Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 janvier 1922 23 janvier 1922
Description : 1922/01/23 (T20,N1960). 1922/01/23 (T20,N1960).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253329h
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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| ^ÉTRANGÈRES
N° 1960
J Lundi 23 janvier 1922
Mletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
sommaire
sSE AL ^— La '.politique firan-
LEMANDE. - La ~polit;ique: fl~an-
la déclaration ministérielle
i^®(Jlichp Ihmdschau, Kœlnische Zei-
H, py fUrter Zeitung, Vorwserls,
^epit v Ossiselle Zefitung; