Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 février 1922 11 février 1922
Description : 1922/02/11 (T20,N1977). 1922/02/11 (T20,N1977).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533461
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
m.
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DS
rFAIRES -
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N" 19-17
Samedi 11 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE EMANDE' Le t>ut de la Grande-
^retae nea ('ênes (Correspondance de
retagne à Gênes (Correspondanoe de
Lond) a la Frankfurter Zeitung). —
Le r 0llVerïlPnt gréviste en Allemagne
Œlnische leitung) ; la « Nothilfe »
et lAc., '1 'J '[ .)
et Ic-, grève, (K œlr¡,¡sc w ,.('nng.
^E. AViLAISE- - La. Conférence de Gê-
es 1a note de la France (Times,
Illinste, Post, Daily Chronicle, West-
Inster Gazette, Daily Herald).
We^-^NK. — Le nouveau Pape
j} ( eUe Freie Prcsse>-
1\. ITALIENNE. - La position de l'Italie
..pl ès \Vashington (CfYl'l'iere della
*r>' a) L'élection de Pie XI (U101'.
""e POLITIQUE GENERALE
LA .CONFÉRENCE DE GÊNES
î>fE0TE DE LA FRANCE. - PRESSE
¡il ~d:' - es Bolcheviks accepter ont-ils
qqla ^rance considère comme
CP ^nsah'^116
quîter' PourS ? & ils f.ont semblant dse l'ac-
qui ^issem ]' ou tout au moins ceux
~~Mt~ le passé des Bolcheviks
Pourp"ils avoir foi dans une promesse
q.A.ait orié^ à toutes les °P,inioins
Par ^îessn
proffessent? Le programme doit être,
lquerlt, établi sur une base juri-
et ~n dT Prévenir toute contestation,
faut qu au.pwmvant les Alliés s.e m~et-
tent d' acc<*d t,'f" ^etrprétation des prm-
Carme' '* a(*ek, dans une récente
evv, d'est' mee à Provoquer en France
qh~ fU:SPicion«
ÎUh COÍfltre rAn«leteiTe' déclare
on t accepté avec joie l'invi-
Jblles « Nouo nous rendons avec plaisir à
nes ,dit-ii avec plaisir à
N>L les 0 Wn SYeprendre notre place
r^n - gra:n'cles PU.issanees » Dans l'en-
le critiques que la France adress-e
rr'era^r'^ SQ,lides nous paraissent extrê-
('re e, .nous paraissent extrê-
mement solides,On ne peut gurrl' y t'epcn-
1" \lQln q Il 'erl Sem ainsi, on essaierait
en vain de Ilir la Conférence. Ce serait
qui ec Cert. lUr la Conférenee. Ce serait
ne humiliation pour ceux
• ""Iç (Ed.,
Po ri t les a utenrs et la ruine de l'En-
TIMES, 10.2
— Les arguments de M. Poincaré en fa-
veur d'un délai nous paraissent valables et
conrÜr/mesl au précédent créé par les confé-
rences économiques antérieures.
Trois mois seraient, en effet, à peine
suffisants pour préparer une Conférence
qui, dans l'esprit de ses promoteurs, doit
donner une vie nouvelle à l'activité écono-
mique de l'Europe. Le délai est, par consé
quant, nécessaire, au point de vue écono-
mique. Mais il y a aussi une question poli-
tique, où sont impliquées la reconnaissance
du gouvernement bolchevik et la coopéra-
tion de l'Allemagne, et, à cet égard, on ne
saurait trop répéter que l'activité écono-
mique est fondée sur le crédit, que le crédit
est fondé sur la confiance, et que la con-
fiance elle-même dépend de la politique. En
un mot, la reconstruction de l'Europe est
entre les mains des hommes d'Etat et non
des économistes. Il faut donc avant tout
s'entendre sur certains points fondamen-
taux. Il faut que les voisins de la Russie
reçoivent des assurances en ce qui concerne
la protection de leurs frontières. Il faut en-
fin (et M. Poincaré insiste avec raison sur
ceci) que les Bolcheviks ne se bornent pas
à des promesses verbales, mais qu'ils don-
nent des garanties. Il est évident que des
problèmes aussi complexes ne pourront être
résolus à la Conférence que s'ils ont été étu-
diés auparavant par les diplomates et les
experts. (Ed.)
MORNING POST, 10.2.
— De Paris : Tandis que les Conserva-
teurs. approuvent les demandes dé
M. Poincaré, les Républicains avancés esti-
ment que les mesures de précaution que le
premier ministre réclame semblent être
destinées à prévenir la réunion ; et c'est
peut-être là l'idée de M. Poincaré. Un dé-
puté ami de M. Briand disait cet après-
midi : « Si M. Poincaré n'a point l'intention
de se rendre à Gênes, pourquoi ne l'an-
nonce-t-il pas ? Nous verrions alors ce que
la Chambre dirait ! »
Un diplomate français avec lequel je dis-
cutais aujourd'hui, m'a déclaré qu'on pré-
tendait à tort que M. Poincaré est hostile à
la Conférence et qu'il tente de la « sabo-
ter ». ,
Au contraire, dit-il, M. Poincaré désire
que la Conférence ait lieu et par cette raison
il souhaite que les Alliés délimitent les pro-
blèmes qui devront être examinés. Il ne
veut pas que la question des Traités appa-
raisse soudain dans le débat. — Henri
Bourdin. ,
DAILY CHRONICLE. 10.2
— Nous sommes heureux d'apprendre
que la France n'a pas l'intention de « tor-
piller » la. Conférence, mais il faut bien
reconnaître qu'en demandant un délai, elle
crée un danger. Il n'est pas nécessaire
que la France, l'Italie, l'Angleterre, en-
trent en bloc sur la scène, en mai ou en
mars, après avoir tracé au préalable la
liste des opinions qu'elles devront défen-
dre ; on peut même se demander si trois et
même six mois seraient suffisants pour
constituer ce bloc, si les accords prélimi-
naires devaient comprendre toutes les
questions politiques que M. Poincaré veut
résoudre avant que ne sonne l'heure de la
Conférence. Si l'on accepte les conditions
de M. Poincaré, de deux choses l'une : ou
bien les négociations préliminaires échoue-
ront et la Conférence n'aura pas lieu, ou
bien ces négociations aboutiront, et la
Conférence deviendra un Conseil Suprême
où les Alliés dicteront leurs conditions à
l'Allemagne et à la Russie. Or, il nous
semblait que c'était précisément pour évi-
ter la seconde de ces conclusions que l'on
avait proposé cette Conférence. Pendant
trois ans, les Alliés ont essayé de fixer le
montant de la dette de guerre et d'obtenir
cet argent, ils n'ont rien obtenu. ; on au-
rait donc pu croire, qu'après un tel échec,
ils auraient tenté d'appliquer le seul plan
pratique, celui qui consiste à admettre l'Al-
lemagne à la Conférence. et à l'entendre-
Si cela est impossible, si la foi qu'ont les
Français dans le Traité ne permet pas
d'exploiter à fond le terrain, quelle peut
être l'utilité de cette Conférence?. Au
cours du débat d'hier, le premier ministre
a demandé au parti libéral des renseigne-
ments sur son attitude à l'égard de la
France ; il semble croire que les expres-
sions de sympathie de Lord Grey et. d'au-
tres impliquent une ratification de la poli-
tique Poincaré en ce qui concerne les ré-
parations. En quelques mots, nous allons
renseigner M. Lloyd George. Les libéraux
déplorent l'existence du malentendu franco-
anglais, mais ils ne croient, pas qu'on
puisse le dissiper en employant les métho-
des que l'on pratique actuellement ; ils
estiment qu'il est dû en grande partie au
mauvais exemple donné par notre gouver-
nement, à la fois en ce qui concerne les
réparations et les questions posées par le
Traité. ; ils pensent qu'on aurait pu pré-
venir bien des troubles, si l'on avait révélé
à nos alliés l'opinion du pays. Une expli-
cation franche, un examen des méthodes
qui permettront de résoudre la crise finan-
cière en France, est aujourd'hui le re-
mède ; mais nous ne devons pas inciter les
Français à croire que nous partageons leur
confiance apparente dans la force. — (Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 10.2.
- Les impérialistes français ont décidé
que la Conférence n'aurait pas lieu. Ces
gens-là sont forts puisqu'ils, ont renversé
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Samedi 11 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE EMANDE' Le t>ut de la Grande-
^retae nea ('ênes (Correspondance de
retagne à Gênes (Correspondanoe de
Lond) a la Frankfurter Zeitung). —
Le r 0llVerïlPnt gréviste en Allemagne
Œlnische leitung) ; la « Nothilfe »
et lAc., '1 'J '[ .)
et Ic-, grève, (K œlr¡,¡sc w ,.('nng.
^E. AViLAISE- - La. Conférence de Gê-
es 1a note de la France (Times,
Illinste, Post, Daily Chronicle, West-
Inster Gazette, Daily Herald).
We^-^NK. — Le nouveau Pape
j} ( eUe Freie Prcsse>-
1\. ITALIENNE. - La position de l'Italie
..pl ès \Vashington (CfYl'l'iere della
*r>' a) L'élection de Pie XI (U101'.
""e
LA .CONFÉRENCE DE GÊNES
î>fE0TE DE LA FRANCE. - PRESSE
¡il ~d:' - es Bolcheviks accepter ont-ils
qqla ^rance considère comme
CP ^nsah'^116
quîter' PourS ? & ils f.ont semblant dse l'ac-
qui ^issem ]' ou tout au moins ceux
~~Mt~ le passé des Bolcheviks
Pourp"ils avoir foi dans une promesse
q.A.ait orié^ à toutes les °P,inioins
Par ^îessn
proffessent? Le programme doit être,
lquerlt, établi sur une base juri-
et ~n dT Prévenir toute contestation,
faut qu au.pwmvant les Alliés s.e m~et-
tent d' acc<*d t,'f" ^etrprétation des prm-
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ÎUh COÍfltre rAn«leteiTe' déclare
on t accepté avec joie l'invi-
Jblles « Nouo nous rendons avec plaisir à
nes ,dit-ii avec plaisir à
N>L les 0 Wn SYeprendre notre place
r^n - gra:n'cles PU.issanees » Dans l'en-
le critiques que la France adress-e
rr'era^r'^ SQ,lides nous paraissent extrê-
('re e, .nous paraissent extrê-
mement solides,On ne peut gurrl' y t'epcn-
1" \lQln q Il 'erl Sem ainsi, on essaierait
en vain de Ilir la Conférence. Ce serait
qui ec Cert. lUr la Conférenee. Ce serait
ne humiliation pour ceux
• ""Iç (Ed.,
Po ri t les a utenrs et la ruine de l'En-
TIMES, 10.2
— Les arguments de M. Poincaré en fa-
veur d'un délai nous paraissent valables et
conrÜr/mesl au précédent créé par les confé-
rences économiques antérieures.
Trois mois seraient, en effet, à peine
suffisants pour préparer une Conférence
qui, dans l'esprit de ses promoteurs, doit
donner une vie nouvelle à l'activité écono-
mique de l'Europe. Le délai est, par consé
quant, nécessaire, au point de vue écono-
mique. Mais il y a aussi une question poli-
tique, où sont impliquées la reconnaissance
du gouvernement bolchevik et la coopéra-
tion de l'Allemagne, et, à cet égard, on ne
saurait trop répéter que l'activité écono-
mique est fondée sur le crédit, que le crédit
est fondé sur la confiance, et que la con-
fiance elle-même dépend de la politique. En
un mot, la reconstruction de l'Europe est
entre les mains des hommes d'Etat et non
des économistes. Il faut donc avant tout
s'entendre sur certains points fondamen-
taux. Il faut que les voisins de la Russie
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la protection de leurs frontières. Il faut en-
fin (et M. Poincaré insiste avec raison sur
ceci) que les Bolcheviks ne se bornent pas
à des promesses verbales, mais qu'ils don-
nent des garanties. Il est évident que des
problèmes aussi complexes ne pourront être
résolus à la Conférence que s'ils ont été étu-
diés auparavant par les diplomates et les
experts. (Ed.)
MORNING POST, 10.2.
— De Paris : Tandis que les Conserva-
teurs. approuvent les demandes dé
M. Poincaré, les Républicains avancés esti-
ment que les mesures de précaution que le
premier ministre réclame semblent être
destinées à prévenir la réunion ; et c'est
peut-être là l'idée de M. Poincaré. Un dé-
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midi : « Si M. Poincaré n'a point l'intention
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la Chambre dirait ! »
Un diplomate français avec lequel je dis-
cutais aujourd'hui, m'a déclaré qu'on pré-
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la Conférence et qu'il tente de la « sabo-
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Au contraire, dit-il, M. Poincaré désire
que la Conférence ait lieu et par cette raison
il souhaite que les Alliés délimitent les pro-
blèmes qui devront être examinés. Il ne
veut pas que la question des Traités appa-
raisse soudain dans le débat. — Henri
Bourdin. ,
DAILY CHRONICLE. 10.2
— Nous sommes heureux d'apprendre
que la France n'a pas l'intention de « tor-
piller » la. Conférence, mais il faut bien
reconnaître qu'en demandant un délai, elle
crée un danger. Il n'est pas nécessaire
que la France, l'Italie, l'Angleterre, en-
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mars, après avoir tracé au préalable la
liste des opinions qu'elles devront défen-
dre ; on peut même se demander si trois et
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être l'utilité de cette Conférence?. Au
cours du débat d'hier, le premier ministre
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ments sur son attitude à l'égard de la
France ; il semble croire que les expres-
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tres impliquent une ratification de la poli-
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déplorent l'existence du malentendu franco-
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