Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 février 1922 22 février 1922
Description : 1922/02/22 (T20,N1986). 1922/02/22 (T20,N1986).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533550
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
4 FINISTÈRE
~A DES
1R £ S ÉTRANGÈRES
N° 1US6
Mercredi 22 février 1022
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
: Pn ESSE ALLEMANDE, — Lettre ouverte du Pro-
fesseur Delbruck au Professeur Aulard
erliner TageUatt), — La France et les
SOViets (Goorg Bernhard dans Vossi-
sche Zeitung),
})nr-:SSE ANGLAISE, — La France et les Soviets
(Times) — Le mémorandum français
la Conférenoe de Gênes (H. W. Har-
ri dllns DailU News). — La France et
es °US mar^ns une lettre de Lord Lee
(Times, Morning Post, Manchester
QUa an)• - Le projet de pacte franco-
brit an'n'.c'ue (Capitaine Colin Coote dans
PflEaZly Chrontcle),
ssr-: ALTrIICIiIENNE. — La France et les
SovJ" 0 s (Neue Freie Presse, Wiener
P Afnor9enzeitung).
Pi~ ITALIENNE. — Le futur secrétaire de
PPlin e XI (Secolo).
Politique GENERALE
ORIGINES
Eï RESPONSABILITÉS
- DE LA GUERRE
143W. SÏL OUVEÎLTE DU PROFESSEUR
buLnljce AU PROFESSEUR AULARD.
Onsieur, Vous m'avez vivement atta-
dan* un Article publié par L'Ere nou-
velle. Vous m aCCUs.ez d'être un des empoi-
f^eurg d 6 du peuple allemand et
"Ou,s dites que je suis un grand coupable,
seulernin1 envers mon pays, mais
€rs pu tout entière. Une lettre
ltlnd al adressée au Bund Neues Vater-
I JJW "t dais laquelle je refusais de si-
r un a n
a~~ug appel à la réconciliation des peu-
w es" vûus h fourni le prétexte de lancer ces
« ^usati0n Voici le texte de la lettre in-
ot'lnée •
) reste S ., ^avez fait parvenir un mani
» en collaboration avec la Li-
!^e ïranro- Se des droits de l'homme et
-^Z vouloir bien y souscrire.
» il Que J approuve pleinement le bui
et de Pror] de réc()ncilier les peuples
et de faire taire les rancunes, je ne puis
1) , qa.nt le
Cipes. iP 61gne,r ï certains de mes prin-
n cipes en 'ernpéchent, ainsi que la teneur
» ,j* i
» cJlî.^re U'elles j'ai à formuler des ob-
» 1° Le manifeste exige que l'Allemagne
» reconnaisse qu'elle a l'obligation non seu
» lement juridique, mais morale, de répa
» rer le préjudice que son agression a porté
)) à la France.
» Mais quelles sont les raisons de cette
» obligation morale ?
» J'admets que l'Allemagne a commis une
» très lourde faute, en laissant passer les
» occasions qui se sont offertes de con-
» clure une paix de conciliation et qu'elle
» est coupable d'avoir fait ~duisr la guerre.
» Car c'est un fait que l'Allemagne eut la
» possibilité de conclure une paix hono-
» rable ; le général Ludendorff le recon-
» naît lui-même dans certains passages de
» son livre. Mais la responsabilité qui, de
» ce fait, incombe à l'Allemagne est large
» ment compensée par la responsabilité as-
» sumée par ses ennemis, par la France en
» particulier, au moment où éclata le con-
» flit. Sans doute, il est exact que la grande
» majorité du peuple français ne voulait
» pas la guerre ; mais ,les représentants du
» peuple français qui, en 1913, ont élu
» M. Poincaré - président de la République,
» savaient sans aucun doute — les asser-
» tions du chargé d'affaires belge à Paris
» en sont un témoignage — savaient, dis je,
» que cet acte politique désignait comme
» chef de l'Etat un partisan de la guerre.
« Les documents que le Berliner Tageblatt
» a publiés récemment à ce sujet ne
» laissent subsister aucun doute sur ce
» point: le Président de la République Fran-
» çaise et l'ambassadeur russe Isvolski ont.
» été les principaux instigateurs du con-
» flit. Comment veut-on après cela que le
» peuple allemand ait conscience qu'il a
» l'obligation morale de réparer les dom-
» mages que 'la France a subis au cours
» de la guerre ?
« 2° Le manifeste oublie de signaler qu'il
» ne s'agit point en l'espèce des frais de
» reconstruction des territoires dévastés.
» Cette sorte de dommages pourrait, sans
» grande difficultés, être réparé par le peu-
Il ple allemand, soit qu il fournisse des pres-
» tations, soit qu'il effectue des paie-
» ments en espèces. La détresse éoonomi-
» que à laquelle le monde est en proie ne
» provient pas de cette catégorie de répa-
» rations. : elle a pour origine l'obligation
» imposée à l'Allemagne ,en dépit des pro-
» messes faites à l'armistice, de fournir
» l'ensemble des sommes nécessaires au
» service des pensions militaires. Cette
» obligation constitue les deux tiers de la
» somme exigée. Il suffirait que les puis-
» sances signataires renonçâssent à ces
» exigences injustifiées pour que l'équili-
» bre économique fût rétabli. C'est un point
» que le manifeste n'aurait pas dû passer
» sous silence.
« 3° Le manifeste exige que l'Allemagne
» renonce à s'opposer sournoisement au dé-
» sarmement et qu'elle l'effectue loynlc-
» ment; par contre, la France devra elle-
» même désarmer dès qu'elle aura obtena
» cette garantie. Pour pouvoir rédiger une
» telle phrase ou approuver son contenu, il
» faut n'avoir aucune idée de l'importance
» des armées modernes. Les découvertes
» d'armes que l'on fait de temps en temps
» sont autant de vétilles, si on les compare
» au matériel nécessaire pour couvrir les
» besoins d'une véritable armée.
« Même la plus considérable de ces dé-
» couvertes, celle des 500 tubes de canons
» trouvés à Heidenau, est sans grande im-
» portance ; et de plus, ces tubles n'avaient
Il pas été dissimulés pour être utilisés
» comme armes, mais, selon des déclara-
» tions dignes de foi, devaient être utilisés
» comme acier : il s'agissait uniquement
» d'empêcher l'Entente de s'approprier une
» matière première de grand prix. Il est
» possible qu'on découvre encore d'autre
« matériel dissimulé, soit par nos ultra-pa-
» triotes, soit par des industriels. Mais celui
» qui invoque ces arguments pour justifier
» un délai dans le désarmement de la
» France, ne sert pas la cause de la paix.
» Il fait tout le contraire. Il n'y a pas de
» doute possible : le désarmement de l'Al-
» lemagne a été effectué dans une mesure
» qui satisfait aux exigences de l'Entente
» La phrase du manifeste ne devait donc
pas dire que les Français désarmeraient
» quand l'Allemagne aurait désarmé, mais
» bien qu'ils désarmeraient enfin parce que
» l'Allemagne avait déjà désarmé.
» 4° Le manifesté demane que pour éta-
» blir la responsabilité de la guerre, tous
» les gouvernements ouvrent sans restric-
» tions leurs archives. Pourquoi ne pas dire
» que les gouvernements allemand et au-
» trichien l'ont déjà fait depuis longtemps ?
