Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 février 1922 27 février 1922
Description : 1922/02/27 (T20,N1990). 1922/02/27 (T20,N1990).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253359n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
~JINISTERF
DES
trp AInES DES A N-G RhEb
1
1 N° 1990
Lundi 27 février 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits, *
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La. reconstitution de
la Russie : les bruits reconstitution de
°fflcj
officieuses entire la France et les Su-
vie.[g 0e^n^che Volkszeitung) ; la par-
ticin-it ou de l'Allemagne (Tag). - Les
j> erais,011S e!n nature (Zeit).
PRESSE \11"
É1ICAINE" - Les dettes des Alliés
ai'x Ils : le bill de consolidation
(A' eto v °rl: Evening Post). — Les ac-
cords de ashington devant le Sénat
(Public Ledgèr). devajit le Sénat
P j
hEsst *G AISE- - L'entrevue Poincaré.
Lloyd n d S
C, (Grawfurd Price dans
'Unday mes) - - La France et les
sous- c LL
lns ; une déclaration de M. Bal-
four à 1 a Chambre des Communes (Ti-
PREsSE
lles VJUchiENNE.— Le voyage de M. Be-
n'. (Dr GiUistave Fuchs dans Neues
() wner Tagblatt).
V,S1! ti Tlbhu).
(C lTALIEN\E. - Le voyage de M. Benes
, i dsiso, dans Tempo).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
EV U E POING ARE-LLOYD
C : °'1 T)onf
_PUi:SSE ANGI'AISE. — De Folkes-
On peut dire que l'entretien de Bou-
('U est Un succès, dans toute l'accep-
C? George n'avait jamais
tait s « en V 0nr!e ». W«n qu'il ait eu a
traiter l'une n orm:e», hi(~~l q~il ¡lit C'U ~I
Qu^nt n Particuilièrement dé-
licate. Qua nt ^Ucîe quelque peu inattendue d'ail-
leurs, vers d aL-
!°?Cill'a,'on- L'accord est fait
t0' 'lls les Poin A G h. 35, à la fin de la
S ??• M p
Va, ir ,Poincaré paraissait très satis-
•* Llovd peor§e également. Pendant
q¿ Qré premier ministre, qui m'a
? sui)S|- les points sur lesquels le
1 slsllit sont maintenant éclair-
r'§Hé .flf'e llf)n du Traité d'Angora qui
I.ir'alien. ?~~ en l'absence du dé-
Georffp plus important, encore.
° n° que l'Entente a
t et tout son Prestige, regagné toute
la est destinée à réaliser les
la de ^uv
T11 voient en elle la base
H Q /^stinir10n européenne. L'après-
, Presa 4Ue entièrement consacré fi
l'examen de la question de la Conférence et
les craintes de M. Poincaré semblent avoir
disparu. Les conditions sont celles qui, ont,
été décidées à Cannes, les réparations et les
traités ne seront pas discutés et l'on n'em-
piétera pas sur le domaine de la Société des
Nations:
On s'y attendait d'ailleurs. Mais la ques.
tion russe était évidemment, le point délicat
et nous apprenons avec joie que l'accord
est également fait sur ce point, Il est décidé
que l'acceptation par la Russie de l'invi-
tation qui lui a été envoyée implique l'ac-
ceptation des conditions adoptées à Cannes
et que la présence des Soviets à Gênes ne
comportera en aucune façon une reconnais-
sance de jure, tout en constituant peut-être
un pas fait dans cette voie. C'est aux Bol-
cheviks eux-mêmes qu'il appartient, de ré-
soudre le problème. Quand ils pourront et
voudront donner les garanties jugées né-
cessaires par la France et l'Angleterre, leur
réadmission dans la communauté des na-
tions civilisées se fera automatiquement et
plus ou moins rapidement. Mais M. Uovd
George a déclaré avec force qu'en l'absence
de telles garanties , il ne réclamerait pas la
reprise des relations commerciales avec les
Bolcheviks. En ce qui concerne le pacte, le
Premier m'a déclaré que l'accord était fait
en principe. Quand on songe aux résultats
de cette réunion, on regrette qu'elle n'ait
pas eu lieu plus tôt. Durant les six semai-
nes prècédentes, la vieille diplomatie que
défendait M. Poincaré a été à nouveau mise
à l'épreuve. Elle a échoué. D'autre part,
nous savons maintenant, (c,'est un fait) qu'en
trois heures de conversation, les malenten-
dus ont été éclairois, La conclusion est évi-
dente. Les hommes d'Etat de l'Entente ont
intérêt, à se rencontrer. l'Europe doit se
réunir. M. Lloyd George a remporté un
grand succès. Mais M. Poincaré a donné
par ses actes un démenti à ses adversaires,
puisqu'il a noblement accepté les responsa-
bilités de sa situation internationale. Il est
devenu un bon Européen.
Nous pouvons encore espérer que l'Angle.
terre et la France formeront véritablement
la base de la reconstruction européenne et
de la politique de conciliation entre les
nations. — Grawfurd Price.
SUNDAY TIMES, 26.2.
LA RECONSTITUTION DE LA RUSSIE.
— LES BRUITS DE NÉGOCIATIONS OFFICIEUSES
ENTRE LA FRANCE ET LES SOVIETS. — Depuis
quelque temps, les délégations du gouver-
nement des Soviets déploient une activité
qui ne se borne pas aux préparatifs de la
Conférence de Gênes. Les gens qui entou-
rent Krassine pointent leurs antennes, et
il semble fort que la France doive devenir
un champ d'opération pour la diplomatie
des délégués soviétiques. Malgré le démenti
donné à la nouvelle de la conclusion d'un
accord, franco-russe, on peut affirmer
qu'actuellement des fils sont tendus entre
la France et la Russie ; que ce soit de gou-
vernement à gouvernement, ou de négo-
ciant à négociant, cela importe peu. Les
conversations privées qui ont eu lieu ré-
cemment en France entre des négociants et
des délégués des Soviets, ne sont plus con-
testées aujourd'hui. Le gouvernement fran-
çais s'applique à ne présenter ces négocia-
tions que comme des négociations privées.
Cette atténuation a son importance. C'est
reconnaître officiellement que des négocia
tions existent entre la France et la Russie
et que des bolcheviks russes peuvent péné-
trer en France et « négocier », chose im-
possible encore il y a peu de temps. Aujour-
d'hui, une autre nouvelle nous parvient,
confirmant que les Russes bolchevistes ne
sont plus en France des hôtes indésirables.
On annonce de Paris qu'un membre de la
mission Krassine, M. Nikolov Zerebzo est
arrivé de Londres à Paris, d'où il se ren-
dra à Angers pour examiner les moyens
d'approvisionner à nouveau la Russie en
blé et en légumes. Or, ceci semble bien
étrange. Pourquoi Angers ? Il pousse
certes du blé et des des légumes aux en-
virons d'Angers, mais la France tout en-
tière n'en produit pas assez pour apaiser
la faim des millions de Russes qui meu-
rent en Russie méridionale. Les amis de
Krassine ont d'autres buts ù Angers. Il
s'agirait en réalité de négociations entre la
France et la Russie.
La France, à coup sûr, profite du moment
favorable pour renouer des liens politiques
avec la Russie. La Russie espère beaucoup
de la Conférence de Gènes et prépare éner-
giquement le terrain pour cette conférence.
La Russie dépend de la bonne volonté des
principalels, nations représentées à la Con-
férence. Mais les Bolcheviks savent tirer
parti de cette situation en promettant fort
habilement à telle nation et à telle autre
un part importante dans la reconstruction
de la Russie ce qui provoque une concur-
rence entre les Etats qui ont un intérêt par-
ticulier aux choses de l'Est. Les Bolcheviks
ont déclaré jusqu'ici que, pour eux, le
Traité de Versailles n'existait pas. Ceci est
très relatif. Nul doute que les gens des So-
viets ne reconnaissent l'article du Traité de
Versailles relatif aux réparations que la
Russie peut exiger de l'Allemagne et ne
s'efforcent de le garder en main comme
dernier atout. Cette clause peut devenir
dangereuse.
Ce qui se passe aujourd'hui entre la
France et la Russie doit être suivi avec une
extrême attention par l'Allemagne. Bien
des choses sont en jeu pour l'Allemagne
DES
trp AInES DES A N-G RhEb
1
1 N° 1990
Lundi 27 février 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits, *
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La. reconstitution de
la Russie : les bruits reconstitution de
°fflcj
officieuses entire la France et les Su-
vie.[g 0e^n^che Volkszeitung) ; la par-
ticin-it ou de l'Allemagne (Tag). - Les
j> erais,011S e!n nature (Zeit).
PRESSE \11"
É1ICAINE" - Les dettes des Alliés
ai'x Ils : le bill de consolidation
(A' eto v °rl: Evening Post). — Les ac-
cords de ashington devant le Sénat
(Public Ledgèr). devajit le Sénat
P j
hEsst *G AISE- - L'entrevue Poincaré.
Lloyd n d S
C, (Grawfurd Price dans
'Unday mes) - - La France et les
sous- c LL
lns ; une déclaration de M. Bal-
four à 1 a Chambre des Communes (Ti-
PREsSE
lles VJUchiENNE.— Le voyage de M. Be-
n'. (Dr GiUistave Fuchs dans Neues
() wner Tagblatt).
V,S1! ti Tlbhu).
(C lTALIEN\E. - Le voyage de M. Benes
, i dsiso, dans Tempo).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
EV U E POING ARE-LLOYD
C : °'1 T)onf
_PUi:SSE ANGI'AISE. — De Folkes-
On peut dire que l'entretien de Bou-
('U est Un succès, dans toute l'accep-
C? George n'avait jamais
tait s « en V 0nr!e ». W«n qu'il ait eu a
traiter l'une n orm:e», hi(~~l q~il ¡lit C'U ~I
Qu^nt n Particuilièrement dé-
licate. Qua nt
leurs, vers d aL-
!°?Cill'a,'on- L'accord est fait
t0' 'lls les Poin A G h. 35, à la fin de la
S ??• M p
Va, ir ,Poincaré paraissait très satis-
•* Llovd peor§e également. Pendant
q¿ Qré premier ministre, qui m'a
? sui)S|- les points sur lesquels le
1 slsllit sont maintenant éclair-
r'§Hé .flf'e llf)n du Traité d'Angora qui
I.ir'alien. ?~~ en l'absence du dé-
Georffp plus important, encore.
° n° que l'Entente a
t et tout son Prestige, regagné toute
la est destinée à réaliser les
la de ^uv
T11 voient en elle la base
H Q /^stinir10n européenne. L'après-
, Presa 4Ue entièrement consacré fi
l'examen de la question de la Conférence et
les craintes de M. Poincaré semblent avoir
disparu. Les conditions sont celles qui, ont,
été décidées à Cannes, les réparations et les
traités ne seront pas discutés et l'on n'em-
piétera pas sur le domaine de la Société des
Nations:
On s'y attendait d'ailleurs. Mais la ques.
tion russe était évidemment, le point délicat
et nous apprenons avec joie que l'accord
est également fait sur ce point, Il est décidé
que l'acceptation par la Russie de l'invi-
tation qui lui a été envoyée implique l'ac-
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et que la présence des Soviets à Gênes ne
comportera en aucune façon une reconnais-
sance de jure, tout en constituant peut-être
un pas fait dans cette voie. C'est aux Bol-
cheviks eux-mêmes qu'il appartient, de ré-
soudre le problème. Quand ils pourront et
voudront donner les garanties jugées né-
cessaires par la France et l'Angleterre, leur
réadmission dans la communauté des na-
tions civilisées se fera automatiquement et
plus ou moins rapidement. Mais M. Uovd
George a déclaré avec force qu'en l'absence
de telles garanties , il ne réclamerait pas la
reprise des relations commerciales avec les
Bolcheviks. En ce qui concerne le pacte, le
Premier m'a déclaré que l'accord était fait
en principe. Quand on songe aux résultats
de cette réunion, on regrette qu'elle n'ait
pas eu lieu plus tôt. Durant les six semai-
nes prècédentes, la vieille diplomatie que
défendait M. Poincaré a été à nouveau mise
à l'épreuve. Elle a échoué. D'autre part,
nous savons maintenant, (c,'est un fait) qu'en
trois heures de conversation, les malenten-
dus ont été éclairois, La conclusion est évi-
dente. Les hommes d'Etat de l'Entente ont
intérêt, à se rencontrer. l'Europe doit se
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grand succès. Mais M. Poincaré a donné
par ses actes un démenti à ses adversaires,
puisqu'il a noblement accepté les responsa-
bilités de sa situation internationale. Il est
devenu un bon Européen.
Nous pouvons encore espérer que l'Angle.
terre et la France formeront véritablement
la base de la reconstruction européenne et
de la politique de conciliation entre les
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SUNDAY TIMES, 26.2.
LA RECONSTITUTION DE LA RUSSIE.
— LES BRUITS DE NÉGOCIATIONS OFFICIEUSES
ENTRE LA FRANCE ET LES SOVIETS. — Depuis
quelque temps, les délégations du gouver-
nement des Soviets déploient une activité
qui ne se borne pas aux préparatifs de la
Conférence de Gênes. Les gens qui entou-
rent Krassine pointent leurs antennes, et
il semble fort que la France doive devenir
un champ d'opération pour la diplomatie
des délégués soviétiques. Malgré le démenti
donné à la nouvelle de la conclusion d'un
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qu'actuellement des fils sont tendus entre
la France et la Russie ; que ce soit de gou-
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ciant à négociant, cela importe peu. Les
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des délégués des Soviets, ne sont plus con-
testées aujourd'hui. Le gouvernement fran-
çais s'applique à ne présenter ces négocia-
tions que comme des négociations privées.
Cette atténuation a son importance. C'est
reconnaître officiellement que des négocia
tions existent entre la France et la Russie
et que des bolcheviks russes peuvent péné-
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d'hui, une autre nouvelle nous parvient,
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sont plus en France des hôtes indésirables.
On annonce de Paris qu'un membre de la
mission Krassine, M. Nikolov Zerebzo est
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blé et en légumes. Or, ceci semble bien
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certes du blé et des des légumes aux en-
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la faim des millions de Russes qui meu-
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France et la Russie.
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La Russie dépend de la bonne volonté des
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habilement à telle nation et à telle autre
un part importante dans la reconstruction
de la Russie ce qui provoque une concur-
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Traité de Versailles n'existait pas. Ceci est
très relatif. Nul doute que les gens des So-
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Versailles relatif aux réparations que la
Russie peut exiger de l'Allemagne et ne
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dernier atout. Cette clause peut devenir
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Ce qui se passe aujourd'hui entre la
France et la Russie doit être suivi avec une
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