Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 janvier 1922 30 janvier 1922
Description : 1922/01/30 (T20,N1966). 1922/01/30 (T20,N1966).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533357
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 MINIST£RE
I& PFAIR E s DES
it~ "S ËTRANGËRES
FI* 1966
Lundi 30 janvier 1922
Bulletin. Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
"'-- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMA\DE. — Le discours du chan-
celi eV i" \irth au Rei-chatag, le 26 janvier
(Fl'eiheit V°rW(irts, Frankurter Zei-
TQ E. Dombrowski dans BerUnsr
tung ; ~h'"owski dans BeW~gr
T(i(! i i Vossische Zeitung, Germa-
nia 1 Zeit, Berliner Lokal-Anzeiger ;
F. BUssang, dans TtrcjHche Rund-
SChau)
-
PRESSE AMÉRICAINE r - Le ,
PRESSE AMERICAINE. - Le cabinet Poincaré
(\VnT,r — L,cs Etats-Unis et la Con-
férence de Gênes (Chicago Daily Tri-
bitne
SE
PrU!:SSE ANGLAISE. - Le projet de pacte
franCO-britannique (Daily Express). —
Le P-rojet de pacte anglo-belge (Man-
chester Gnardian). — Lord Grey et la
Il France (Daily Chronicle).
^Es. AITRICHIENNE. — Le cabinet Poincaré
I> /^Y eu€ Freie Presse).
IiRSSE ITALIENNE. — Les affaires d'Oder
et la question du Rhin (Mondo).
POLITIQUE GENERALE
POLITIQUE GENERALE
Apolitique française
LA POLITIQUE FRANÇAISE
LES AFFAlRES D'ORIENT ET LA
Q IltaTrou DU RHIN. - LE ROLE DE
i>8 DANS LES NÉGOCIATIONS FRANCO-BRI-
R QUES
~!QUEs - Les mmistres des Affaires Etran-
Of€s de FraIliCe, d'An§feterri6 et d'Italie se ren-
les '-"Ont' 1
ry^^ont a ParIs prochainement pour régler
Ou d'Orient.
rrtéth POUrrait penser à première vue que la
, M. Poincaré, qui tend à réduire
^joUr,s ^Vari tage l'aetivité des Conseils
Sup t.è Irles et re,Pren,dr-e l.es traditions épis-
a réprendre les tra IOns epls-
8 a. P^s aulique diplomatie, a
s ~~i un p,remie.r échec. Ce ne serait pas
exact. pi !tllê.. f d
'e-g ch.os~ 11161 si l'on regarde bien au fond
LIOS~ tte
'etlIlira ,oe' Conférence de Paris se
..0'rmément à la conception de
L°lricaré r iratiftefr l'accord conclu par
S e ep'l'elr'lee de France et d'Angleterre
appelée eil ,°nner communication à l'Italie
I,It~ajlie
spectateur muet. la, Conférence le rôle de
t a discu~
e diffiCil SIOn sur tes détails sera longue
délicat e. Il y a des points d'une extrême
n vérité, chaque jour qui passe montre
que tous les traités et toutes les conven-
tions se relient aux principes directeurs du
Traité de Versailles et que la thèse que la
France avait fait triompher à l'égard de
l'Allemagne a été ensuite largement invo-
quée et appliquée par l'Angleterre lors de
l'élaboration des traités orientaux. Toute
tentative faite par la France contre les trai-
tés orientaux se répercute donc sur le Trai-
té de Versailles.
C'est ce que Poincaré a immédiate-
ment compris ; et ses notes au comte de
Saint-Aulaire ont cherché à relier au pacte
de garantie franco-anglais concernant le
Rhin, les concessions de la France sur les
questions d'Orient. Le Daily Telegraph pu-
bliait en effet le même jour les demandes de
Poincaré, concernant le pacte de garantie
et la nouvelle que Poincaré considérait seu-
lement comme « provisoires », les accords
conclus par Franklin-Bouillon. En même
temps, les journaux les plus amis du nou-
veau Président du Conseil français com-
mençaient une violente campagne contre la
politique orientale de Briand. Donc, accord
sur l'Orient nettement dominé par l'Angle-
terre, contracté par la France comme une
concession pour sa lutte anti-allemande ;
subi par l'Italie comme un fait diploma-
tique dont elle sent confusément l'impor-
tance pour ses intérêts les plus vitaux, peut-
être pour tout son avenir, mais dans lequel
elle ne réussit pas à insérer une idée qui lui
soit propre, à faire valoir un programme
qui soit sien.
Est-il encore temps de porter remède à
cette triste situation ? Nous le croyons.
Mais il faut de la prudence, de l'énergie,
des décisions rapides.
Les jours qui nous séparent de l'ouver-
ture de la Conférence de Paris doivent être
utilisés par l'Italie de telle manière que
toutes les portes de l'Orient ne nous soient
pas fermées.
Les résultats du Congrès, quels qu'ils
soient, resteront sans doute provisoires. Ils
nous diront jusqu'à quel point la France
reprend, à l'égard de l'Angleterre, la poli-
tique de Clemenceau, commencée il y a très
longtemps avec la question d'Egypte et qui
n'a pas encore donné tous ses résultats,
semble-t-il, en Orient et dans les Balkans.
Ils nous diront encore si notre avenir et
nos intérêts n'ont pas été compromis pour
une longue suite d'années.
MONDO, 27.1.
[IL MONDO, quotidien paraissant à Rome de-
puis le 26 janvier, sous la direction de M. An-
drea Torre, ancien ministre, président de la
Commission des Affaires Etrangères de la
Chambre. Libéral à tendances nittiennes.]
LE PROJET DE PACTE FRANCO-BRI-
TANNIQUE. — La nature du mémorandum
adressé par M. Poincaré à l'ambassadeur
français à Londres n'est pas encore entiè-
rement connue. Lord Curzon doit soumet-
tre au cabinet les termes du projet de pacte
préféré par -l\L Poincaré ; c'est le troisième
projet qui ait été établi, mais jusqu'à pré-
sent, seul le texte présenté par M. Lloyd
George à la Conférence de Cannes a été
publié. Les, négociations se poursuivront
tant à Londres qu'à Paris, et il est cer-
tain que les suggestions faites par M. Poin-
caré n'ont pas un caractère définitif. La
Situation apparaît donc comme plus favora-
ble. Rien, dans le projet de M. Poincaré, -
n'impose l'entretien par l'Angleterre d'une
armée plus considérable; M. Poincaré dé-
sire seulement que les circonstances dans
lesquelles la Grande-Bretagne s'engage à
venir à l'aide de la France soient claire-
ment définies. — E. J.
DAILY EXPRESS, 28.1,
LE PROJET DE PACTE ANGLO-BELGE.
- LES INTÉRÊTS DE LA FRANCE. — La conclu-
sion prochaine d'un traité de garantie anglo-
belge, annoncée par M. Theunis, donne lieu
aux plus sérieuses objections.
Une alliance militaire existe déjà entre 1-*
Belgique et la France. Les, clauses du traité
n'ont jamais été publiées, bien qu'aux ter-
mes du pacte de la Société des Nations les
signataires eussent le devoir de le faire,
mais le caractère général de cette alliance
est connu : elle place la Belgique sous l'au
torité complète de la France au point de
vue militaire et international. La Belgique
s'engage à maintenir des effectifs déter-
minés et à utiliser ses forces, conformé-
ment aux plans établis par le ministère de
la guerre français. En nous engageant à
défendre le territoire de la Belgique contre
toute attaque non provoquée, nous pren-
drions en fait le même engagement à
l'égard du territoire français, puisque la
partie la plus exposée de la frontière fran- -
çaise est contiguë à la Belgique. La politi-
que de la Belgique est liée à celle de la
France, ainsi que de récents exemples l'ont
montré. Lorsque la France, désireuse d'ob-
tenir une garantie de sa dette, procéda à
l'occupation de' Francfort, au mépris du
droit, et sans que le traité lui donnât aucune
justification à cet égard, la Belgique s'asso-
cia rapidement à cette initiative, qui pro-
voqua comme l'on sait, nos protestations. Si
la France, comme elle menace constamment
de le faire ,devait occuper le bassin houil-
ler et minier de la Ruhr, nous serons
sûrs à ce moment de trouver la Belgique.
en sa compagnie. Nous sommes. intéres-
sés de manière profonde et durable à la
sécurité et à l'indépendance de la Belgique.
