Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 avril 1922 03 avril 1922
Description : 1922/04/03 (T20,N2020). 1922/04/03 (T20,N2020).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253389s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
Dne
i *ÈS ÉTRANGÈRES
N° 2020
Lundi 3 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
E ALLEMANDE. — Les réparations : le
vote de confiance au cabinet \Vil'UI
)eutsche Allemagne Zeitung, Germa
nla, Vranklurter Zeitung, Vorwärts).
SE ANGLAISE. — Les débats au Reichstag
Sur les réparations (Westminster Ga-
*e £ fe). — La conférence de Gênes :
admission des - Soviets russes (Daily
elefiraph) ; « M. Chamberlain et Gê-
jtes » (Daily Chronicle). — M. Lloyd
George à la conférence de Spa : le
comité secret du Sénat français (Times).
E BELGE. — Les réparations : le dis-
EURS de M. Rathenau au Reichstag
dation Belge),
d E ITALIENNE. — L'Italie et la conférence
e Gênes (Giornale d'ltalia).
----
POLITIQUE GENERALE
LES REPARATIONS
le titp DEBATS AU REICHSTAG. — Sous
,, titra : « LA FARCE DES RÉPARATIONS ». - H
ÉTÉ '^flcile J- à M. Rathenau de rendre à
M. p J. ncaré un plus grand service qu'il
le l'
a fait auprès des Français en lui
"arit publiquement d'avoir été l'au-
de la POlitique générale des alliés au
Sujet
réParations. Si la Chambre fran-
°iaise.a ^PPelé M. Poincaré au pouvoir, c'est
(IU'ejle *rait avoir un homme qui se
monterait inflexible, et cela envers les
■ -1% Co. envers les ennemis de la
l,>ranc e- On ne peut juger encore si les ré-
l'ODin.'s obtenus sont de nature à contenter
SOnt IOn française, mais ces résultats ne
%ûnt très remarquables. La conférence
(loi" nes dOIt se réunir et les bolcheviks
ees aD. SI Y trouver. Les conditions présen-
D¡¡,rQt' Je ^^ernands sous le rapport des ré
S ne sont pas, en réalité, l'œuvre
de M. P omcaré ; elles ont été rédigées, vir-
K\\Qm 611 SOus leur forme actuelle, à Can-
L anglo-français semble avoir
Tleùt ran:qUiUement jeté à la mer, ce qui
[loi non, être un triomphe pour M.
°iricarA V es incontestablement un sou-
^Serrie^ Pour la Grande-Bretagne. Le seul
COurs anlfeste réalisé par la France au
~s dle. la partie diplomatique qui se
poursuit depuis l'avènement au pouvoir de
M. Poincaré est constitué par l'abandon
consenti par le gouvernement britannique
d'une grande partie de sa politique du Pro-
che Orient et cet abandon était absolument
prévu puisque la politique en question est
reconnue, depuis quelque temps déjà,
comme ne pouvant aboutir à aucun résul-
tat utile.
Bien que M. Poincaré soit encore jusqu'à
un certain point une force inconnue [à dark
horse] dans le domaine de la politique eu-
ropéenne, il va, être obligé, bientôt, de
montrer ce dont il est capable, car en
dehors même de la conférence de Gênes,
nous marchons droit à une nouvelle crise
dans l'affaire des réparations. Jusqu'ici
nous nous sommes soustraits à la néces-
sité de prendre des décisions en embou
chant nos trompettes et en forçant l'Alle-
magne à consentir, sur le papier, à des
projets de paiement qui ne pouvaient être
réalisés que sur le papier. La différence en-
tre les sommes payées et les sommes de-
mandées a toujours été très considérable.
Mais nous avons à peu près épuisé les
possibilités de cette méthode. Elle porte
l'atteinte la plus grave au crédit financier
de l'Allemagne, et, par suite, au commerce
de l'Europe et plus on la poursuit, plus
elle devient une véritable farce.
Nous nous réjouissons, jusqu'à un cer-
tain point, que les alliés, tout en insistant
pour se faire payer, demandent que l'im-
possible spit fait pour empêcher la chute
du mark. Bien que cette demande soit vrai-
ment comique, elle marque peut-être un re-
tour à la raison. Il est même à espérer que
les alliés chercheront à contraindre l'Alle-
magne à venir demander sur le marché
mondial un emprunt dont le montant serait
entièrement consacré, d'après la déclara-
tion publiée hier par la commission des ré-
parations, au paiement des réparations. Ils
auront ainsi l'occasion de voir ce que pense
de ces ~eories le monde financier. Tou-
jours est-il que nous sommes arrivés main
tenant à un point où l'on reconnaît la né
cessité d'empêcher l'effondrement financier
de l'Allemagne. Le fossé qui sépare ce point
d'une revision fondamentale de tout le
projet des réparations doit être courte. Mais
l'élément tragique de la situation est qu'il
ne sera franchi ni à Gênes ni avant, et que
d'autre part, tant qu'il ne sera pas franchi,
la reconstruction de l'Europe demeurera ir-
réalisable. — (Ed.).
WESTMINSTER GAZETTE, 31.3.
LE DISCOURS DE M. RATHENAU. — Le dis-
cours de M. Rathenau complète et explique
le discours de M. Wirth. Le chancelier
avait répondu par un « non possumus » à
la note de la commission des réparations.
Le ministre des affaires étrangères a rom-
pu une lance contre la France et en parti- -
culieir contre M. Poincaré.
On attendait plus et mieux de M. Rathe-
nau. Dans cette Allemagne d'après guerre
qui paraît n'avoir qu'un but : se soustraire
à ses obligations et gagner ainsi une « re-
vanche écoriomique » avant de pouvoir son-
ger à la revanche militaire, il semblait être
un des, rares Allemands qui avaient com-
pris la nécessité de payer au moins quelque
chose. Après la mort d'Erzberger, c'est lui
qui était devenu le chef de ce petit groupe
d'hommes qui croyaient — ou faisaient mine
de croire — que la politique d'exécution du
traité était somme toute la meilleure. Con-
naissant mieux que personne les dévasta-
tions opérées en France et en Belgique -
ne l'a-t-on pas accusé d'être l'auteur du plan
machiavélique en vertu duquel les indus-
tries belges et françaises devaient être
mises hors d'état de faire concurrence aux
industries allemandes après la guerre ? —
il paraissait avoir admis la nécessité de
réparer dans une certaine mesure tout au
moins ces dévastations. A cet égard, les
accords de Wiesbaden et les accords négo-
ciés par M. Bemelmans, si insuffisants
qu'ils fussent, ne manquaient pais d'intérêt.
Aujourd'hui, M. Rathenau a changé son
fusil d'épaule, tout comme M. Wirth.
Comme son chef de file, il affirme que l'Alle-
magne ne peut pas payer.
A quoi faut-il attribuer cette volte-face ?
M. Rathenau n'est pas homme à se laisser
aller à un mouvement d'humeur. Toujours,
et surtout dans sa lutte contre M. Stinnes,
il a montré qu'il était avant tout un calcu-
lateur froid et précis. Alors quoi ? Pour
s'être engagé comme il vient de le faire, et
cela à la veille de la conférence de Gênes,
il faut qu'il ait des raisons très sérieuses
de le faire et qu'il ait la conviction de voir à
sa politique nouvelle des chances de réus-
site. Si douloureuse pour nous que soit cette
constatation, n'hésitons pas à le dire :
M. Rathenau a misé sur le tableau anglais
ou plutôt sur le tableau Lloyd George car,
grâce à Dieu, « le diable aux yeux bleus Il
n'est pas toute l'Angleterre.
Il vaut mieux dire les choses franche-
ment, telles qu'elles sont : Depuis M. Lloyd
George jusqu'à M. Keynes, en passant par
lord d'Abernon, il est tout un groupe britan-
nique qui ne veut pas que l'Allemagne
s'exécute. Hypnotisés, soit par le danger
effrayant que représente le chômage britan-
nique, soit par cette chimère ridicule qu'ils
ont baptisée « l'impéralisme français », ces
Anglais n'ont pas de plus vif désir que de
voir l'Allemagne reprendre sa place d'avant-
guerre — sauf sur mer et aux colonies, évi-
Dne
i *ÈS ÉTRANGÈRES
N° 2020
Lundi 3 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
E ALLEMANDE. — Les réparations : le
vote de confiance au cabinet \Vil'UI
)eutsche Allemagne Zeitung, Germa
nla, Vranklurter Zeitung, Vorwärts).
SE ANGLAISE. — Les débats au Reichstag
Sur les réparations (Westminster Ga-
*e £ fe). — La conférence de Gênes :
admission des - Soviets russes (Daily
elefiraph) ; « M. Chamberlain et Gê-
jtes » (Daily Chronicle). — M. Lloyd
George à la conférence de Spa : le
comité secret du Sénat français (Times).
E BELGE. — Les réparations : le dis-
EURS de M. Rathenau au Reichstag
dation Belge),
d E ITALIENNE. — L'Italie et la conférence
e Gênes (Giornale d'ltalia).
----
POLITIQUE GENERALE
LES REPARATIONS
le titp DEBATS AU REICHSTAG. — Sous
,, titra : « LA FARCE DES RÉPARATIONS ». - H
ÉTÉ '^flcile J- à M. Rathenau de rendre à
M. p J. ncaré un plus grand service qu'il
le l'
a fait auprès des Français en lui
"arit publiquement d'avoir été l'au-
de la POlitique générale des alliés au
Sujet
réParations. Si la Chambre fran-
°iaise.a ^PPelé M. Poincaré au pouvoir, c'est
(IU'ejle *rait avoir un homme qui se
monterait inflexible, et cela envers les
■ -1% Co. envers les ennemis de la
l,>ranc e- On ne peut juger encore si les ré-
l'ODin.'s obtenus sont de nature à contenter
SOnt IOn française, mais ces résultats ne
%ûnt très remarquables. La conférence
(loi" nes dOIt se réunir et les bolcheviks
ees aD. SI Y trouver. Les conditions présen-
D¡¡,rQt' Je ^^ernands sous le rapport des ré
S ne sont pas, en réalité, l'œuvre
de M. P omcaré ; elles ont été rédigées, vir-
K\\Qm 611 SOus leur forme actuelle, à Can-
L anglo-français semble avoir
Tleùt ran:qUiUement jeté à la mer, ce qui
[loi non, être un triomphe pour M.
°iricarA V es incontestablement un sou-
^Serrie^ Pour la Grande-Bretagne. Le seul
COurs anlfeste réalisé par la France au
~s dle. la partie diplomatique qui se
poursuit depuis l'avènement au pouvoir de
M. Poincaré est constitué par l'abandon
consenti par le gouvernement britannique
d'une grande partie de sa politique du Pro-
che Orient et cet abandon était absolument
prévu puisque la politique en question est
reconnue, depuis quelque temps déjà,
comme ne pouvant aboutir à aucun résul-
tat utile.
Bien que M. Poincaré soit encore jusqu'à
un certain point une force inconnue [à dark
horse] dans le domaine de la politique eu-
ropéenne, il va, être obligé, bientôt, de
montrer ce dont il est capable, car en
dehors même de la conférence de Gênes,
nous marchons droit à une nouvelle crise
dans l'affaire des réparations. Jusqu'ici
nous nous sommes soustraits à la néces-
sité de prendre des décisions en embou
chant nos trompettes et en forçant l'Alle-
magne à consentir, sur le papier, à des
projets de paiement qui ne pouvaient être
réalisés que sur le papier. La différence en-
tre les sommes payées et les sommes de-
mandées a toujours été très considérable.
Mais nous avons à peu près épuisé les
possibilités de cette méthode. Elle porte
l'atteinte la plus grave au crédit financier
de l'Allemagne, et, par suite, au commerce
de l'Europe et plus on la poursuit, plus
elle devient une véritable farce.
