Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 mars 1922 27 mars 1922
Description : 1922/03/27 (T20,N2014). 1922/03/27 (T20,N2014).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533839
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Il Finistère
tp DES
tyÀT RES ÉTRANGÈRES
,
N° 2014
Lundi 27 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE I — Les conditions du mo-
d .Ol'Ium : la note de la Commission
es réparations (Frankfurter Zeituny).
^-a politique d'exécution : le cabinet
lr'h et l'opposition (Berliner Bars en
p C aUrier)
PRESSE AME 0' 1 t d l'E' 0
( AMÉRICAINE. — L'incident de l'Espoir
New Yorl. Times).
,"\GLAISE. - Les conditions du mo-
r'utol'ium : la note de la Commission des
Rations à l'Allemagne (Times ;
,a'lllJ Telegraph ; Manchester Guar-
Van > Daily Herald). — La conférence
ministres des Affaires étrangères
sUr le Proche-Orient (Times ; Daily
'Hele ; Manchester Guardian) ; le
e de la Société des nations (Daily
, eWS) : le sort de l'Arménie (DaHu
T
PRESSE ITALIENNE.
^- TITALIENNE. — Les conditions du mo-
Qto.rium : la note de la Commission des
e Par a lion s à l'Allemagne (stampa).
Politique GENERALE
LES REPARATIONS
CONDITIONS DU MORATORIUM.
i NOTE DE LA COMMISSION DES RÉPARA-
!lOUS r- PHESSE ALLEMANDE- — De quoi
nous plaignons-nous si amèrement à l'oc-
ea~i, décision de la Commission des
de f 10ris ? Il est essentiel pour nous
de f 'lire la clarté sur le point suivant, et
de bien prendre la chose : où pourrions-
bienCOrnprendre la chose, : où pourrions-
puiser 1e droit et le devoir de nous
nt lip t dans la résistance ? Il y a trois
ht S^ln^llen Tout d'abord la question
Pies de 720 millions et 1 milliard 450
b
Million j deuxièmement, l'obligation qui
llels e<~ faite de lever des impôts addition-
a a t-res termes, de provoquer une
Sièrof1 entation des revenus de l'Etat; et, troi-
v^eiri la tentative faite pour léser gra-
a Sllzeraineté- financière du Reich.
En ce a ecerne les comptes, les chiffres
^0 rn-i
720 millions 'Ct de 1 milliard 450 millions
to ^°Uv fn'' dans la première offre alle-
JV rU 28 janvier. Si l'erreur maladive
P^ègn chez les Alliés, en ce qui concerne
Cf*Paciï ■ de paiement de l'Allemagne, est
'alité ^Sez Passante pour ruiner la pos-
dépl d une autre décision, nous pouvons
el' très. vivement. Mais que la déci-
le déplorer très vivement. Mais que la déci-
Il Où S It telle nous n'avons pas lieu de
r°^s e-n étonner en raison de l'actuelle si-
tuation politique. Il en est partiellement de
même en ce qui concerne l'obligation d'aug-
menter les revenus de l'Etat. La première
offre a été faite en considération de l'état de
contrainte politique où nous nous trouvons.
