Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 janvier 1922 25 janvier 1922
Description : 1922/01/25 (T20,N1962). 1922/01/25 (T20,N1962).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253331k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERE .,.,..-.
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1 N° 1962
Mercredi 25 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le cabinet Poincaré :
1 opinion de M. Harden (Zukunft). — Le
discours de M. Lloyd George au Central
Hall, le 21 janvier (Frankfurter Zei-
tung). - Benoît XV et l'Allemagne
(Dl' Pîiaum dans Detsche Tageszei-
tung). -- Les monarchistes bavarois
(Koelnische Volkszeitung).
I ^Escp
PRESSE ANGLAISE. — Le cabinet Poincaré
(Sisley Huddleston dans New States-
man ; Outlook, Nation). — Une déclara-
tion de Lord Robert Cecil (Yorkshire
ost). - Les négociations franco-britan-
niques sur l'Orient (Times, Daily Tele-
graph). - Les Etats-Unis et l'Europe :
, désarmement et réparations (Times).
J AL TRICHIENNE. — Le cabinet Poincaré
Wiener Morgenzeitung, Neue Freie
Presse, Deutschoesterreichische Tages-
zeitung).
POLITIQUE GENERALE
LA POLITIQUE FRANÇAISE
CBlNET POINCARE. - L'OPINION
HiRden- - Sur toutes des palissades
et tous les coins de murs sont collés des
'Qrn,b -
séUj eaux des rapports secrets de l'ambas-
Sf*deur j V°'' destinés à prouver que
Poincaré a poussé à la guerre,
jeté Pare la guerre. Le premier coup d Œil:
a préparA a guerre. Le premier coup d'oeil
Corn t s Il apports permet de se rendre
le p e du fatras de mensonges exsudé par
san cerve-, U karamasowien d'Isvolski. Si
son témoignage étai probant , il faudrait
également IJ-oUt-er foi aux rappor t s sur le
tion de Londres et à la conversa-
ruons u avec Aehrenthal. Des dé-
bien d Ulhrneux et ténébreux ont dispensé
letl d es dons à ce mauvais et dangereux
j S méthodes de Gortchakov.
Ils ne lui ont pas donné celui de dire loya-
l et^ent et objectivement ce qui est.
poinea J?ctirvement ce qui est
6- savait avec quelle force
hallce fr e tIrait sur le petit nœud de l'ail
tersbou anCo-russe, quelles étaient à Pé-
tersbourg les forces du Palais qui cher-
chaient à le dénouer et avec quelle ardeur
à Potsdam et à Berlin, on s'efforçait au
moyen de lauriers et d'alcool, d'agir sur
cette « poule malade » de Sasonov. C'est
pourquoi Poincaré dont le sérieux bour-
geois ne se fia jamais complètement à
l'ambassadeur évaporé, se crut obligé de
faire sonner avec quelque éclat son indé-
fectible fidélité à l'alliance. Jusqu'ici on
n'a pas trouvé l'ombre d'une preuve qu'il
ait voulu la guerre et l'ait préparée. La
France était-edle prête à la guerre, sans ar-
tillerie lourde, sans couverture de la fron-
tière belge, avec une infanterie à pantalon
et képi rouges ? Non seulement Jaurès,
Basch et Barclay, mais encore le comte
Szezsen , l'ambassadeur de François-Uo-
seph, a rendu hommage à la volonté pacifi-
que de Poincaré. Ce qui est certain, c'est
qu'en tant que ministre, et au printemps
de sa présidence, il s'est efforcé, par l'in-
termédiaire de M. Bunau-Varilla, proprié-
taire du Matin, dont il avait été l'avocat, et
de M. Jules Cambon, de s'entendre avec
l'Allemagne et qu'il a, dans l'été de 1914-,
employé tous les moyens possibles pour
garantir la paix. Un peu par pacifisme,
mais parce qu'il craignait la force supé-
rieure de l'Allemagne, parce qu'il prévoyait
que l'invasion qui l'avait fait pleurer, en-
fant, se renouvellerait, et que, jusqu'à
l'heure de l'invasion de la Belgique par les
Allemands, il ne croyait pas que l'Angle-
terre viendrait prendre part à cette guerre
défensive. Son désir fiévreux d'empêcher la
guerre ne peut pas être prouvé avec
plus de précision que par sa lettre au roi
George. Cette lettre (qui permet également
de comprendre pourquoi il exige aujour-
d'hui un traité solide et non équivoque avec
l'Angleterre) n'a jamais été publiée sur les
principaux marchés de notre opinion pu-
blique mais celui qui l'a écrite a été mis
au pilori comme auteur de la guerre et fou
furieux. Et il n'a pas été assez fort, il
n'avait pas suffisamment atteint les som-
mets touj ours paisibles de l'humour, pour
pouvoir, dans ce tourbillon d'injures, de-
meurer toujours juste. Mais la raison ne
déconseille-t-elle pas de continuer à l'in-
jurier ? Avec toutes les injures adressées
à Briand par nos journalistes et nos ora-
teurs, on pourrait remplir tout un livre.