Dans des circonstances déterminées, nous
serons toujours prêts à lui donner notre
appui : mais il est infiniment préférable que
I& PFAIR E s DES
it~ "S ËTRANGËRES
FI* 1966
Lundi 30 janvier 1922
Bulletin. Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
"'-- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMA\DE. — Le discours du chan-
celi eV i" \irth au Rei-chatag, le 26 janvier
(Fl'eiheit V°rW(irts, Frankurter Zei-
TQ E. Dombrowski dans BerUnsr
tung ; ~h'"owski dans BeW~gr
T(i(! i i Vossische Zeitung, Germa-
nia 1 Zeit, Berliner Lokal-Anzeiger ;
F. BUssang, dans TtrcjHche Rund-
SChau)
-
PRESSE AMÉRICAINE r - Le ,
PRESSE AMERICAINE. - Le cabinet Poincaré
(\VnT,r — L,cs Etats-Unis et la Con-
férence de Gênes (Chicago Daily Tri-
bitne
SE
PrU!:SSE ANGLAISE. - Le projet de pacte
franCO-britannique (Daily Express). —
Le P-rojet de pacte anglo-belge (Man-
chester Gnardian). — Lord Grey et la
Il France (Daily Chronicle).
^Es. AITRICHIENNE. — Le cabinet Poincaré
I> /^Y eu€ Freie Presse).
IiRSSE ITALIENNE. — Les affaires d'Oder
et la question du Rhin (Mondo).
POLITIQUE GENERALE
POLITIQUE GENERALE
Apolitique française
LA POLITIQUE FRANÇAISE
LES AFFAlRES D'ORIENT ET LA
Q IltaTrou DU RHIN. - LE ROLE DE
i>8 DANS LES NÉGOCIATIONS FRANCO-BRI-
R QUES
~!QUEs - Les mmistres des Affaires Etran-
Of€s de FraIliCe, d'An§feterri6 et d'Italie se ren-
les '-"Ont' 1
ry^^ont a ParIs prochainement pour régler
Ou d'Orient.
rrtéth POUrrait penser à première vue que la
, M. Poincaré, qui tend à réduire
^joUr,s ^Vari tage l'aetivité des Conseils
Sup t.è Irles et re,Pren,dr-e l.es traditions épis-
a réprendre les tra IOns epls-
8 a. P^s aulique diplomatie, a
s ~~i un p,remie.r échec. Ce ne serait pas
exact. pi !tllê.. f d
'e-g ch.os~ 11161 si l'on regarde bien au fond
LIOS~ tte
'etlIlira ,oe' Conférence de Paris se
..0'rmément à la conception de
L°lricaré r iratiftefr l'accord conclu par
S e ep'l'elr'lee de France et d'Angleterre
appelée eil ,°nner communication à l'Italie
I,It~ajlie
spectateur muet. la, Conférence le rôle de
t a discu~
e diffiCil SIOn sur tes détails sera longue
délicat e. Il y a des points d'une extrême
n vérité, chaque jour qui passe montre
que tous les traités et toutes les conven-
tions se relient aux principes directeurs du
Traité de Versailles et que la thèse que la
France avait fait triompher à l'égard de
l'Allemagne a été ensuite largement invo-
quée et appliquée par l'Angleterre lors de
l'élaboration des traités orientaux. Toute
tentative faite par la France contre les trai-
tés orientaux se répercute donc sur le Trai-
té de Versailles.
