Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 mars 1922 25 mars 1922
Description : 1922/03/25 (T20,N2013). 1922/03/25 (T20,N2013).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253382w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
i MiN 18
L 1 IR
F l)ES
'------
Vsï; N G f; FI ES
N° 2013
Samedi 25 mars 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
S():MMAIRE
p ~£S SE -
, ALLEM'" "——
COOdit.,nE. - Les :répruratiülls : les
.m(M'atwi™ (Kreuz-Zei-
liv ? ; L°kal l V°er ; Ger>nani« ; Fé-
Tageblatt ; G.
1W1IUlei* ûiu™ Berline, Tageblalt G.
Zeillm,J a Ber-
4 Der'
SE\M
: la - La conférence de
'a i lpaUon britannique et
la situation u cabinet Lloyd George
.'V0 ^ori• ^r 77 P°St)- Le projet
(Ncu' ? n IOn e .]a marine marchande
IJi», Vo/■•/. hvening r Post).
m'i • L : la Pûrti-cipation britannique et lu
du ,.
chcsl U 'cQbinel Lloyd George (Man-
cst?r Guarcp
, ----
---. :
POLITIQUE GENERALE
Co^S Reparations
"p ~NrtTTrr
eh I1E:SSk' ALLE" ONS DU MORATORIUM.
! '] ALLEMANDE. - Un nouveau
],Jicj , blon ennemi » [sous ce titre].
ici ru t qu Ullle ré-iHms.e à cette note, la
l°n et w ln .° avec la. politique
S>t de ferrnes déclarations du guu.
:.sSeh de ]'E 1.
tl allemand, qui con-
%a ^rmrp, erne'nt la vérité, et recon-
Sis >, c rU aurait. dû reconnaître
114 du Onrrtern
liol) tout'" P®1 que l'Allemagne n'est
^Ut e,n cial. d'eIXÓeute:r les obliga-
de \rel'l)Cl[¡ ees Par moratormm. Un
^ent <,,, ! fait encore quelque cas
(lïone sonUti0ais Irigo'UreQses pour
c? %d î- q'Un Et-if P'P^>1',é' des r(!sfl i('tk,ns
~q'UnP~~ Cependant par suite
conditions exposées dans ta note et du
(j "~t flnancin dans 'la note et du
î« Con:nexe. Si le gouverne-
t Ht vVrlrth np trouve Pas le courage de
chan^n », il S'„n^outiira avec nous dans
141() (los, '8 eng;loutilra avec nous dans
Si que. nouvelles exigences du
qlle. ont. avec une inexorable
kREUZ-ZEITUNG, 22.3 soir.
l^j f-a Co
(",'r, '-'\J lll
etit des réparations sait
écisi°n ^!'le fait en prenant une
b' "hl. \18100 E]l l
1, des obligations dont eld,e sait
! f. lmP<>se de nouveau
<ïim ^Hemn ^ne ne Pourra les rem-
M r- El] G c°TitirJU ainsi consciemment le
jeu d'intrigues, qui consiste à continuer par
d'aut.rcs moyens la guerre contre l'Alle-
magne. De nouveau la France triomphe
sur toute la ligne. M. Poincaré peut se
frotter les mains en présence de cette déci-
sion ; il peut à bon droit la considérer
comme une étape, sur la route qui doit me-
ner la France à la frontière du Rhin. Et,
en outre, Gênes est devenu définitivement
une farce. Ce qui montre bien la façon
dont les Français, au fond de leur cœur,
envisagent la situation, c'est l'annonce
d'un journal de Paris disant que le cabinet
Wirth va démissionner. C'est donc que
les Français eux-mêmes considèrent la dé-
cision de la Commission des réparations
comme une banqueroute de la politique
d'exécution, banqueroute telle qu'elle doit
entraîner nécessairement La chute du gou-
vernement d'exécution !
LOKAL ANZEIGER, 22.3 soir.
