Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 mars 1922 28 mars 1922
Description : 1922/03/28 (T20,N2015). 1922/03/28 (T20,N2015).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253384q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
i "stère
, rilgs
AN Gère S
N° 2015
Mardi 28 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
1 traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
sommaire
IJ¡II::' -
M''îNDE' - Les conditions du mo-
J"aWu/1 : la nole de la Commission des
S¡""h a ,IOn.S (Gewg Bernhard dans Vos-
fri(1iMoit- cltllng), - La publication du
II1Ql's iq! ,Q (kL M- Lloyd George du 25
'"iii'y iqluy (Voncaerts). - Une opinion
al|eni (,e M. Philippe Berthelot
Kt 'a(, Verscher Kurier)
t.,,~ ,
SE M -
(les pf VCuni':- - Les frais d'occupation
^ascism S"n''S (New Yorli: Times). -
P~cisr et impérialisme (New York
Avenir, 0 Post)
ANGLAISE. — La publication du mé-
ifioirp i M. Lloyd George du 25 mars
de Gê ally Chronicle). — La conférence
de Gêif es et la situation du cabinet
George (Westminster Gazette )
POUTIQUE GENERALE
LeS REPARATIONS
lTlONS DU MORATORIUM.
r/ONs. - E LA COMMISSION DES RÉPARA-
pRESSE ALLEMANDE. - Les diri-
l~ ET les peuples de l'Entente devraient
v Par ""IPreiidt'e que, sans emprunt et
1,1 ioni qui en découle d'elle-
el ûes prestations initiales de l'Alle-
tle ¡JOUr' le coniptes d'intérêts et
°rtisseiïl comptes d'intérêts et
~.S~ant~' on ne peut donner au-
f~ :nhe Serieuse que l'Allemagne
¡'ë Problè à i a longue ses obligations. Que
ro Ie l e d'un emprunt ne puisse être
féso,11 au C?Ul>S des jours et des semaines
^ffi ~<- suh
lui Voiït sijjv e, cela est compréhensible. Il
Poup i
le~iSforrna~fr le moment de négocier la
qlli Sformatio des sommes en or qui res-
,
lQe S'i1Cco da Payer pour 1922, en un total
PI' Ilts ell r e avec la nécessité de paie-
eri ar ^Ur les achats de matières
premier devant servir aux prestations en
c -
En ce qui concerne ce problème de
8 1 Sllhplifié, peut-être pourra-
!ïlettre à Profit les négociations qui
is ûfUrsUivenf dePuis longtemps déjà en-
d!i¡. upes financiers français et nllc-
¡II Ottr
financiers de ce genre
°ihp. Par i f raison, le Chancelier peut
&t}ct et utes les garanties du capital
et de la fortune allemande. Car
des accords de ce genre le mettraient en
mesure de faire aboutir une politique fi-
nancière qui signifierait, à l'intérieur
comme à l'extérieur, le commencement du
retour à des conditions saines. Seule une
telle politique des réparations donnerait
des garanties pour un arrêt progressif de
l'inflation en Allemagne et pour un arrêt
de la dépréciation du mark, car la balance
des paiements allemands en serait momen-
tanément raffermie et on aurait l'espoir
d'arriver à une situation permettant d'ali-
menter la caisse des réparations grâce à
l'excédent de nos exportations.
Des réflexions et des négociations de ce
genre demandent du temps. Elles ne peu-
vent aboutir d'ici au 31 mai si les chefs de
la politique allemande veulent, dans l'in-
tervalle, conférer pendant tout un mois à
Gênes avec les représentants des autres
puissances européennes. Mais, d'autre
part, la conférence de Gênes offrira préci-
sément, il faut l'espérer, une possibilité
d'échanges de vues entre les experts finan-
ciers de tous les Etats européens, permet-
tant de discuter avec calme et sans pas-
sion l'évolution possible du problème des
réparations. La conférence de Gênes n'ap-
portera sans doute pas la solution, mais
elle peut la préparer. Sinon il faudrait dire :
Destin, suis ton cours. Mais ce serait la
,ruine de l'Europe. — Georg Bernhard.
VOSSISCHE ZEITUNG, 26.3.
LA PUBLICATION DU MEMOIRE DE
M. LLOYD GEORGE DU 25 MARS 1919. —
Le mémoire de M. Lloyd George est un
plaidoyer en faveur d'une paix de justice
prévoyante et que ne souillera aucun es-
prit de vengeance ; une paix qui donnera
aux nations quelque chose à espérer, qui
fournirait un but à leurs efforts, une paix
qui ne fera pas le jeu des extrémistes et
qui constituera une alternative raisonnable
à l'impérialisme des bolchevistes ou de la
réaction. Elle demande avec insistance le
désarmement de l'Europe. « Il est futile,
écrit M. Lloyd George, de chercher à im-
poser une limitation permanente des ar-
mements à l'Allemagne, si nous ne sommes
pas disposés à nous imposer à nous-mêmes
une limitation analogue ». Le mémoire dé-
clare que la première condition du succès
de la Société des nations est une entente
ferme entre les Etats-Unis, l'Angleterre, la
France et l'Italie, un accord mutuel met-
tant fin à la course aux armements. Il
souligne le fait que la Russie ne peut pas
être laissée en dehors, mais doit être trai-
tée comme faisant partie de l'Europe. Il
suggère même un plan, élaboré depuis par
sir Robert Horne, pour l'utilisation d'une
partie des paiements allemands en vue de
la liquidation des dettes des alliés entre
eux.
Ce document perspicace fournit la ré-
ponse à la plupart des critiques adressées
au traité de Versailles. Si ce traité, tel qu'il
fut signé, présente de nombreux défauts, ce
n'est pas que M. Lloyd George n'ait pas
défendu ses vues libérales devant la confé-
rence. Le mémorandum prouve qu'il l'a
fait. Mais c'est parce que les opinions ex-
primées par lui étaient en avance sur
celles de ses collègues français et autres,
peut-être même sur l'opinion publique en
Grande-Bretagne. Il a dû accepter moins
qu'il n'aurait voulu dans l'espoir que le
reste viendrait plus tard.
Le moment est venu où les idées de 1918
ont une chance d'être réalisées. Ce qui sem-
blait alors si bizarre, devient rapidement
un terrain d'entente pour ceux qui étudient
sérieusement la politique. Et c'est Gênes
qui indique le chemin. -— (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 25.3.
« LLOYD GEORGE PHOPHÈTE » [sous ce titre].
— La presse anglaise publie, évidemment
sur instructions venues de haut, des ex-
traits d'un mémoire présenté, le 25 mars
1919, par M. Lloyd George à la conférence
de la paix de Versailles.
Dans la lutte diplomatique entre la
Grande-Bretagne et la France, la Grande-
Bretagne est toujours restée la plus faible,
car ce qu'on a commencé à Versailles, on
l'a poursuivi à propos de l'accord financier
de Londres, de la décision sur la Haute-
Silésie, et aujourd'hui à nouveau à propos
de la dernière décision de la Commission
des réparations.
Ceux qui ont toujours à la bouche des
explications morales — ce ne sont pas tou-
jours les moralistes — ont conclu de ces
faits que l'Allemagne avait toujours reçu
en abondance de la Grande-Bretagne des
conseils de modération, qu'elle avait été
abreuvée de belles promesses, mais que
finalement elle avait toujours été jouée.
Ceux qui avaient presque changé leur
« Dieu punisse la Grande-Bretagne » du
temps de guerre en un « Dieu bénisse la
Grande-Bretagne », se rapprochent à nou-
veau de la théorie de la te perfide Albion ».
En réalité il s'agit, non pas d'un lâchage
intentionnel, mais d'un véritable déni de
justice. Ce n'est pas à la croyance en l'hon-
nêteté des intentions anglaises qu'il est
avantageux de renoncer, c'est à la croyance
en la toute-puissance anglaise.
VORWAERTS, 26.3.
LES FRAIS D'OCCUPATION DES
ETATS-UNIS. — LA DEMANDE DU DÉPARTE-
MENT D'ETAT (11 MARS). — Le Département
, rilgs
AN Gère S
N° 2015
Mardi 28 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
1 traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
sommaire
IJ¡II::' -
M''îNDE' - Les conditions du mo-
J"aWu/1 : la nole de la Commission des
S¡""h a ,IOn.S (Gewg Bernhard dans Vos-
fri(1iMoit- cltllng), - La publication du
II1Ql's iq! ,Q (kL M- Lloyd George du 25
'"iii'y iqluy (Voncaerts). - Une opinion
al|eni (,e M. Philippe Berthelot
Kt 'a(, Verscher Kurier)
t.,,~ ,
SE M -
(les pf VCuni':- - Les frais d'occupation
^ascism S"n''S (New Yorli: Times). -
P~cisr et impérialisme (New York
Avenir, 0 Post)
ANGLAISE. — La publication du mé-
ifioirp i M. Lloyd George du 25 mars
de Gê ally Chronicle). — La conférence
de Gêif es et la situation du cabinet
George (Westminster Gazette )
POUTIQUE GENERALE
LeS REPARATIONS
r/ONs. - E LA COMMISSION DES RÉPARA-
pRESSE ALLEMANDE. - Les diri-
l~ ET les peuples de l'Entente devraient
v Par ""IPreiidt'e que, sans emprunt et
1,1 ioni qui en découle d'elle-
el ûes prestations initiales de l'Alle-
tle ¡JOUr' le coniptes d'intérêts et
°rtisseiïl comptes d'intérêts et
~.S~ant~' on ne peut donner au-
f~ :nhe Serieuse que l'Allemagne
¡'ë Problè à i a longue ses obligations. Que
ro Ie l e d'un emprunt ne puisse être
féso,11 au C?Ul>S des jours et des semaines
^ffi ~<- suh
lui Voiït sijjv e, cela est compréhensible. Il
Poup i
le~iSforrna~fr le moment de négocier la
qlli Sformatio des sommes en or qui res-
,
lQe S'i1Cco da Payer pour 1922, en un total
PI' Ilts ell r e avec la nécessité de paie-
eri ar ^Ur les achats de matières
premier devant servir aux prestations en
c -
En ce qui concerne ce problème de
8 1 Sllhplifié, peut-être pourra-
!ïlettre à Profit les négociations qui
is ûfUrsUivenf dePuis longtemps déjà en-
d!i¡. upes financiers français et nllc-
¡II Ottr
financiers de ce genre
°ihp. Par i f raison, le Chancelier peut
&t}ct et utes les garanties du capital
et de la fortune allemande. Car
des accords de ce genre le mettraient en
mesure de faire aboutir une politique fi-
nancière qui signifierait, à l'intérieur
comme à l'extérieur, le commencement du
retour à des conditions saines. Seule une
telle politique des réparations donnerait
des garanties pour un arrêt progressif de
l'inflation en Allemagne et pour un arrêt
de la dépréciation du mark, car la balance
des paiements allemands en serait momen-
tanément raffermie et on aurait l'espoir
d'arriver à une situation permettant d'ali-
menter la caisse des réparations grâce à
l'excédent de nos exportations.
Des réflexions et des négociations de ce
genre demandent du temps. Elles ne peu-
vent aboutir d'ici au 31 mai si les chefs de
la politique allemande veulent, dans l'in-
tervalle, conférer pendant tout un mois à
Gênes avec les représentants des autres
puissances européennes. Mais, d'autre
part, la conférence de Gênes offrira préci-
sément, il faut l'espérer, une possibilité
d'échanges de vues entre les experts finan-
ciers de tous les Etats européens, permet-
tant de discuter avec calme et sans pas-
sion l'évolution possible du problème des
réparations. La conférence de Gênes n'ap-
portera sans doute pas la solution, mais
elle peut la préparer. Sinon il faudrait dire :
Destin, suis ton cours. Mais ce serait la
,ruine de l'Europe. — Georg Bernhard.
