Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 mars 1922 24 mars 1922
Description : 1922/03/24 (T20,N2012). 1922/03/24 (T20,N2012).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253381g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1.M|N|>TP:HK
~)!., ces
^JF^ANGIî fr.. kKEh
N° 2012
Vendredi 24 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
A 1 P, E
I>IIESSK AU.
(Dr tN,)i'" - La crise de 1905
tun \V. p"eI(lmann dans Vossische Zei-
k -v
'u/i/jfj I'6l)°nse de von Schwabach
Le ^U'e ^}er^{ner Tagebialt). 1
le, t, riuli, Provisoire : la note de
J<1 C(j),irrn's^Wj''1 des réparations (Frank-
1101g). Zeltunrl, Kœlnische VolL-s-ei-
tlln9)
G(\, AM'jCAIN'-- - La conférence de
^,vUes l
(Neu. VnPiogramnie des travaux
1), 1RsSF Urk Times).
~cs ~- - La conférence de Gê-
situâU III ^r''cipaticfli] britannique et la
(()f/il on du cabinet Lloyd George
p, !I Express, Daily Chronicle).
;
l'Qtt"Ir\LIENNE. - La question d'Orient
llUl1l,llde d-e rI talie (Epoca). - D'An-
nUr|zio p,t le traité de Rapallo (Corriere
(liïalia)
POtITIQUE GENERALE
---- -.--
°R,Q|NES
El" RESPONSABILITÉS
tA DE LA GUERRE
LA CRISE DE 1905. - Il ne peut plus
.t¡lères aUcun outei d'après les der-
nières .: atlOns, que Bouvier, et avec lm
1 S Pévélatin ^S' ^ue Rouvier, et avec lui
1(1 Di.té Hip. mmes politiques influents
a-Uicn n'ait vu clairement les dangers
Vier IailCe exP°sée par la
Politl- <ïUe eurnn!e?ne de l'Angleterre. Rou-
plo nUllern repoussé en principe une
Ployer a.vec l Analeterre Mais Pour em-
?Ce avec pAA ngleterTe. Mais, pour em-
^Upa f son P ^re®si°n du 6 juin 1905, il
sécK ftlieux IlHne VOIr « sa main se des-
? '- de signer avec l'Angleterre
aricernri^ée contre l'Allemagne. En
pQn(, "il voulait préserver les
voulait préserver les
e jouer sur le continent le rôle
de soldats de l'Angleterre. Caillaux en 1911
la Illêrde idée. Déjà Gambetta
Çû,ia "uItlbre -71 Ufl Point de vue analogue.
re de's hommes politiques fran-
e dan» r- lritérôt d'une consolidation
de ]a
durq lëe Ia Pajx eur'opéenne, ont souhaité
,
vUlu que f-V l'Allemagne, et qui n'ont
la France fût utilisée contre
hV,Vin aSne, n1 - Pur ni par la
~"X n~ Peu considérable.Mais au-
3 e,)X n>a eu le courage de proclamer
publiquement devant le peuple français la
politique qu'il avait reconnue bonne. Tous
se sont bornés à indiquer leur but dans
des déclarations confidentielles.
Ce manque de courage et de franchise a
fait peser sur les hommes chargés de la
politique extérieure de la France avant la
guerre une malédiction, et elle continue au-
jourd'hui encore à être grosse de calamités.
Un exposé fidèle de la politique extérieure
de la France entre les deux guerres prou-
verait que cette politique était tout au-
tre qu'on ne l'a cru, en général, jusqu'alors,
et qu'on ne le croit encore souvent. La pu-
blication de certains documents du quai
d'Orsay le démontrerait probablement.
Jusqu'alors cette publication n'a pas été
faite, sans doute parce que l'on craignait
plus les critiques des extrémistes natio-
nalistes dans le pays, que celles de l'étran-
ger.
