Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 04 février 1922 04 février 1922
Description : 1922/02/04 (T20,N1971). 1922/02/04 (T20,N1971).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253340j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1> MINISTÈfiE
DES
AFFAIRES ÊTRANGÈRES
| -----
N° 1971
Samedi 4 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE l
proche!nïAN°E' L'Allemagne et le
i (Friedrich Rosen dans
Berllner Tageblalt). — La Conférence
de S ^Franliiurter Zeitung). - La
nomination de :\1. Rathenau (Muenchen
Augsburger '{àendzeitimq, Kreuz-Zei-
t\ tuna TiieHmer Lokal Anzeiger).
tung, Berliner lokal Anzeiger. de l,
Conférence de - Les aspects de la
Conférence de Washington (New Repu-
^E-SSE Avr.
sur les origines Le,,Iivi,e de M. Poincaré
sur les origines de la guerre (Times,
Vanrh «chester Guardian). - l.c projet de
I^anco-bntannique (Daily Chro-
Il'de!. - Les négociat.ions franco-bri-
tannirr
Teleqra? lIe Proche-Orient (Daily
7'elegraph). -- La Conférence de GcV
nes (Henri 130ur.(Iill (]mis D(i,ill'i ("11ro-
îles mtnri f Gourdin dans Daily Chro-
'illce La crise ministérielle ita-
fJ Ihenne (\Vestminster (;a:,ette).
PRESSE l [ U:N (:'L,i- La question de Tan--
fJ el (Sol, Publicidarl').
PRESSE 11' i' 1
(Cor AI.IENNE. - La crise ministerie\.e
Orrlere della Sera, Giornale d'ltalla}
*
POUTIQUE GENERALE
ORIGINES
El RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
EEM. POINCARE. - PRESSE
BuUctin n° 1970]. - La guerre
> Ijais le souvenir de la guerre
derne tOUjours en notre esprit. et le
Hhi~t Poincaré, vient à son heure.
st '3as une suite de dissertations
Philosophiques, , un exposé franc,
que et P,feels de la situation de l'Eu-
ro^ n avan^ la guerre. L'auteur est un
jii„ qUj.
JlJ-ger d qUI, leUX que tout autre, a pu
ert EUr es forces qui étaient à l'œuwe
P e. tu
illucît». ce qu'il dit du passé ne
a'An "lustrQr et à expliquer l'activité
^agnp railt les années et les
précédèrent ile conflit.
TIMES, 2.2.
^l/ir^s AffatÎé' Premier ministre et mi-
912-19138 Affaires étrangères de France en
~t Q et en 1922, Président de la Ré-
publique de 1913 à 1920, est certainement
mieux renseigné que n'importe quel autre
homme d'Etat, à l'exception de Lord Gney.
Il ne fait d'ailleurs aucune révélation sen-
sationnelle. La thèse est. connue. M. Poin-
caré soutient un point de vue, et son ex-
posé des conséquences d'un épisode tel que
la politique française au Maroc ne saurait
être accepté intégralement. L'histoire « na-
tionaliste » n'est de l'histoire que pour ce-
lui qui l'écrit ; mais lorsqu'il étudie les
événements de la période 1912-1913, pen-
dant laquelle il était au pouvoir, M. Poin-
caré parle en connaissance de cause et
quand il insiste sur l'état d'esprit de la
France qui craignait que les ambitions ri-
vales de l'Autriche et de la Russie ne pro-
voquassent. la conflagration générale, i'.
prouve clairement qu'après les Allemands
et les Autrichiens, les hommes d'Etat rus-
ses étaient ceux qui se souciaient le moins
des conséquences de leur politique étran-
gère. —. (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 2.2.
- - -———
FRANCE ET GRANDE BRETAGNE
LE PROJET DE PACTE. — Sous le ti-
tre : « L'ANGLETERRE DIT : NON ». — Nos né-
gociations avec la France sont arrivées à
un tournant. Deux communications, de M.
