Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 février 1922 17 février 1922
Description : 1922/02/17 (T20,N1982). 1922/02/17 (T20,N1982).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253351b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISFÈ RE
ht,., DES
'~A~~E.
----- -
N 1982
Vendredi 17 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
SOMMAIRE
PRESSE 'de
ALLEMANDE. - La Conférence de
Gênes: le programme et la date
(Frank/urter Zeitu.ng, Tag) ; la France
et les &JViets (Otto Hœtzsch dans
Kreu- Z
- KrPi z~Zeiiung\_
ANGLAISE. - La Conférence de Gê-
Hes ANGLAISE. - La Conférence de Gê-
la : l'admission des représentants de
la Petite Entente à la réunion des
e^pert S (Daily Telcgraph, Daily News) ;
la France et '-es Soviets (Manchester
Guard.
Guardian, Frederik Kuh dans Daily
th Ileiall). - Les réparations : les paie-
K ..tents de 1922 (Daity Telcgraph).
^ESSP E ITALIENVPy Telegraph).
PRESSE ITALIENNE. - La. France et l'Italie
S ^as^ £ nac dans Tribuna). —
L'Ital-
taIte et la Petite Entente (Mondo,
Secoiy
POLITIQUE GENERALE
LA CONFERENCE DE GÊNES
L Pn
'--
ET LA DATE' a
J puisse
tolls Uilrand s'u,ccès- Lloyd George
t°?s' de faire reconnaître
avant ~Co
Proçi Ia réu,ni,nn ! Poincaré le voudrait,
~s eUlnl'On, les Principes généraux
1 invitas à Cannes C est au moment de
l)lus U va àl ,ÛUrait dû le faire. Au
lusil va d.e ISoi que les hôtes, qui ont
N H!6. ^iriviSta+ii°^ n respecteront les princi-
^volm- e Pom nans le cas de la Russie,
l0n intéri.MARÉ ne peut que nuire à
e des Soviets. Les Bol-
.K%viki,V°nt eritr ®s dans une période d'évo-
t-e$„ fre fau,
?taricht,K- les troubler du dehors.
KteiS » de. Moscou ne sont pas
tiSSant Is, Gu!r.rle,plals savoir qu'en recon-
î^rati Pa,s 'savoir qu'en recon-
"égration PavRSiet en acceptant la réin-
ï? doi? 611*' dans l'économie mondiale
ils doivent aussi consentir aux voies et
S d~~u.-T~ principe de non-immix-
îl01* d^les affâ1Tes intérieures des parti-
u ^oclamx ,
lOI 1 c&s. T a Cannes est bon pour
les cas. a France voudrait bien le
Il Ptls seulement au détriment
de la Russie. Les Français devraient bien
remarquer, à l'accueil que l'on a fait par-
tout à la note Poincaré, qu'ils nagent contre
le courant. Aucun homme raisonnable ne
voudra empêcher la France de sauvegarder
ses droits et ses intérêts. Mais elle doit
accorder la même faculté aux autres. Ce
principe s'applique tout particulièrement
aux questions économiques qui vont venir
exclusivement en discussion à Gênes.
Le temps est passé où une commission de
la conférence de Paris avait monopolisé
toutes la sagesse économique et la pouvait
imposer aux autres. Personne n'est mieux
informé de sa détresse que le peuple qui
en souffre et on doit le laisser parler lors-
qu'on discute de sa capacité. Voilà toute ln
signification de la conférence de Gênes La
France doit se rallier publiquement à cet
avis ou bien elle ne se lavera jamais du
reproche de s'être opposée avec tous les ar-
tifices d'un avocat habile à la réconcilia-
tion réelle des peuples. Et elle finira par
s'apercevoir que l'art de la politique et l'art
du barreau sont deux choses tout à fut
différentes.
FRANKFURTER ZEITUNG, 14.2. soir.
— Sous le titre : « Le maximum de Poin-
caré ». — De Paris, 14 février. Selon la
nouvelle donnée par l'Œuvre, Poincaré a
fait savoir au ministre des Affaires étran-
gères anglais que sa demande de retarder
de trois mois la réunion de la Conférence
de Gênes constituait un maximum.
Lloyd George semble avoir reconnu la
faiblesse de sa position. Sa politique dépend
de la réunion de Gênes, mais celle-ci
dépend de la bonne volonté du gouverne-
ment français. Sans la France, il ne faut
pas songer à réunir la Conférence. Bien
que Lloyd George et la politique française
soient incompatibles, bien que la conception
Poincaré soit de nature à rendre illusoires
tous les progrès, réalisés jusqu'à présent,
Lioyd George semble vouloir s'incliner
pour se maintenir lui-même en selle.
Poincaré vient à la rencontre de cette
bonne volonté et de cet esprit de conces-
sion en renonçant peu, à peu à l'exécution
littérale de ses exigences. L'acceptation des
délibérations des experts anglais et le fait
de désigner comme un maximum le délai
de trois mois sont des signes assez signi
ficatifs.
