Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 mars 1922 15 mars 1922
Description : 1922/03/15 (T20,N2004). 1922/03/15 (T20,N2004).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253373x
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
-. R E
ES
DES
GÈRES
N° 2004
Mercredi 15 mars 1922
.-
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. -' Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
S()MM AIRE
ALLEMANDE. — Les frais d'entretien
commissions internationales : un
'urs e lord Newton (Hamburger
~richten). — L'accord financier du
~ars : les frais d'occupation des
Unis (Berliner Tageblatt, Frank-
Zeitung). - Les bruits de négo-
~s entre la France et les Soviets
~aerts).
AMÉRICAINE — M. Harvey et le Sé-
(New Yor/, Times). - Les finances
- ance Weio York Times).
GLAISE. - Les frais d'entretien des
tissions internationales : un dis-
de IOlrd Newton à la Chambre des
(Tirnes) ; correspondance de Ber-
es). - (( La crise du Proche-
(. (rédacteur diplomatique du Daily
raph). - La démission de M. Mon-
(Westminster Gazette, Manchester
la, n, aily IIe-rald).
HOLLANDAISE. — La France et la Con-
ce de Gênes (Haagsche Post).
ITALIENNE. — Discours de M. Nitti à
le 12 mars (Carrière della Sera).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'ATTITUDE DE LA FRANCE. -
~e 1 Le. monde, eniier as-
~re à la fraternit.é - Le monde entier as-
; u ernrté, aui rapprochement des
le monde aux entier préfère un sage
~ardon aux « droits que certains se sont
attribués par la force des armes. Il est
~emps que la ^^lcIue cède le, pas. Et si
aucune autre nation ne veut ou n'ose s'en
~arger, la Hollande doit assumer la tâche
ouvrir it V'Üle à la raison et à la justice.
ous croyons que 99% de notrepeuple ap-
~udiraient notre gouvernement si celui-ci
~nnait clairement à entendre que, dans les
~constances actuelles, il se refuse à la
~aine représentation qui se prépare à Gê-
~es ou qu'il Se réserve d'y démontrer l'im-
Ïle d'ne d'- ScUt'e as d'une facon sérieuse le6
~ne discute pas d'une façon sérieuse les
~uses fonrU ®f1,entale,s de sa misère.
La lutte pour ou contre Gênes était une
lit la FranCle et l'Angleterre, ou si
~n veut ent Poincaré et Lloyd George.
~puis l kiw le monde a reconnu les
~des capacités du Président des minis-
tres j)oia'ts ; ori les respecte universellè-
~nt. Poincaré est une de ces personnali-
tés à la force calme qui savent l'art d'at-
teindre leur but, mais qui, ne dévoilant
jamais ce dernier, restent impénétrables.
Personne ne sait précisément à quoi tend
Poincaré, mais on commence à le deviner
et à le redouter. C'est à l'hégémonie de la
France sur l'Europe, à une hégémonie non
seulement intellectuelle et morale, mais sur-
tout matérielle dans le groupement des for-
ces politiques. Cette domination doit sauver
la France. Economiquement affaiblie
comme toutes les autres nations, elle doit
être fortifiée par un tribut, sous quelque
forme que ce soit.
La France est la nouvelle Prusse. Elle
montre jusque danS! les détails les plus ri-
dicules les allures de la Prusse tradition-
nelle d'avant 1914. Elle suit exactement les
méthodes prussiennes d'alors. Elle s'armé
jusqu'aux dents en prétextant qu'elle est
menacée. Elle célèbre partout son amour
de la paix en se tenant prête à la guerre.
Elle conclut des alliances. Elle pénètre. Elle
vexe et chicane dans le domaine politique,
jusqu'en Islande où toute exportation de
poisson sera suspendue si la politique du
régime sec n'est pas abandonnée en faveur
des vins français. Elle travaille avec l'acti-
vité du castor, elle aspire à devenir une
grande nation industrielle et un grand pays
de tourisme, ce que lui faciliteront ses sites
admirables et le cours peu élevé du franc.