— La décision de la Commission des ré-
parations relative aux paiements en or et
en nature que doit faire l'Allemagne dans
l'année courante, place nos milieux poli-
tiques responsables devant de nouvelles et
graves décisions. Qu'il en dût être ainsi,
nous l'avions calculé avec certitude ; en
effet, après les expériences renouvelées
des notes des puissances alliées, — notes
dont nous avons déjà une série vraiment
copieuse, — nous sommes accoutumés à
tant de choses que c'est à peine si rien
peut encore nous surprendre. La dureté du
vainqueur ne désavouera pas ce nouvel ins-
trument. La rudesse de l'arrêt où sont
fixées de façon catégorique nos obligations
pour 1922, a peut-être frappé la presse
française elle-même, c'est-à-dire la presse
du pays qui insiste de la façon la ptus vive
pour que l'Allemagne soit pressurée avec
le moins d'égards possible. En même temps
que la décision de la Commission, elle an-
nonçait la démission prochaine du gou-
vernement Wirth. Si l'on ne veut pas ad-
mettre que ce soit là le vœu de l' auteur de
h) nouvelle, on ne peut voir, dans la publi-
cité donnée à de pareils bruits, autre chose
que l'aveu que l'on sait parfaitement de
l'autre côté de la barrière, de quelle ex-
traordinaire dureté sont les exigences qui
nous regardent dans les décisions de la
Commission des réparations.
Quoi qu'il en soit, nous croyons pou-
voir estimer notre gouvernement trop sensé,
pour admettre qu'il en viendra à des déci-
sions décisives quelconques, avant de con-
naître officiellement les déclarations et exi-
gences de la Commission des réparations.
Les bruits de démission publiés par les
feuilles parisiennes ont déjà été démentis
semi-officiellement. Un gouvernement cons-
cient de ses devoirs, comme nous en avons
un, ne peut, et il ne le fera pas, en aucun
cas renoncer à un examen paisible, sérieux
et positif. Si au cours de toutes ces années
de prostration, où était notre malheureux
pays, nous n'avions pas encore appris, si
aujourd'hui nous ignorions encore que
nous devons accorder à la froide raison
calculatri-ce le pas sur les sentiments du
cœur, nous ne pourrions alors rien faire
de mieux que de renoncer à notre avenir.
GERMANIA, 23.3. 2e matin.
-- Le plan de paiements lui-même n'ap-
porte pas de surprise particulière ; il con-
firme à peu près les chiffres qui avaient
été déjà arrêtés à Cannes. Il est vrai que
les paiements en espèces pourront être
augmentés à la fin de 1922, dans le cas où
la Commission des réparations estimerait
que l'Allemagne a fait de l'obtruction à
l'exécution des prestations en nature.
L'avenir dira l'interprétation juridique qui
sera donnée au mot obstruction. Mais le
fait que la Commission des réparations se
réserve de décider elle-même s'il y, a eu
impossibilité ou mauvaise volonté, peut na-
turellement avoir pour l'Allemagne de très
lourdes conséquences. Bien plus défavo-
rables sont les conditions formulées par
l'Entente comme garanties de l'exécution
de ces conditions. Ces conditions dépas-
sent certainement en gravité les intentions
de Cannes. Elles constituent manifeste-
ment un succès des tendances françaises.
La note demande l'exécution d'un program-
me fiscal complémentaire allant extrême-
ment loin. Elle demande en un mot un
équilibre complet du budget allemand. En
même temps, elle stipule une condition par-
ticulière. Le programme fiscal complémen-
taire devra être de telle sorte que son ren-
dement s'adapte automatiquement aux va-
riations du cours du mark. Mais la ques-
tion de trouver des sources d'impôts de - ce
genre, qui deviennent plus abondantes a
mesure que la valeur du mark diminue,
est un problème dont la Commission des
réparations ne semble pas voir toutes les
difficultés. Élle ne se rend pas compte non
plus que les exigences formulées par elle,
et qui dépassent Considérablement les ca-
pacités économiques et financières, de l'Al-
lemagne, contribueront nécessairement à
faire baisser encore le mark et augmente-
ront ainsi le déficit à couvrir. Particuliè-
rement rigoureuses et humiliantes sont les
exigences désignées comme mesures de
contrôle. Ellcsi ne signifient rien moins,
pratiquement, que le droit que s'arroge la
Commission des réparations, d'intervenir
elle-même dans le travail budgétaire et fis-
cal allemand si ses exigences ne se trou-
vent pas satisfaites. On en viendrait ainsi
à une situation qui dépasserait encore
L 1 IR
F l)ES
'------
Vsï; N G f; FI ES
N° 2013
Samedi 25 mars 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
S():MMAIRE
p ~£S SE -
, ALLEM'" "——
COOdit.,nE. - Les :répruratiülls : les
.m(M'atwi™ (Kreuz-Zei-
liv ? ; L°kal l V°er ; Ger>nani« ; Fé-
Tageblatt ; G.