On peut déjà tracer de l'évolution pro-
chaine un tableau plus clair que celui donné
par les nouvelles contradictoires de ces
jours derniers. La conférence va d'abord
être retardée de quelques semaines. De
combien ,on se sait encore. La situation po-
litique d'alors décidera de sa réunion ou
d'un nouvel ajournement. Il ne peut encore
être question d'une entente sur les prin
cipes et les conditions de la conférence.
L'ajournement n'a pas chassé les diver-
gences du monde.
Il est extrêmement regrettable pour l'Al-
lemagne que la solution de la question des
réparations soit encore reportée. On ne peut
rien attendre de définitif d'une décision de
la Commission des Réparations. Notre si-
tuation intérieure et financière ne nous
permet pas d'attendre davantage. Le pro-
visoire va créer un grave danger car les
moyens de règlement destinés à solder les
paiements en or tous les dix jours, seront
vite épuisés. Nous estimons en tous cas
qu'indépendamment de la conférence de
de Gênes, il est d'une pressante nécessité
d'établir, au moins provisoirement, une nou-
velle solution meilleure.
TAG, 14.2 soir.
LA REUNION DES EXPERTS. — L'AD-
MISSION DES REPRÉSENTANTS DE LA PETITE EN-
TENTE. — La dernière note de M. Poincaré
révèle, plus que toutes les autres, l'habileté
et le talent de son auteur. Le Premier mi-
nistre français voudrait rejeter sur la
Grande-Bretagne le fardeau de la responsa
bilité, au cas où l'on refuserait d'admettre
les représentants de la Petite Entente. C'est
une tactique habile, mais non sans répli-
que. On ne saurait faire une discrimina- -
tion entre les alliés, et même, quand on
songe à l'objet de la, réunion, entre les neu-
tres et les alliés qui seront, représentés. Il
faut les convoquer tous ou ne convoquer
personne. Toute discrimination serait dan-
gereuse et l'homme d'Etat qui dirige avec
tant d'habileté le char de la Petite Entente
comprendra certainement la force de cette
argumentation. M. Poincaré place la ques-
tion, dite du statut des petites nations, sur
une base nouvelle, quand il demande qu'on
ne fasse aucune distinction entre les gran-
des et les petites nations de l'alliance, en
d'autres termes, quand il demande que ces
dernières soient appelées à collaborer à
l'œuvre de reconstruction.
On l'a déjà dit bien souvent. Il est certain que
les petites nations ne doivent pas être mises en
tutelle.
Maïs l'application de cette théorie aux
préliminaires de Gênes, ainsi que le de-
mande M. Poincaré, n'est pas, à mon point
de vue, la meilleure et la seule que l'on
puisse trouver. Les puissances de la Petite
Entente, pourraient, en cette occasion, af-
firmer leurs droits et demander à partici-
per à l'œuvre générale de reconstruction, et
d'autant mieux qu'elles sont plus indépen-
dantes. Leur idée première consistant en
une réunion préliminaire séparée des
ht,., DES
'~A~~E.
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N 1982
Vendredi 17 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
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SOMMAIRE
PRESSE 'de
ALLEMANDE. - La Conférence de
Gênes: le programme et la date
(Frank/urter Zeitu.ng, Tag) ; la France
et les &JViets (Otto Hœtzsch dans
Kreu- Z
- KrPi z~Zeiiung\_
ANGLAISE. - La Conférence de Gê-
Hes ANGLAISE. - La Conférence de Gê-
la : l'admission des représentants de
la Petite Entente à la réunion des
e^pert S (Daily Telcgraph, Daily News) ;
la France et '-es Soviets (Manchester
Guard.
Guardian, Frederik Kuh dans Daily
th Ileiall). - Les réparations : les paie-
K ..tents de 1922 (Daity Telcgraph).
^ESSP E ITALIENVPy Telegraph).
PRESSE ITALIENNE. - La. France et l'Italie
S ^as^ £ nac dans Tribuna). —
L'Ital-
taIte et la Petite Entente (Mondo,
Secoiy
POLITIQUE GENERALE
LA CONFERENCE DE GÊNES
L Pn
'--
ET LA DATE' a
J puisse
tolls Uilrand s'u,ccès- Lloyd George
t°?s' de faire reconnaître
avant ~Co
Proçi Ia réu,ni,nn ! Poincaré le voudrait,
~s eUlnl'On, les Principes généraux
1 invitas à Cannes C est au moment de
l)lus U va àl ,ÛUrait dû le faire. Au
lusil va d.e ISoi que les hôtes, qui ont
N H!6. ^iriviSta+ii°^ n respecteront les princi-
^volm- e Pom nans le cas de la Russie,
l0n intéri.MARÉ ne peut que nuire à
e des Soviets. Les Bol-
.K%viki,V°nt eritr ®s dans une période d'évo-
t-e$„ fre fau,
?taricht,K- les troubler du dehors.