Elle a ses foires à l'instar de celle de Leip-
zig et une propagande selon le système de
la Wilhelmstrasse. v
Mais avant tout la France veut abattre,
diviser, appauvrir l'Allemagne pour tou-
jours, soi-disant pour assurer sa tranquil-
lité. C'est pourquoi elle tient aux sanc-
tions, que dans plus de 100 garnisons rhé-
nanes elle entretient des troupes qui ont
déjà coûté à l'Allemagne plus de 5 milliards
de marks-or et qu'elle persiste à réclamer
des dommages, de guerre que l'Allemagne
ne pourra verser à moins d'être libérée du
joug français. En somme elle mène une po-
litique de revanche acharnée et d'extermi-
nation. Sur ce point, sauf quelques nou-
velles nations vassales du centre de l'Eu-
rope, le monde entier la désapprouve et
s'écarte d'elle.
, HAAGSCHE POST, 11.4.
——— ———
L'EXÉCUTION,
DU TRAITÉ DE VERSAILLES
LES FRAIS D'ENTRETIEN DES COM-
MISSIONS INTERNATIONALES. — UN
DISCOURS DE LORD NEWTON A LA CHAMBRE DES
IonDs — A la Chambre des Lords, le 7 mars,
Lord Newton appela l'attention de l'assemblée
sur « les frais excessifs qu'entraîne l'entretien de
nombreuses commissions internationales fonc-
tionnant dans l'Europe centrale et sur les réper-
cussions qu'ils ont sur le relèvement économique
des Etats ex-ennemis et sur leur capacité de
paiement en ce qui concerne les réparations.
Au moment où prirent fin les hostilités,
déclare l'orateur, un grand nombre de com-
missions furent envoyées par les alliés
dans toute l'Europe en missions militaires,
navales, d'aéronautique, missions financiè-
res, de ravitaillement, d'organisations ferro-
viaires et autres. Une véritable horde de
fonctionnaires des deux sexes se rendit à
Vienne au printemps de 1920, en vue de
s'informer sur place de l'importance des ré-
parations que pourrait payer l'Autriche et
cette mission passa là-bas une année en-
tière. Les frais d'entretien de cette commis-
sion s'élevèrent à 7.500.000 couronnes et sur
cette somme le gouvernement autrichien ne
put contribuer que 2.500.000 couronnes, de
sorte que les Alliés y perdirent 5 millions
de couronnes.
En Allemagne les Commissions abondent
encore à l'heure actuelle. La Commission
des Réparations, qui comprend 171 person-
nes, coûte 32 millions de marks par mois et
la Commission de contrôle, chargée d'effec-
tuer le désarmement de l'Allemagne, com-
prend 1.568 personnes et ne coûte pas
moins de 23.500.000 marks par mois. Cette
Commission, déclare Lord Newton, n'a
presque plus rien à faire -et cependant son
personnel n'a pas subi la moindre réduction.
Cette Commission énorme continue à fonc-
tionner, sous prétexte qu'il 'Se produit de
temps à aùtre, en Allemagne, des décou-
vertes d'armes cachées. L'orateur à des rai-
sons de croire que ces histoires périodiques
sont considérablement exagérées et les allé-
gations visant la complicité du gouverne-
ment allemand ne reposent la plupart du
temps sur rien. En ajoutant les frais des
armées d'occupation, l'Allemagne se trouve
avoir à payer ainsi de 60 à 70 millions de
livres sterling par an. Il est donc facile de
se rendre compte que l'opération consistant
à faire payer l'Allemagne est, plus malaisée,
plus compliquée que ne le pense le public
anglais.
La situation financière de la Hongrie est
absolument désastreuse, et pourtant on y a
envové des commissions également coû-
teuses. Les forces navales de la Hongrie
sont limitées à quatre navires patrouilleurs
plus ou moins démodés, stationnés sur le
Danube et il est question, toutefois, d'en-
vover pour les désarmer, une Commission
navale composée de quatre amiraux et de
leur suite. La partie militaire de la Commis-
sion comprend 250 ou 300 personnes ef coûte
plus cher fi entretenir, à elle toute seule,
nue toute l'armée hongroise de 35.000 hom-
mes. Un simple soldat britannique attaché
à cette Commission reçoit par mois, en solde
et on indemnités, une somme supérieure au
traitement du premier ministre de Hongrie
ES
DES
GÈRES
N° 2004
Mercredi 15 mars 1922
.-
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. -' Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
S()MM AIRE
ALLEMANDE. — Les frais d'entretien
commissions internationales : un
'urs e lord Newton (Hamburger
~richten). — L'accord financier du
~ars : les frais d'occupation des
Unis (Berliner Tageblatt, Frank-
Zeitung). - Les bruits de négo-
~s entre la France et les Soviets
~aerts).
AMÉRICAINE — M. Harvey et le Sé-
(New Yor/, Times). - Les finances
- ance Weio York Times).
GLAISE. - Les frais d'entretien des
tissions internationales : un dis-
de IOlrd Newton à la Chambre des
(Tirnes) ; correspondance de Ber-
es). - (( La crise du Proche-
(. (rédacteur diplomatique du Daily
raph). - La démission de M. Mon-
(Westminster Gazette, Manchester
la, n, aily IIe-rald).
HOLLANDAISE. — La France et la Con-
ce de Gênes (Haagsche Post).
ITALIENNE. — Discours de M. Nitti à
le 12 mars (Carrière della Sera).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'ATTITUDE DE LA FRANCE. -
~e 1 Le. monde, eniier as-
~re à la fraternit.é - Le monde entier as-
; u ernrté, aui rapprochement des
le monde aux entier préfère un sage
~ardon aux « droits que certains se sont
attribués par la force des armes. Il est
~emps que la ^^lcIue cède le, pas. Et si
aucune autre nation ne veut ou n'ose s'en
~arger, la Hollande doit assumer la tâche
ouvrir it V'Üle à la raison et à la justice.
ous croyons que 99% de notrepeuple ap-
~udiraient notre gouvernement si celui-ci
~nnait clairement à entendre que, dans les
~constances actuelles, il se refuse à la
~aine représentation qui se prépare à Gê-
~es ou qu'il Se réserve d'y démontrer l'im-
Ïle d'
~ne discute pas d'une façon sérieuse les
~uses fonrU ®f1,entale,s de sa misère.
La lutte pour ou contre Gênes était une
lit la FranCle et l'Angleterre, ou si
~n veut ent Poincaré et Lloyd George.
~puis l kiw le monde a reconnu les
~des capacités du Président des minis-
tres j)oia'ts ; ori les respecte universellè-
~nt. Poincaré est une de ces personnali-
tés à la force calme qui savent l'art d'at-
teindre leur but, mais qui, ne dévoilant
jamais ce dernier, restent impénétrables.
Personne ne sait précisément à quoi tend
Poincaré, mais on commence à le deviner
et à le redouter. C'est à l'hégémonie de la
France sur l'Europe, à une hégémonie non
seulement intellectuelle et morale, mais sur-
tout matérielle dans le groupement des for-
ces politiques. Cette domination doit sauver
la France. Economiquement affaiblie
comme toutes les autres nations, elle doit
être fortifiée par un tribut, sous quelque
forme que ce soit.
La France est la nouvelle Prusse. Elle
montre jusque danS! les détails les plus ri-
dicules les allures de la Prusse tradition-
nelle d'avant 1914. Elle suit exactement les
méthodes prussiennes d'alors. Elle s'armé
jusqu'aux dents en prétextant qu'elle est
menacée. Elle célèbre partout son amour
de la paix en se tenant prête à la guerre.
Elle conclut des alliances. Elle pénètre. Elle
vexe et chicane dans le domaine politique,
jusqu'en Islande où toute exportation de
poisson sera suspendue si la politique du
régime sec n'est pas abandonnée en faveur
des vins français. Elle travaille avec l'acti-
vité du castor, elle aspire à devenir une
grande nation industrielle et un grand pays
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admirables et le cours peu élevé du franc.
Elle a ses foires à l'instar de celle de Leip-
zig et une propagande selon le système de
la Wilhelmstrasse. v
Mais avant tout la France veut abattre,
diviser, appauvrir l'Allemagne pour tou-
jours, soi-disant pour assurer sa tranquil-
lité. C'est pourquoi elle tient aux sanc-
tions, que dans plus de 100 garnisons rhé-
nanes elle entretient des troupes qui ont
déjà coûté à l'Allemagne plus de 5 milliards
de marks-or et qu'elle persiste à réclamer
des dommages, de guerre que l'Allemagne
ne pourra verser à moins d'être libérée du
joug français. En somme elle mène une po-
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nation. Sur ce point, sauf quelques nou-
velles nations vassales du centre de l'Eu-
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s'écarte d'elle.
, HAAGSCHE POST, 11.4.
——— ———
L'EXÉCUTION,
DU TRAITÉ DE VERSAILLES
LES FRAIS D'ENTRETIEN DES COM-
MISSIONS INTERNATIONALES. — UN
DISCOURS DE LORD NEWTON A LA CHAMBRE DES
IonDs — A la Chambre des Lords, le 7 mars,
Lord Newton appela l'attention de l'assemblée
sur « les frais excessifs qu'entraîne l'entretien de
nombreuses commissions internationales fonc-
tionnant dans l'Europe centrale et sur les réper-
cussions qu'ils ont sur le relèvement économique
des Etats ex-ennemis et sur leur capacité de
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Au moment où prirent fin les hostilités,
déclare l'orateur, un grand nombre de com-
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dans toute l'Europe en missions militaires,
navales, d'aéronautique, missions financiè-
res, de ravitaillement, d'organisations ferro-
viaires et autres. Une véritable horde de
fonctionnaires des deux sexes se rendit à
Vienne au printemps de 1920, en vue de
s'informer sur place de l'importance des ré-
parations que pourrait payer l'Autriche et
cette mission passa là-bas une année en-
tière. Les frais d'entretien de cette commis-
sion s'élevèrent à 7.500.000 couronnes et sur
cette somme le gouvernement autrichien ne
put contribuer que 2.500.000 couronnes, de
sorte que les Alliés y perdirent 5 millions
de couronnes.
En Allemagne les Commissions abondent
encore à l'heure actuelle. La Commission
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la Commission de contrôle, chargée d'effec-
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moins de 23.500.000 marks par mois. Cette
Commission, déclare Lord Newton, n'a
presque plus rien à faire -et cependant son
personnel n'a pas subi la moindre réduction.
Cette Commission énorme continue à fonc-
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temps à aùtre, en Allemagne, des décou-
vertes d'armes cachées. L'orateur à des rai-
sons de croire que ces histoires périodiques
sont considérablement exagérées et les allé-
gations visant la complicité du gouverne-
ment allemand ne reposent la plupart du
temps sur rien. En ajoutant les frais des
armées d'occupation, l'Allemagne se trouve
avoir à payer ainsi de 60 à 70 millions de
livres sterling par an. Il est donc facile de
se rendre compte que l'opération consistant
à faire payer l'Allemagne est, plus malaisée,
plus compliquée que ne le pense le public
anglais.
La situation financière de la Hongrie est
absolument désastreuse, et pourtant on y a
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sont limitées à quatre navires patrouilleurs
plus ou moins démodés, stationnés sur le
Danube et il est question, toutefois, d'en-
vover pour les désarmer, une Commission
navale composée de quatre amiraux et de
leur suite. La partie militaire de la Commis-
sion comprend 250 ou 300 personnes ef coûte
plus cher fi entretenir, à elle toute seule,
nue toute l'armée hongroise de 35.000 hom-
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