Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 31 janvier 1922 31 janvier 1922
Description : 1922/01/31 (T20,N1967). 1922/01/31 (T20,N1967).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253336n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MlNlSTÊRE -,
DES
AÎPAIRES ÉTRANGÈRES
N°1967
Mardi 31 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. - Les projets fiscaux du
s uvernement allemand (Dr Félix Pin-
ne dans Berliner Tageblatt). — La ré-
Pons'e de Ü'Allema.gne.à la Commission
(Parations (Deutsche Allgemeine
Zeltuny, Voncaerts Frankfurter Zei-
tung),
t) - — ca^ne^ Poincaré
(P; h/Ledger, New York Times). —
(Public Ledyer, New York Times). —
Les EtGêne8 (Chicago Daily Tribune).
',S:E ANGLAISE. - Les relations entre la
pelles Etats-Unis (Daily Mail). —
sibilités d'un rapprochement entre la
et la Russie (Manchester Guar-
dlan).- Lou'd Grey et la France (Daily
P IV ews)
HEsSE VUTrichienne- — La démission du
à p Ca hi net Schober (Tagespost).
ESSE ITALIENNE. — L'Italie et les affaires
orient (Tribnna), — La France et
rp urope Centrale (Stampa). — La Con-
ference de Gênes et la solidarité euro-
Dôpnne (Mondà). — L'héritage de Benoît
Xv ^es responsabilités du Conclave
(Stampa)
stampa).
SE SLISSE. — Le discours de M. Wirth
au Reichstag (Bund).
POLITIQUE GENERALE
LA POLITIQUE FRANÇAISE
U;f?SLATl0Ns ENTRE LA FRANCE
ETATS-UNIS. — De Paris, 29 jan-
Fran' L mquietucle croissante causée en
France par le refroidissment visible - qui
Ql11é dans les relations franco-
eSi a été bien mise en lumière
la Uvei ^e reçue à Londres et heureu-
Serïient "lxlete que le président Harding
avait efuse de recevoir M. Jusserand,
ai^bncc.ÏÏdeuir de France.
^nt b]>\ temps, on a fréquem-
Ilt blârné 1es membres de la délégation
ashington de n'avoir pas vu,
rant ]a p n^rencei la situation sous son
Irai sens y refus probable de l'Amérique
Se aIre neprésenter à la conférence éco-
h 0rr)ique 6 :fênes aurait dû être accueilli
en France ; il a causé une im-
Ssion ésagréable du moment qu'on
alléguait que le militarisme de la France
était une des causes de ce refus.
L'opinion se répand de plus en plus que
la France doit exposer une fois de plus et
avec une parfaite clarté, ses vues sur les
remèdes à apporter à la situation écono-
mique de l'Europe, ainsi que sur la possi-
bilité de conclure des pactes qui permet-
traient un désarmement au moins partiel.
M. Harvey, ambassadeur américain à Lon-
dres, a eu à son retour de Cannes une lon-
gue entrevue avec M. Poincaré. Les mi-
lieux diplomatiques attachent une extrême
importance à ces conversations. M. Harvéy
aurait exposé les raisons qui détournent
les Etats-Unis de participer à la Conférence
de Gênes. Je crois savoir que M. Poincaré
s'est entretenu avec M. Harvey de l'état de
l'opinion publique aux Etats-Unis et du
malentendu qui s'est créé au sujet des buts
de la France. Cet entretien pourrait avoir
pour résultat de modifier considérablement
l'attitude de la France à l'égard de la confé-
rence de Gênes et de décider M. Poincaré à
insister plus fermement encore sur les ga-
ranties qu'il a déjà déclaré être indispen-
sables.
DAILY MAIL [édition de Londres], 30.1.
FRANCE ET RUSSIE. — POSSIBILITÉS
D'UN RAPPROCHEMENT A GÈNES : INFORMATION
DE SOURCE ALLEMANDE. — De Berlin, 28 jan-
vier : Le correspondant berlinois du Manchester
Guaidum affirme que la possibilité d'un rap-
prochement franco-russe, à l'issue de la Con-
férence de Gênes, cause une vive inquiétude
en Allemagne.