VOSSISCHE ZEITUNG, 26.3.
LA PUBLICATION DU MEMOIRE DE
M. LLOYD GEORGE DU 25 MARS 1919. —
Le mémoire de M. Lloyd George est un
plaidoyer en faveur d'une paix de justice
prévoyante et que ne souillera aucun es-
prit de vengeance ; une paix qui donnera
aux nations quelque chose à espérer, qui
fournirait un but à leurs efforts, une paix
qui ne fera pas le jeu des extrémistes et
qui constituera une alternative raisonnable
à l'impérialisme des bolchevistes ou de la
réaction. Elle demande avec insistance le
désarmement de l'Europe. « Il est futile,
écrit M. Lloyd George, de chercher à im-
poser une limitation permanente des ar-
mements à l'Allemagne, si nous ne sommes
pas disposés à nous imposer à nous-mêmes
une limitation analogue ». Le mémoire dé-
clare que la première condition du succès
de la Société des nations est une entente
ferme entre les Etats-Unis, l'Angleterre, la
France et l'Italie, un accord mutuel met-
tant fin à la course aux armements. Il
souligne le fait que la Russie ne peut pas
être laissée en dehors, mais doit être trai-
tée comme faisant partie de l'Europe. Il
suggère même un plan, élaboré depuis par
sir Robert Horne, pour l'utilisation d'une
partie des paiements allemands en vue de
la liquidation des dettes des alliés entre
eux.
Ce document perspicace fournit la ré-
ponse à la plupart des critiques adressées
au traité de Versailles. Si ce traité, tel qu'il
fut signé, présente de nombreux défauts, ce
n'est pas que M. Lloyd George n'ait pas
défendu ses vues libérales devant la confé-
rence. Le mémorandum prouve qu'il l'a
fait. Mais c'est parce que les opinions ex-
primées par lui étaient en avance sur
celles de ses collègues français et autres,
peut-être même sur l'opinion publique en
Grande-Bretagne. Il a dû accepter moins
qu'il n'aurait voulu dans l'espoir que le
reste viendrait plus tard.
Le moment est venu où les idées de 1918
ont une chance d'être réalisées. Ce qui sem-
blait alors si bizarre, devient rapidement
un terrain d'entente pour ceux qui étudient
sérieusement la politique. Et c'est Gênes
qui indique le chemin. -— (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 25.3.
« LLOYD GEORGE PHOPHÈTE » [sous ce titre].
— La presse anglaise publie, évidemment
sur instructions venues de haut, des ex-
traits d'un mémoire présenté, le 25 mars
1919, par M. Lloyd George à la conférence
de la paix de Versailles.
Dans la lutte diplomatique entre la
Grande-Bretagne et la France, la Grande-
Bretagne est toujours restée la plus faible,
car ce qu'on a commencé à Versailles, on
l'a poursuivi à propos de l'accord financier
de Londres, de la décision sur la Haute-
Silésie, et aujourd'hui à nouveau à propos
de la dernière décision de la Commission
des réparations.
Ceux qui ont toujours à la bouche des
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jours les moralistes — ont conclu de ces
faits que l'Allemagne avait toujours reçu
en abondance de la Grande-Bretagne des
conseils de modération, qu'elle avait été
abreuvée de belles promesses, mais que
finalement elle avait toujours été jouée.
Ceux qui avaient presque changé leur
« Dieu punisse la Grande-Bretagne » du
temps de guerre en un « Dieu bénisse la
Grande-Bretagne », se rapprochent à nou-
veau de la théorie de la te perfide Albion ».
En réalité il s'agit, non pas d'un lâchage
intentionnel, mais d'un véritable déni de
justice. Ce n'est pas à la croyance en l'hon-
nêteté des intentions anglaises qu'il est
avantageux de renoncer, c'est à la croyance
en la toute-puissance anglaise.
VORWAERTS, 26.3.
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ETATS-UNIS. — LA DEMANDE DU DÉPARTE-
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