Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 janvier 1922 24 janvier 1922
Description : 1922/01/24 (T20,N1961). 1922/01/24 (T20,N1961).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533305
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MïNlSTÊRE
ibnii
1 "P"'F(ES ÉTRANGÈRES
N° 1961
Mardi 24 janvier 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
1 -
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
,Y^KM/VN|)E.— La politique française :
hi dOOlf1r
tung, Berliner Tageblatt, Fritz Kern
dans Grenzboten).
I)UI<:881o' - f
: AMEmcAIt\E. — Les sous-marins fran-
ÇûlS el la séance américaine (Washing-
ton Post). — Les* démocrates et l'accord
p du Pacifique (New York Tiutes).
P~.
'j~ ANGL/USE- — Les négociations franco-
br-H rUH mtnster Gazette). - Le discours de
Lloyd Goorgo au Central Hall, le 21
n Vl. 0r (Times, Daily Chronicle, Mor-
ntn'y l'os t, Daily News). — Les Etats-
yn,9 s et la Conférence de Gênes (Mor-
ning Post).
ITAr iENNK- — Les Etats-Unis et la
rvof nïf.e.rence de Gênes (Luigi Barzini
p «uis Corriere délia Sera).
t\ESSE SUISSE. — La politique française :
la déclaration ministérielle (Zuricher
n Nation al Zeitung).
National Zeitung).
POLITIQUE GENERALE
LA pOLlTIOUE FRANÇAISE
ECLARATION MINISTERIELLE. -
fiav'S.SE: ALLEMANDE. — Il faut attendre pour
tiúnOlr qu.els actes suivront ces déclara-
tiù leur mise à exécution équivaudrait
lle ISOlement d,e la France. Car Poincaré
peu. Suère se faire d'illusion sur les
~ees ïéali8er sur cette base un ac-
> ~y~ Lloyd George aura
^Ucoun à îaiPe pour mettre ses plans à
^tkn
t^'rarice Ti ma:lgr.é cette politique de la
rarlee. Il n'y a pas; Se doute. Des jours
Pidée es Iftttend-P-ri-t l'Allemagne. En effet,
^e, 'ém 'se par les optimistes impénitents,
iô g()Uvern.em-ent de Poincaré serait de
flietint nous semble d'autant plus in-
'vr'algerftb,lable qu.e toute la presse pari-
khO à ses déclarations à la
re. - o B
KREUZ-ZEITUNG, 20.1 soir.
tvI. Pû' S le titre U GRAND HOMME Il. -
"'il ne craint pas le ju-
Rernrit dp 1 histOire. Mais il redoute les
papiers Isvolski et il déclare qu'il ne les
'^s n ex'®t.ent pas, ou qu'ils
jî^ ï rldépit de l'intimité qu'il Y
a ait entre eux du fait des circonstances,
l'ambassadeur de Russie ne lui a pas mon-
tré les rapports qu'il envoyait à Sasonov
Mais M. Poincaré va plus loin et dit que
les rapports d'Isvolski sont faux ou n'exis-
tent pas. Ainsi niaient déjà les élèves d'Es-
cobar, avec un grand talent de dialectique,
des choses existantes et impossibles à con-
tester. Les rapports d'Isvolski existent et
sont là. Et si M. Poincaré prétend mainte-
nant que son ami Isvoiski a envoyé à cette
époque des mensonges à Saint-Pétersbourg,
on peut s'étonner qu il ait accordé alors
une telle confiance à cet ambassadeur. Mais
les rapports d'Isvolski ne mentent pns. On
n'a qu'à les comparer, à Paris avec les
rapports des ministres belges, , du baron
Guillaume, du baron Beyens et des autres
pour constater que tout ce que dit Isvoiski
se trouve confirmé par les diplomates bel-
ges.
Au surplus : après tout ce que l'on a dit
sur les rapports Isvoiski, il serait juste et
utile de les publier enfin à Paris, afin qiv»
le public français puisse se faire une opi
nion. On ne peut faire la lumière sur une
chose que l'on tient obstinément sous le
boisseau.
Après avoir déchargé son coeur, et parlé
des fautes de l'Allemagne, que nous ne con-
testons pas, et nié suffisamment sa propre
faute, qui nous semble prouvée, il aborda
encore une fois la question des réparations
et des coupables, et parla de « sanctions »
et d'un « nouveau retard dans l'évacuation
de la rive gauche du Rhin », véritable ob-
jet de ses désirs. Son appel à la violence
et à l'emploi de la force semble avoir été
justement apprécié dans les autres pays.
