Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 avril 1922 05 avril 1922
Description : 1922/04/05 (T20,N2022). 1922/04/05 (T20,N2022).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253391v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
"'NLSTÊRE
~'h DE8
r!IQES gTRANGÈRES
------ 1
N° 2022
Mercredi 5 avril 1922
1 BoIletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
GêIl ALLElMANnE- — La conférence de
Gên es : les débats à la Chambre fran-
~j anfi1urter Zeitung). — Les répa-
co (W8 : (( Et maintenant ? » (Parvus
(}' fl,oche). — Le discours de M. Stre-
0lln à Hanovre, le 2 avril (Hanno-
uer ,
from-A Kwier). — M. Poincaré et la
lJ Iltlère du (Guido Knörzer dans
H an n°V!erscher Kurier). — La mort de
ch'll'Its de Habsbourg (Hambufger
t'ug IVa trlchten, Vossische Zeitung).
SSE A
GLAISE. — Le discours de M. Lloyd
rnes aux Communes, le 3 avril (Ti-
"tes D 'l
rne8 -Daily Chronicle, Daily Express,
bail Telegraph, Westminster Gazette,
e s, Manchester Guardian).
UTRICHIENNE- — La mort de Charles
beitlIabsooulI'g (Neue Freie Presse, Ar-
beu 6f Zeitung).
V ® ESPAGNOLE. — La délégation de l'Es-
9~~- à la conférence de Gênes (Van-
décl duJ,). - L'Espagne au Maroc : une
n du comte de Romanones
BEsSE
SSB; ITALIENNE.- La conférence de Gênes:
W ébats à la Chambre française (Lui-
gi p p^polonghi dans Secolo). — La Tur-
Id le et les alliés (Leonardo Vitetti dans
ea N azionale).
POLITIQUE GENERALE
CONFÉRENCE DE GÊNES
J^ebat A LA CHAMBRE FRAN-
1er - LEs SÉ.&NCES DEs 31 m~&Rs ET
LES SÉANCES DES 31 MARS ET
r. Certaines personnes pensaient,
Accession au pouvoir de M. Pom-
!fs (Je i> acc-ession au pouvoir de M. Poin-
e personnalité aussi bien vue
! 8 bloc pourrait faire comprendre
tamm de la poétique extérieure, no-
riirri caré Ue î'a Pas essayé. Au contraire, il a
PrT'obu tU '-Iervice de la politique du bloc
~u~ - habileté de premier avocat de
|i>ir ^Oe | IIDJUste ne devient pas juste, quel
V s°it i e Valent, de l'orateur. Devant ce
SeCl qUI cite toujours les articles
- es et
t, ^itéae^ qui ne connaît que les moyens
<2 WA échoue la politique à large
et tée déjà par Lloyd George à
rQtiOlJl qui devrait aboutir à Gênes à l'é-
Un travail pratique.
Dans ses déclarations à la Chambre, Poin-
caré n'a rien dit de nouveau, il n'a fait que
se confirmer solennellement. Il a dressé la
guillotine avec laquelle, à Gènes, il déca-
pitera tout ce qui ne trouve pas grâce aux
yeux de la France. En langage courant, on
appelle cela , d'une expression française, du
sabotage. Poincaré menace déjà de disloquer
la conférence à la première tentative de dis-
cuter la question des réparations. C'est une
grossière plaisanterie, M faudrait accrocher
à Gênes la pancarte : « Il est interdit de. »
que l'on trouve si souvent en Allemagne.
Peut-être eût-il mieux valu ne pas com-
mettre cette bévue, car M. Poincaré fait
montre là d'un esprit policier qui est tou-
jours fâcheux. Au surplus, si l'on interdit
de cette façon l'accès des pelouses dans les
parcs allemands, on n'a jamais défendu la
libre discussion des problèmes économiques
qui devrait être la tâche, propre de la confé-
rence de Génies. Le monde entier se rend
compte maintenant que, comme l'a dit Ra-
thenau, la question des réparations consti-
tue le « cœur de la conférence ». La France
seule ferme les yeux à cette vérité.
« A Gênes, la France tournera de dos à
l'obscurité, elle ira vers la clarté. » Cest
ainsi que Poincaré termina son discours.
