Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 01 mars 1922 01 mars 1922
Description : 1922/03/01 (T20,N1992). 1922/03/01 (T20,N1992).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253361q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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1 D~S
IPAlnES DEs
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N° 1992
Mercredi 1er mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangere
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
S°MMAIRE
hii — L'entrevue Poincaré-
Lloyd George (Frankfurter Zeitung,
csti^elische Zeitung,Muen-
chner Neueste Naehrichten, Muenchen-
— Lesre-
Augsburger Abendzeitung). - Les re-
lali°ns fan°°"a^eiiiandes : une lettre
Se. Xi p Buisson au profes-
nEsSE.. {Vorwaerts ) -
Co.nf~E. - Les Etats-Unis et la
P fel'e-n(.c ae (;ênes (Washington
Pn£SSE ^Xc'AlsI' - — L'entrevue Poincairé-
Ll°yd p?r^e (Manchester Guardian,
Gazette). - Le projet de
l^cte rico~ britannique. Déclarations
~H' D
f.. onald M acte an (Times).
PRESSE ,
'es Dart^' politique italienne
v ernirti Il,Dlitiques français (G. Sal-
errlln',.t, Y.V
p VemUinni i wans Secolo).
L'admissi on des So-
vjets à Gênes: l'attitude de la France
v Wieter) h Grande-Bretagne. (Dagens
N?Ilteter).
POLITIQUE GENERALE
lî„ cONFÉRENCE DE GÊNES
UE POINCARE LLOYD
- PRESSE ALLEMANDE. — Dan®
ei'^>le Ir. h l 'qne lIt.
tkrp„k'n que '] t rôsultat des conversations
lk^l]re à fortifier la ré-
C> de tf '!!Tlcaré- On peut présenter
Une , 2^lc,'Uie l'abandon de Lloyd
IJ4 au Points, mais la jubila-
de l p'ress:e française n'est pas d'un
'•W.a ^Sure. A, Boulogne, la .situation de
eorge nS-à..vlts de la France est
e Militera pas la poursuite
!\¡rr"t lon!s PrèlJmin:t1.i.r,es entre l'An-
sur lellt h ia prS an oe pour Gênes ; cet éve-
J,r¡ peut ,!'lU', , ns
III' (1 peu t u SSI avoir des répercussions
!||ipr^n Politique intérieure du Pre.
K , , aig
"lNkp VliTER ZE/TUNG, 27.2 soir.
!e
». htr; : Succès complet de
i iti de - L abandon complet et sans
¡top ~~Dfl~ e toute discussion de la question
ri F\j^ation s des traités ratifiés rend
1 ; Par avance une discussion pro-
fitable des problèmes économiques et finan-
ciers de l'Europe. Avant que les efforts faits
par la France pour entraver les négocia
tions fussent devenus une certitude, nous
pouvions peut-être avoir un intérêt à ce
que la Conférence se réunît le plus tôt pos-
sible dans l'espoir que les négociations de
Gênes exerçassent une influence décisive
et définitive sur une élaboration raisonna-
ble du problème des Réparations dans
l'avenir. Bien que les journaux anglais,
dans un dessein bien compréhensible, se fé-
licitent de l'éventualité — encore probléma
tique — d'une participation personnelle de
M. Poincaré à la Conférence de Gênes, et
célèbrent ce ,résuHa:t comme un succès de
M. Lloyd George, ce « succès » ne constitue
rien d'autre qu'un avantage personnel pour
le Premier anglais et. sa propagande élec-
torale.
RIIEIN1SCH WESTFAELISCHE
ZEITUNG, 27.2 soir.
-- La mascarade qui a eu lieu samedi à
Boulogne nous ferait peu d'impression si
elle n'avait une signification symptomati-
que pour la Conférence de Gênes et ne la
frappait par avance au coin de l'inutilité
En effet, tous ceux qui n'envisagent pas les
problèmes mondiaux avec l'insouciance jo-
viale de Lloyd George ou l'appétit de puis-
sance de Poincairé savent que la paix et le
bien-être du monde dépendent aujourd'hui
de ta. révision de la paix de Versailles.
MUENCHNER NEUESTE
NACHRICHTEN, 27.2.
— On avait médit de MM. Lloyd George
et Poincaré ! On disait qu'ils ne pouvaient
s'entendre et maintenant, trois heures ont
suffi non seulement pour écarter ce que
des hommes mal intentionnés voulaient
considérer comme incompatible entre les
deux hommes, mais encore pour créer une
atmosphère de chaude cordialité. Tout
est pour le mieux, on ne fera rien qui
puisse nuire à la pauvre France et l'en-
tente sans borne apportera bientôt des
résultats profitables. Tout cela fait une im-
pression si convaincante que l'on se gour-
mande soi-même de ne pouvoir retenir
cette question : Que devient donc la Con-
férence de Gênes ? Ne pourrait-on tout ré-
gler par une lettre ? Ce serait simple et
peu coûteux et tout les points importants
sont d'ores et déjà fixés. Il ne reste qu'à
faire part à l'Allemagne qu'elle n'a plus
rien à dire à l'affaire. Elle n'a qu'à payer
et rester le valet de l'Entente, c'est tout.
