèmes et les proposi-
tions énoncés dans le mémorandum de
Cannes. Le monde demande que ces pro-
blèmes soient discutés et qu'il soit fait un
effort sincère en vue de les résoudre.
Que les gouvernements renoncent une
bonne fois aux inutïles « conversations pré-
liminaires » et qu'ils s'attellent à la tâche
autrement. sérieuse de restaurer le com-
merce, d'équilibrer leurs budgets et de
limiter les armements. — (Ed.)
DAILY HERALD, 8.4.
PRESSE ITALIENNE. — Le moment choisi
pour la conférence est favorable et signifi-
catif. L'Allemagne de Wirth, de Rathenau,
de Stinnes, subit de mauvais gré, mais avec
une habile résignation, les conséquences de
la guerre. En Russie, les chefs de la révo-
lution se sont attelés à une restauration
progressive. Les nouveaux états nés de la
guerre se stabilisent. Les combats ont cessé
sur presque tous les fronts. Nous avons der-
rière nous l'exemple de la conférence de
Washington, où des renonciations récipro-
ques ont réciproquement rassuré les états
rivaux et ont dissipé toute menace immé-
diate de guerre. En face de nous, il y a les
difficultés économiques évidentes d'aujour-
d'hui et l'approche de nouveaux maux, que
l'aosence défiante de l'Amérique et l'appa-
rition soudaine, mais préméditée, d'une-
Angleterre brandissant ses créances, ren-
dent plus dramatiques encore. Amérique et
Angleterre semblent dire à l'Europe, avec
une éloquence implicite dont on peut nier
la noblesse, mais dont on ne peut nier la
clarté, que si l'Europe ne veut pas se soi-
gner de bon gré, on le soignera par force.
De nombreuses circonstances permettent
donc de prévoir un bilan relativement bon
pour la conférence de Gênes. Relativement
seulement ; rien ne serait en effet plus vain
et plus dangereux en même temps que de
s'attendre à une régénération totale et à de
décisifs coups de théâtre. Si ces miracles
étaient possibles, il y a déjà quelques an-
nées que Lénine aurait peut-être triomphé.
Non, ce n'est pas le miracle qui compte,
mais un travail tenace et une inlassable
espérance. Il faut, dès le premier jour, se
bien mettre dans la tête que le tapis vert
de Gênes n'est pas celui de Monte-Carlo,
que les eaux de la Méditerranée ne sont
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.92%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.92%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6253395h/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6253395h/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6253395h/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6253395h/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6253395h
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6253395h
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6253395h/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest