Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 mars 1922 06 mars 1922
Description : 1922/03/06 (T20,N1996). 1922/03/06 (T20,N1996).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253365c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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Lundi 6 mars 1922
BUlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
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La Pologne et la Petite
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IlIons te (Vossi^u /l!und) ; négooia-
I tion 8 Polon© - fln1""landaises t f(Kreuz-Zei-
ju n9).
011 ^evam' les acco,1"ds de Wash-
nat américain (New
? n. lbttne, ew York Times ; wil-
£ hJï ^ndSh uHearst dans New York
epican). •
PRESSE ANGLAISE T
lu!'J ««rouT rangel et Gênes »
1. - Le mandat britanni-
1 mne • : déclaration de
Ipp Guardian\ rnm9 Post' Manches-
i~ ~~d~ - L'indépendance de
ip Pte • llo mini stère Sarwat, Pacha
{; !/ Neu,«\ ]
n finies~~ La crise de la Coali-
iTAt ,
1 - La reconstruction éco-
di &t les réparat.ions (Starnpa). —
La diminution de la natalité en France :
!■
tiion de la natalité en France :
l'appel êlUX déments de couleur (Cor-
Ii Çre ella o
ii, Sera )
La Fran^e et la Confé-
e Gênes (Stockholms Tidning).
------
I,|UT|Q'JE GENERALE
LA COi'lFÉRENCE DE GÊNES
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tts ION ECONOMIQUE
\-£ ^EPAKatONS. PRESSE ITA-
NTW. ËTATS D HB N LA B IUS«IE E,T lES LPTUAFTS 6 ET l'Allemagne,
:' -Ci les qui ont été neu-
t t pas de titre juridique
es 11 TER Les stipulations de Versailles
[\ reg ^MATIONS de Versailles
et, il JS au sujet des répara-
8 14U l's agIt vraiment pour eux de
R ALI(>S ONT
îï ',8e,Tts intelr-
i" "s sont restés étran-
to.Nt nçais\ la POsition du gouverne-
PfK?ll^t-e "It donc très forte et l'on
Tdre qu il abandonne
C^ Gependan, t, si la thèse fran-
rQit en ri
J*V>in en droit, c'est, d'autre part,
Un'e discussion sérieuse
1,'°n économique de l'Eu-
IS[ C que devrait consister jus-
tement la Con rj0nféirer de Gênes - ne peut
eff I la gestion des répara-
érnent ell,e 1,6 peut igno-
effets dos eUe The peut i.gno-
des réparations sur la situa-
tion économique de l'Europe, étant donné
que ces faits constituent forcément un élé-
ment principal et essentiel de la situation.
Donc, la Conférence de Gênes ne peut dic-
ter une règle concernant les réparations,
règle qui modifie, supprime, remplace les
règlements stipulés entre les Alliés et l'Alle-
magne ; mais elle est très compétente à
examiner les rapports qui unissent ces
règlements ou les effets de ces règlements, et
le problème duquel la Conférence même est
appelée à préparer la solution.
La Conférence, donc, pourra toujours dire
et même elle devra dire : l'état de paie-
ments imposé par l'Entente à l'Allemagne,
dans l'acte du 10 mai 1921, produit sur la
situation européenne les résultats A. B. C.
Si on voulait éliminer ces résultats et les
remplacer par D. E. F., l'état de paiements
devrait être modifié suivant telle ou telle
forme. Les puissances intéressées ou plus
exactement les puissances juridiquement
compétentes, car toutes à vrai dire sont in-
téressées, sont donc libre d'examiner ou,
du moins, d'adopter les conclusions aux-
quelles la Conférence même sera arrivée.
On objectera en France que, de cette façon,
le problème des réparations, mis dehors
par la porte, rentrerait pas la fenêtre ; que
les exposés et discussions dérivant de cette
façon de procéder constitueraient une pres-
sion, morale illicite et peu honorable pour
la France même ; enfin que les Conférences
d'Etats ne sont pas des réunions d'experts
et que leur but ne peut être que la prépa-
ration de plans abstraits et les discours aca-
démiques. Cependant, ces préoccupations
ne paraissent pas fondées et les objections
ne sont pas persuasives. Si la Conférence
de Gênes doit avoir quelque résultat décisif,
elle ne peut pas se borner à une série plus
ou moins longues de séances plénères so-
lennelles, proclamant certaines décisions
solennelles et improvisées ; elle devra avoir
une base plus modeste, moins apparente,
mais plus solide dans les études prélimi-
naires et les rapports des experts, études
et rapports sur lesquels les gouvernements
resteront libres de décider en un sens ou
dans l'autre, ou même de ne pas décider du
tout. Rien n'empêche donc que certaines
interférences très profondes de la question
de réparations sur la situation économique
générale de l'Europe soient étudiées mainte-
nant et dans la suite, par Les fonctionnaires
et les représentants des gouvernements ju-
ridiquement compétents pour prendre des
décisions sur cette matière, en dehors des
travaux de la Conférence proprement dite ;
et, à plus forte raison, doit-on penser de
même sur les décisions à prendre. Le point
essentiel consiste en ceci : les interférences
existant entre les réparation et la situation
économique de l'Europe ne devront pas être
artificiellement ignorées et les résolutions
économiques de Gênes devront en tenir
compte le plus complètement possible. La
relation entre les deux séries de questions
pourra être établie avant, pendant ou après
la Conférence ; mais il est nécessaire qu'elle
soit établie. Le problème de la dette alle-
mande est au contre de la situation écono-
mique européenne. Si l'on méconnaît ce
point fondamental, le travail qu'on fera sera
vain.