Il n'est guère utile de se casser la tête à
rechercher quel cours aurait pris l'histoire
si Bouvier, ses prédécesseurs et ses suc-
cesseurs avaient pris position publique-
ment devant le monde entier, en faveur
de la politique d'entente continentale, qu'ils
avaient reconnue bonne. Mais on peut
constater aujourd'hui qu'une politique, sur
laquelle pèse la tare d'un manque de fran-
chise, comme l'a été celle de Rouvier, ne
peut pas triompher parce que ses défen-
seurs ne peuvent pas revendiquer ouver-
tement, le bénéfice de leur attitude. Et il
n'est pas douteux que cette leçon de 1905
ne conserve une grave signification pour
la politique française actuelle. - Dr. W.
Feldmann.
VOSSISCHE ZEITUNG, 21,3. matin.
L:\Jo; RÉPONSE DE VON SCHWABACH A M. PA-
LÉOLOGUE. - * 20 mars 1922 : Dans ses ré-
vélations sur la crise marocaine de 1905,
M. Paléologue prétend que, de concert avec
le coulissier parisien Léon, je serais, chargé
de cette mission par le chancelier prince
Bülow, entré en rapports avec M. Rouvier;
j'aurais cherché à obtenir le renvoi de Del-
cassé et exprimé la menace d'une attaque
allemande au cas où la France conclurait.
une alliance avec l'Angleterre.
Cet exposé est, M. Paléologue s'en rend
sans doute compte lui-même, aujourd'hui
encore de nature à irriter les esprits et il
m'oblige à la rectification suivante :
Je ne connais pas M. Léon et je ne suis
paisi davantage à même de dire s'il a eu des
rapports avec le gouvernement allemand.
Quant à moi, ni le prince Bülow ni per-
sonne autre ne m'a jamais donné la mission
de me mettre en rapports avec le président
du Conseil français ; je n'ai jamais eu «1*?
contact avec M. Rouvier et n'ai donc eu
aucune occasion de demander le renvoi de
M. Délaissé, ni de formuler des menaces de
guerre.
Voici au contraire la vérité : un homme
de confiance de M. Rouvier que je connais-
sais personnellement, vint me trouver vers
le 1er mai 1905, et me fit part du récent des-
sein du président de débarquer son ministre
des Affaires Etrangères, et me pria de lui
ménager un entretien avec M. von Holstein.
M. von Holstein se déclara prêt, après avoir
hésité, à recevoir l'envoyé de Rouvier ;
il me manifesta toutefois son intention d'e
garder une extrême réserve, parce qu'il fal-
lait éviter l'apparence d'une ingérence dans
les affaires intérieures d'un pays étranger.
Il est, de plus, exact que vers le même
temps, par la volonté et sur le désir de
M. von Holstein j'ai répété à des amis fran-
çais et anglais, qui étaient en contact avec
le gouvernement de leurs pays respectifs,
que le gouvernement allemand souhaitait et
espérait une solution amicale de la question
marocaine.
Il est regrettable que M. Paléologue qui,
à ma connaissance, est historien de profes-
sion, n'ait pas en cette affaire observé suffi.
samment les principes de la critique des
sources. - Dr. Paul v. Schwabach.
HERLINER TAGEBLATT, 21.3 matin.
——— .0 ———
LES REPARATIONS
LE MORATORIUM PROVISOIRE. —
LA NOTE DE LA COMMISSION DES RÉPARATIONS
(du 21 mars). - .La politique a parlé. Elle
n'a pas encore prêté l'oreille aux avertis-
sements des nécessités économiques. Mais
elle est devenue plus mesurée. Un progrès
est à enregistrer, quoiqu'on n'ait pas en-
core pris la direction que commande la rai-
son. Si l'on compare, en un graphique, les
chiffres qui ont été énoncés après l'armis-
tice et à la conférence de la paix de Pa-
ris, en laissant de côté Londres, à ceux de
la décision d'hier, qui fixe les chiffres pro-
visoires pour 1922, on constate une courbe
descendante. La raison a gagné du terraint
mais elle n'a pas encore gagné la bataille.
Faisons les comptes. En effet, les efforts
que nous faisons pour remplir fidèlement
les obligations qui nous ont été imposées,
montrent parfaitement quelles sont nos fa-,'
cultés d'exécution. Les alliés eux-mêmes
ont aujourd'hui reconnu les limites de nos
capacités et les envisagent avec soin. Sur
le total de 720 millions en numéraire, nous
avons déjà versé, en exécution du règle-
ment « préprovisoire » de Cannes, lequel
nous imposait, en attendant la détermina-
tion de l'état provisoire proprement dit
~)!., ces
^JF^ANGIî fr.. kKEh
N° 2012
Vendredi 24 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
A 1 P, E
I>IIESSK AU.
(Dr tN,)i'" - La crise de 1905
tun \V. p"eI(lmann dans Vossische Zei-
k -v
'u/i/jfj I'6l)°nse de von Schwabach
Le ^U'e ^}er^{ner Tagebialt). 1
le, t, riuli, Provisoire : la note de
J<1 C(j),irrn's^Wj''1 des réparations (Frank-
1101g). Zeltunrl, Kœlnische VolL-s-ei-
tlln9)
G(\, AM'jCAIN'-- - La conférence de
^,vUes l
(Neu. VnPiogramnie des travaux
1), 1RsSF Urk Times).
~cs ~- - La conférence de Gê-
situâU III ^r''cipaticfli] britannique et la
(()f/il on du cabinet Lloyd George
p, !I Express, Daily Chronicle).
;
l'Qtt"Ir\LIENNE. - La question d'Orient
llUl1l,llde d-e rI talie (Epoca). - D'An-
nUr|zio p,t le traité de Rapallo (Corriere
(liïalia)
POtITIQUE GENERALE
---- -.--
°R,Q|NES
El" RESPONSABILITÉS
tA DE LA GUERRE
LA CRISE DE 1905. - Il ne peut plus
.t¡lères aUcun outei d'après les der-
nières .: atlOns, que Bouvier, et avec lm
1 S Pévélatin ^S' ^ue Rouvier, et avec lui
1(1 Di.té Hip. mmes politiques influents
a-Uicn n'ait vu clairement les dangers
Vier IailCe exP°sée par la
Politl- <ïUe eurnn!e?ne de l'Angleterre. Rou-
plo nUllern repoussé en principe une
Ployer a.vec l Analeterre Mais Pour em-
?Ce avec pAA ngleterTe. Mais, pour em-
^Upa f son P ^re®si°n du 6 juin 1905, il
sécK ftlieux IlHne VOIr « sa main se des-
? '- de signer avec l'Angleterre
aricernri^ée contre l'Allemagne. En
pQn(, "il voulait préserver les
voulait préserver les
e jouer sur le continent le rôle
de soldats de l'Angleterre. Caillaux en 1911
la Illêrde idée. Déjà Gambetta
Çû,ia "uItlbre -71 Ufl Point de vue analogue.
re de's hommes politiques fran-
e dan» r- lritérôt d'une consolidation
de ]a
durq lëe Ia Pajx eur'opéenne, ont souhaité
,
vUlu que f-V l'Allemagne, et qui n'ont
la France fût utilisée contre
hV,Vin aSne, n1 - Pur ni par la
~"X n~ Peu considérable.Mais au-
3 e,)X n>a eu le courage de proclamer
publiquement devant le peuple français la
politique qu'il avait reconnue bonne. Tous
se sont bornés à indiquer leur but dans
des déclarations confidentielles.
Ce manque de courage et de franchise a
fait peser sur les hommes chargés de la
politique extérieure de la France avant la
guerre une malédiction, et elle continue au-
jourd'hui encore à être grosse de calamités.
Un exposé fidèle de la politique extérieure
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verait que cette politique était tout au-
tre qu'on ne l'a cru, en général, jusqu'alors,
et qu'on ne le croit encore souvent. La pu-
blication de certains documents du quai
d'Orsay le démontrerait probablement.
