Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 mars 1922 07 mars 1922
Description : 1922/03/07 (T20,N1997). 1922/03/07 (T20,N1997).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253366s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
R MINISTÈRE
1"1
DES
4PFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1997
Mardi 7 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~.SE ALLEMANDE. - La crise de la oolah-
tion en Grande-Bretagne (Frankfurter
Zeif Vn&> Deutsche Tdgeszeitung).
1^E AMÉRICAINE. — Pour l'accord franco-
brit ;r^ique dans le Proche Orient (New
h ork Evening Post).
pRE ANGLAISE. — La France et les So-
Vigt tes bruits de négociations offi-
les ( aîtehester Guardian). — La
rance et Angora : la politique de
M r>?lnear^ (Daily Telegraph) ; les ke-
ïïiàli S et l'Allemagne (Daily Tele-
graph). - La politique de M. Lloyd
Geoït» e dans le Proche Orient (Morning
il ?st)* - k0, crise de la coalition (Mor-
j) - ntng Post, Daily Chronicle).
S ITALIENNE. — L'entrevue Poincaré-
j} 1 chanzer (Monda).
PRR STJÉDOISE - Le programme des tra-
vaux de la Conférence de Gênes (Social-
fic
«m^ o k, rafen).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
!Je POINCARE-SCHANZER.-
bonn (t'ris, 4 mars : J'ai pu obtenir d'une
• SOITV.Ce française des détails plus pré-
de a conversation Schanzer-Poincaré,
f,'ïiarçji ^rnier- Suivant ces informations,
j, €^revue fU du gouvernement fran-
et 3
~'ai8 et du, mInIstre italien des Affaires
rangères aurait eu une bien plus grande
IJresse anee, qu'on ne l'a dit jusqu'ici dans la
riresse 1,
resse. Car^ auniit exposé clairement
ern"nt un point de vue particulier au
<» ^et de u *tuati<* -j internationale. Il aurait
r
parlé notamment de la nécessité d'une en-
l'r^e Pfévp '0 a Gênes entre la France et
Ill- ei étanti donné que nous représentons
ta pui«sano qui Présidera la grande réu-
nift°n internernal€" Par Poincaré pense
t (leer du danger des surprises
tr'' c.tte uotre côip. Il a affirmé au. mi-
- dfi7,{>f sa ferme. intention de ne
«h IS? WCT V TrA ênes par personne ni la
.'-"{S °h dnf0sarmement ni celles des trai-
(f>rfls reParations déjà exclues par les
i'" eet~ dr. R.û"ulogne. Les procès-verbaux
r|(lC°tte ra Vn,on de Boulogne prennent la
tri'e de vt n.tiab'es protocoles et n'ont pas
Président du Conseil français, après avoir
exprimé son regret qu'un ministre italien
n'ait pu paraître à Boulogne; aurait assuré
M. Schanzer qu'il demanderait immédiate-
ment à M. Lloyd George de consentir à la
communication de ces procès-verbaux.
Poincaré expliqua enfin le mémorandum
français sur Gênes rédigé au commence-
ment du mois dernier, et demanda à
M. Schanzer d'approuver les idées que ce
mémorandum contient; il demanda en outre
des éclaircissements sur le point de vue ita
lien.
_,M. Schanzer aurait laissé à M. Poincaré
la meilleure impression, et dans les milieux
officiels on attend le retour prochain de
notre ministre pour fixer en une entente
plus étroite ce qui a éfé l'objet de la conver-
sation de mardi dernier.
MONDO [de Rome], 5.3.
LA FRANCE ET LES SOVIETS. -
LES BRUITS DE NÉGOCIATIONS OFFICIEUSES. -
De Paris : Les tentatives faites par le gou-
vernement, sans grand enthousiasme d'ail-
leurs, pour trouver un terrain d'entente
avec Moscou ont échoué. Au surplus, on en
a exagéré l'importance. En réalité, il y a
lieu de distinguer deux sortes de négocia-
tions : d'une part celles qui furent relatives
au secours aux affamés, et d'autre part les
tentatives destinées a faire pression sur les
Anglais avant la Conférence de Gènes.
Première catégorie. — L'essai eut lieu
d'abord entre le quai d'Orsay et M. Skohe.
lev, l'ancien président du Comité panrusse,
qui vint à Paris avec mandat de trouver
des fonds pour secourir les affamés. La
Chambre française, au moment où le
Dr Nansen avait lancé son appel, en sep-
tembre, avait déjà voté quelques millions
de francs. M. Poincaré voulait, pour des
fins de propagande, que l'argent ou les se-
cours fussent distribués par des Français et
non par les bons offices d'une organisation
internationale ou américaine. M. Skobelev
ne put faire accepter cet arrangement
M. Poincaré voulait, en somme, conclure,
par l'intermédiaire de la Croix-Rouge fran-
çaise, un arrangement semblable à l'accord
russo-italien.
Deuxième catégorie. — Un certain indus-
triel français rencontra M. Karl Radek et
M. Krassine à Berlin. Il envoya, au quai
d'Orsay, un compte rendu de ses entretiens
et demanda s'il devait continuer. M. Bar-
thou donna personnellement à l'industriel
autorisation de continuer les pourparlers.
Quelque temps après, le Cabinet tout entier
ratifiait l'initiative de M. Barthou. L'induis-
triel continua donc, vit M. Krassine à
Londres et rapporta les propositions des
Soviets. A Paris, on ne put les accepter et
le gouvernement Poincaré les jeta au pa-
nier. C'est à ces pourparlers que Radek fit
récemment allusion à Moscou. Mais à ce
moment, M. Marcel Cachin, chef en titre
du parti communiste français, intervint
après un entretien avec M. Poincaré. Cet
entretien avait pour objet les attaques lan-
cées par l'Humanité contre le livre de
M. Poincaré sur les causes de la guerre.
M. Poincaré réussit, semble-t-il, à faire
comprendre à M. Cachin que ces attaques
étaient exagérées. Car elles cessèrent tout
à coup.
M. Cachin, dont la réputation de rouge
pur est un peu atteinte depuis quelque
temps, avait eu un entretien avec Radek, au
cours duquel Radek lui avait demandé de
provouqer une entente entre les Soviets et
la bourgeoisie française. M. Cachin fit part
de la proposition à M. Poincaré au cours de
leur entretien et l'idée ne fut pas écartée. Il
se rendit donc à Moscou en mission. Mais
jusqu'à présent, il ne semble pas avoiq
provoquer une entente entre les Soviets et
M. Poincaré, sur la question des dettes et
la reconstruction de la Russie ne peut être
comblé par de telles interventions.,
MANCHESTER GUARDIAN, 4.3.
LE PROGRAMME DES TRAVAUX. -
OPINION SUÉDOISE. — Le mémorandum même
de Poincaré montre nettement que
l'impérialisme français n'a que peu de
chose à gagner à Gênes. Cette conférence
est si éloignée des voies qu'une semblable
politique a l'habitude de fréquenter, qu'il ne
saurait être ici question d'une victoire de
Poinçaré. Ce dernier n'aurait jamais voulu
permettre à la conférence d'avoir lieu.
Qu'elle se tienne réellement, voilà qui est
une lourde défaite pour un président du
conseil français du type de Poincaré. En ce
qui concerne les négociations avec la
Russie et l'Allemagne, on aurait bien dû y
venir, un jour ou l'autre. Ce n'est pas là
qu'est l'élément surprenant de la Confé-
rence de Gênes. Mais que l'on reconnaisse
que ces questions sont propriété européenne
commune c'est ce qu'il y a de neuf et de
propre à inspirer de l'espoir.
L'horizon de la Conférence de Gênes s'est
rétréci. On n'y discutera pas les répara-
tions. On n'y permettra pas non plus que
les traités y soient ébranlés. Rien n'aurait
été plus désirable que la révision des clau-
ses sur les réparations par une convention
nouvelle. Mais avait-on sérieusement pensé
que ceci pourrait se produire à la Confé-
rence de Gênes ?. Si les perspectives d'une
restauration économique de l'Europe doi-
vent taire l'objet d'un examen, cette con-
férence sera un pas de plus dans la. voie de
la revision. Et ceci en dépit de tous calculs
politiques.
1"1
DES
4PFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1997
Mardi 7 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~.SE ALLEMANDE. - La crise de la oolah-
tion en Grande-Bretagne (Frankfurter
Zeif Vn&> Deutsche Tdgeszeitung).
1^E AMÉRICAINE. — Pour l'accord franco-
brit ;r^ique dans le Proche Orient (New
h ork Evening Post).
pRE ANGLAISE. — La France et les So-
Vigt tes bruits de négociations offi-
les ( aîtehester Guardian). — La
rance et Angora : la politique de
M r>?lnear^ (Daily Telegraph) ; les ke-
ïïiàli S et l'Allemagne (Daily Tele-
graph). - La politique de M. Lloyd
Geoït» e dans le Proche Orient (Morning
il ?st)* - k0, crise de la coalition (Mor-
j) - ntng Post, Daily Chronicle).
S ITALIENNE. — L'entrevue Poincaré-
j} 1 chanzer (Monda).
PRR STJÉDOISE - Le programme des tra-
vaux de la Conférence de Gênes (Social-
fic
«m^ o k, rafen).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
!Je POINCARE-SCHANZER.-
bonn (t'ris, 4 mars : J'ai pu obtenir d'une
• SOITV.Ce française des détails plus pré-
de a conversation Schanzer-Poincaré,
f,'ïiarçji ^rnier- Suivant ces informations,
j, €^revue fU du gouvernement fran-
et 3
~'ai8 et du, mInIstre italien des Affaires
rangères aurait eu une bien plus grande
IJresse anee, qu'on ne l'a dit jusqu'ici dans la
riresse 1,
resse. Car^ auniit exposé clairement
ern"nt un point de vue particulier au
<» ^et de u *tuati<* -j internationale. Il aurait
r
parlé notamment de la nécessité d'une en-
l'r^e Pfévp '0 a Gênes entre la France et
Ill- ei étanti donné que nous représentons
ta pui«sano qui Présidera la grande réu-
nift°n internernal€" Par Poincaré pense
t (leer du danger des surprises
tr'' c.tte uotre côip. Il a affirmé au. mi-
- dfi7,{>f sa ferme. intention de ne
«h IS? WCT V TrA ênes par personne ni la
.'-"{S °h dnf0sarmement ni celles des trai-
(f>rfls reParations déjà exclues par les
i'" eet~ dr. R.û"ulogne. Les procès-verbaux
r|(lC°tte ra Vn,on de Boulogne prennent la
tri'e de vt n.tiab'es protocoles et n'ont pas
Président du Conseil français, après avoir
exprimé son regret qu'un ministre italien
n'ait pu paraître à Boulogne; aurait assuré
M. Schanzer qu'il demanderait immédiate-
ment à M. Lloyd George de consentir à la
communication de ces procès-verbaux.
Poincaré expliqua enfin le mémorandum
français sur Gênes rédigé au commence-
ment du mois dernier, et demanda à
M. Schanzer d'approuver les idées que ce
mémorandum contient; il demanda en outre
des éclaircissements sur le point de vue ita
lien.
_,M. Schanzer aurait laissé à M. Poincaré
la meilleure impression, et dans les milieux
officiels on attend le retour prochain de
notre ministre pour fixer en une entente
plus étroite ce qui a éfé l'objet de la conver-
sation de mardi dernier.
MONDO [de Rome], 5.3.
LA FRANCE ET LES SOVIETS. -
LES BRUITS DE NÉGOCIATIONS OFFICIEUSES. -
De Paris : Les tentatives faites par le gou-
vernement, sans grand enthousiasme d'ail-
leurs, pour trouver un terrain d'entente
avec Moscou ont échoué. Au surplus, on en
a exagéré l'importance. En réalité, il y a
lieu de distinguer deux sortes de négocia-
tions : d'une part celles qui furent relatives
au secours aux affamés, et d'autre part les
tentatives destinées a faire pression sur les
Anglais avant la Conférence de Gènes.
Première catégorie. — L'essai eut lieu
d'abord entre le quai d'Orsay et M. Skohe.
lev, l'ancien président du Comité panrusse,
qui vint à Paris avec mandat de trouver
des fonds pour secourir les affamés. La
Chambre française, au moment où le
Dr Nansen avait lancé son appel, en sep-
tembre, avait déjà voté quelques millions
de francs. M. Poincaré voulait, pour des
fins de propagande, que l'argent ou les se-
cours fussent distribués par des Français et
non par les bons offices d'une organisation
internationale ou américaine. M. Skobelev
ne put faire accepter cet arrangement
M. Poincaré voulait, en somme, conclure,
par l'intermédiaire de la Croix-Rouge fran-
çaise, un arrangement semblable à l'accord
russo-italien.
Deuxième catégorie. — Un certain indus-
triel français rencontra M. Karl Radek et
M. Krassine à Berlin. Il envoya, au quai
d'Orsay, un compte rendu de ses entretiens
et demanda s'il devait continuer. M. Bar-
thou donna personnellement à l'industriel
autorisation de continuer les pourparlers.
Quelque temps après, le Cabinet tout entier
ratifiait l'initiative de M. Barthou. L'induis-
triel continua donc, vit M. Krassine à
Londres et rapporta les propositions des
Soviets. A Paris, on ne put les accepter et
le gouvernement Poincaré les jeta au pa-
nier. C'est à ces pourparlers que Radek fit
récemment allusion à Moscou. Mais à ce
moment, M. Marcel Cachin, chef en titre
du parti communiste français, intervint
après un entretien avec M. Poincaré. Cet
entretien avait pour objet les attaques lan-
cées par l'Humanité contre le livre de
M. Poincaré sur les causes de la guerre.
M. Poincaré réussit, semble-t-il, à faire
comprendre à M. Cachin que ces attaques
étaient exagérées. Car elles cessèrent tout
à coup.
M. Cachin, dont la réputation de rouge
pur est un peu atteinte depuis quelque
temps, avait eu un entretien avec Radek, au
cours duquel Radek lui avait demandé de
provouqer une entente entre les Soviets et
la bourgeoisie française. M. Cachin fit part
de la proposition à M. Poincaré au cours de
leur entretien et l'idée ne fut pas écartée. Il
se rendit donc à Moscou en mission. Mais
jusqu'à présent, il ne semble pas avoiq
provoquer une entente entre les Soviets et
M. Poincaré, sur la question des dettes et
la reconstruction de la Russie ne peut être
comblé par de telles interventions.,
MANCHESTER GUARDIAN, 4.3.
LE PROGRAMME DES TRAVAUX. -
OPINION SUÉDOISE. — Le mémorandum même
de Poincaré montre nettement que
l'impérialisme français n'a que peu de
chose à gagner à Gênes. Cette conférence
est si éloignée des voies qu'une semblable
politique a l'habitude de fréquenter, qu'il ne
saurait être ici question d'une victoire de
Poinçaré. Ce dernier n'aurait jamais voulu
permettre à la conférence d'avoir lieu.
Qu'elle se tienne réellement, voilà qui est
une lourde défaite pour un président du
conseil français du type de Poincaré. En ce
qui concerne les négociations avec la
Russie et l'Allemagne, on aurait bien dû y
venir, un jour ou l'autre. Ce n'est pas là
qu'est l'élément surprenant de la Confé-
rence de Gênes. Mais que l'on reconnaisse
que ces questions sont propriété européenne
commune c'est ce qu'il y a de neuf et de
propre à inspirer de l'espoir.
L'horizon de la Conférence de Gênes s'est
rétréci. On n'y discutera pas les répara-
tions. On n'y permettra pas non plus que
les traités y soient ébranlés. Rien n'aurait
été plus désirable que la révision des clau-
ses sur les réparations par une convention
nouvelle. Mais avait-on sérieusement pensé
que ceci pourrait se produire à la Confé-
rence de Gênes ?. Si les perspectives d'une
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