Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 février 1922 06 février 1922
Description : 1922/02/06 (T20,N1972). 1922/02/06 (T20,N1972).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253341z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MlMSTÈHK
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N°1972
Lundi 6 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDF'- - ^'affaire de Péters-
dorf (Frankfurter Zeitung). - « Stin-
p ne.s-Rût.henan » (Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMERICAINE. - Les immigrants na-
t n rl 1 s
Post) Les conversations
-sse anglaise. — Les conversations
franco britanniques (Times, Daily
r^ron'cfc\ Westminster Gazette). "- La
erise mi^nistériel!le italienne (Daily Tele-
» DaHU Chronicle, Times, Mor-
nniinn 0 Post).
.,. r. ITaliennk- — La crise ministérielle
iro Tru>re della Sera, Secolo, Tribuna.
LPoca).
POLITIQUE GENERALE
FRANCE ET GRANDE BRETAGNE
i CONVERSATIONS EN COURS. -
- pRoi DE PACTE. — LEs AFFAIRES D'ORIENT.
La m ° Ference DE GÊNES. - * Pour rè-
Pon d re au compte rendu quelque peu pessi-
ales e on1 a été publié hier, dans les cer-
et é. brî/f^l'ques, reliaitivement au pacte
et à la question orientale, il faut dire que,
bien que les deux gouvernements ne soient
Parfa1 -fenient d'accùird, et que ces quel-
ÇUes di d'accard, et que ces quel-
éc~ ~~ces aient donné lieu à un
échange, de Vues Sur la question du pacte,
et à l'ajournement de la Conférence sur
'Orient ■ de la Conférence sur
'end il est très possible que le diffé-
ment. s p
Pan Se connaît maintenant la ré-
^11^116 à la thèse française ex-
's le r cent memorandum ; en ce
qui con,cp 116 fle mémorandum, la situation
î10 s'ôst n/8 MOdifiée ; les Français inisis-
tent sur ij. lels FrançaLS lJI)lSlS-
?.eptain-es ^Cess,^é d'insérer dans le pacte
tiQIlg Ines. es relatives aux consulta-
frq,n périr^ (îues entre les commandements
11110 ^n^a^s- C'est une modification
à 1,0, sues 0n originale qui envisageait
ment britn • militaire; le gouvet'ne-
ceptez. b rita.rlrlique - ne croit pas devoir ac-
celpt 'Ir rtant ces consultations périodi-
^es, p Plus d'ailleurs que l'autre sug-
^tion fr
e qui tendait à obtenir de
e qu'elle s'engageât à soutenir
î, 68 régi ahons militaires de la France dans
la régi r >f nanei en cas de troubles.
g terre répond que le Traité de Ver-
sailles entraine une obligation solidaire
pour elle-même, comme pour les autres si-
gnataires en ce qui concerne toutes les sti-
pulations du traité. Sur certains points, les
deux gouvernements soutiennent deux thè-
ses divergentes ; mais il ne s'ensuit pas
qu'ils ne trouveront pas bientôt un terrain
d'entente en ce qui concerne le pacte; on
dit dans les cercles britanniques bien in-
formées que les conversations seraient inu-
tiles, si les deux nations étaient d'accord,
et que les difficultés ne pourront être réso-
lues que par une explication franche. La
même remarque s'applique à la question
orientale; l'échange de vues est destiné à
préparer la voie à la Conférence des mi-
nistres étrangers ; on espère que la Con-
férence aura lieu prochainement.
TIMES, 1.2.