Poincaré ont été reçues hier , l'une sur le
pacte, l'autre sur l'Orient. Les réponses
ont été envoyées. On peut dire que M.
Poincaré a exposé l'ensemble de la thèse
française sur le problème international.
La réponse britannique déclare nettement
que cette thèse n'est pas la nôtre. Bien
qu'on ne connaisse pas encore le point de
vue français, on sait pourtant que la
thèse française contient les propositions
suivantes :
1° Conférence annuelle des autorités
françaises et anglaises sur la situation mi-
litaire européenne.
20 Extension de la garantie britannique
aux territoires allemands de la rive gauche
du Rhin à la zone neutralisée à l'est du
Rhin. En d'autres mots, inscription dans
le pacte des clauses du Traiité de Versailles
concernant les régions rhénanes.
La Réponse britannique refuse d'exami-
ner autre chose que de premier projet.
Les amendements français transforme-
raient le pacte en un instrument mili-
taire, qui entrerait dans ce projet de re-
construction de la machine militair'e de
l'Europe auquel nous avons déjà fait allu-
sion.
En étendant le pacte à la Rhénanie, la
Grande-Bretagne accepterait non seule-
ment une obligation, qui est commune à
tous les Alliés (aux termes du Traité de
Versaillles), mais elle créerait un nouvel
état de choses et risquerait d'être entraî-
née dans un conflit,pour résoudre des ques-
tions qui pourraient être résolues pacifi-
quement, par le bon sens et la discussion.
Une grève ou un mouvement commu-
niste, par exemple, à Mannheim ou Co-
logne dans quelques années, contre lequel
les autorités allemandes, uniquement pour
maintenir l'ordre, devraient employer la po-
lice armée — bien que cette intervention
soit contraire ,à la lettre du Traité — nous
placerait peut-être dans une situation in-
quiétante.
L'Angleterre, en fait, n'abandonne pas sa
position. Le pacte était une garantie sin-
cère que l'on offrait à la France, nous
n'avons pas l'intention d'aller au-delà.
Nous voulions procurer tout apaisement
aux Français,'hâter la réconciliation, le dé-
sarmement de l'Europe, mais nous n'en-
tendons pas apporter la dernière pierre à
un édifice militaire dont nous désapprou-
vons la construction. En ce qui concerne
la question orientale, l'attitude de l'Angle-
terre est ce qu'elle a toujours été. Nous
maintenons qu'une solution ne sera possi-
ble que lorsque l'Angleterre, la France et
l'Italie auront trouvé un terrain d'entente.
Il n'est pas question d'être grécophile ou
turcophile ou d'employer la force, comme
le prétend la presse française. Au con-
traire, nous estimons que la force n'est
pas nécessaire. Que, les Alliés réalisent
l'unité de front, et les Turcs ni les Grecs
ne résisteront. L'effet moral suffira. En
attendant, la. presse française mailtraite et
défigure l'argumentation britannique. Il
est faux de dire que l'Angleterre expose le
point de vue grec. On n'a aucune raison
de supposer qu'aucun des partis en Grèce
soit disposé à accepter la solution britan-
nique. Il est faux de prétendre que M.
Gounaris est allé à Londres, à Paris et à
ment britannique se laisse conduire. M.
Gounaris est allé à Aondres, à Paris et à
Rome. Il a exposé sa thèse aux trois gou-
vernements ; mais il n'a joué aucun rôle.
On croit que sa visite à Londres, en ce
moment, a pour objet de régler certaines
questions financières.
La presse française est peut-être plus
turcophile que le gouvernement, de même
qu'elle est plus anglophobe. Un esprit an-
glophobe est, bien entendu, tenté de repré-
senter la France comme le défenseur et
l'Angleterre comme l'ennemie de l'Islam,
La. Grande-Bretagnè est la plus grande
puissance musulmane. Elle doit donc re
douter les difficultés sur ce terrain. Que
nos amis français n'oublient pas l'aver-
tissement de M. Gauvain dans les Débats.
La flamme du panislamisme, quand elle
est allumée, se propage rapidement. Elle
peut atteindre l'Orient et l'Occident. L'Afri-
DES
AFFAIRES ÊTRANGÈRES
| -----
N° 1971
Samedi 4 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE l
proche!nïAN°E' L'Allemagne et le
i (Friedrich Rosen dans
Berllner Tageblalt). — La Conférence
de S ^Franliiurter Zeitung). - La
nomination de :\1. Rathenau (Muenchen
Augsburger '{àendzeitimq, Kreuz-Zei-
t\ tuna TiieHmer Lokal Anzeiger).
tung, Berliner lokal Anzeiger. de l,
Conférence de - Les aspects de la
Conférence de Washington (New Repu-
^E-SSE Avr.
sur les origines Le,,Iivi,e de M. Poincaré
sur les origines de la guerre (Times,
Vanrh «chester Guardian). - l.c projet de
I^anco-bntannique (Daily Chro-
Il'de!. - Les négociat.ions franco-bri-
tannirr
Teleqra? lIe Proche-Orient (Daily
7'elegraph). -- La Conférence de GcV
nes (Henri 130ur.(Iill (]mis D(i,ill'i ("11ro-
îles mtnri f Gourdin dans Daily Chro-
'illce La crise ministérielle ita-
fJ Ihenne (\Vestminster (;a:,ette).
PRESSE l [ U:N (:'L,i- La question de Tan--
fJ el (Sol, Publicidarl').
PRESSE 11' i' 1
(Cor AI.IENNE. - La crise ministerie\.e
Orrlere della Sera, Giornale d'ltalla}
*
POUTIQUE GENERALE
ORIGINES
El RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
EEM. POINCARE. - PRESSE
BuUctin n° 1970]. - La guerre
> Ijais le souvenir de la guerre
derne tOUjours en notre esprit. et le
Hhi~t Poincaré, vient à son heure.
st '3as une suite de dissertations
Philosophiques, , un exposé franc,
que et P,feels de la situation de l'Eu-
ro^ n avan^ la guerre. L'auteur est un
jii„ qUj.
JlJ-ger d qUI, leUX que tout autre, a pu
ert EUr es forces qui étaient à l'œuwe
P e. tu
a'An "lustrQr et à expliquer l'activité
^agnp railt les années et les
précédèrent ile conflit.
TIMES, 2.2.
^l/ir^s AffatÎé' Premier ministre et mi-
912-19138 Affaires étrangères de France en
~t Q et en 1922, Président de la Ré-
publique de 1913 à 1920, est certainement
mieux renseigné que n'importe quel autre
homme d'Etat, à l'exception de Lord Gney.
Il ne fait d'ailleurs aucune révélation sen-
sationnelle. La thèse est. connue. M. Poin-
caré soutient un point de vue, et son ex-
posé des conséquences d'un épisode tel que
la politique française au Maroc ne saurait
être accepté intégralement. L'histoire « na-
tionaliste » n'est de l'histoire que pour ce-
lui qui l'écrit ; mais lorsqu'il étudie les
événements de la période 1912-1913, pen-
dant laquelle il était au pouvoir, M. Poin-
caré parle en connaissance de cause et
quand il insiste sur l'état d'esprit de la
France qui craignait que les ambitions ri-
vales de l'Autriche et de la Russie ne pro-
voquassent. la conflagration générale, i'.
prouve clairement qu'après les Allemands
et les Autrichiens, les hommes d'Etat rus-
ses étaient ceux qui se souciaient le moins
des conséquences de leur politique étran-
gère. —. (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 2.2.
- - -———
FRANCE ET GRANDE BRETAGNE
LE PROJET DE PACTE. — Sous le ti-
tre : « L'ANGLETERRE DIT : NON ». — Nos né-
gociations avec la France sont arrivées à
un tournant. Deux communications, de M.
Poincaré ont été reçues hier , l'une sur le
pacte, l'autre sur l'Orient. Les réponses
ont été envoyées. On peut dire que M.
Poincaré a exposé l'ensemble de la thèse
française sur le problème international.
La réponse britannique déclare nettement
que cette thèse n'est pas la nôtre. Bien
qu'on ne connaisse pas encore le point de
vue français, on sait pourtant que la
thèse française contient les propositions
suivantes :
1° Conférence annuelle des autorités
françaises et anglaises sur la situation mi-
litaire européenne.
20 Extension de la garantie britannique
aux territoires allemands de la rive gauche
du Rhin à la zone neutralisée à l'est du
Rhin. En d'autres mots, inscription dans
le pacte des clauses du Traiité de Versailles
concernant les régions rhénanes.
La Réponse britannique refuse d'exami-
ner autre chose que de premier projet.
Les amendements français transforme-
raient le pacte en un instrument mili-
taire, qui entrerait dans ce projet de re-
construction de la machine militair'e de
l'Europe auquel nous avons déjà fait allu-
sion.
En étendant le pacte à la Rhénanie, la
Grande-Bretagne accepterait non seule-
ment une obligation, qui est commune à
tous les Alliés (aux termes du Traité de
Versaillles), mais elle créerait un nouvel
état de choses et risquerait d'être entraî-
née dans un conflit,pour résoudre des ques-
tions qui pourraient être résolues pacifi-
quement, par le bon sens et la discussion.
Une grève ou un mouvement commu-
niste, par exemple, à Mannheim ou Co-
logne dans quelques années, contre lequel
les autorités allemandes, uniquement pour
maintenir l'ordre, devraient employer la po-
lice armée — bien que cette intervention
soit contraire ,à la lettre du Traité — nous
placerait peut-être dans une situation in-
quiétante.
L'Angleterre, en fait, n'abandonne pas sa
position. Le pacte était une garantie sin-
cère que l'on offrait à la France, nous
n'avons pas l'intention d'aller au-delà.
Nous voulions procurer tout apaisement
aux Français,'hâter la réconciliation, le dé-
sarmement de l'Europe, mais nous n'en-
tendons pas apporter la dernière pierre à
un édifice militaire dont nous désapprou-
vons la construction. En ce qui concerne
la question orientale, l'attitude de l'Angle-
terre est ce qu'elle a toujours été. Nous
maintenons qu'une solution ne sera possi-
ble que lorsque l'Angleterre, la France et
l'Italie auront trouvé un terrain d'entente.
Il n'est pas question d'être grécophile ou
turcophile ou d'employer la force, comme
le prétend la presse française. Au con-
traire, nous estimons que la force n'est
pas nécessaire. Que, les Alliés réalisent
l'unité de front, et les Turcs ni les Grecs
ne résisteront. L'effet moral suffira. En
attendant, la. presse française mailtraite et
défigure l'argumentation britannique. Il
est faux de dire que l'Angleterre expose le
point de vue grec. On n'a aucune raison
de supposer qu'aucun des partis en Grèce
soit disposé à accepter la solution britan-
nique. Il est faux de prétendre que M.
Gounaris est allé à Londres, à Paris et à
ment britannique se laisse conduire. M.
Gounaris est allé à Aondres, à Paris et à
Rome. Il a exposé sa thèse aux trois gou-
vernements ; mais il n'a joué aucun rôle.
On croit que sa visite à Londres, en ce
moment, a pour objet de régler certaines
questions financières.
La presse française est peut-être plus
turcophile que le gouvernement, de même
qu'elle est plus anglophobe. Un esprit an-
glophobe est, bien entendu, tenté de repré-
senter la France comme le défenseur et
l'Angleterre comme l'ennemie de l'Islam,
La. Grande-Bretagnè est la plus grande
puissance musulmane. Elle doit donc re
douter les difficultés sur ce terrain. Que
nos amis français n'oublient pas l'aver-
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