KteiS » de. Moscou ne sont pas
tiSSant Is, Gu!r.rle,plals savoir qu'en recon-
î^rati Pa,s 'savoir qu'en recon-
"égration PavRSiet en acceptant la réin-
ï? doi? 611*' dans l'économie mondiale
ils doivent aussi consentir aux voies et
S d~~u.-T~ principe de non-immix-
îl01* d^les affâ1Tes intérieures des parti-
u ^oclamx ,
lOI 1 c&s. T a Cannes est bon pour
les cas. a France voudrait bien le
Il Ptls seulement au détriment
de la Russie. Les Français devraient bien
remarquer, à l'accueil que l'on a fait par-
tout à la note Poincaré, qu'ils nagent contre
le courant. Aucun homme raisonnable ne
voudra empêcher la France de sauvegarder
ses droits et ses intérêts. Mais elle doit
accorder la même faculté aux autres. Ce
principe s'applique tout particulièrement
aux questions économiques qui vont venir
exclusivement en discussion à Gênes.
Le temps est passé où une commission de
la conférence de Paris avait monopolisé
toutes la sagesse économique et la pouvait
imposer aux autres. Personne n'est mieux
informé de sa détresse que le peuple qui
en souffre et on doit le laisser parler lors-
qu'on discute de sa capacité. Voilà toute ln
signification de la conférence de Gênes La
France doit se rallier publiquement à cet
avis ou bien elle ne se lavera jamais du
reproche de s'être opposée avec tous les ar-
tifices d'un avocat habile à la réconcilia-
tion réelle des peuples. Et elle finira par
s'apercevoir que l'art de la politique et l'art
du barreau sont deux choses tout à fut
différentes.
FRANKFURTER ZEITUNG, 14.2. soir.
— Sous le titre : « Le maximum de Poin-
caré ». — De Paris, 14 février. Selon la
nouvelle donnée par l'Œuvre, Poincaré a
fait savoir au ministre des Affaires étran-
gères anglais que sa demande de retarder
de trois mois la réunion de la Conférence
de Gênes constituait un maximum.
Lloyd George semble avoir reconnu la
faiblesse de sa position. Sa politique dépend
de la réunion de Gênes, mais celle-ci
dépend de la bonne volonté du gouverne-
ment français. Sans la France, il ne faut
pas songer à réunir la Conférence. Bien
que Lloyd George et la politique française
soient incompatibles, bien que la conception
Poincaré soit de nature à rendre illusoires
tous les progrès, réalisés jusqu'à présent,
Lioyd George semble vouloir s'incliner
pour se maintenir lui-même en selle.
Poincaré vient à la rencontre de cette
bonne volonté et de cet esprit de conces-
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littérale de ses exigences. L'acceptation des
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de désigner comme un maximum le délai
de trois mois sont des signes assez signi
ficatifs.
On peut déjà tracer de l'évolution pro-
chaine un tableau plus clair que celui donné
par les nouvelles contradictoires de ces
jours derniers. La conférence va d'abord
être retardée de quelques semaines. De
combien ,on se sait encore. La situation po-
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d'un nouvel ajournement. Il ne peut encore
être question d'une entente sur les prin
cipes et les conditions de la conférence.
L'ajournement n'a pas chassé les diver-
gences du monde.
Il est extrêmement regrettable pour l'Al-
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réparations soit encore reportée. On ne peut
rien attendre de définitif d'une décision de
la Commission des Réparations. Notre si-
tuation intérieure et financière ne nous
permet pas d'attendre davantage. Le pro-
visoire va créer un grave danger car les
moyens de règlement destinés à solder les
paiements en or tous les dix jours, seront
vite épuisés. Nous estimons en tous cas
qu'indépendamment de la conférence de
de Gênes, il est d'une pressante nécessité
d'établir, au moins provisoirement, une nou-
velle solution meilleure.
TAG, 14.2 soir.
LA REUNION DES EXPERTS. — L'AD-
MISSION DES REPRÉSENTANTS DE LA PETITE EN-
TENTE. — La dernière note de M. Poincaré
révèle, plus que toutes les autres, l'habileté
et le talent de son auteur. Le Premier mi-
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Grande-Bretagne le fardeau de la responsa
bilité, au cas où l'on refuserait d'admettre
les représentants de la Petite Entente. C'est
une tactique habile, mais non sans répli-
que. On ne saurait faire une discrimina- -
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tres et les alliés qui seront, représentés. Il
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tant d'habileté le char de la Petite Entente
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argumentation. M. Poincaré place la ques-
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ne fasse aucune distinction entre les gran-
des et les petites nations de l'alliance, en
d'autres termes, quand il demande que ces
dernières soient appelées à collaborer à
l'œuvre de reconstruction.
On l'a déjà dit bien souvent. Il est certain que
les petites nations ne doivent pas être mises en
tutelle.
Maïs l'application de cette théorie aux
préliminaires de Gênes, ainsi que le de-
mande M. Poincaré, n'est pas, à mon point
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puisse trouver. Les puissances de la Petite
Entente, pourraient, en cette occasion, af-
firmer leurs droits et demander à partici-
per à l'œuvre générale de reconstruction, et
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dantes. Leur idée première consistant en
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