Et la Russie ? Ces messieurs se sont en-
tendus aussi à son sujet. Mais il se peut
que la Russie ne s'entende pas avec eux.
Car à la différence de l'Allemagne qui ac-
cepte tout et obéit en silence, la Russie
veut se défendre sérieusement.
MUENCHEN-A UGSBURGER
ABENDZEITUNG, 27.2.
PRESSE ANGLAISE. — Sotus le titre : « On
enfonce une porte ouverte. » — On se de-
mande, en vérité, pourquoi la presse fran-
çaise manifeste une telle joie ; si l'on s'en
rapporte aux communiqués officiels et offi-
cieux, les Français, n'ont rien obtenu à Bou-
logne de plus que ce qu'ils auraient pu obte-
nir, si tel avait été leur désir, depuis la réu-
nion de Cannes, .en insistant sur la ques-
tion des Traités, par exemple. M. Poincaré
a enfoncé une porte ouverte.
La seule nouveauté semble être la
suivante : éviter d'empiéter sur les privi-
lèges de la Société des Nations ; mais puis-
que c'est M. Lloyd George lui-même qui a
proposé d'apaiser le conflit de l'Entente, au
moment de l'affaire de Siilésie, en soumet-
tant la question à la Société des Nations,
il est évident que notre Premier n'a pu hési-
ter à adopter ce principe.
Il se peut qu'on ait fait à Boulogne plus
de besogne., mais jusqu'à présent la si-
tuation est ce qu'elle était au moment où
M. Briand a démisianné. Il est quelque peu
stupéfiant de constater que les Français ac-
cueillent avec joie un accord conclu par M.
Poincaré, et qui est eni réalité semblable à
celui qui a causé le départ de M. Briand.
Peut-être sont-ils mieux informés, cette
fois, ou peut-être est-ce une façon de rendre
hommage à l'autorité personnelle- de M.
Poincaré ; peut-être, enfin, est-ce l'aurore
d'une ère nouvelle. Quoi qu'il en soit, nous
constatons avec joie que les Français ac-
ceptent avec moins d'inquiétude l'idée d'une
réunion à Gênes. et nous espérons que M.
Poincaré assistera en personne à cette réu-
nion. Nous He félicitons, d'ailleurs, d'avoir
défendu les privilèges de la Société des Na-
tions. ; on a coutume à dire que les Fran-
çais ont des motifs secrets qui les poussent
à acclamer, un peu tardivement, la Société
des Nations ; il sei peut que leur enthou-
siasme ne soit pas entièrement désinté-
ressé, mais il est certain qu'il est dû en
partie à ce fait que les méthodes officielles
et précisés de la Société des Nations con-
viennent à l'esprit logique des Français.
En ce qui concerne la question russe, lia
France et l'Angleterre sont d'accord pour
demander la reconnaissance des dettes. ;
mais il ne peut y avoir de commerce sans.
confiance, et il semble bien qu'il sera néces-
saire de faire d'abord confiance. La question
russe rassemble toutes les difficultés que
l'on rencontre dans tous les autres problè-
1 D~S
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N° 1992
Mercredi 1er mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangere
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
S°MMAIRE
hii — L'entrevue Poincaré-
Lloyd George (Frankfurter Zeitung,
csti^elische Zeitung,Muen-
chner Neueste Naehrichten, Muenchen-
— Lesre-
Augsburger Abendzeitung). - Les re-
lali°ns fan°°"a^eiiiandes : une lettre
Se. Xi p Buisson au profes-
nEsSE.. {Vorwaerts ) -
Co.nf~E. - Les Etats-Unis et la
P fel'e-n(.c ae (;ênes (Washington
Pn£SSE ^Xc'AlsI' - — L'entrevue Poincairé-
Ll°yd p?r^e (Manchester Guardian,
Gazette). - Le projet de
l^cte rico~ britannique. Déclarations
~H' D
f.. onald M acte an (Times).
PRESSE ,
'es Dart^' politique italienne
v ernirti Il,Dlitiques français (G. Sal-
errlln',.t, Y.V
p VemUinni i wans Secolo).
L'admissi on des So-
vjets à Gênes: l'attitude de la France
v Wieter) h Grande-Bretagne. (Dagens
N?Ilteter).
POLITIQUE GENERALE
lî„ cONFÉRENCE DE GÊNES
UE POINCARE LLOYD
- PRESSE ALLEMANDE. — Dan®
ei'^>le
tkrp„k'n que '] t rôsultat des conversations
lk^l]re à fortifier la ré-
C> de tf '!!Tlcaré- On peut présenter
Une , 2^lc,'Uie l'abandon de Lloyd
IJ4 au Points, mais la jubila-
de l p'ress:e française n'est pas d'un
'•W.a ^Sure. A, Boulogne, la .situation de
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e Militera pas la poursuite
!\¡rr"t lon!s PrèlJmin:t1.i.r,es entre l'An-
sur lellt h ia prS an oe pour Gênes ; cet éve-
J,r¡ peut ,!'lU', , ns
III' (1 peu t u SSI avoir des répercussions
!||ipr^n Politique intérieure du Pre.
K , , aig
"lNkp VliTER ZE/TUNG, 27.2 soir.
!e
». htr; : Succès complet de
i iti de - L abandon complet et sans
¡top ~~Dfl~ e toute discussion de la question
ri F\j^ation s des traités ratifiés rend
1 ; Par avance une discussion pro-
fitable des problèmes économiques et finan-
ciers de l'Europe. Avant que les efforts faits
par la France pour entraver les négocia
tions fussent devenus une certitude, nous
pouvions peut-être avoir un intérêt à ce
que la Conférence se réunît le plus tôt pos-
sible dans l'espoir que les négociations de
Gênes exerçassent une influence décisive
et définitive sur une élaboration raisonna-
ble du problème des Réparations dans
l'avenir. Bien que les journaux anglais,
dans un dessein bien compréhensible, se fé-
licitent de l'éventualité — encore probléma
tique — d'une participation personnelle de
M. Poincaré à la Conférence de Gênes, et
célèbrent ce ,résuHa:t comme un succès de
M. Lloyd George, ce « succès » ne constitue
rien d'autre qu'un avantage personnel pour
le Premier anglais et. sa propagande élec-
torale.
RIIEIN1SCH WESTFAELISCHE
ZEITUNG, 27.2 soir.
-- La mascarade qui a eu lieu samedi à
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elle n'avait une signification symptomati-
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En effet, tous ceux qui n'envisagent pas les
problèmes mondiaux avec l'insouciance jo-
viale de Lloyd George ou l'appétit de puis-
sance de Poincairé savent que la paix et le
bien-être du monde dépendent aujourd'hui
de ta. révision de la paix de Versailles.
MUENCHNER NEUESTE
NACHRICHTEN, 27.2.
— On avait médit de MM. Lloyd George
et Poincaré ! On disait qu'ils ne pouvaient
s'entendre et maintenant, trois heures ont
suffi non seulement pour écarter ce que
des hommes mal intentionnés voulaient
considérer comme incompatible entre les
deux hommes, mais encore pour créer une
atmosphère de chaude cordialité. Tout
est pour le mieux, on ne fera rien qui
puisse nuire à la pauvre France et l'en-
tente sans borne apportera bientôt des
résultats profitables. Tout cela fait une im-
pression si convaincante que l'on se gour-
mande soi-même de ne pouvoir retenir
cette question : Que devient donc la Con-
férence de Gênes ? Ne pourrait-on tout ré-
gler par une lettre ? Ce serait simple et
peu coûteux et tout les points importants
sont d'ores et déjà fixés. Il ne reste qu'à
faire part à l'Allemagne qu'elle n'a plus
rien à dire à l'affaire. Elle n'a qu'à payer
et rester le valet de l'Entente, c'est tout.
Et la Russie ? Ces messieurs se sont en-
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que la Russie ne s'entende pas avec eux.
Car à la différence de l'Allemagne qui ac-
cepte tout et obéit en silence, la Russie
veut se défendre sérieusement.
MUENCHEN-A UGSBURGER
ABENDZEITUNG, 27.2.
PRESSE ANGLAISE. — Sotus le titre : « On
enfonce une porte ouverte. » — On se de-
mande, en vérité, pourquoi la presse fran-
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cieux, les Français, n'ont rien obtenu à Bou-
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nir, si tel avait été leur désir, depuis la réu-
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La seule nouveauté semble être la
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il est évident que notre Premier n'a pu hési-
ter à adopter ce principe.
Il se peut qu'on ait fait à Boulogne plus
de besogne., mais jusqu'à présent la si-
tuation est ce qu'elle était au moment où
M. Briand a démisianné. Il est quelque peu
stupéfiant de constater que les Français ac-
cueillent avec joie un accord conclu par M.
Poincaré, et qui est eni réalité semblable à
celui qui a causé le départ de M. Briand.
Peut-être sont-ils mieux informés, cette
fois, ou peut-être est-ce une façon de rendre
hommage à l'autorité personnelle- de M.
Poincaré ; peut-être, enfin, est-ce l'aurore
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constatons avec joie que les Français ac-
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défendu les privilèges de la Société des Na-
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çais ont des motifs secrets qui les poussent
à acclamer, un peu tardivement, la Société
des Nations ; il sei peut que leur enthou-
siasme ne soit pas entièrement désinté-
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partie à ce fait que les méthodes officielles
et précisés de la Société des Nations con-
viennent à l'esprit logique des Français.
En ce qui concerne la question russe, lia
France et l'Angleterre sont d'accord pour
demander la reconnaissance des dettes. ;
mais il ne peut y avoir de commerce sans.
confiance, et il semble bien qu'il sera néces-
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