Très caractéristique et énormément instruc-
tive pour tous ceux qui veulent espérer une
politique plus raisonnable, de la part des
Républicains radicaux et de leur union, fut
l'attitude de M. Herriot Ce monsieur, qui
est presque entré au cabinet et l'eût fait
certes volontiers, passe pour un chef du
« parti de la réconciliation ». Hier, il a
joyeusement applaudi à la politique de ré-
parations et aux menaces de M. Poincaré.
Il a défendu cette idée que la question des
réparations ne dépend point de la recons
truction économique de l'Europe.
Voilà l'aspect d'un homme de la « récon-
ciliation » et de 1' « entente ». Il faut tou-
jours se réjouir de voir les masques tom-
ber.
BERLINER TAGEBLATT, 20.1 soir.
— On sait que, selon la thèse de Poin-
caré, les délais d'occupation en territoire
rhênarn n'ont pas encore commencé à cou-
rir tandis que l'Angleterre projette d'éva-
cuer, au plus tard en janvier 1925, le tiers
septentrional avec Cologne. Cette thèse du
poincarisme ne doit servir que comme
monnaie d'échange contre des dédommage-
ments plus tangibles. L'évacuation rapide
du pays rhénan, si désirable qu'elle soit
pour nous, devient mauvaise si Poincaré
nous l'accorde à nous et aux Britanniques
comme un bénéfice fallacieux.
Les bottes des soldats en pays rhénan
n'éveillent aucune sympathie en faveur de
la France et ne font que fortifier le germa-
nisme en réunissant dans un sort commun
Mayence et Trêves d'une part, Sarrebrück
et Strasbourg d'autre part. Les mitrailleu-
ses des revues, tant que nous ne sommes
pas obligés d'en avoir, nous font moins de.
mal que les ventouses de là servitude fi-
nancière. Si nous devons payer, nous
payons le plus volontiers pour une armée
d'occupation. Les francs et les dollars que
nous avons achetés s'écoulent ainsi, selon
l'adage de Vespasien « Non olet », vers les
cabarets à soldats et les filles de la rue
pour revenir, au moins, dans la circulation
en marks-papier. L'heure de la libération
du Rhin ne peut manquer de sonner ; il
vaut mieux qu'elle sonne tard, mais bien,
que prématurément h la manière Poincaré.
Le rhénan loyaliste considère et traite tous
les gens de la ménagerie du Rhin comme
de malheureux mercenaires, des crève-la
faim ; et il en prend conscience de sa pro-
pre dignité. — Fritz Kern.
GRENZBOTEN, 21.1.
PRESSE SUISSE. - .La déclaration de
M. Poincaré ,ramène la politique euro-
péenne à cette période où la base de toute
politique était constituée par les exigences
.relatives à l'exécution du Traité de Ver-
sailles et visait à la destruction politique et
économique de l'Allemagne. La question
de savoir si cette politique est encore pos-
sible n'est pas résolue. La France devra
pratiquer cette seule politique, et une
telle voie est dangereuse pour la France,
pour l'Allemagne et l'Europe. La hache qui
doit abattre l'arbre vivotant est levée ; on
saura dans quelques semaines si elle
s'abat.
ZUERICHER POST, 21.1.
— On peut, on veut conserver la foi en
un sauvetage du monde et on ne saurait
mieux faire que d'oublier aussitôt que pos-
sible les déclarations de M. Poincaré. Elles
furent ce qu'on devait attendre de M. Poin-
caré .La France ne veut aller à Gênes qu'à
condition qu'on ne touche en rien aux trai-
tés existants, situation qui ressemble à celle
d'une personne qui va chez le dentiste et
défend à celui-ci de regarder ses dents..
Toute la presse parisienne d'excitation na-
tionaliste annonce à ses lecteurs qu'on doit
soutenir Poincaré parce qu'il est haï des
pro-germains. Pourtant ni Lloyd George,
ibnii
1 "P"'F(ES ÉTRANGÈRES
N° 1961
Mardi 24 janvier 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
1 -
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
,Y^KM/VN|)E.— La politique française :
hi dOOlf1r
tung, Berliner Tageblatt, Fritz Kern
dans Grenzboten).
I)UI<:881o' - f
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ÇûlS el la séance américaine (Washing-
ton Post). — Les* démocrates et l'accord
p du Pacifique (New York Tiutes).
P~.