Notre devoir est donc d'opérer le recouvre-
ment de ces impôts dans la limite des possi-
bilités. Comme le budget du Reich n'a pas
jusqu'ici fait état de cette obligation de fa-
çon suffisante, la Commission des répara
tions a attiré notre attention sur ce déficit
Nous devions nous y attendre. La solution
qu'elle nous prescrit nous paraît sans doute
impossible. Mais à ce sujet, il y a vraisem-
blablement des possibilités de négociation
L'essentiel, en effet, est de bien montrer les
obstacles que rencontre notre bonne vo-
lonté, dans l'exécution des obligations de
paiement que nous avons presque accep
tées. Les perspectives d'exécution, cepen-
dant, sont devenues plus pénibles du fait
que la Commission des réparations ne sem-
ble pas prêter attention au grand change-
ment causé depuis le 28 janvier par une
nouvelle chute du mark. Il est impossible
d'admettre qu'aujourd'hui, à l'heure où le
dollar se tient presque à 350 marks, nous
puissions exécuter une chose que dès le 28
janvier, en vertu de considérations écono-
miques, nous tenions véritablement pour
impossible. La nouvelle culbute faite par le
mark, depuis que l'on connaît la décision
relative aux réparations, montre clairement
que la charge que l'on nous impose est con-
sidérée par le monde de la finance comme
une catastrophe. Si la Commission des répa-
rations prétend fermer les yeux au fait que
la capacité de paiement de l'Allemagne dé-
pend du change, les tendances de la poli-
tique française d'anéantissement apparat-
tront alors très clairement. A ce sujet, nous
nous trouvons assurément dans une situa-
tion singulièrement menaçante, , situation
qu'il convient de signaler avec clarté et
netteté. Mais le plus grave est le troisième
point : la tentative faite pour porter at-
teinte à la souveraineté financière de l'Alle-
magne est un coup d'une telle gravité que
pour la démocratie allemande il signifie un
ébranlement pernicieux. Ici, nous devons
nous transformer en accusateurs déclarés.
Ne nous abandonnons pas à l'illusion que
de la Grande-Bretagne vient tout le bien et
de la France tout le mal. La politique an-
glaise, elle aussi, a voulu nous imposer des
conditions très dures pour la mise en ordre
de nos finances. Mais les déclarations de la
presse anglaise, les explications des hom-
mes d'Etat anglais ne permettaient de sup-
poser des choses aussi graves : en Grande-
Bretagne, on ne voulait pas porter atteinte
à l'indépendance financière du Reich. Une
telle atteinte nuirait véritablement à l'atmos-
phère qu'exige la conférence de Gênes. C'est
dans le travail en commun qu'il faut cher-
cher la solution pour la remise en état de
l'Europe, ce n'est pas dans la contrainte et
l'oppression réciproque. Dans la question al-
lemande, l'esprit de Poincaré a vaincu. Cette
victoire ne sera pas sans conséquences.
Elle pourra précipiter l'Allemagne dans
une grave crise intérieure, peut-être dans
la plus grave que nous ayons eue depuis la
révolution ; en ce qui concerne la politique
extérieure, elles auront une très grande
répercussion sur les aspirations de Gènes.
FRANKFLIRTER ZEITUNG, 24.3 soir.
PRESSE ANGLAISE- — On assure qu'à Gènes
les délégués allemands seront chargés de
chercher par tous les moyens à obtenir la
discussion et la révision, par la conférence,
des demandes de la Commission des répa-
rations. Il semble à peine croyable que ce
dessein soit caressé dans les milieux offi-
ciels. La discussion, et à plus forte raison
revision des décisions de la Commission,
sont expressément exclues de la compé-
tence de la conférence. Insister dans ce
sens serait s'attirer un blâme immédiat et
sévère. Les insultes dont la presse natio-
naliste et celle du parti du peuple acca-
blent avec impartialité l'Entente et le cabi-
net Wirth, ne sont pas faites, pensons-
nous, pour les émouvoir ni l'une ni l'autre.
Quand la Commission annonce son « inten
tion » d'obtenir « une réforme beaucoup
plus profonde des finances et de l'Empire »,
qu'elle parle d'un nouvel impôt, de nouvel-
les taxes, d'une contribution à imposer di-
rectement au capital et des mesures à pren.
dre pour faire rentrer en Allemagne les ca-
pitaux exportés, M. Stinnes tient naturelle-
ment à placer son mot. Il plaide « pro domo
sua », mais son argumentation ne sera pas
d'un grand poids auprès des démocraties
alliées appauvries par l'Allemagne, ni
même, il est permis de le croire, auprès de
la démocratie allemande que les militaristes
ont ruinée et que les profiteurs exploitent
— (Ed.) 1
TIMES, 24.3.
— Les ministres britanniques et les ex-
perts de la Trésorerie se sont occupés hier
d'examiner à fond les demandes faites à
l'Allemagne par la Commission des répa-
rations, et cela bien que l'on n'eût pas en-
core reçu, apparemment, le rapport com-
plet de sir John Bradbury ni ses commen-
taires sur ces demandes et sur les débats
à la suite desquels elles furent adoptées.
Les demandes de la Commission sont as-
surément rigoureuses, plus rigoureuses
peut-être que si le point de vue britannique
eût prévalu entièrement, mais elles sont
incontestablement moins rigoureuses qu'on
ne le prétend en Allemagne et de divers
autres côtés. En premier lieu, les chiffres
tp DES
tyÀT RES ÉTRANGÈRES
,
N° 2014
Lundi 27 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE I — Les conditions du mo-
d .Ol'Ium : la note de la Commission
es réparations (Frankfurter Zeituny).
^-a politique d'exécution : le cabinet
lr'h et l'opposition (Berliner Bars en
p C aUrier)
PRESSE AME 0' 1 t d l'E' 0
( AMÉRICAINE. — L'incident de l'Espoir
New Yorl. Times).
,"\GLAISE. - Les conditions du mo-
r'utol'ium : la note de la Commission des
Rations à l'Allemagne (Times ;
,a'lllJ Telegraph ; Manchester Guar-
Van > Daily Herald). — La conférence
ministres des Affaires étrangères
sUr le Proche-Orient (Times ; Daily
'Hele ; Manchester Guardian) ; le
e de la Société des nations (Daily
, eWS) : le sort de l'Arménie (DaHu
T
PRESSE ITALIENNE.
^- TITALIENNE. — Les conditions du mo-
Qto.rium : la note de la Commission des
e Par a lion s à l'Allemagne (stampa).
Politique GENERALE
LES REPARATIONS
CONDITIONS DU MORATORIUM.
i NOTE DE LA COMMISSION DES RÉPARA-
!lOUS r- PHESSE ALLEMANDE- — De quoi
nous plaignons-nous si amèrement à l'oc-
ea~i, décision de la Commission des
de f 10ris ? Il est essentiel pour nous
de f 'lire la clarté sur le point suivant, et
de bien prendre la chose : où pourrions-
bienCOrnprendre la chose, : où pourrions-
puiser 1e droit et le devoir de nous
nt lip t dans la résistance ? Il y a trois
ht S^ln^llen Tout d'abord la question
Pies de 720 millions et 1 milliard 450
b
Million j deuxièmement, l'obligation qui
llels e<~ faite de lever des impôts addition-
a a t-res termes, de provoquer une
Sièrof1 entation des revenus de l'Etat; et, troi-
v^eiri la tentative faite pour léser gra-
a Sllzeraineté- financière du Reich.
En ce a ecerne les comptes, les chiffres
^0 rn-i
720 millions 'Ct de 1 milliard 450 millions
to ^°Uv fn'' dans la première offre alle-
JV rU 28 janvier. Si l'erreur maladive
P^ègn chez les Alliés, en ce qui concerne
Cf*Paciï ■ de paiement de l'Allemagne, est
'alité ^Sez Passante pour ruiner la pos-
dépl d une autre décision, nous pouvons
el' très. vivement. Mais que la déci-
le déplorer très vivement. Mais que la déci-
Il Où S It telle nous n'avons pas lieu de
r°^s e-n étonner en raison de l'actuelle si-
tuation politique. Il en est partiellement de
même en ce qui concerne l'obligation d'aug-
menter les revenus de l'Etat. La première
offre a été faite en considération de l'état de
contrainte politique où nous nous trouvons.