C'est ce que Poincaré a immédiate-
ment compris ; et ses notes au comte de
Saint-Aulaire ont cherché à relier au pacte
de garantie franco-anglais concernant le
Rhin, les concessions de la France sur les
questions d'Orient. Le Daily Telegraph pu-
bliait en effet le même jour les demandes de
Poincaré, concernant le pacte de garantie
et la nouvelle que Poincaré considérait seu-
lement comme « provisoires », les accords
conclus par Franklin-Bouillon. En même
temps, les journaux les plus amis du nou-
veau Président du Conseil français com-
mençaient une violente campagne contre la
politique orientale de Briand. Donc, accord
sur l'Orient nettement dominé par l'Angle-
terre, contracté par la France comme une
concession pour sa lutte anti-allemande ;
subi par l'Italie comme un fait diploma-
tique dont elle sent confusément l'impor-
tance pour ses intérêts les plus vitaux, peut-
être pour tout son avenir, mais dans lequel
elle ne réussit pas à insérer une idée qui lui
soit propre, à faire valoir un programme
qui soit sien.
Est-il encore temps de porter remède à
cette triste situation ? Nous le croyons.
Mais il faut de la prudence, de l'énergie,
des décisions rapides.
Les jours qui nous séparent de l'ouver-
ture de la Conférence de Paris doivent être
utilisés par l'Italie de telle manière que
toutes les portes de l'Orient ne nous soient
pas fermées.
Les résultats du Congrès, quels qu'ils
soient, resteront sans doute provisoires. Ils
nous diront jusqu'à quel point la France
reprend, à l'égard de l'Angleterre, la poli-
tique de Clemenceau, commencée il y a très
longtemps avec la question d'Egypte et qui
n'a pas encore donné tous ses résultats,
semble-t-il, en Orient et dans les Balkans.
Ils nous diront encore si notre avenir et
nos intérêts n'ont pas été compromis pour
une longue suite d'années.
MONDO, 27.1.
[IL MONDO, quotidien paraissant à Rome de-
puis le 26 janvier, sous la direction de M. An-
drea Torre, ancien ministre, président de la
Commission des Affaires Etrangères de la
Chambre. Libéral à tendances nittiennes.]
LE PROJET DE PACTE FRANCO-BRI-
TANNIQUE. — La nature du mémorandum
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français à Londres n'est pas encore entiè-
rement connue. Lord Curzon doit soumet-
tre au cabinet les termes du projet de pacte
préféré par -l\L Poincaré ; c'est le troisième
projet qui ait été établi, mais jusqu'à pré-
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George à la Conférence de Cannes a été
publié. Les, négociations se poursuivront
tant à Londres qu'à Paris, et il est cer-
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n'impose l'entretien par l'Angleterre d'une
armée plus considérable; M. Poincaré dé-
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lesquelles la Grande-Bretagne s'engage à
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DAILY EXPRESS, 28.1,
LE PROJET DE PACTE ANGLO-BELGE.
- LES INTÉRÊTS DE LA FRANCE. — La conclu-
sion prochaine d'un traité de garantie anglo-
belge, annoncée par M. Theunis, donne lieu
aux plus sérieuses objections.
Une alliance militaire existe déjà entre 1-*
Belgique et la France. Les, clauses du traité
n'ont jamais été publiées, bien qu'aux ter-
mes du pacte de la Société des Nations les
signataires eussent le devoir de le faire,
mais le caractère général de cette alliance
est connu : elle place la Belgique sous l'au
torité complète de la France au point de
vue militaire et international. La Belgique
s'engage à maintenir des effectifs déter-
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la guerre français. En nous engageant à
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partie la plus exposée de la frontière fran- -
çaise est contiguë à la Belgique. La politi-
que de la Belgique est liée à celle de la
France, ainsi que de récents exemples l'ont
montré. Lorsque la France, désireuse d'ob-
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l'occupation de' Francfort, au mépris du
droit, et sans que le traité lui donnât aucune
justification à cet égard, la Belgique s'asso-
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voqua comme l'on sait, nos protestations. Si
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