Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 février 1922 15 février 1922
Description : 1922/02/15 (T20,N1980). 1922/02/15 (T20,N1980).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533498
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 FINISTÈRE
~p. l'>E-s
typ lft^ÉiRANGeRES
N° 1980
Mercredi 15 février- 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — U est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE. A1-I.UIANI)E. — Les pays rhénans et
Ca*3cl^°11 (Frankfurter Zeitung). —
u .N'Qg d'estructions en France » (Deut-
s e -Wgemeine Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - La Conféi-eti-ce (le
AMÉRIC.\INE. — La Conférence de
0^ ri6S; l'attitude des Etats-Unis (World);
lQ ^0'S,^^on de la France (New Republic);
la Pol't'. 'h'
politiqll'e de la Grande-Bretagne (Chi-
^°D c/in aUyNewx)
ANr,LA1SE" - Le Programme et la
d'Ue de la Conférence de Gênes (Daily
T I Daily Chronicle), - La
F>a 106 et les Soviets : bruits et possibi-
Jitég rapprochement (Brailsford dans
al y Heratcl). - » La crise de l'En-
t 6 »(Si.sl.e\' .Hu.ctdlestoll dans West-
1 azette). — Le projet de pacte
- .- TI annique (Mnrning Post).
'•°f'ITlQL:E GENERALE
CONFÉRENCE DE GÊNES
LE PROGRAMME ET LA DATE. —
SE' lci.- 4'ut, P'rélirnina*re ^es experts devrait se te-
es' malS à Paris et que la
Entent 6 ^evra^' ôtre représentée.
!s ^Qitis op c1 as 1 la s4ttiat,ioli 3era2it, co~m-
Cas' la situation serait com-
11 y aurait, à Gènes.
nati.y ons : les alliées et
Wh-^treapt ^Gs dernières seraient convo-
"atifier des décisions adoptées
S1®8 Puis? assisté T^UX(ïUG'l'1-es cilles n'auraient
Bai té. Un tell procede, a l'égard de
Bût !)8 que les .alliés veulent gagner à leur
cause ^ans -Ir ilitél.èt et dans t'intérét du
0 serait T dans l'intérêt du
t, et - l' aIt ^0ls incorrect et mala-
l'on f'M °nne que M. Poincaré n'en
rv..
t Ce est P'ü!1Ilt lies conséquences. Son in-
est' d'à utant t plus surprenante que,
Coinf* Il posait. ce principe
W £ k. prooà^Ce Gênes devrait em-
on® , Ure adoptée par la Société
U. Autres et alliés, même
%elli tra-vairient en commun. Les
res, notamment, ont joué un rôle im-
«
portant dans l'affaire de Silésie. Sur ce
point, par conséquent, l'argument français
ne parait point très solide. On annonce de
Rome (mais cette nouvelle n'est pas con-
firmée) que M. Benès a demandé, au nom
de tous les Etats successeurs de l'ancien
empire autrichien, un délai de trois se-
maines. Si cette information est exacte, ce
serait le résultat de l'action exercée récem-
ment par les propagandistes français dans
les capitales de la Petite Entente ; ce serait
peut-être aussi la preuve d'un désaccord
évident entre Prague, Bedigrade et Buca-
rest. Ces trois capitales sont d'accord pour
résister au chauvinisme magyar ; mais sur
les trois, deux seulement s'entendent pour
lutter contre le chauvinisme bulgare ; en
ce qui concerne la Russie, enfin, chacune
d'elles suit une politique différente : Prague
est pour la coopération; la Roumanie est
assez disposée à entrer en rapports avec
Moscou, sans aucun enthousiasme d'ail-
leurs ; Belgrade est hostile et reproche aux
Bolcheviks de soutenir les séparatistes et
communistes croates. On dit même que la
Serbie a été plus loin que ses voisins et al-
liés et qu'à la suite de la signature du
traité commercial avec l'Allemagne, elle a
renoncé à certaines sanctions spécifiées
dans le Traité de Versailles.
Les Etats frontières de Russie attachent,
en outre, autant d'importance à leurs ac-
cords. avec les Soviets que d'Entente en ac-
corde aux tralitès qu'elle a imposés à l'Alle-
magne. M sera donc intéressant de savoir
si à Gênes, l'Europe occidentale consentira
à accepter la responsabilité de ces accords,
en adoptant la clause de garantie mutuelle
contre toute agression ou si elle laissera
les Etats frontières s'entendre entre eux et
constituer une Ligue de la Baltique. C'est
ce point qui retient l'attention à Londres. -
(Rédacteur diplomatique).
7).-ÜLY TELEGRAPH, 14.2.
- Si l'on s'en rapporte à ce que dit la
presse française il semble que l'on désire
en France faire l'union entre les 'Alliés sur
un programme précis, avant la Conférence.
Ceci révèle une erreur d'interprétation. S'il
s'agissait d'étudier les Traités de paix, on
pourrait peut-être adopter une semblable
procédure. Mais, à Gènes, des Traités ne
seront pas examinés. On étudiera la si-
tuation économique de l'Europe, la pacifi-
cation, la reconstruction sur de nouvelles
baises et, par conséquent, plus l'on discu-
tera et mieux cela vaudra. En Angleterre
les préparatifs continuent comme si la
réunion devait avoir lieu le 8 mars. On
croit à l'étranger que le cabinet n'a pas
encore songé aux problèmes qui figureront
au programme. Certes, du côté anglais, on
demeure silencieux, mais il n'en est pas
moins vrai qu'une ligne de conduite a, p\è
adoptée, après mûre considération. (Rédac-
teur diplomatique).
DAILY CHRONICLE, 14. 2.
LA FRANCE ET LES SOVIETS. -
BRUITS ET POSSIBILITÉS DE RAPPROCHEMENT. —
Il peut paraître audacieux de parler aujourd'hui
sur la Conférence de Gênes qui ne se réunira
peut-être jamais. M. Poincaré, en effet, obtiendra
peut-être aussi une victoire décisive, grâce à
sa politique de torpillage et si c'est vraiment la -:
vidoire qui lui convient, il l'aura facilement, car
il est certain que la France peut retarder indé-
finiment la révision des Traités. si son isolement
moral lui procure la joie ; il est certain
d'autre, part que la revision des Traités est la
condition essentielle à la reconstruction. Qu'on.
le veuille ou non à Paris, il faudra bien qu'on
aborde le problème russe. L'on commence
d'ailleurs à s'en rendre compte, même en France
et voilà, du coup, un terrible cauchemar pour les
Français qui redoutent, plus encore que la me-
nace allemande, l'alliance russo-allemande. Ce
serait en effet la fin de l'hégémonie française. On
l'a compris sur les bords de la Seine et Ton a
adopté aussitôt une nouvelle attitude.
Ne pourrait-on pas, s'est-on dit, faire revivre
l'ancien équilibre européen, l'alliance franco-
russe ? Car il faut insister sur ce fait que les
Français comprennent aujourd'hui, bien long-
temps après les autres nations, que la Pologne
est trop faible. La république française qui s'en-
tendait si bien avec le tsarisme pourrait donc
s'entendre avec Le bolchevisme. Ce serait un ma-
riage de raison, mais qu'importe ! Cela pourtant
ne suffirait pas. Une telle union n'apporterait
aucun profit. Il faudrait donc quelque chose de
plus. Il faudrait notamment que la Russie sur-
veillât l'Allemagne, puisque la Pologne est trop
faible. Malheureusement, la Russie a intérêt à
demeurer l'amie de l'Allemagne et le problème
n'aurait jamais été résolu, si quelqu'un à Paris
ne s'était tout à coup souvenu, que la Russie
avait été aussi jadis l'alliée de l'Angleterre. Dès
lors, pourquoi ne pas accorder à la Russie une
part de l'indemnité allemande ? Elle pourrait
ainsi se joindre aux geôliers et d'autre part, en
tant. qu'alliée de la France, elle s'opposerait peut-
être au désarmement général de l'Europe. C'est
idiot, c'est ridicule, et pourtant Moscou s'inté-
resse au projet. Car certains russes redoutent
une tentative germano-britannique de restaura-
tion. Ces craintes sont peut-être fondées. Quoi
qu'il en soit, l'exploitation germano-britannique
serait, au moins, productive ; elle serait. surrout.
moins dangereuse que le militarisme financier
français. Bref la politique française est com-
plètement bouleversée, depuis que les Français
se sont rendu compte que les Russes seront évi-
demment à Gênes plus forts qu'on ne te pen-
sait. Mais il faut que la Russie choisisse, qu'elle
soit avec les défenseurs du système de Versailles
ou avec ses adversaires. Le mouvement dé
protestation contre ce système grandit et la pu-
blication du livre de M. Nitti : L'Europe sans
la paix » est une arme excellente pour les pro-
testa labres.! - Brailsford.