Nous nous réjouissons, jusqu'à un cer-
tain point, que les alliés, tout en insistant
pour se faire payer, demandent que l'im-
possible spit fait pour empêcher la chute
du mark. Bien que cette demande soit vrai-
ment comique, elle marque peut-être un re-
tour à la raison. Il est même à espérer que
les alliés chercheront à contraindre l'Alle-
magne à venir demander sur le marché
mondial un emprunt dont le montant serait
entièrement consacré, d'après la déclara-
tion publiée hier par la commission des ré-
parations, au paiement des réparations. Ils
auront ainsi l'occasion de voir ce que pense
de ces ~eories le monde financier. Tou-
jours est-il que nous sommes arrivés main
tenant à un point où l'on reconnaît la né
cessité d'empêcher l'effondrement financier
de l'Allemagne. Le fossé qui sépare ce point
d'une revision fondamentale de tout le
projet des réparations doit être courte. Mais
l'élément tragique de la situation est qu'il
ne sera franchi ni à Gênes ni avant, et que
d'autre part, tant qu'il ne sera pas franchi,
la reconstruction de l'Europe demeurera ir-
réalisable. — (Ed.).
WESTMINSTER GAZETTE, 31.3.
LE DISCOURS DE M. RATHENAU. — Le dis-
cours de M. Rathenau complète et explique
le discours de M. Wirth. Le chancelier
avait répondu par un « non possumus » à
la note de la commission des réparations.
Le ministre des affaires étrangères a rom-
pu une lance contre la France et en parti- -
culieir contre M. Poincaré.
On attendait plus et mieux de M. Rathe-
nau. Dans cette Allemagne d'après guerre
qui paraît n'avoir qu'un but : se soustraire
à ses obligations et gagner ainsi une « re-
vanche écoriomique » avant de pouvoir son-
ger à la revanche militaire, il semblait être
un des, rares Allemands qui avaient com-
pris la nécessité de payer au moins quelque
chose. Après la mort d'Erzberger, c'est lui
qui était devenu le chef de ce petit groupe
d'hommes qui croyaient — ou faisaient mine
de croire — que la politique d'exécution du
traité était somme toute la meilleure. Con-
naissant mieux que personne les dévasta-
tions opérées en France et en Belgique -
ne l'a-t-on pas accusé d'être l'auteur du plan
machiavélique en vertu duquel les indus-
tries belges et françaises devaient être
mises hors d'état de faire concurrence aux
industries allemandes après la guerre ? —
il paraissait avoir admis la nécessité de
réparer dans une certaine mesure tout au
moins ces dévastations. A cet égard, les
accords de Wiesbaden et les accords négo-
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qu'ils fussent, ne manquaient pais d'intérêt.
Aujourd'hui, M. Rathenau a changé son
fusil d'épaule, tout comme M. Wirth.
Comme son chef de file, il affirme que l'Alle-
magne ne peut pas payer.
A quoi faut-il attribuer cette volte-face ?
M. Rathenau n'est pas homme à se laisser
aller à un mouvement d'humeur. Toujours,
et surtout dans sa lutte contre M. Stinnes,
il a montré qu'il était avant tout un calcu-
lateur froid et précis. Alors quoi ? Pour
s'être engagé comme il vient de le faire, et
cela à la veille de la conférence de Gênes,
il faut qu'il ait des raisons très sérieuses
de le faire et qu'il ait la conviction de voir à
sa politique nouvelle des chances de réus-
site. Si douloureuse pour nous que soit cette
constatation, n'hésitons pas à le dire :
M. Rathenau a misé sur le tableau anglais
ou plutôt sur le tableau Lloyd George car,
grâce à Dieu, « le diable aux yeux bleus Il
n'est pas toute l'Angleterre.
Il vaut mieux dire les choses franche-
ment, telles qu'elles sont : Depuis M. Lloyd
George jusqu'à M. Keynes, en passant par
lord d'Abernon, il est tout un groupe britan-
nique qui ne veut pas que l'Allemagne
s'exécute. Hypnotisés, soit par le danger
effrayant que représente le chômage britan-
nique, soit par cette chimère ridicule qu'ils
ont baptisée « l'impéralisme français », ces
Anglais n'ont pas de plus vif désir que de
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