'j~ ANGL/USE- — Les négociations franco-
br-H rUH
Lloyd Goorgo au Central Hall, le 21
n Vl. 0r (Times, Daily Chronicle, Mor-
ntn'y l'os t, Daily News). — Les Etats-
yn,9 s et la Conférence de Gênes (Mor-
ning Post).
ITAr iENNK- — Les Etats-Unis et la
rvof nïf.e.rence de Gênes (Luigi Barzini
p «uis Corriere délia Sera).
t\ESSE SUISSE. — La politique française :
la déclaration ministérielle (Zuricher
n Nation al Zeitung).
National Zeitung).
POLITIQUE GENERALE
LA pOLlTIOUE FRANÇAISE
ECLARATION MINISTERIELLE. -
fiav'S.SE: ALLEMANDE. — Il faut attendre pour
tiúnOlr qu.els actes suivront ces déclara-
tiù leur mise à exécution équivaudrait
lle ISOlement d,e la France. Car Poincaré
peu. Suère se faire d'illusion sur les
~ees ïéali8er sur cette base un ac-
> ~y~ Lloyd George aura
^Ucoun à îaiPe pour mettre ses plans à
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t^'rarice Ti ma:lgr.é cette politique de la
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^e, 'ém 'se par les optimistes impénitents,
iô g()Uvern.em-ent de Poincaré serait de
flietint nous semble d'autant plus in-
'vr'algerftb,lable qu.e toute la presse pari-
khO à ses déclarations à la
re. - o B
KREUZ-ZEITUNG, 20.1 soir.
tvI. Pû' S le titre U GRAND HOMME Il. -
"'il ne craint pas le ju-
Rernrit dp 1 histOire. Mais il redoute les
papiers Isvolski et il déclare qu'il ne les
'^s n ex'®t.ent pas, ou qu'ils
jî^ ï rldépit de l'intimité qu'il Y
a ait entre eux du fait des circonstances,
l'ambassadeur de Russie ne lui a pas mon-
tré les rapports qu'il envoyait à Sasonov
Mais M. Poincaré va plus loin et dit que
les rapports d'Isvolski sont faux ou n'exis-
tent pas. Ainsi niaient déjà les élèves d'Es-
cobar, avec un grand talent de dialectique,
des choses existantes et impossibles à con-
tester. Les rapports d'Isvolski existent et
sont là. Et si M. Poincaré prétend mainte-
nant que son ami Isvoiski a envoyé à cette
époque des mensonges à Saint-Pétersbourg,
on peut s'étonner qu il ait accordé alors
une telle confiance à cet ambassadeur. Mais
les rapports d'Isvolski ne mentent pns. On
n'a qu'à les comparer, à Paris avec les
rapports des ministres belges, , du baron
Guillaume, du baron Beyens et des autres
pour constater que tout ce que dit Isvoiski
se trouve confirmé par les diplomates bel-
ges.
Au surplus : après tout ce que l'on a dit
sur les rapports Isvoiski, il serait juste et
utile de les publier enfin à Paris, afin qiv»
le public français puisse se faire une opi
nion. On ne peut faire la lumière sur une
chose que l'on tient obstinément sous le
boisseau.
Après avoir déchargé son coeur, et parlé
des fautes de l'Allemagne, que nous ne con-
testons pas, et nié suffisamment sa propre
faute, qui nous semble prouvée, il aborda
encore une fois la question des réparations
et des coupables, et parla de « sanctions »
et d'un « nouveau retard dans l'évacuation
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jet de ses désirs. Son appel à la violence
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justement apprécié dans les autres pays.
Très caractéristique et énormément instruc-
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politique plus raisonnable, de la part des
Républicains radicaux et de leur union, fut
l'attitude de M. Herriot Ce monsieur, qui
est presque entré au cabinet et l'eût fait
certes volontiers, passe pour un chef du
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Il a défendu cette idée que la question des
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Voilà l'aspect d'un homme de la « récon-
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BERLINER TAGEBLATT, 20.1 soir.
— On sait que, selon la thèse de Poin-
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n'éveillent aucune sympathie en faveur de
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Le rhénan loyaliste considère et traite tous
les gens de la ménagerie du Rhin comme
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GRENZBOTEN, 21.1.
PRESSE SUISSE. - .La déclaration de
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.relatives à l'exécution du Traité de Ver-
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économique de l'Allemagne. La question
de savoir si cette politique est encore pos-
sible n'est pas résolue. La France devra
pratiquer cette seule politique, et une
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pour l'Allemagne et l'Europe. La hache qui
doit abattre l'arbre vivotant est levée ; on
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ZUERICHER POST, 21.1.
— On peut, on veut conserver la foi en
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