Briand « le subtil », obligé de faire à la
Chambre une musique qu'elle n'aimait pas
(et qui maintenant, avant de s'être trop
engagé dans l'erreur, se réserve pour un
instrument meilleur) fut traité d'insensé, de
fou, de criminel, d'ignorant, de coquin, etc.
et voici qu'aujourd'hui son départ est con
sidéré comme un deuil national, comme un
désastre mondial. Son héritier est un
homme de fine culture française et de
conscience brave, ayant le courage (son
refus d'admettre le pacte avec l'Angleterre
vient encore de le prouver) même des déci-
sions impopulaires .Il est réputé comme
juriste, financier, publiciste, reconnu
comme un chef même par le pacifiste pré-
sident du Sénat Léon Bourgeois et il est la
bête noire des royalistes et des clémen-
cistes. Avant M. Seydoux (dont une cer-
taine coterie a démarqué les idées pour en.
attribuer la paternité à l' « homme qui
fait toujours plus que le maximum », le
vénéré Rathenau), le sénateur Poinçaré
avait recommandé de faire payer l'Allema-
gne moyennant une prise de gages, avec
des matières premières et des marchan-
dises. Cela n'était ni bête ni insensé. Sou-
vent il s'est défendu contre le reproche
d'aimer la manière forte, et les gestes cas.
sants et hautains. Ce qu'il a toujours af-
firmé, c'est sa méfiance envers le débi-
teur allemand
.Ne serait-il pais raisonnable, c'est-il-
dire politique, d'attendre tranquillement
pour voir dans quelle voie il va s'engager
comme chef de gouvernement ? Voudra-t-il
être le taureau dans le magasin de porce-
laine ? Je ne le crois pas. Celui qui passe
pour inflexible peut plus oser que celui
qui a, autour de lui, la menace d'un renom
de mollesse. Ce qui eût provoqué la chute
de M. Briand, laisserait son successeur in-
demne. Une conversation Poincaré-Stin-
nes pourrait peut-être demain être féconde.
— Maximilian Harden.
ZUKUNFT, 21.1.
PRESSE AUTRICHIENNE. — La déclaration
ministérielle par laquelle Poincaré a pré-
senté son cabinet à la Chambre française
répond entièrement à ce que l'on 'attendait
de ce système. La politique française
revient absolument au programme de Ver-
sailles. Elle se place sur le terrain de la
paix victorieuse et se soumet à l'esprit de
vengeance. Tous les accords conclus depuis
septembre 1919 pour apaiser le conflit des
réparations sont anéantis. Le refrain du
discours de Poincaré est toujours : « l'Alle-
magne doit payer, doit tout payer. » En
réalité, cette politique est une nouvelle et
grave menace pour l'économie allemande et
un appui pour le bolchevisme oriental. Il
fallait s'attendre au discours de Poincaré et
il est bon pour l'avenir que règne la plus
grande clarté.
WIENER MORGENZEITUNG, 22.1.
— La déclaration ministérielle de Poin-
caré montre clairement dans quelle voie le
nouveau Président du Conseil veut s'enga-
ger. Avec la plus grande énergie, il affirme
que l'Allemagne n'est pas appauvrie et rui-
née, et il prétend contre l'évidence que la
population de l'Allemagne est moins impo-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1 N° 1962
Mercredi 25 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le cabinet Poincaré :
1 opinion de M. Harden (Zukunft). — Le
discours de M. Lloyd George au Central
Hall, le 21 janvier (Frankfurter Zei-
tung). - Benoît XV et l'Allemagne
(Dl' Pîiaum dans Detsche Tageszei-
tung). -- Les monarchistes bavarois
(Koelnische Volkszeitung).
I ^Escp
PRESSE ANGLAISE. — Le cabinet Poincaré
(Sisley Huddleston dans New States-
man ; Outlook, Nation). — Une déclara-
tion de Lord Robert Cecil (Yorkshire
ost). - Les négociations franco-britan-
niques sur l'Orient (Times, Daily Tele-
graph). - Les Etats-Unis et l'Europe :
, désarmement et réparations (Times).
J AL TRICHIENNE. — Le cabinet Poincaré
Wiener Morgenzeitung, Neue Freie
Presse, Deutschoesterreichische Tages-
zeitung).
POLITIQUE GENERALE
LA POLITIQUE FRANÇAISE
CBlNET POINCARE. - L'OPINION
HiRden- - Sur toutes des palissades
et tous les coins de murs sont collés des
'Qrn,b -
séUj eaux des rapports secrets de l'ambas-
Sf*deur j V°'' destinés à prouver que
Poincaré a poussé à la guerre,
jeté Pare la guerre. Le premier coup d Œil:
a préparA a guerre. Le premier coup d'oeil
Corn t s Il apports permet de se rendre
le p e du fatras de mensonges exsudé par
san cerve-, U karamasowien d'Isvolski. Si
son témoignage étai probant , il faudrait
également IJ-oUt-er foi aux rappor t s sur le
tion de Londres et à la conversa-
ruons u avec Aehrenthal. Des dé-
bien d Ulhrneux et ténébreux ont dispensé
letl d es dons à ce mauvais et dangereux
j S méthodes de Gortchakov.
Ils ne lui ont pas donné celui de dire loya-
l et^ent et objectivement ce qui est.
poinea J?ctirvement ce qui est
6- savait avec quelle force
hallce fr e tIrait sur le petit nœud de l'ail
tersbou anCo-russe, quelles étaient à Pé-
tersbourg les forces du Palais qui cher-
chaient à le dénouer et avec quelle ardeur
à Potsdam et à Berlin, on s'efforçait au
moyen de lauriers et d'alcool, d'agir sur
cette « poule malade » de Sasonov. C'est
pourquoi Poincaré dont le sérieux bour-
geois ne se fia jamais complètement à
l'ambassadeur évaporé, se crut obligé de
faire sonner avec quelque éclat son indé-
fectible fidélité à l'alliance. Jusqu'ici on
n'a pas trouvé l'ombre d'une preuve qu'il
ait voulu la guerre et l'ait préparée. La
France était-edle prête à la guerre, sans ar-
tillerie lourde, sans couverture de la fron-
tière belge, avec une infanterie à pantalon
et képi rouges ? Non seulement Jaurès,
Basch et Barclay, mais encore le comte
Szezsen , l'ambassadeur de François-Uo-
seph, a rendu hommage à la volonté pacifi-
que de Poincaré. Ce qui est certain, c'est
qu'en tant que ministre, et au printemps
de sa présidence, il s'est efforcé, par l'in-
termédiaire de M. Bunau-Varilla, proprié-
taire du Matin, dont il avait été l'avocat, et
de M. Jules Cambon, de s'entendre avec
l'Allemagne et qu'il a, dans l'été de 1914-,
employé tous les moyens possibles pour
garantir la paix. Un peu par pacifisme,
mais parce qu'il craignait la force supé-
rieure de l'Allemagne, parce qu'il prévoyait
que l'invasion qui l'avait fait pleurer, en-
fant, se renouvellerait, et que, jusqu'à
l'heure de l'invasion de la Belgique par les
Allemands, il ne croyait pas que l'Angle-
terre viendrait prendre part à cette guerre
défensive. Son désir fiévreux d'empêcher la
guerre ne peut pas être prouvé avec
plus de précision que par sa lettre au roi
George. Cette lettre (qui permet également
de comprendre pourquoi il exige aujour-
d'hui un traité solide et non équivoque avec
l'Angleterre) n'a jamais été publiée sur les
principaux marchés de notre opinion pu-
blique mais celui qui l'a écrite a été mis
au pilori comme auteur de la guerre et fou
furieux. Et il n'a pas été assez fort, il
n'avait pas suffisamment atteint les som-
mets touj ours paisibles de l'humour, pour
pouvoir, dans ce tourbillon d'injures, de-
meurer toujours juste. Mais la raison ne
déconseille-t-elle pas de continuer à l'in-
jurier ? Avec toutes les injures adressées
à Briand par nos journalistes et nos ora-
teurs, on pourrait remplir tout un livre.