Jusqu'ici, le monde a l'impression que la
France suit le chemin inverse et La politique
de Poincaré qui enferme La discussion dans
les sombres nuées de paragraphes ne peut
que fortifier cette impression. La vraie lu-
mière provoquerait une détente entre la
France et l'Allemagne. De cette détente,
nous ne pouvons trouver tirace dans les
paroles et les actes de Poincaré La condi-
tion première serait l'abandon de ce strict
point de vue d'avocat qui présente une re-
quête sans se préoccuper de la solvabilité
du débiteur. Renforcer cette attitude de la
France en face de l'Allemagne, voilà quel
fut, jusqu'à présent, le rôle de Poincaré. Il a
même cédé sur quelques points de la poli-
tique générale de Briand — car il attache
peu d'importance aux choses du Proche
Orient — pour avoir l'appui des alliés et pou-
voir exercer une pression sur l'Allemagne.
Mais tant qu'il ne verra pas que les pro-
blèmes économiques doivent être traités
d'après leurs lois propres et que les relations
franco-allemandes ont été entraînées dans
une impasse par la politique de la France,
on ne pourra attendre de lui la solution de
la crise qui se perpétue
FRANKFURTER ZEITUNG, 3.4 soir.
PRESSE ITALIENNE. — De Paris : La dis-
cussion a été extrêmement violente. Léon
Daudet, Magne et trois ou quatre autres
députés de droite ont continuellement in-
terrompu Briand pendant qu'il se trouvait
à la tribune et ont ainsi réussi, avec la
complicité évidente du président Arago, à
lui faire prononcer un de ses moins beaux
discours. Il n'empêche que le succès de
Briand a été grand. La gauche, dégoûtée
de l'attitude de la droite et irritée contre
le président, a soutenu Briand de ses ap-
plaudissements incessants, et s'est livrée à
un moment donné à une manifestation hos-
tile contre Arago au cri de : Démission !
démission !
La conclusion qu'on peut tirer de l'inter-
vention de Briand est que malgré tous les
« on dit », il entend prendre dans la. vie
politique française une active position de
combat et qu'il a derrière lui une bonne
partie du Parlement et de l'opinion pu-
blique.
.En ce qui concerne l'opinion publique,
il y a eu un fait significatif, c'est qu'une
bonne partie de la tribune de la presse,
d'ordinaire si réservée, s'est associée aux
applaudissements adressés par la Cham-
bre à Briand et que celui-ci (c'est la conclu-
sion à laquelle je voulais en venir) était
indiqué ce soir dans les couloirs comme
le chef du futur bloc des gauches qui ga-
gne chaque jour du terrain.
La droite a adopté une mauvaise tactique.
L'importance parlementaire de la discus.
sion d'aujourd'hui a pris fin avec le dis-
cours de Briand, mais quand Poincaré est
monté à la tribune pour y faire des décla-,
rations sur la politique étrangère, le débat
a pris une importance politique. Si Briand
en effet avait parlé du passé, Poincaré a
parlé de l'avenir.
Clair discours que celui de Poincaré
prononcé devant une assemblée calme, in-
terrompu une seule fois par Cachin qui
s'est écrié après une phrase sur les dettes
de la Russie : « Vous avez prêté de l'ar-
gent au Tsar pour éviter la révolution. A
présent vous réclamez cet argent. Mais
pourquoi agir ainsi avec la Russie, puisque
l'ex-ministre Loucheur a déclaré que la
France elle-même ne peut payer ? ». —
Luigi Campolonghi.
SECOLO, 2.4.
LE DISCOURS DE V. LLOYD GEORGE
AUX COMMUNES, LE 3 AVRIL. — .La deuxième
partie du discours, si elle ne fournit pas
plus de renseignements positifs que la pre-
mière, insinue que Gênes peut voir des
choses au moins aussi surprenantes que
celles dont, les autres conférences ont
donné le spectacle. Il y a, par exemple, le
passage au sujet des « grandes armées qui
se préparent » et des « hordes de révolu-
tionnaires sauvages » que l'on rassemble
pour réduire le reste de l'Europe à la con-
dition de la Russie, M. Lloyd George est
d'avis que la France était justifiée à refu-
ser de discuter les armements terrestres à
Washington « quand il y avait la menace
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r!IQES gTRANGÈRES
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N° 2022
Mercredi 5 avril 1922
1 BoIletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
GêIl ALLElMANnE- — La conférence de
Gên es : les débats à la Chambre fran-
~j anfi1urter Zeitung). — Les répa-
co (W8 : (( Et maintenant ? » (Parvus
(}' fl,oche). — Le discours de M. Stre-
0lln à Hanovre, le 2 avril (Hanno-
uer ,
from-A Kwier). — M. Poincaré et la
lJ Iltlère du (Guido Knörzer dans
H an n°V!erscher Kurier). — La mort de
ch'll'Its de Habsbourg (Hambufger
t'ug IVa trlchten, Vossische Zeitung).
SSE A
GLAISE. — Le discours de M. Lloyd
rnes aux Communes, le 3 avril (Ti-
"tes D 'l
rne8 -Daily Chronicle, Daily Express,
bail Telegraph, Westminster Gazette,
e s, Manchester Guardian).
UTRICHIENNE- — La mort de Charles
beitlIabsooulI'g (Neue Freie Presse, Ar-
beu 6f Zeitung).
V ® ESPAGNOLE. — La délégation de l'Es-
9~~- à la conférence de Gênes (Van-
décl duJ,). - L'Espagne au Maroc : une
n du comte de Romanones
BEsSE
SSB; ITALIENNE.- La conférence de Gênes:
W ébats à la Chambre française (Lui-
gi p p^polonghi dans Secolo). — La Tur-
Id le et les alliés (Leonardo Vitetti dans
ea N azionale).
POLITIQUE GENERALE
CONFÉRENCE DE GÊNES
J^ebat A LA CHAMBRE FRAN-
1er - LEs SÉ.&NCES DEs 31 m~&Rs ET
LES SÉANCES DES 31 MARS ET
r. Certaines personnes pensaient,
Accession au pouvoir de M. Pom-
!fs (Je i> acc-ession au pouvoir de M. Poin-
e personnalité aussi bien vue
! 8 bloc pourrait faire comprendre
tamm de la poétique extérieure, no-
riirri
PrT'obu tU '-Iervice de la politique du bloc
~u~ - habileté de premier avocat de
|i>ir ^Oe | IIDJUste ne devient pas juste, quel
V s°it i e Valent, de l'orateur. Devant ce
SeCl qUI cite toujours les articles
- es et
t, ^itéae^ qui ne connaît que les moyens
<2 WA échoue la politique à large
et tée déjà par Lloyd George à
rQtiOlJl qui devrait aboutir à Gênes à l'é-
Un travail pratique.
Dans ses déclarations à la Chambre, Poin-
caré n'a rien dit de nouveau, il n'a fait que
se confirmer solennellement. Il a dressé la
guillotine avec laquelle, à Gènes, il déca-
pitera tout ce qui ne trouve pas grâce aux
yeux de la France. En langage courant, on
appelle cela , d'une expression française, du
sabotage. Poincaré menace déjà de disloquer
la conférence à la première tentative de dis-
cuter la question des réparations. C'est une
grossière plaisanterie, M faudrait accrocher
à Gênes la pancarte : « Il est interdit de. »
que l'on trouve si souvent en Allemagne.
Peut-être eût-il mieux valu ne pas com-
mettre cette bévue, car M. Poincaré fait
montre là d'un esprit policier qui est tou-
jours fâcheux. Au surplus, si l'on interdit
de cette façon l'accès des pelouses dans les
parcs allemands, on n'a jamais défendu la
libre discussion des problèmes économiques
qui devrait être la tâche, propre de la confé-
rence de Génies. Le monde entier se rend
compte maintenant que, comme l'a dit Ra-
thenau, la question des réparations consti-
tue le « cœur de la conférence ». La France
seule ferme les yeux à cette vérité.
« A Gênes, la France tournera de dos à
l'obscurité, elle ira vers la clarté. » Cest
ainsi que Poincaré termina son discours.
Jusqu'ici, le monde a l'impression que la
France suit le chemin inverse et La politique
de Poincaré qui enferme La discussion dans
les sombres nuées de paragraphes ne peut
que fortifier cette impression. La vraie lu-
mière provoquerait une détente entre la
France et l'Allemagne. De cette détente,
nous ne pouvons trouver tirace dans les
paroles et les actes de Poincaré La condi-
tion première serait l'abandon de ce strict
point de vue d'avocat qui présente une re-
quête sans se préoccuper de la solvabilité
du débiteur. Renforcer cette attitude de la
France en face de l'Allemagne, voilà quel
fut, jusqu'à présent, le rôle de Poincaré. Il a
même cédé sur quelques points de la poli-
tique générale de Briand — car il attache
peu d'importance aux choses du Proche
Orient — pour avoir l'appui des alliés et pou-
voir exercer une pression sur l'Allemagne.
Mais tant qu'il ne verra pas que les pro-
blèmes économiques doivent être traités
d'après leurs lois propres et que les relations
franco-allemandes ont été entraînées dans
une impasse par la politique de la France,
on ne pourra attendre de lui la solution de
la crise qui se perpétue
FRANKFURTER ZEITUNG, 3.4 soir.
PRESSE ITALIENNE. — De Paris : La dis-
cussion a été extrêmement violente. Léon
Daudet, Magne et trois ou quatre autres
députés de droite ont continuellement in-
terrompu Briand pendant qu'il se trouvait
à la tribune et ont ainsi réussi, avec la
complicité évidente du président Arago, à
lui faire prononcer un de ses moins beaux
discours. Il n'empêche que le succès de
Briand a été grand. La gauche, dégoûtée
de l'attitude de la droite et irritée contre
le président, a soutenu Briand de ses ap-
plaudissements incessants, et s'est livrée à
un moment donné à une manifestation hos-
tile contre Arago au cri de : Démission !
démission !
La conclusion qu'on peut tirer de l'inter-
vention de Briand est que malgré tous les
« on dit », il entend prendre dans la. vie
politique française une active position de
combat et qu'il a derrière lui une bonne
partie du Parlement et de l'opinion pu-
blique.
.En ce qui concerne l'opinion publique,
il y a eu un fait significatif, c'est qu'une
bonne partie de la tribune de la presse,
d'ordinaire si réservée, s'est associée aux
applaudissements adressés par la Cham-
bre à Briand et que celui-ci (c'est la conclu-
sion à laquelle je voulais en venir) était
indiqué ce soir dans les couloirs comme
le chef du futur bloc des gauches qui ga-
gne chaque jour du terrain.
La droite a adopté une mauvaise tactique.
L'importance parlementaire de la discus.
sion d'aujourd'hui a pris fin avec le dis-
cours de Briand, mais quand Poincaré est
monté à la tribune pour y faire des décla-,
rations sur la politique étrangère, le débat
a pris une importance politique. Si Briand
en effet avait parlé du passé, Poincaré a
parlé de l'avenir.
Clair discours que celui de Poincaré
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terrompu une seule fois par Cachin qui
s'est écrié après une phrase sur les dettes
de la Russie : « Vous avez prêté de l'ar-
gent au Tsar pour éviter la révolution. A
présent vous réclamez cet argent. Mais
pourquoi agir ainsi avec la Russie, puisque
l'ex-ministre Loucheur a déclaré que la
France elle-même ne peut payer ? ». —
Luigi Campolonghi.
SECOLO, 2.4.
LE DISCOURS DE V. LLOYD GEORGE
AUX COMMUNES, LE 3 AVRIL. — .La deuxième
partie du discours, si elle ne fournit pas
plus de renseignements positifs que la pre-
mière, insinue que Gênes peut voir des
choses au moins aussi surprenantes que
celles dont, les autres conférences ont
donné le spectacle. Il y a, par exemple, le
passage au sujet des « grandes armées qui
se préparent » et des « hordes de révolu-
tionnaires sauvages » que l'on rassemble
pour réduire le reste de l'Europe à la con-
dition de la Russie, M. Lloyd George est
d'avis que la France était justifiée à refu-
ser de discuter les armements terrestres à
Washington « quand il y avait la menace
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