Des négociations officielles ou non se
sont-elles engagées déjà avec les représen
tants de la France et de la Russie ? Le fait
demeure obscur ; j'apprends cependant
d'une source allemande autorisée qu'il y a
eu tout. au moins un échange de vues entre
les deux gouvernements. On remarque ici
que la Russie se trouvera à Gênes dans
une situation beaucoup plus forte que celle
de l'Allemagne ; elle peut offrir des ri-
chesses matérielles tout au moins dans un
avenir rapproché ; comme elle est la voi-
sine de l'Asie-Mineure, de la Mésopotamie,
de la Perse, de l'Afghanistan, de l'Inde, de
la Chine et de la Mongolie, elle peut jouer
un rôle dans la sphère de la haute politique.
Au contraire, l'Allemagne ne peut pas avoir
de politique étrangère indépendante ; toutes
ses ressources sont destinées aux Alliés,
selon les clauses du traité de Versailles.
L'Allemagne s'alarme de voir le gouverne-
ment des Soviets manifester des disposi-
tions de plus en plus amicales envers la
France. D'aucuns vont même plus loin
(je cite leur raisonnement, moins pour la
valeur que je lui attache qu'en raison de
l'inquiétude qu'il provoque ici) ; pour eux,
l'Entente cordiale est en voie de rupture.
Supposons que la France, ayant repris sa
liberté, applique son programme tradition-
nel à l'égard de l'Allemagne. Qui l'empê-
chera d'encourager le séparatisme en Ba-
vière, - et de détacher la Rhénanie du Reich?
L'Angleterre sera-t-elle en mesure de s'y
opposer et par quels moyens ? L'imagina-
tion de certains allemands se représente
même déjà l'existence, dans un avenir éloi-
gné, d'une alliance franco-russe, à laquelle
se joindrait le Japon, qui menacerait l'Em-
pire britannique et ferait équilibre à la pré-
pondérance anglo-américaine.
Ce qui importe quand à présent, c'est la
Conférence de Gênes. Supposons que les
pires craintes allemandes se réalisent et
que la conférence marque le triomphe de
Poincaré. Supposons que quelque raison se
dissimule sous la démence apparente du
nationalisme français. Beaucoup d'Alle-
mands raisonnent ainsi ; ils voient d'avance
à Gênes une Russie ruinée, mais qui a
échappé à la défaite et peut jouer de ses
nombreux atouts, et en face d'elle, une Alle-
magne, non encore ruinée, mais vaincue,
qui se présente les mains vides.
MANCHESTER GUARDIAN, 30.1.
LE CABINET POINCARE. — PRESSE
AMÉRICAINE.— Le mieux que l'on puisse faire,
est de saluer le nouveau Premier français,
Raymond Poincaré. L'ancien président a
travaillé pendant douze mois pour en arri-
ver là. Il s'est montré militant et en quell-
que sorte belliqueux pendant un an, pro-
clamant que les Allemands pouvaient et
devaient payer ou sinon subir les consé-
quences de leur refus : Poincaré a déclaré
que Briand et son prédécesseur Clemenceau
avaient fait trop de concessions à l'Angle-
terre et n'avaient pas assez exigé de l'Al-
lemagne.
Briand était « un radical » ayant com-
mencé comme tel sa vie politique et
n'ayant jamais visé autre chose. Il reste
néanmoins un esprit pratique, et il savait
qu'un grand nombre de Français souffraient
encore de la guerre. Ceux-ci désiraient un
accord anglo-français pour des protéger de
l'invasion allemande et Briand fit de son
mieux pour l'obtenir. Il conclut avec Lloyd
George un marché tout aussi avantageux
que celui qu'auraient pu conduire Poincaré,
Millerand ou Clemenceau. !
En entrant en fonctions, le nouveau
Premier s'engage à faire payer l'Allemagne
et à conclure un meilleur marché, avec l'An-
gleterre. Il se peut que Poincaré arrive à
ses fins. Plus probablement, il n'y arrivera
pas. Il se trouve que l'Italie et la Belgique
se détachent de la France. L'isolement qui
commençait à l'avènement de Briand, qui
s'est accentué à Washington puis à Cannes,
DES
AÎPAIRES ÉTRANGÈRES
N°1967
Mardi 31 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. - Les projets fiscaux du
s uvernement allemand (Dr Félix Pin-
ne dans Berliner Tageblatt). — La ré-
Pons'e de Ü'Allema.gne.à la Commission
(Parations (Deutsche Allgemeine
Zeltuny, Voncaerts Frankfurter Zei-
tung),
t) - — ca^ne^ Poincaré
(P; h/Ledger, New York Times). —
(Public Ledyer, New York Times). —
Les Et
',S:E ANGLAISE. - Les relations entre la
pelles Etats-Unis (Daily Mail). —
sibilités d'un rapprochement entre la
et la Russie (Manchester Guar-
dlan).- Lou'd Grey et la France (Daily
P IV ews)
HEsSE VUTrichienne- — La démission du
à p Ca hi net Schober (Tagespost).
ESSE ITALIENNE. — L'Italie et les affaires
orient (Tribnna), — La France et
rp urope Centrale (Stampa). — La Con-
ference de Gênes et la solidarité euro-
Dôpnne (Mondà). — L'héritage de Benoît
Xv ^es responsabilités du Conclave
(Stampa)
stampa).
SE SLISSE. — Le discours de M. Wirth
au Reichstag (Bund).
POLITIQUE GENERALE
LA POLITIQUE FRANÇAISE
U;f?SLATl0Ns ENTRE LA FRANCE
ETATS-UNIS. — De Paris, 29 jan-
Fran' L mquietucle croissante causée en
France par le refroidissment visible - qui
Ql11é dans les relations franco-
eSi a été bien mise en lumière
la Uvei ^e reçue à Londres et heureu-
Serïient "lxlete que le président Harding
avait efuse de recevoir M. Jusserand,
ai^bncc.ÏÏdeuir de France.
^nt b]>\ temps, on a fréquem-
Ilt blârné 1es membres de la délégation
ashington de n'avoir pas vu,
rant ]a p n^rencei la situation sous son
Irai sens y refus probable de l'Amérique
Se aIre neprésenter à la conférence éco-
h 0rr)ique 6 :fênes aurait dû être accueilli
en France ; il a causé une im-
Ssion ésagréable du moment qu'on
alléguait que le militarisme de la France
était une des causes de ce refus.
L'opinion se répand de plus en plus que
la France doit exposer une fois de plus et
avec une parfaite clarté, ses vues sur les
remèdes à apporter à la situation écono-
mique de l'Europe, ainsi que sur la possi-
bilité de conclure des pactes qui permet-
traient un désarmement au moins partiel.
M. Harvey, ambassadeur américain à Lon-
dres, a eu à son retour de Cannes une lon-
gue entrevue avec M. Poincaré. Les mi-
lieux diplomatiques attachent une extrême
importance à ces conversations. M. Harvéy
aurait exposé les raisons qui détournent
les Etats-Unis de participer à la Conférence
de Gênes. Je crois savoir que M. Poincaré
s'est entretenu avec M. Harvey de l'état de
l'opinion publique aux Etats-Unis et du
malentendu qui s'est créé au sujet des buts
de la France. Cet entretien pourrait avoir
pour résultat de modifier considérablement
l'attitude de la France à l'égard de la confé-
rence de Gênes et de décider M. Poincaré à
insister plus fermement encore sur les ga-
ranties qu'il a déjà déclaré être indispen-
sables.
DAILY MAIL [édition de Londres], 30.1.
FRANCE ET RUSSIE. — POSSIBILITÉS
D'UN RAPPROCHEMENT A GÈNES : INFORMATION
DE SOURCE ALLEMANDE. — De Berlin, 28 jan-
vier : Le correspondant berlinois du Manchester
Guaidum affirme que la possibilité d'un rap-
prochement franco-russe, à l'issue de la Con-
férence de Gênes, cause une vive inquiétude
en Allemagne.