Notre devoir est donc d'opérer le recouvre-
ment de ces impôts dans la limite des possi-
bilités. Comme le budget du Reich n'a pas
jusqu'ici fait état de cette obligation de fa-
çon suffisante, la Commission des répara
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Nous devions nous y attendre. La solution
qu'elle nous prescrit nous paraît sans doute
impossible. Mais à ce sujet, il y a vraisem-
blablement des possibilités de négociation
L'essentiel, en effet, est de bien montrer les
obstacles que rencontre notre bonne vo-
lonté, dans l'exécution des obligations de
paiement que nous avons presque accep
tées. Les perspectives d'exécution, cepen-
dant, sont devenues plus pénibles du fait
que la Commission des réparations ne sem-
ble pas prêter attention au grand change-
ment causé depuis le 28 janvier par une
nouvelle chute du mark. Il est impossible
d'admettre qu'aujourd'hui, à l'heure où le
dollar se tient presque à 350 marks, nous
puissions exécuter une chose que dès le 28
janvier, en vertu de considérations écono-
miques, nous tenions véritablement pour
impossible. La nouvelle culbute faite par le
mark, depuis que l'on connaît la décision
relative aux réparations, montre clairement
que la charge que l'on nous impose est con-
sidérée par le monde de la finance comme
une catastrophe. Si la Commission des répa-
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la capacité de paiement de l'Allemagne dé-
pend du change, les tendances de la poli-
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tront alors très clairement. A ce sujet, nous
nous trouvons assurément dans une situa-
tion singulièrement menaçante, , situation
qu'il convient de signaler avec clarté et
netteté. Mais le plus grave est le troisième
point : la tentative faite pour porter at-
teinte à la souveraineté financière de l'Alle-
magne est un coup d'une telle gravité que
pour la démocratie allemande il signifie un
ébranlement pernicieux. Ici, nous devons
nous transformer en accusateurs déclarés.
Ne nous abandonnons pas à l'illusion que
de la Grande-Bretagne vient tout le bien et
de la France tout le mal. La politique an-
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conditions très dures pour la mise en ordre
de nos finances. Mais les déclarations de la
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mes d'Etat anglais ne permettaient de sup-
poser des choses aussi graves : en Grande-
Bretagne, on ne voulait pas porter atteinte
à l'indépendance financière du Reich. Une
telle atteinte nuirait véritablement à l'atmos-
phère qu'exige la conférence de Gênes. C'est
dans le travail en commun qu'il faut cher-
cher la solution pour la remise en état de
l'Europe, ce n'est pas dans la contrainte et
l'oppression réciproque. Dans la question al-
lemande, l'esprit de Poincaré a vaincu. Cette
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Elle pourra précipiter l'Allemagne dans
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la plus grave que nous ayons eue depuis la
révolution ; en ce qui concerne la politique
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répercussion sur les aspirations de Gènes.
FRANKFLIRTER ZEITUNG, 24.3 soir.
PRESSE ANGLAISE- — On assure qu'à Gènes
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discussion et la révision, par la conférence,
des demandes de la Commission des répa-
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sont expressément exclues de la compé-
tence de la conférence. Insister dans ce
sens serait s'attirer un blâme immédiat et
sévère. Les insultes dont la presse natio-
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blent avec impartialité l'Entente et le cabi-
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nous, pour les émouvoir ni l'une ni l'autre.
Quand la Commission annonce son « inten
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plus profonde des finances et de l'Empire »,
qu'elle parle d'un nouvel impôt, de nouvel-
les taxes, d'une contribution à imposer di-
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sua », mais son argumentation ne sera pas
d'un grand poids auprès des démocraties
alliées appauvries par l'Allemagne, ni
même, il est permis de le croire, auprès de
la démocratie allemande que les militaristes
ont ruinée et que les profiteurs exploitent
— (Ed.) 1
TIMES, 24.3.
— Les ministres britanniques et les ex-
perts de la Trésorerie se sont occupés hier
d'examiner à fond les demandes faites à
l'Allemagne par la Commission des répa-
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à la suite desquels elles furent adoptées.
Les demandes de la Commission sont as-
surément rigoureuses, plus rigoureuses
peut-être que si le point de vue britannique
eût prévalu entièrement, mais elles sont
incontestablement moins rigoureuses qu'on
ne le prétend en Allemagne et de divers
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