1W1IUlei* ûiu™ Berline, Tageblalt G.
Zeillm,J a Ber-
4 Der'
SE\M
: la - La conférence de
'a i lpaUon britannique et
la situation u cabinet Lloyd George
.'V0 ^ori• ^r 77 P°St)- Le projet
(Ncu' ? n IOn e .]a marine marchande
IJi», Vo/■•/. hvening r Post).
m'i • L
du ,.
chcsl U 'cQbinel Lloyd George (Man-
cst?r Guarcp
, ----
---. :
POLITIQUE GENERALE
Co^S Reparations
"p ~NrtTTrr
eh I1E:SSk' ALLE" ONS DU MORATORIUM.
! '] ALLEMANDE. - Un nouveau
],Jicj , blon ennemi » [sous ce titre].
ici ru t qu Ullle ré-iHms.e à cette note, la
l°n et w ln .° avec la. politique
S>t de ferrnes déclarations du guu.
:.sSeh de ]'E 1.
tl allemand, qui con-
%a ^rmrp, erne'nt la vérité, et recon-
Sis >, c rU aurait. dû reconnaître
114 du Onrrtern
liol) tout'" P®1 que l'Allemagne n'est
^Ut e,n cial. d'eIXÓeute:r les obliga-
de \rel'l)Cl[¡ ees Par moratormm. Un
^ent <,,, ! fait encore quelque cas
(lïone sonUti0ais Irigo'UreQses pour
c? %d î- q'Un Et-if P'P^>1',é' des r(!sfl i('tk,ns
~q'UnP~~ Cependant par suite
conditions exposées dans ta note et du
(j "~t flnancin dans 'la note et du
î« Con:nexe. Si le gouverne-
t Ht vVrlrth np trouve Pas le courage de
chan^n », il S'„n^outiira avec nous dans
141() (los, '8 eng;loutilra avec nous dans
Si que. nouvelles exigences du
qlle. ont. avec une inexorable
kREUZ-ZEITUNG, 22.3 soir.
l^j f-a Co
(",'r, '-'\J lll
etit des réparations sait
écisi°n ^!'le fait en prenant une
b' "hl. \18100 E]l l
1, des obligations dont eld,e sait
! f. lmP<>se de nouveau
<ïim ^Hemn ^ne ne Pourra les rem-
M r- El] G c°TitirJU ainsi consciemment le
jeu d'intrigues, qui consiste à continuer par
d'aut.rcs moyens la guerre contre l'Alle-
magne. De nouveau la France triomphe
sur toute la ligne. M. Poincaré peut se
frotter les mains en présence de cette déci-
sion ; il peut à bon droit la considérer
comme une étape, sur la route qui doit me-
ner la France à la frontière du Rhin. Et,
en outre, Gênes est devenu définitivement
une farce. Ce qui montre bien la façon
dont les Français, au fond de leur cœur,
envisagent la situation, c'est l'annonce
d'un journal de Paris disant que le cabinet
Wirth va démissionner. C'est donc que
les Français eux-mêmes considèrent la dé-
cision de la Commission des réparations
comme une banqueroute de la politique
d'exécution, banqueroute telle qu'elle doit
entraîner nécessairement La chute du gou-
vernement d'exécution !
LOKAL ANZEIGER, 22.3 soir.