Des négociations officielles ou non se
sont-elles engagées déjà avec les représen
tants de la France et de la Russie ? Le fait
demeure obscur ; j'apprends cependant
d'une source allemande autorisée qu'il y a
eu tout. au moins un échange de vues entre
les deux gouvernements. On remarque ici
que la Russie se trouvera à Gênes dans
une situation beaucoup plus forte que celle
de l'Allemagne ; elle peut offrir des ri-
chesses matérielles tout au moins dans un
avenir rapproché ; comme elle est la voi-
sine de l'Asie-Mineure, de la Mésopotamie,
de la Perse, de l'Afghanistan, de l'Inde, de
la Chine et de la Mongolie, elle peut jouer
un rôle dans la sphère de la haute politique.
Au contraire, l'Allemagne ne peut pas avoir
de politique étrangère indépendante ; toutes
ses ressources sont destinées aux Alliés,
selon les clauses du traité de Versailles.
L'Allemagne s'alarme de voir le gouverne-
ment des Soviets manifester des disposi-
tions de plus en plus amicales envers la
France. D'aucuns vont même plus loin
(je cite leur raisonnement, moins pour la
valeur que je lui attache qu'en raison de
l'inquiétude qu'il provoque ici) ; pour eux,
l'Entente cordiale est en voie de rupture.
Supposons que la France, ayant repris sa
liberté, applique son programme tradition-
nel à l'égard de l'Allemagne. Qui l'empê-
chera d'encourager le séparatisme en Ba-
vière, - et de détacher la Rhénanie du Reich?
L'Angleterre sera-t-elle en mesure de s'y
opposer et par quels moyens ? L'imagina-
tion de certains allemands se représente
même déjà l'existence, dans un avenir éloi-
gné, d'une alliance franco-russe, à laquelle
se joindrait le Japon, qui menacerait l'Em-
pire britannique et ferait équilibre à la pré-
pondérance anglo-américaine.
Ce qui importe quand à présent, c'est la
Conférence de Gênes. Supposons que les
pires craintes allemandes se réalisent et
que la conférence marque le triomphe de
Poincaré. Supposons que quelque raison se
dissimule sous la démence apparente du
nationalisme français. Beaucoup d'Alle-
mands raisonnent ainsi ; ils voient d'avance
à Gênes une Russie ruinée, mais qui a
échappé à la défaite et peut jouer de ses
nombreux atouts, et en face d'elle, une Alle-
magne, non encore ruinée, mais vaincue,
qui se présente les mains vides.
MANCHESTER GUARDIAN, 30.1.
LE CABINET POINCARE. — PRESSE
AMÉRICAINE.— Le mieux que l'on puisse faire,
est de saluer le nouveau Premier français,
Raymond Poincaré. L'ancien président a
travaillé pendant douze mois pour en arri-
ver là. Il s'est montré militant et en quell-
que sorte belliqueux pendant un an, pro-
clamant que les Allemands pouvaient et
devaient payer ou sinon subir les consé-
quences de leur refus : Poincaré a déclaré
que Briand et son prédécesseur Clemenceau
avaient fait trop de concessions à l'Angle-
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lemagne.
Briand était « un radical » ayant com-
mencé comme tel sa vie politique et
n'ayant jamais visé autre chose. Il reste
néanmoins un esprit pratique, et il savait
qu'un grand nombre de Français souffraient
encore de la guerre. Ceux-ci désiraient un
accord anglo-français pour des protéger de
l'invasion allemande et Briand fit de son
mieux pour l'obtenir. Il conclut avec Lloyd
George un marché tout aussi avantageux
que celui qu'auraient pu conduire Poincaré,
Millerand ou Clemenceau. !
En entrant en fonctions, le nouveau
Premier s'engage à faire payer l'Allemagne
et à conclure un meilleur marché, avec l'An-
gleterre. Il se peut que Poincaré arrive à
ses fins. Plus probablement, il n'y arrivera
pas. Il se trouve que l'Italie et la Belgique
se détachent de la France. L'isolement qui
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