Jusqu'alors cette publication n'a pas été
faite, sans doute parce que l'on craignait
plus les critiques des extrémistes natio-
nalistes dans le pays, que celles de l'étran-
ger.
Il n'est guère utile de se casser la tête à
rechercher quel cours aurait pris l'histoire
si Bouvier, ses prédécesseurs et ses suc-
cesseurs avaient pris position publique-
ment devant le monde entier, en faveur
de la politique d'entente continentale, qu'ils
avaient reconnue bonne. Mais on peut
constater aujourd'hui qu'une politique, sur
laquelle pèse la tare d'un manque de fran-
chise, comme l'a été celle de Rouvier, ne
peut pas triompher parce que ses défen-
seurs ne peuvent pas revendiquer ouver-
tement, le bénéfice de leur attitude. Et il
n'est pas douteux que cette leçon de 1905
ne conserve une grave signification pour
la politique française actuelle. - Dr. W.
Feldmann.
VOSSISCHE ZEITUNG, 21,3. matin.
L:\Jo; RÉPONSE DE VON SCHWABACH A M. PA-
LÉOLOGUE. - * 20 mars 1922 : Dans ses ré-
vélations sur la crise marocaine de 1905,
M. Paléologue prétend que, de concert avec
le coulissier parisien Léon, je serais, chargé
de cette mission par le chancelier prince
Bülow, entré en rapports avec M. Rouvier;
j'aurais cherché à obtenir le renvoi de Del-
cassé et exprimé la menace d'une attaque
allemande au cas où la France conclurait.
une alliance avec l'Angleterre.
Cet exposé est, M. Paléologue s'en rend
sans doute compte lui-même, aujourd'hui
encore de nature à irriter les esprits et il
m'oblige à la rectification suivante :
Je ne connais pas M. Léon et je ne suis
paisi davantage à même de dire s'il a eu des
rapports avec le gouvernement allemand.
Quant à moi, ni le prince Bülow ni per-
sonne autre ne m'a jamais donné la mission
de me mettre en rapports avec le président
du Conseil français ; je n'ai jamais eu «1*?
contact avec M. Rouvier et n'ai donc eu
aucune occasion de demander le renvoi de
M. Délaissé, ni de formuler des menaces de
guerre.
Voici au contraire la vérité : un homme
de confiance de M. Rouvier que je connais-
sais personnellement, vint me trouver vers
le 1er mai 1905, et me fit part du récent des-
sein du président de débarquer son ministre
des Affaires Etrangères, et me pria de lui
ménager un entretien avec M. von Holstein.
M. von Holstein se déclara prêt, après avoir
hésité, à recevoir l'envoyé de Rouvier ;
il me manifesta toutefois son intention d'e
garder une extrême réserve, parce qu'il fal-
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les affaires intérieures d'un pays étranger.
Il est, de plus, exact que vers le même
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le gouvernement de leurs pays respectifs,
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Il est regrettable que M. Paléologue qui,
à ma connaissance, est historien de profes-
sion, n'ait pas en cette affaire observé suffi.
samment les principes de la critique des
sources. - Dr. Paul v. Schwabach.
HERLINER TAGEBLATT, 21.3 matin.
——— .0 ———
LES REPARATIONS
LE MORATORIUM PROVISOIRE. —
LA NOTE DE LA COMMISSION DES RÉPARATIONS
(du 21 mars). - .La politique a parlé. Elle
n'a pas encore prêté l'oreille aux avertis-
sements des nécessités économiques. Mais
elle est devenue plus mesurée. Un progrès
est à enregistrer, quoiqu'on n'ait pas en-
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son. Si l'on compare, en un graphique, les
chiffres qui ont été énoncés après l'armis-
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la décision d'hier, qui fixe les chiffres pro-
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Faisons les comptes. En effet, les efforts
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le total de 720 millions en numéraire, nous
avons déjà versé, en exécution du règle-
ment « préprovisoire » de Cannes, lequel
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