— La décision de la Commission des ré-
parations relative aux paiements en or et
en nature que doit faire l'Allemagne dans
l'année courante, place nos milieux poli-
tiques responsables devant de nouvelles et
graves décisions. Qu'il en dût être ainsi,
nous l'avions calculé avec certitude ; en
effet, après les expériences renouvelées
des notes des puissances alliées, — notes
dont nous avons déjà une série vraiment
copieuse, — nous sommes accoutumés à
tant de choses que c'est à peine si rien
peut encore nous surprendre. La dureté du
vainqueur ne désavouera pas ce nouvel ins-
trument. La rudesse de l'arrêt où sont
fixées de façon catégorique nos obligations
pour 1922, a peut-être frappé la presse
française elle-même, c'est-à-dire la presse
du pays qui insiste de la façon la ptus vive
pour que l'Allemagne soit pressurée avec
le moins d'égards possible. En même temps
que la décision de la Commission, elle an-
nonçait la démission prochaine du gou-
vernement Wirth. Si l'on ne veut pas ad-
mettre que ce soit là le vœu de l' auteur de
h) nouvelle, on ne peut voir, dans la publi-
cité donnée à de pareils bruits, autre chose
que l'aveu que l'on sait parfaitement de
l'autre côté de la barrière, de quelle ex-
traordinaire dureté sont les exigences qui
nous regardent dans les décisions de la
Commission des réparations.
Quoi qu'il en soit, nous croyons pou-
voir estimer notre gouvernement trop sensé,
pour admettre qu'il en viendra à des déci-
sions décisives quelconques, avant de con-
naître officiellement les déclarations et exi-
gences de la Commission des réparations.
Les bruits de démission publiés par les
feuilles parisiennes ont déjà été démentis
semi-officiellement. Un gouvernement cons-
cient de ses devoirs, comme nous en avons
un, ne peut, et il ne le fera pas, en aucun
cas renoncer à un examen paisible, sérieux
et positif. Si au cours de toutes ces années
de prostration, où était notre malheureux
pays, nous n'avions pas encore appris, si
aujourd'hui nous ignorions encore que
nous devons accorder à la froide raison
calculatri-ce le pas sur les sentiments du
cœur, nous ne pourrions alors rien faire
de mieux que de renoncer à notre avenir.
GERMANIA, 23.3. 2e matin.
-- Le plan de paiements lui-même n'ap-
porte pas de surprise particulière ; il con-
firme à peu près les chiffres qui avaient
été déjà arrêtés à Cannes. Il est vrai que
les paiements en espèces pourront être
augmentés à la fin de 1922, dans le cas où
la Commission des réparations estimerait
que l'Allemagne a fait de l'obtruction à
l'exécution des prestations en nature.
L'avenir dira l'interprétation juridique qui
sera donnée au mot obstruction. Mais le
fait que la Commission des réparations se
réserve de décider elle-même s'il y, a eu
impossibilité ou mauvaise volonté, peut na-
turellement avoir pour l'Allemagne de très
lourdes conséquences. Bien plus défavo-
rables sont les conditions formulées par
l'Entente comme garanties de l'exécution
de ces conditions. Ces conditions dépas-
sent certainement en gravité les intentions
de Cannes. Elles constituent manifeste-
ment un succès des tendances françaises.
La note demande l'exécution d'un program-
me fiscal complémentaire allant extrême-
ment loin. Elle demande en un mot un
équilibre complet du budget allemand. En
même temps, elle stipule une condition par-
ticulière. Le programme fiscal complémen-
taire devra être de telle sorte que son ren-
dement s'adapte automatiquement aux va-
riations du cours du mark. Mais la ques-
tion de trouver des sources d'impôts de - ce
genre, qui deviennent plus abondantes a
mesure que la valeur du mark diminue,
est un problème dont la Commission des
réparations ne semble pas voir toutes les
difficultés. Élle ne se rend pas compte non
plus que les exigences formulées par elle,
et qui dépassent Considérablement les ca-
pacités économiques et financières, de l'Al-
lemagne, contribueront nécessairement à
faire baisser encore le mark et augmente-
ront ainsi le déficit à couvrir. Particuliè-
rement rigoureuses et humiliantes sont les
exigences désignées comme mesures de
contrôle. Ellcsi ne signifient rien moins,
pratiquement, que le droit que s'arroge la
Commission des réparations, d'intervenir
elle-même dans le travail budgétaire et fis-
cal allemand si ses exigences ne se trou-
vent pas satisfaites. On en viendrait ainsi
à une situation qui dépasserait encore
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6253382w/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6253382w/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6253382w/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6253382w/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6253382w
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6253382w
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6253382w/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest