Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 février 1922 07 février 1922
Description : 1922/02/07 (T20,N1973). 1922/02/07 (T20,N1973).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253342c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
"•«ISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
-N" 1973
Mardi 7 lévrier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE R tt'
pries~ E ALLBMANDE. — Le cardinal Ratti
(Koelnische Zeitung, Neue Badische
l 'Sze*,t;uny)- — La personnalité de
M Hugo Stinnes (Frankfurter Zeitung).
Gm AMÉIUCAINE. — La France et la
GranH * Bretagne à Washington (Ed-
ward T Lowry, dans Washington Post).
SSE. ANGLAISE. — Les réparations : mora-
torIum et réduction des paiements (Sun-
day T.imes). — La France et les sous-
lOarins : Il l'erreur de Lord Lee » (Ti-
nes) J La France et la Conférence de
Qân nés (Morning Post). — France et
Ie : Possibilités de rapprochement
(DailU Herald). La crise italienne et
la Conférence de Gênes (Daily Tele-
graph). - La circulation du D'aily Mail
(Daily Mait).
SE ESPAGNOLE. -- La question die Tanger
PRES ESPAG\OLE. — La question de Tanger
(Vanguardia).
^ESsp HOLLANDAISE. — La Conférence de
Gênes : d,a France et les neutres (Haag-
sche Post).
Politique GENERALE
LES REPARATIONS
P^EME^2?IU3VI ET REDUCTION DES
lubiENTS - - LE CONSEIL SUPRÊME ET LA
^°MMISSIN N DEs RÉPARATIONS. — UN EMPRUNT
EN FRANCE - De- : A la suiite d'un en-
tre,t. lerl d'iurT" ^arilS : A la SUjiite d'un en-
Ure avec une personnalité
(1°rineP >ie 6 ^0nt.. îe ne puis, bien entendu,
le nom), iq suis en mesure de vous
adresser quelques l'enseignements intéres-
ue les événements futurs, en ce
coaioerm e les réparations. Pour le mo-
la. ré on ne sait elYCore ce que l'on fera de
r réPonsp e s ait encowe ce que l'on fera de
e a *a demande de la
tions de j.., des Réparations sur les inten-
1lf^n'e relativement aux éché-
Ces de 1929T.Allernagne n'a pas répondu;
e)i® a "Iliqué tout un projet de réformes
oi elle
Se d'appliquer, mais elle
mais elle
6!! Suprême ou à la Commis-
v? le soin de fixer la somme qu'elle devra
f cettp lnnée"- L'Allemagne pourtant
720 remaronr que si on l'oblige à verser
de Aillions r)ie
adQptë 8 or or, plus 1.250 millions
Par t ®nv*r°n en nature (chiffre
ad té Par t les membres du Conseil
Suprême, sauf par les Français, à Can-
nes, avant La chute de M. Briand), elle ne
pourra obéir qu'en risquant la faillite, ce
qui, dit-elle, serait aussi dangereux pour
les alliés que pour elle-même. Qui fixera
donc la somme ? La Commission ou le
Conseil Suprême ?
Le Conseil étant « suprême » a le droit
de régler la question, s'il le désire, et l'on
croit que c'est l'intention de M. Lloyd
George. Mais M. Poincaré a manifesté son
hostilité et déclaré que le Conseil Suprême
ne saurait, d'après lui, se charger de ces
questions. Il semble donc que conformé-
ment aux principes qu'il a exposés, M.
Poincaré soit prêt à confier la tâche à la
Commission. On me dit d'ailleurs que pour
« certaine raison », indépendamment do
-la raison de politique générale, M. Poin-
caré est nettement favorable à la Commis-
sion. J'apprends que son opinion a consi-
dérablement évolué quant à la somme que
l'on peut demander à l'Allemagne, cette
année. On dit que l'argument de la des-
truction de « la poule aux œufs d'or » l'a
vivement impressionné. La personnalité
qui m'a reçu m'a dit que M. Poincaré se-
rait disposé à accepter non seulement le
chiffre de Canines, 720 millions de marks
or, mais encore une réduction du total, à
la condition que cette amputation lui fût
présentée comme un « acte de la Com-
mission ». Quelque peu gêné par ses arti-
cles précédents sur l'application à la lettre
des traités, il est naturellement peu dis-
posé à adhérer personnellement à une mo-
dification semblable, ce qu'il devrait faire
pourtant, si la décision était prise par le
Conseil Suprême dont il est membre.
Mais la question du budget demeure ou-
verte. Le financier que j'ai interviewé m'a
indiqué un remède audacieux, si audacieux
même que l'on doit s'attendre à une explo-
sion de colère en France. « Ce qu'il nous
faut, dit-il, pour équilibrer le budget, ce sont
des francs et il y en a en quantité ». Il
suffirait donc de faire un emprunt alle-
mand en France, dont le montant serait
crédité au compte de l'Allemagne, mais
qui resterait à la France.
Cet emprunt donnerait confiance à l'Al-
lemagne, à la France et aux autres na-
tions. Il est probable que, dans ce cas,
l'Angleterre et l'Amérique se montreraient
disposées à laincer, elles aussi, un em-
prunt allemand. Cela aurait pour effet
de rétablir le mark et de permettre à l'Al-
lemagne de payer ses dettes avec moins
de difficultés et sans inquiétudes. Enfin
ces emprunts amèneraient probablement
les capitalistes allemands, qui ont en-
voyé leurs capitaux à l'étranger, à les
faire revenir en Allemagne pour éviter de
supporter la perte qu'entraînerait l'aug-
mentation de la valeur du mark. Il est
probable que cette idée provoquera non
seulement de l'émoi, mais de la colère,
même, si l'on déclare que le rembourse-
ment de l'emprunt aura, la priorité sur les
réparations dues aux autres nations. On
croit pourtant, dans le cercle d'où cette
suggestion émane, que l'Allemagne ferait
un effort sincère, si l'on fixait le montant,
de lia, somme à un taux raisonnable. Tant
qu'elle jugera que ce qu'on lui demande
dépasse sa capacité, elle résistera. On hé-
site à se prononcer sur le montant « rai-
sonnable », car on craint de froisser les
susceptibilités françaises. Rappelons que
les Allemands ont offert, par l'intermé-
diaire du président Harding, 50 milliards
de marks or. Ce chiffre est jugé « raison-
nable » dans les autres sphères.
Le peuple français pourrait croire, si
cette somme était avancée par l'Angle-
terre, que nous secourons l'Allemagne aux
dépens de la France. Il est bien difficile de
lui faire comprendre que les financiers
britanniques envisagent la question uni-
quement au point de vue pratique. Le
sentiment de l'Angleterre à l'égard de la
France s'est manifesté à propos de l'ac-
cord de Wiesbaden.
Bien que l'Angleterre n'ait pas signé, la
France pourrait recevoir des livraisons en
nature. Les Anglais ne cherchent pas à
savoir si de telles livraisons ont déjà été
effectuées. Si elles l'ont déjà été, les An-
glais ferment les yeux, peut-on dire, pour
que la France n'ait pas à subir un dom-
mage du fait du retard apporté à la rati-
fication. — R. Atkinson.
SUNDAY TIMES, 5.2.
——— ———
LA CONFÉRENCE
DE WASHINGTON
L'ATTITUDE DE LA FRANCE ET DE LA
GRANDE-BRETAGNE. — OPINION AMÉRI-
CAINE. — .Si les Français n'avaient pas
montré un manque presque total de com-
préhension de nos sentiments à leur égard
et de l'esprit dans lequel la conférence avait
été réunie, ils auraient pu rentrer chez eux
les bras chargés de bienfaits ! même avec
des garanties pour leur sécurité future. Le
peuple français ne saura jamais ce qu'un
geste large, généreux et ouvert de ses repré-
sentants aurait fait pour lui ici et comment
il a manqué un grand triomphe en nous
laissant découvrir, selon les termes de Per-
tinax, combien son idéal est « plein de
replis et de détours ».
Les Anglais se sont assuré ici (entre
autres choses )une grande réserve de bonne
volonté et ils y sont arrivés par le moyen
simple qui consistait à se ranger aux côtés
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
-N" 1973
Mardi 7 lévrier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE R tt'
pries~ E ALLBMANDE. — Le cardinal Ratti
(Koelnische Zeitung, Neue Badische
l 'Sze*,t;uny)- — La personnalité de
M Hugo Stinnes (Frankfurter Zeitung).
Gm AMÉIUCAINE. — La France et la
GranH * Bretagne à Washington (Ed-
ward T Lowry, dans Washington Post).
SSE. ANGLAISE. — Les réparations : mora-
torIum et réduction des paiements (Sun-
day T.imes). — La France et les sous-
lOarins : Il l'erreur de Lord Lee » (Ti-
nes) J La France et la Conférence de
Qân nés (Morning Post). — France et
Ie : Possibilités de rapprochement
(DailU Herald). La crise italienne et
la Conférence de Gênes (Daily Tele-
graph). - La circulation du D'aily Mail
(Daily Mait).
SE ESPAGNOLE. -- La question die Tanger
PRES ESPAG\OLE. — La question de Tanger
(Vanguardia).
^ESsp HOLLANDAISE. — La Conférence de
Gênes : d,a France et les neutres (Haag-
sche Post).
Politique GENERALE
LES REPARATIONS
P^EME^2?IU3VI ET REDUCTION DES
lubiENTS - - LE CONSEIL SUPRÊME ET LA
^°MMISSIN N DEs RÉPARATIONS. — UN EMPRUNT
EN FRANCE - De- : A la suiite d'un en-
tre,t. lerl d'iurT" ^arilS : A la SUjiite d'un en-
Ure avec une personnalité
(1°rineP >ie 6 ^0nt.. îe ne puis, bien entendu,
le nom), iq suis en mesure de vous
adresser quelques l'enseignements intéres-
ue les événements futurs, en ce
coaioerm e les réparations. Pour le mo-
la. ré on ne sait elYCore ce que l'on fera de
r réPonsp e s ait encowe ce que l'on fera de
e a *a demande de la
tions de j.., des Réparations sur les inten-
1lf^n'e relativement aux éché-
Ces de 1929T.Allernagne n'a pas répondu;
e)i® a "Iliqué tout un projet de réformes
oi elle
Se d'appliquer, mais elle
mais elle
6!! Suprême ou à la Commis-
v? le soin de fixer la somme qu'elle devra
f cettp lnnée"- L'Allemagne pourtant
720 remaronr que si on l'oblige à verser
de Aillions r)ie
adQptë 8 or or, plus 1.250 millions
Par t ®nv*r°n en nature (chiffre
ad té Par t les membres du Conseil
Suprême, sauf par les Français, à Can-
nes, avant La chute de M. Briand), elle ne
pourra obéir qu'en risquant la faillite, ce
qui, dit-elle, serait aussi dangereux pour
les alliés que pour elle-même. Qui fixera
donc la somme ? La Commission ou le
Conseil Suprême ?
Le Conseil étant « suprême » a le droit
de régler la question, s'il le désire, et l'on
croit que c'est l'intention de M. Lloyd
George. Mais M. Poincaré a manifesté son
hostilité et déclaré que le Conseil Suprême
ne saurait, d'après lui, se charger de ces
questions. Il semble donc que conformé-
ment aux principes qu'il a exposés, M.
Poincaré soit prêt à confier la tâche à la
Commission. On me dit d'ailleurs que pour
« certaine raison », indépendamment do
-la raison de politique générale, M. Poin-
caré est nettement favorable à la Commis-
sion. J'apprends que son opinion a consi-
dérablement évolué quant à la somme que
l'on peut demander à l'Allemagne, cette
année. On dit que l'argument de la des-
truction de « la poule aux œufs d'or » l'a
vivement impressionné. La personnalité
qui m'a reçu m'a dit que M. Poincaré se-
rait disposé à accepter non seulement le
chiffre de Canines, 720 millions de marks
or, mais encore une réduction du total, à
la condition que cette amputation lui fût
présentée comme un « acte de la Com-
mission ». Quelque peu gêné par ses arti-
cles précédents sur l'application à la lettre
des traités, il est naturellement peu dis-
posé à adhérer personnellement à une mo-
dification semblable, ce qu'il devrait faire
pourtant, si la décision était prise par le
Conseil Suprême dont il est membre.
Mais la question du budget demeure ou-
verte. Le financier que j'ai interviewé m'a
indiqué un remède audacieux, si audacieux
même que l'on doit s'attendre à une explo-
sion de colère en France. « Ce qu'il nous
faut, dit-il, pour équilibrer le budget, ce sont
des francs et il y en a en quantité ». Il
suffirait donc de faire un emprunt alle-
mand en France, dont le montant serait
crédité au compte de l'Allemagne, mais
qui resterait à la France.
Cet emprunt donnerait confiance à l'Al-
lemagne, à la France et aux autres na-
tions. Il est probable que, dans ce cas,
l'Angleterre et l'Amérique se montreraient
disposées à laincer, elles aussi, un em-
prunt allemand. Cela aurait pour effet
de rétablir le mark et de permettre à l'Al-
lemagne de payer ses dettes avec moins
de difficultés et sans inquiétudes. Enfin
ces emprunts amèneraient probablement
les capitalistes allemands, qui ont en-
voyé leurs capitaux à l'étranger, à les
faire revenir en Allemagne pour éviter de
supporter la perte qu'entraînerait l'aug-
mentation de la valeur du mark. Il est
probable que cette idée provoquera non
seulement de l'émoi, mais de la colère,
même, si l'on déclare que le rembourse-
ment de l'emprunt aura, la priorité sur les
réparations dues aux autres nations. On
croit pourtant, dans le cercle d'où cette
suggestion émane, que l'Allemagne ferait
un effort sincère, si l'on fixait le montant,
de lia, somme à un taux raisonnable. Tant
qu'elle jugera que ce qu'on lui demande
dépasse sa capacité, elle résistera. On hé-
site à se prononcer sur le montant « rai-
sonnable », car on craint de froisser les
susceptibilités françaises. Rappelons que
les Allemands ont offert, par l'intermé-
diaire du président Harding, 50 milliards
de marks or. Ce chiffre est jugé « raison-
nable » dans les autres sphères.
Le peuple français pourrait croire, si
cette somme était avancée par l'Angle-
terre, que nous secourons l'Allemagne aux
dépens de la France. Il est bien difficile de
lui faire comprendre que les financiers
britanniques envisagent la question uni-
quement au point de vue pratique. Le
sentiment de l'Angleterre à l'égard de la
France s'est manifesté à propos de l'ac-
cord de Wiesbaden.
Bien que l'Angleterre n'ait pas signé, la
France pourrait recevoir des livraisons en
nature. Les Anglais ne cherchent pas à
savoir si de telles livraisons ont déjà été
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glais ferment les yeux, peut-on dire, pour
que la France n'ait pas à subir un dom-
mage du fait du retard apporté à la rati-
fication. — R. Atkinson.
SUNDAY TIMES, 5.2.
——— ———
LA CONFÉRENCE
DE WASHINGTON
L'ATTITUDE DE LA FRANCE ET DE LA
GRANDE-BRETAGNE. — OPINION AMÉRI-
CAINE. — .Si les Français n'avaient pas
montré un manque presque total de com-
préhension de nos sentiments à leur égard
et de l'esprit dans lequel la conférence avait
été réunie, ils auraient pu rentrer chez eux
les bras chargés de bienfaits ! même avec
des garanties pour leur sécurité future. Le
peuple français ne saura jamais ce qu'un
geste large, généreux et ouvert de ses repré-
sentants aurait fait pour lui ici et comment
il a manqué un grand triomphe en nous
laissant découvrir, selon les termes de Per-
tinax, combien son idéal est « plein de
replis et de détours ».
Les Anglais se sont assuré ici (entre
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