- * M. Poincaré qui est, croit-on, mal-
gré son air rébarbatif, un ami de l'Angle-
terre, a envoyé une note aux gouverne-
ments alliés pour les engager à une consul-
tation préliminaire. C'est exactement comme
si un invité à un dîner officiel invitait les
convives à un « casse-croûte » préliminaire
chez lui, et le fait d'ajouter sur les invita-
tions (ainsi que le fait M. Poincaré), que le
diner préliminaire a pour objet de réparer
les erreurs, les imperfections et les contra-
dictions du dîner officiel, ne diminueraient
pas l'étrangeté du procédé. On dit ^ue
M. Poincaré, pour qui nous avons beaucoup
de respect, a l'intention d'étouffer la réu-
nion de Gênes par un excès de sollicitude,
assez semblable à celui d'une marâtre. Mais
si vraiment les objections qu'on nous si-
gnale de Paris sont les objections officielles,
M. Poincaré est plus scrupuleux qu'habile.
Il déclare, par exemple, que la législation
russe ne reconnaît pas actuellement la pro-
priété privée, et il se demande comment on
pourra engager des pourparlers commer-
ciaux avec la Russie si cette législation
n'est pas modifiée. A cela nous répondrons
que nous avons déjà commencé. Le véri-
table conflit à Gênes ne portera pas sur le
terrain aride de la logique, mais sur une
alternative. D'une part, nous aurons ce
qu'on peut appeler (et que M. Poincaré n'y
voie aucun mal), la conception germanique
et bismarckienne de la diplomatie, qui ne
tend qu'à établir en Europe une hégémonie
ou une suprématie sous la protection des
armements et des alliances et, d'autre part,à
la conception opposée, celle d'un nouveau
concert européen, sous la protection des lois
et d'une solidarité mutuelle. L'Angleterre a
adopté le second système. Nous hésitons à
croire que la France ait adopté le premier.
Quand M. Poincaré, en songeant au nouvel
idéal de l'Europe, redoute que les intérêts
français ne soient en péril, il se montre in-
juste à l'égard de la France. Si elle veut
bien réfléchir, elle se rendra compte, eu
effet, que sa puissance en Europe doit être
basée sur l'idéalisme et sur l'unité poli-
tique. (Ed.)
..DAILY CHRONICLE, 4.2.
— Il faut vraiment avoir la foi pour croire
que les pourparlers anglo-français relative-
ment au pacte et à la Conférence de Gênes
progressent favorablement, Il y a une diffé-
rence fondamentale entre la garantie sim-
ple que le gouvernement britannique offrait
à la France à Cannes et cette alliance
militaire étroite que M. Poincaré semble
désirer. Aucun gouvernement, britannique
ne pourrait aller plus loin que n'a fait
M. Lloyd George. En outre, le pacte sous-
entendait une coopération de la part de la
France, en vue d'assurer le succès de la
Conférence de Gênes. Le document publié
hier à Paris prouve que M. Poincaré veut
réduire le champ d'activité de la Conférence
à un degré tel que l'échec paraît inévitable.
Il voudrait interdire toute discussion sur
les réparations et sur les modifications aux
traités. Malheureusement pour l'Europe,
ces traités ébranlent ses fondations écono-
miques. Un simple exemple : les articles
217-222 du Traité avec l'Autriche et les
articles 200-205 du Traité avec la Hongrie
interdisent aux successeurs de l'ancien
empire austro-hongrois d'adopter un sys-
tème de libre échange. Ils interdisent à
l'Autriche et à la Hongrie d'accorder à une
autre nation un traitement plus favorable
que celui qu'elles accordent aux nations
alliées et ils ne réduisent cette incapacité
qu'en permettant à l'Autriche, à la Hongrie
et à la Tchéco-Slovaquie de passer entre
elles des accords commerciaux particu-
liers, à la condition que ces accords ne
portent que sur certains articles essentiels
« fabriqués dans ces pays et envoyés par
ces pays » et à la condition que ces accords
ne soient signés que pour une période de
cinq ans, à dater de l'entrée en vigueur des
Traités.
M. Poincaré serait peut-être le premier
à réclamer l'abandon de ces clauses. Les
économistes et les commerçants pratiques
sont d'accord pour reconnaître que la li-
berté commerciale et le libre transit sur
les territoires des anciennes possessions
des Habsbourgs sont nécessaires à la re-
construction économique. Et ce n'est qu'un
exemple. Le monde ne peut se laisser en-
traîner à la ruine, sous prétexte de ne
pas modifier un seul article des parchemins
de 1919.. Certes, il faut reconnaître quo
l'attitude de la France et des Etats-Unis et
la situation politique de l'Italie ne contri-
buent guère à éclairer pour le moment
à l'horizon de Gênes. Peut-être même fau-
dra-t-il retarder la Conférence et discuter
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N°1972
Lundi 6 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDF'- - ^'affaire de Péters-
dorf (Frankfurter Zeitung). - « Stin-
p ne.s-Rût.henan » (Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMERICAINE. - Les immigrants na-
t n rl 1 s
Post) Les conversations
-sse anglaise. — Les conversations
franco britanniques (Times, Daily
r^ron'cfc\ Westminster Gazette). "- La
erise mi^nistériel!le italienne (Daily Tele-
» DaHU Chronicle, Times, Mor-
nniinn 0 Post).
.,. r. ITaliennk- — La crise ministérielle
iro Tru>re della Sera, Secolo, Tribuna.
LPoca).
POLITIQUE GENERALE
FRANCE ET GRANDE BRETAGNE
i CONVERSATIONS EN COURS. -
- pRoi DE PACTE. — LEs AFFAIRES D'ORIENT.
La m ° Ference DE GÊNES. - * Pour rè-
Pon d re au compte rendu quelque peu pessi-
ales e on1 a été publié hier, dans les cer-
et é. brî/f^l'ques, reliaitivement au pacte
et à la question orientale, il faut dire que,
bien que les deux gouvernements ne soient
Parfa1 -fenient d'accùird, et que ces quel-
ÇUes di d'accard, et que ces quel-
éc~ ~~ces aient donné lieu à un
échange, de Vues Sur la question du pacte,
et à l'ajournement de la Conférence sur
'Orient ■ de la Conférence sur
'end il est très possible que le diffé-
ment. s
Pan Se connaît maintenant la ré-
^11^116 à la thèse française ex-
's le r cent memorandum ; en ce
qui con,cp 116 fle mémorandum, la situation
î10 s'ôst n/8 MOdifiée ; les Français inisis-
tent sur ij. lels FrançaLS lJI)lSlS-
?.eptain-es ^Cess,^é d'insérer dans le pacte
tiQIlg Ines. es relatives aux consulta-
frq,n périr^ (îues entre les commandements
11110 ^n^a^s- C'est une modification
à 1,0, sues 0n originale qui envisageait
ment britn • militaire; le gouvet'ne-
ceptez. b rita.rlrlique - ne croit pas devoir ac-
celpt 'Ir rtant ces consultations périodi-
^es, p Plus d'ailleurs que l'autre sug-
^tion fr
e qui tendait à obtenir de
e qu'elle s'engageât à soutenir
î, 68 régi ahons militaires de la France dans
la régi r >f nanei en cas de troubles.
g terre répond que le Traité de Ver-
sailles entraine une obligation solidaire
pour elle-même, comme pour les autres si-
gnataires en ce qui concerne toutes les sti-
pulations du traité. Sur certains points, les
deux gouvernements soutiennent deux thè-
ses divergentes ; mais il ne s'ensuit pas
qu'ils ne trouveront pas bientôt un terrain
d'entente en ce qui concerne le pacte; on
dit dans les cercles britanniques bien in-
formées que les conversations seraient inu-
tiles, si les deux nations étaient d'accord,
et que les difficultés ne pourront être réso-
lues que par une explication franche. La
même remarque s'applique à la question
orientale; l'échange de vues est destiné à
préparer la voie à la Conférence des mi-
nistres étrangers ; on espère que la Con-
férence aura lieu prochainement.
TIMES, 1.2.