DAILY HERALD, 14.2.
L'ATTITUDE DES ETATS - UNIS. -
Sous le titre : « GOUVERNÉS PAR LA CRAINTE ».
— Les Etats-Unis né sont plus gouvernés
~p. l'>E-s
typ lft^ÉiRANGeRES
N° 1980
Mercredi 15 février- 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — U est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE. A1-I.UIANI)E. — Les pays rhénans et
Ca*3cl^°11 (Frankfurter Zeitung). —
u .N'Qg d'estructions en France » (Deut-
s e -Wgemeine Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - La Conféi-eti-ce (le
AMÉRIC.\INE. — La Conférence de
0^ ri6S; l'attitude des Etats-Unis (World);
lQ ^0'S,^^on de la France (New Republic);
la Pol't'. 'h'
politiqll'e de la Grande-Bretagne (Chi-
^°D c/in aUyNewx)
ANr,LA1SE" - Le Programme et la
d'Ue de la Conférence de Gênes (Daily
T I Daily Chronicle), - La
F>a 106 et les Soviets : bruits et possibi-
Jitég rapprochement (Brailsford dans
al y Heratcl). - » La crise de l'En-
t 6 »(Si.sl.e\' .Hu.ctdlestoll dans West-
1 azette). — Le projet de pacte
- .- TI annique (Mnrning Post).
'•°f'ITlQL:E GENERALE
CONFÉRENCE DE GÊNES
LE PROGRAMME ET LA DATE. —
SE'
es' malS à Paris et que la
Entent 6 ^evra^' ôtre représentée.
!s ^Qitis op c1 as 1 la s4ttiat,ioli 3era2it, co~m-
Cas' la situation serait com-
11 y aurait, à Gènes.
nati.y ons : les alliées et
Wh-^treapt ^Gs dernières seraient convo-
"atifier des décisions adoptées
S1®8 Puis? assisté T^UX(ïUG'l'1-es cilles n'auraient
Bai té. Un tell procede, a l'égard de
Bût !)8 que les .alliés veulent gagner à leur
cause ^ans -Ir ilitél.èt et dans t'intérét du
0 serait T dans l'intérêt du
t, et - l' aIt ^0ls incorrect et mala-
l'on f'M °nne que M. Poincaré n'en
rv..
t Ce est P'ü!1Ilt lies conséquences. Son in-
est' d'à utant t plus surprenante que,
Coinf* Il posait. ce principe
W £ k. prooà^Ce Gênes devrait em-
on® , Ure adoptée par la Société
U. Autres et alliés, même
%elli tra-vairient en commun. Les
res, notamment, ont joué un rôle im-
«
portant dans l'affaire de Silésie. Sur ce
point, par conséquent, l'argument français
ne parait point très solide. On annonce de
Rome (mais cette nouvelle n'est pas con-
firmée) que M. Benès a demandé, au nom
de tous les Etats successeurs de l'ancien
empire autrichien, un délai de trois se-
maines. Si cette information est exacte, ce
serait le résultat de l'action exercée récem-
ment par les propagandistes français dans
les capitales de la Petite Entente ; ce serait
peut-être aussi la preuve d'un désaccord
évident entre Prague, Bedigrade et Buca-
rest. Ces trois capitales sont d'accord pour
résister au chauvinisme magyar ; mais sur
les trois, deux seulement s'entendent pour
lutter contre le chauvinisme bulgare ; en
ce qui concerne la Russie, enfin, chacune
d'elles suit une politique différente : Prague
est pour la coopération; la Roumanie est
assez disposée à entrer en rapports avec
Moscou, sans aucun enthousiasme d'ail-
leurs ; Belgrade est hostile et reproche aux
Bolcheviks de soutenir les séparatistes et
communistes croates. On dit même que la
Serbie a été plus loin que ses voisins et al-
liés et qu'à la suite de la signature du
traité commercial avec l'Allemagne, elle a
renoncé à certaines sanctions spécifiées
dans le Traité de Versailles.
Les Etats frontières de Russie attachent,
en outre, autant d'importance à leurs ac-
cords. avec les Soviets que d'Entente en ac-
corde aux tralitès qu'elle a imposés à l'Alle-
magne. M sera donc intéressant de savoir
si à Gênes, l'Europe occidentale consentira
à accepter la responsabilité de ces accords,
en adoptant la clause de garantie mutuelle
contre toute agression ou si elle laissera
les Etats frontières s'entendre entre eux et
constituer une Ligue de la Baltique. C'est
ce point qui retient l'attention à Londres. -
(Rédacteur diplomatique).
7).-ÜLY TELEGRAPH, 14.2.
- Si l'on s'en rapporte à ce que dit la
presse française il semble que l'on désire
en France faire l'union entre les 'Alliés sur
un programme précis, avant la Conférence.
Ceci révèle une erreur d'interprétation. S'il
s'agissait d'étudier les Traités de paix, on
pourrait peut-être adopter une semblable
procédure. Mais, à Gènes, des Traités ne
seront pas examinés. On étudiera la si-
tuation économique de l'Europe, la pacifi-
cation, la reconstruction sur de nouvelles
baises et, par conséquent, plus l'on discu-
tera et mieux cela vaudra. En Angleterre
les préparatifs continuent comme si la
réunion devait avoir lieu le 8 mars. On
croit à l'étranger que le cabinet n'a pas
encore songé aux problèmes qui figureront
au programme. Certes, du côté anglais, on
demeure silencieux, mais il n'en est pas
moins vrai qu'une ligne de conduite a, p\è
adoptée, après mûre considération. (Rédac-
teur diplomatique).
DAILY CHRONICLE, 14. 2.
LA FRANCE ET LES SOVIETS. -
BRUITS ET POSSIBILITÉS DE RAPPROCHEMENT. —
Il peut paraître audacieux de parler aujourd'hui
sur la Conférence de Gênes qui ne se réunira
peut-être jamais. M. Poincaré, en effet, obtiendra
peut-être aussi une victoire décisive, grâce à
sa politique de torpillage et si c'est vraiment la -:
vidoire qui lui convient, il l'aura facilement, car
il est certain que la France peut retarder indé-
finiment la révision des Traités. si son isolement
moral lui procure la joie ; il est certain
d'autre, part que la revision des Traités est la
condition essentielle à la reconstruction. Qu'on.
le veuille ou non à Paris, il faudra bien qu'on
aborde le problème russe. L'on commence
d'ailleurs à s'en rendre compte, même en France
et voilà, du coup, un terrible cauchemar pour les
Français qui redoutent, plus encore que la me-
nace allemande, l'alliance russo-allemande. Ce
serait en effet la fin de l'hégémonie française. On
l'a compris sur les bords de la Seine et Ton a
adopté aussitôt une nouvelle attitude.
Ne pourrait-on pas, s'est-on dit, faire revivre
l'ancien équilibre européen, l'alliance franco-
russe ? Car il faut insister sur ce fait que les
Français comprennent aujourd'hui, bien long-
temps après les autres nations, que la Pologne
est trop faible. La république française qui s'en-
tendait si bien avec le tsarisme pourrait donc
s'entendre avec Le bolchevisme. Ce serait un ma-
riage de raison, mais qu'importe ! Cela pourtant
ne suffirait pas. Une telle union n'apporterait
aucun profit. Il faudrait donc quelque chose de
plus. Il faudrait notamment que la Russie sur-
veillât l'Allemagne, puisque la Pologne est trop
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demeurer l'amie de l'Allemagne et le problème
n'aurait jamais été résolu, si quelqu'un à Paris
ne s'était tout à coup souvenu, que la Russie
avait été aussi jadis l'alliée de l'Angleterre. Dès
lors, pourquoi ne pas accorder à la Russie une
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tant. qu'alliée de la France, elle s'opposerait peut-
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idiot, c'est ridicule, et pourtant Moscou s'inté-
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qu'il en soit, l'exploitation germano-britannique
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moins dangereuse que le militarisme financier
français. Bref la politique française est com-
plètement bouleversée, depuis que les Français
se sont rendu compte que les Russes seront évi-
demment à Gênes plus forts qu'on ne te pen-
sait. Mais il faut que la Russie choisisse, qu'elle
soit avec les défenseurs du système de Versailles
ou avec ses adversaires. Le mouvement dé
protestation contre ce système grandit et la pu-
blication du livre de M. Nitti : L'Europe sans
la paix » est une arme excellente pour les pro-
testa labres.! - Brailsford.
DAILY HERALD, 14.2.
L'ATTITUDE DES ETATS - UNIS. -
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