..STAMPA, 3.3.
LA POSITION DE LA FRANCE.
OPINION SUÉDOISE. - Des puissances prédo-
minantes, c'est la France qui semble avoir
pour l'instant la position la plus forte. Poin-
caré vient d'y prendre le pouvoir dans ses
fortes mains et il peut au moins s appuyer
encore sur sa majorité. Lloyd George au
contraire perçoit plus clairement chaque
jour quels sinistres craquements rendent
les fondements mêmes de sa plate-forme.
Les attaques se multiplient contre la coali-
tion en dépit des grands succès dont le
premier ministre peut se prévaloir dans la
question d'Irlande et dans d'autres domai-
nés. Les voix qui réclament une politique
qui ait au moins une ombre de principes et
d'idées générales se font de plus en plus
fortes. Les élections prochaines projettent
leur ombre et il semblerait que Lloyd
George se trouve par trop absorbé actuel-
lement à chercher la voie qui pourrait être
celle du salut pour son cabinet, pour pou-
voir consacrer toute son intelligence et
toute sa souplesse à la lutte pour le sau-
vetage économique du monde. En Italie,
l'incertitude est encore plus grande. Une
crise ministérielle qui s'éternise empêche le
pays de manifester un intérêt actif pour
la conférence, autrement qu'en faisant con-
naître son ajournement. La question de
savoir quel sera le successeur de Bonomi
revient à savoir de quel côté se placera
l'Italie. Et quant mix vaincus, aux neutres
et à la Russie, ils ne peuvent qu'attendre
dans l'expectative.
Une conférence pour la solution des pro-
blèmes économiques mondiaux, qui ne peut
toucher à la question des réparations, le
plus important de tous les problèmes, et
qui est au point de départ de beaucoup
d'autres encore, une pareille conférence ne
semble guère pouvoir atteindre son objet.
On pourra peut-être esnérer que les délé-
gués s'efforceront , dans le cadre étroit qui
leur est prescrit de faire de leur mieux
pour mettre sur pied le règlement de toute
une série de problèmes actuels, contribuant
par là-même, à dissiper quelque peu la
grande incertitude qui règne quant à l'ave-
nir du monde. M-us jamais on n'obtiendra
de solution réelle tant mre les plans gran-
dioses des conférences libres de toutes en-
traves seront condamnés à être étranglés
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et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
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La Pologne et la Petite
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ju n9).
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1 mne • : déclaration de
Ipp Guardian\ rnm9 Post' Manches-
i~ ~~d~ - L'indépendance de
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1 - La reconstruction éco-
di &t les réparat.ions (Starnpa). —
La diminution de la natalité en France :
!■
tiion de la natalité en France :
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Ii Çre ella o
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La Fran^e et la Confé-
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LA COi'lFÉRENCE DE GÊNES
tA ,.-
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t t pas de titre juridique
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[\ reg ^MATIONS de Versailles
et, il JS au sujet des répara-
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R ALI(>S ONT
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C^ Gependan, t, si la thèse fran-
rQit en ri
J*V>in en droit, c'est, d'autre part,
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que ces faits constituent forcément un élé-
ment principal et essentiel de la situation.
Donc, la Conférence de Gênes ne peut dic-
ter une règle concernant les réparations,
règle qui modifie, supprime, remplace les
règlements stipulés entre les Alliés et l'Alle-
magne ; mais elle est très compétente à
examiner les rapports qui unissent ces
règlements ou les effets de ces règlements, et
le problème duquel la Conférence même est
appelée à préparer la solution.
La Conférence, donc, pourra toujours dire
et même elle devra dire : l'état de paie-
ments imposé par l'Entente à l'Allemagne,
dans l'acte du 10 mai 1921, produit sur la
situation européenne les résultats A. B. C.
Si on voulait éliminer ces résultats et les
remplacer par D. E. F., l'état de paiements
devrait être modifié suivant telle ou telle
forme. Les puissances intéressées ou plus
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du moins, d'adopter les conclusions aux-
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façon de procéder constitueraient une pres-
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la France même ; enfin que les Conférences
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et rapports sur lesquels les gouvernements
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tout. Rien n'empêche donc que certaines
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générale de l'Europe soient étudiées mainte-
nant et dans la suite, par Les fonctionnaires
et les représentants des gouvernements ju-
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décisions sur cette matière, en dehors des
travaux de la Conférence proprement dite ;
et, à plus forte raison, doit-on penser de
même sur les décisions à prendre. Le point
essentiel consiste en ceci : les interférences
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compte le plus complètement possible. La
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qui est au point de départ de beaucoup
d'autres encore, une pareille conférence ne
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leur est prescrit de faire de leur mieux
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une série de problèmes actuels, contribuant
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nir du monde. M-us jamais on n'obtiendra
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