» Un manifeste loyalement rédigé aurait dû
» dire : Après l'ouverture des archives alle-
» mandes et autrichiennes, il faut demander
» à l'Angleterre et à la France d'en faire
» autant. Des milieux pacifistes font souvent
» ce reproche à la « Société allemande de
la paix » de ne pas compter plus de
» 12.000 membres, c'est-à-dire moins que
» les organisations similaires des autres
» pays, de France même. Le manifeste en
» donne cette explication : un mouvement
» dont les chefs mettent publiquement leurs
» actes en contradiction avec leurs déclara-
Il tions peut difficilement gagner des adhé-
» rents. » ,
Afin de prouver qu'il n'est pas de mauvaise
volonté comme M. Aulard le lui reproche, mais
qu'il est au contraire pleinement convaincu de
la justesse de ses affirmations ainsi que de leur
utilité pour la paix mondiale, M. Delbrück pro-
pose fi M. Aulard d'organiser entre eux deux
une discussion publique. Il estime que Cologno
~A DES
1R £ S ÉTRANGÈRES
N° 1US6
Mercredi 22 février 1022
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
: Pn ESSE ALLEMANDE, — Lettre ouverte du Pro-
fesseur Delbruck au Professeur Aulard
erliner TageUatt), — La France et les
SOViets (Goorg Bernhard dans Vossi-
sche Zeitung),
})nr-:SSE ANGLAISE, — La France et les Soviets
(Times) — Le mémorandum français
la Conférenoe de Gênes (H. W. Har-
ri dllns DailU News). — La France et
es °US mar^ns une lettre de Lord Lee
(Times, Morning Post, Manchester
QUa an)• - Le projet de pacte franco-
brit an'n'.c'ue (Capitaine Colin Coote dans
PflEaZly Chrontcle),
ssr-: ALTrIICIiIENNE. — La France et les
SovJ" 0 s (Neue Freie Presse, Wiener
P Afnor9enzeitung).
Pi~ ITALIENNE. — Le futur secrétaire de
PPlin e XI (Secolo).
Politique GENERALE
ORIGINES
Eï RESPONSABILITÉS
- DE LA GUERRE
143W. SÏL OUVEÎLTE DU PROFESSEUR
buLnljce AU PROFESSEUR AULARD.
Onsieur, Vous m'avez vivement atta-
dan* un Article publié par L'Ere nou-
velle. Vous m aCCUs.ez d'être un des empoi-
f^eurg d 6 du peuple allemand et
"Ou,s dites que je suis un grand coupable,
seulernin1 envers mon pays, mais
€rs pu tout entière. Une lettre
ltlnd al adressée au Bund Neues Vater-
I JJW "t dais laquelle je refusais de si-
r un a n
a~~ug appel à la réconciliation des peu-
w es" vûus h fourni le prétexte de lancer ces
« ^usati0n Voici le texte de la lettre in-
ot'lnée •
) reste S ., ^avez fait parvenir un mani
» en collaboration avec la Li-
!^e ïranro- Se des droits de l'homme et
-^Z vouloir bien y souscrire.
» il Que J approuve pleinement le bui
et de Pror] de réc()ncilier les peuples
et de faire taire les rancunes, je ne puis
1) , qa.nt le
Cipes. iP 61gne,r ï certains de mes prin-
n cipes en 'ernpéchent, ainsi que la teneur
» ,j* i
» cJlî.^re U'elles j'ai à formuler des ob-
» 1° Le manifeste exige que l'Allemagne
» reconnaisse qu'elle a l'obligation non seu
» lement juridique, mais morale, de répa
» rer le préjudice que son agression a porté
)) à la France.
» Mais quelles sont les raisons de cette
» obligation morale ?
» J'admets que l'Allemagne a commis une
» très lourde faute, en laissant passer les
» occasions qui se sont offertes de con-
» clure une paix de conciliation et qu'elle
» est coupable d'avoir fait ~duisr la guerre.
» Car c'est un fait que l'Allemagne eut la
» possibilité de conclure une paix hono-
» rable ; le général Ludendorff le recon-
» naît lui-même dans certains passages de
» son livre. Mais la responsabilité qui, de
» ce fait, incombe à l'Allemagne est large
» ment compensée par la responsabilité as-
» sumée par ses ennemis, par la France en
» particulier, au moment où éclata le con-
» flit. Sans doute, il est exact que la grande
» majorité du peuple français ne voulait
» pas la guerre ; mais ,les représentants du
» peuple français qui, en 1913, ont élu
» M. Poincaré - président de la République,
» savaient sans aucun doute — les asser-
» tions du chargé d'affaires belge à Paris
» en sont un témoignage — savaient, dis je,
» que cet acte politique désignait comme
» chef de l'Etat un partisan de la guerre.
« Les documents que le Berliner Tageblatt
» a publiés récemment à ce sujet ne
» laissent subsister aucun doute sur ce
» point: le Président de la République Fran-
» çaise et l'ambassadeur russe Isvolski ont.
» été les principaux instigateurs du con-
» flit. Comment veut-on après cela que le
» peuple allemand ait conscience qu'il a
» l'obligation morale de réparer les dom-
» mages que 'la France a subis au cours
» de la guerre ?
« 2° Le manifeste oublie de signaler qu'il
» ne s'agit point en l'espèce des frais de
» reconstruction des territoires dévastés.
» Cette sorte de dommages pourrait, sans
» grande difficultés, être réparé par le peu-
Il ple allemand, soit qu il fournisse des pres-
» tations, soit qu'il effectue des paie-
» ments en espèces. La détresse éoonomi-
» que à laquelle le monde est en proie ne
» provient pas de cette catégorie de répa-
» rations. : elle a pour origine l'obligation
» imposée à l'Allemagne ,en dépit des pro-
» messes faites à l'armistice, de fournir
» l'ensemble des sommes nécessaires au
» service des pensions militaires. Cette
» obligation constitue les deux tiers de la
» somme exigée. Il suffirait que les puis-
» sances signataires renonçâssent à ces
» exigences injustifiées pour que l'équili-
» bre économique fût rétabli. C'est un point
» que le manifeste n'aurait pas dû passer
» sous silence.
« 3° Le manifeste exige que l'Allemagne
» renonce à s'opposer sournoisement au dé-
» sarmement et qu'elle l'effectue loynlc-
» ment; par contre, la France devra elle-
» même désarmer dès qu'elle aura obtena
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» telle phrase ou approuver son contenu, il
» faut n'avoir aucune idée de l'importance
» des armées modernes. Les découvertes
» d'armes que l'on fait de temps en temps
» sont autant de vétilles, si on les compare
» au matériel nécessaire pour couvrir les
» besoins d'une véritable armée.
« Même la plus considérable de ces dé-
» couvertes, celle des 500 tubes de canons
» trouvés à Heidenau, est sans grande im-
» portance ; et de plus, ces tubles n'avaient
Il pas été dissimulés pour être utilisés
» comme armes, mais, selon des déclara-
» tions dignes de foi, devaient être utilisés
» comme acier : il s'agissait uniquement
» d'empêcher l'Entente de s'approprier une
» matière première de grand prix. Il est
» possible qu'on découvre encore d'autre
« matériel dissimulé, soit par nos ultra-pa-
» triotes, soit par des industriels. Mais celui
» qui invoque ces arguments pour justifier
» un délai dans le désarmement de la
» France, ne sert pas la cause de la paix.
» Il fait tout le contraire. Il n'y a pas de
» doute possible : le désarmement de l'Al-
» lemagne a été effectué dans une mesure
» qui satisfait aux exigences de l'Entente
» La phrase du manifeste ne devait donc
pas dire que les Français désarmeraient
» quand l'Allemagne aurait désarmé, mais
» bien qu'ils désarmeraient enfin parce que
» l'Allemagne avait déjà désarmé.
» 4° Le manifesté demane que pour éta-
» blir la responsabilité de la guerre, tous
» les gouvernements ouvrent sans restric-
» tions leurs archives. Pourquoi ne pas dire
» que les gouvernements allemand et au-
» trichien l'ont déjà fait depuis longtemps ?
» Un manifeste loyalement rédigé aurait dû
» dire : Après l'ouverture des archives alle-
» mandes et autrichiennes, il faut demander
» à l'Angleterre et à la France d'en faire
» autant. Des milieux pacifistes font souvent
» ce reproche à la « Société allemande de
la paix » de ne pas compter plus de
» 12.000 membres, c'est-à-dire moins que
» les organisations similaires des autres
» pays, de France même. Le manifeste en
» donne cette explication : un mouvement
» dont les chefs mettent publiquement leurs
» actes en contradiction avec leurs déclara-
Il tions peut difficilement gagner des adhé-
» rents. » ,
Afin de prouver qu'il n'est pas de mauvaise
volonté comme M. Aulard le lui reproche, mais
qu'il est au contraire pleinement convaincu de
la justesse de ses affirmations ainsi que de leur
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