Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 mars 1922 16 mars 1922
Description : 1922/03/16 (T20,N2005). 1922/03/16 (T20,N2005).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253374b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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1
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N° 2005
Jeudi 16 mars 1922
"olletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SoMM AIRE
S *~
: - Les paiements de
: 1«es Possibi. lités allemandes en
llerli es et en nature (Th. Wolff dans
rfr|/»er Tageblatt, Parvus dans
>j,t c'fe).
f1 E' L'entrevue de Bou-
tIl e York Tribune, World). -
S. f^-nce t
et 1e désarmement (Mark
ans Yeit, York Evening Post,
I* ANOR AT
lion : r La crise de la coali-
I-Ckrd Curzon et M. Montague
e} t - Les troubles dans
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n/ 'qiJe (]n ud (Manchester Guardian,
k. Inster Ga~;
5*ESPA GAZETTE■ ••
e LE- La Conférence de Gê-
'e refnS des Etats-Unis (Rovira y
V lrS'H dans PUbiicidad).
ITAI j ,
E- — Les réparations : un
eïnr.t Jt.QIO-hl'itannique de règlement en
arinép t'o r r j ère della Sera).
?°UtIQUE GENERALE
DE GÊNES
t\ 1\t:ru NFÉRENCE DE gênes
ES ETATS-UNIS. - OPINION
de" ~:-- La réunion à Paris des minis-
6s Fitiano fSde,s pays alliés a donné
£ Utle noiinJe aggravation des diffi-
Se heurte: pour l'application
11& itprè de nv lx de Versailles. Quelques
,-
rd$j;a !Vraison des premiers mil-
fJ'ar. les Alliés ne se sont pas
versées quant à la réparlltion
solution qui sera don-
it la solution qui sera don-
r l«s a ( r lan°eis entire les Alliés --
S 3on s~le.s pri are ainsi et de rendre
Se j, ^èr^atinr6 ainsi - et de rendre
'Qir^ ^les le résultat de la Confé-
.ll~I,~r à n~s. Le refus des Etats-Unis de
bi'V h la Conférence représente pour
- Me > fudp „
'.:t e du ude coup. On peut dire que l'at-
:l Perï §°Uvernpm'ent de Washington a
e ivoir anticIpation la moitié des
rWQn r0Uvait en espérer. L'atti-
iL^nf? d. âtat8.TviniSl ?franchement hostile à
ferice franchement hostile à
'fl} dl} go t renforcer l'attitude mé-
H 11 §c>uy ern'en^ de M. Poincaré.
%l Ce^ non S prouve que la situation
.'y !iC^e Qijp, le
ii,
aPrès-g,uerre nous offre.
RPQ~d nr0ofa rïlrri- de la reconstruction
de l'Europe, pour être réalisable, exigerait,
d'une part, que les principaux Etats d'Eu-
rope se mettent d'accord et d'autre part que
les Etats-Unis lui prêtent activement leur
appui. Tant que les gouvernements d'Eu-
rope resteront en désaccord et que le gou-
vernement des Etats-Unis se refusera à
prendre part à la Conférence de Gênes,
celle-ci reste menacée d'avorter lamentable-
ment — Rovira y Virgili.
PUBLICIDAD [de Barcelone], 14.3.
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE. —
L'ENTREVUE DE BOULOGNE ET L'OHMON AMÉRI-
CAINE. — L'histoire se répète à la Conférence
de Boulogne. Il peut sembler certains mo-
ments que d'Angleterre et la France sont en
désaccord sur certaines questions de politi-
que européenne; le discours dans lequel
Poincaré annonçait la formation de son mi-
nistère mettait même en lumière, avec plus
de force encore, le désaccord franco-anglais;
il faisait en effet allusion à un « redresse-
ment » de la politique d'apaisement de
Briand, à la nécessité de défendre les inté-
rêts et les besoins de la France1, pendant la
paix, afin qu'Us ne soient pas sacrifiés aux
besoins de l'Allemagne ou de l'Europe en
général. Mais Poincaré, maintenant qu'il
est au pouvoir, se rend compte, comme
Briand et Millerand, avant lui, qu'on ne
peut séparer les intérêts de la France et,
ceux de l'Angleterre. L'accord qui a résisté
pendant la guerre et qui a fait la paix ne
saurait être brisé, puisque la France et l'An-
gleterre sont toutes deux responsables, au
premier chef, du règlement de la paix et du
nouvel équilibre européen qu'elles ont créé
et qu'elles défendent. Il peut y avoir des
conflits, des désaccords, assez vifs parfois
entre les deux associés ; mais le moment
de la rupture n'est point venu et il vaut
mieux, pour les deux nations, qu'elles se
querellent tout en demeurant alliées qu'en
ne l'étant plus.
On prétend que Lloyd George a dit à Poin-
caré, samedi : Nous devons travailler - en-
semble !. et que M. Poincaré a répondu :
C'est tout à fait mon opinion !. Voilà le
point capital. Ensemble l'Angleterre et la
France pourront défendre le staitut de la
paix nouvelle et trouver une solution aux
différents problèmes suscités par les traités
de paix encore en suspens. Séparées, elles
entraîneraient l'Europe vers l'abîme. (Ed.).
NEW YORK TRIBUNE, 27.2.
— La Conférence de Boulogne n'a pas
seulement rétabli l'accord franco-anglais,
elle a scellé une alliance militaire franco-
anglaise. MM. Poincaré et Lloyd George
disent tous deux que le nouveau traité d'al-
liance est pratiquement conclu. Depuis les
conversations de Cannes, son horizon s'est
singulièrement agrandi, puisqu'il doit
s'étendre maintenant sur une période de
vingt ans et non plus sur dix ans. En outre,
il comporterait une obligations bilatérale.
Enfin une clause de garantie en faveur de
la Pologne y serait insérée.
Le traité est, en somme, parallèle au
pacte de la Société des Nations. L'article 10
donnait à la Pologne une garantie contre
l'invasion russe en 1920. Mais lorsque les
Russes arrivèrent aux portes de Varsovie,
la France fut la seule puissance, membre
de la Société, à intervenir. Depuis lors, des
interprétations, approuvées d'ailleurs par
l'Assemblée de la Société des Nations, ont
réduit la portée des garanties de l'article 10.
La France et la Pologne seront certaine-
ment mieux protégées par le pacte anglo-
français que par le Pacte de la Société des
Nations. La Grande-Bretagne peut en effet
disposer de sa puissance militaire. La So-
ciété des Nations, elle, n'a pas d'armée et
n'en aura jamais.
L'échec de l'accord franco-anglo-améri-
cain a mis en péril la situation de la
France, telle qu'elle avait été réglée par le
Traité de Versailles. Clemenceau a accepté
cet accord tripartite, parce qu'il compen-
sait, à son point de vue, l'abandon des re-
vendications françaises sur le Rhin. Il s'est
rendu compte dans la suite qu'il avait fait
un sacrifice inutile et cette erreur a sin-
gulièrement aggravé dans la suite les dif-
ficultés de la France durant ces trois der-
nières années.
Elle est aujourd'hui en partie réparée et le
statu quo du traité en Europe est consolidé.
Ce n'est en effet que par l'entente entre les
deux nations qui ont plus que toutes les
autres intérêt à défendre ces traités de paix
qui sont leur œuvre que la stabilisation de
l'Europe pourra s'effectuer. Un grand pas
vient d'être fait sur cette voie à Boulogne,
et il est probable que les premiers résultats
de cette entrevue seront beaucoup plus im-
portante que tous les résultats que l'on
pourra obtenir à Gênes. - (Elt,)
NEW YORK TRIBUNE, 28 2.
— Sous le titre : « On emmène la France
à Gênes ». — L'entretien des deux premiers
ministres français et anglais a donné lieu
à l'envoi d'une double série de correspon-
dances ; la première série venait de Lon-
dres, la seconde de Paris. Les correspon-
dants qui ont été reçus par M. Poincaré ou
ses secrétaires ont eu l'impression qu'une
alliance, sur Fancien modèle, venait d'être
formée. Les correspondants en Angleterre
entendent un autre son de cloche. Ils ne
parlent point d'une alliance ; mais seule-
ment d'une « trêve » de dix ou vingt ans,
aux craintes et aux soupçons, destinée à
permettre l'apaisement des esprits et, par
1
'ts rits
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N° 2005
Jeudi 16 mars 1922
"olletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SoMM AIRE
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: - Les paiements de
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Briand, à la nécessité de défendre les inté-
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NEW YORK TRIBUNE, 27.2.
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