Briand « le subtil », obligé de faire à la
Chambre une musique qu'elle n'aimait pas
(et qui maintenant, avant de s'être trop
engagé dans l'erreur, se réserve pour un
instrument meilleur) fut traité d'insensé, de
fou, de criminel, d'ignorant, de coquin, etc.
et voici qu'aujourd'hui son départ est con
sidéré comme un deuil national, comme un
désastre mondial. Son héritier est un
homme de fine culture française et de
conscience brave, ayant le courage (son
refus d'admettre le pacte avec l'Angleterre
vient encore de le prouver) même des déci-
sions impopulaires .Il est réputé comme
juriste, financier, publiciste, reconnu
comme un chef même par le pacifiste pré-
sident du Sénat Léon Bourgeois et il est la
bête noire des royalistes et des clémen-
cistes. Avant M. Seydoux (dont une cer-
taine coterie a démarqué les idées pour en.
attribuer la paternité à l' « homme qui
fait toujours plus que le maximum », le
vénéré Rathenau), le sénateur Poinçaré
avait recommandé de faire payer l'Allema-
gne moyennant une prise de gages, avec
des matières premières et des marchan-
dises. Cela n'était ni bête ni insensé. Sou-
vent il s'est défendu contre le reproche
d'aimer la manière forte, et les gestes cas.
sants et hautains. Ce qu'il a toujours af-
firmé, c'est sa méfiance envers le débi-
teur allemand
.Ne serait-il pais raisonnable, c'est-il-
dire politique, d'attendre tranquillement
pour voir dans quelle voie il va s'engager
comme chef de gouvernement ? Voudra-t-il
être le taureau dans le magasin de porce-
laine ? Je ne le crois pas. Celui qui passe
pour inflexible peut plus oser que celui
qui a, autour de lui, la menace d'un renom
de mollesse. Ce qui eût provoqué la chute
de M. Briand, laisserait son successeur in-
demne. Une conversation Poincaré-Stin-
nes pourrait peut-être demain être féconde.
— Maximilian Harden.
ZUKUNFT, 21.1.
PRESSE AUTRICHIENNE. — La déclaration
ministérielle par laquelle Poincaré a pré-
senté son cabinet à la Chambre française
répond entièrement à ce que l'on 'attendait
de ce système. La politique française
revient absolument au programme de Ver-
sailles. Elle se place sur le terrain de la
paix victorieuse et se soumet à l'esprit de
vengeance. Tous les accords conclus depuis
septembre 1919 pour apaiser le conflit des
réparations sont anéantis. Le refrain du
discours de Poincaré est toujours : « l'Alle-
magne doit payer, doit tout payer. » En
réalité, cette politique est une nouvelle et
grave menace pour l'économie allemande et
un appui pour le bolchevisme oriental. Il
fallait s'attendre au discours de Poincaré et
il est bon pour l'avenir que règne la plus
grande clarté.
WIENER MORGENZEITUNG, 22.1.
— La déclaration ministérielle de Poin-
caré montre clairement dans quelle voie le
nouveau Président du Conseil veut s'enga-
ger. Avec la plus grande énergie, il affirme
que l'Allemagne n'est pas appauvrie et rui-
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