- * M. Poincaré qui est, croit-on, mal-
gré son air rébarbatif, un ami de l'Angle-
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tation préliminaire. C'est exactement comme
si un invité à un dîner officiel invitait les
convives à un « casse-croûte » préliminaire
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tions (ainsi que le fait M. Poincaré), que le
diner préliminaire a pour objet de réparer
les erreurs, les imperfections et les contra-
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pas l'étrangeté du procédé. On dit ^ue
M. Poincaré, pour qui nous avons beaucoup
de respect, a l'intention d'étouffer la réu-
nion de Gênes par un excès de sollicitude,
assez semblable à celui d'une marâtre. Mais
si vraiment les objections qu'on nous si-
gnale de Paris sont les objections officielles,
M. Poincaré est plus scrupuleux qu'habile.
Il déclare, par exemple, que la législation
russe ne reconnaît pas actuellement la pro-
priété privée, et il se demande comment on
pourra engager des pourparlers commer-
ciaux avec la Russie si cette législation
n'est pas modifiée. A cela nous répondrons
que nous avons déjà commencé. Le véri-
table conflit à Gênes ne portera pas sur le
terrain aride de la logique, mais sur une
alternative. D'une part, nous aurons ce
qu'on peut appeler (et que M. Poincaré n'y
voie aucun mal), la conception germanique
et bismarckienne de la diplomatie, qui ne
tend qu'à établir en Europe une hégémonie
ou une suprématie sous la protection des
armements et des alliances et, d'autre part,à
la conception opposée, celle d'un nouveau
concert européen, sous la protection des lois
et d'une solidarité mutuelle. L'Angleterre a
adopté le second système. Nous hésitons à
croire que la France ait adopté le premier.
Quand M. Poincaré, en songeant au nouvel
idéal de l'Europe, redoute que les intérêts
français ne soient en péril, il se montre in-
juste à l'égard de la France. Si elle veut
bien réfléchir, elle se rendra compte, eu
effet, que sa puissance en Europe doit être
basée sur l'idéalisme et sur l'unité poli-
tique. (Ed.)
..DAILY CHRONICLE, 4.2.
— Il faut vraiment avoir la foi pour croire
que les pourparlers anglo-français relative-
ment au pacte et à la Conférence de Gênes
progressent favorablement, Il y a une diffé-
rence fondamentale entre la garantie sim-
ple que le gouvernement britannique offrait
à la France à Cannes et cette alliance
militaire étroite que M. Poincaré semble
désirer. Aucun gouvernement, britannique
ne pourrait aller plus loin que n'a fait
M. Lloyd George. En outre, le pacte sous-
entendait une coopération de la part de la
France, en vue d'assurer le succès de la
Conférence de Gênes. Le document publié
hier à Paris prouve que M. Poincaré veut
réduire le champ d'activité de la Conférence
à un degré tel que l'échec paraît inévitable.
Il voudrait interdire toute discussion sur
les réparations et sur les modifications aux
traités. Malheureusement pour l'Europe,
ces traités ébranlent ses fondations écono-
miques. Un simple exemple : les articles
217-222 du Traité avec l'Autriche et les
articles 200-205 du Traité avec la Hongrie
interdisent aux successeurs de l'ancien
empire austro-hongrois d'adopter un sys-
tème de libre échange. Ils interdisent à
l'Autriche et à la Hongrie d'accorder à une
autre nation un traitement plus favorable
que celui qu'elles accordent aux nations
alliées et ils ne réduisent cette incapacité
qu'en permettant à l'Autriche, à la Hongrie
et à la Tchéco-Slovaquie de passer entre
elles des accords commerciaux particu-
liers, à la condition que ces accords ne
portent que sur certains articles essentiels
« fabriqués dans ces pays et envoyés par
ces pays » et à la condition que ces accords
ne soient signés que pour une période de
cinq ans, à dater de l'entrée en vigueur des
Traités.
M. Poincaré serait peut-être le premier
à réclamer l'abandon de ces clauses. Les
économistes et les commerçants pratiques
sont d'accord pour reconnaître que la li-
berté commerciale et le libre transit sur
les territoires des anciennes possessions
des Habsbourgs sont nécessaires à la re-
construction économique. Et ce n'est qu'un
exemple. Le monde ne peut se laisser en-
traîner à la ruine, sous prétexte de ne
pas modifier un seul article des parchemins
de 1919.. Certes, il faut reconnaître quo
l'attitude de la France et des Etats-Unis et
la situation politique de l'Italie ne contri-
buent guère à éclairer pour le moment
à l'horizon de Gênes. Peut-être même fau-
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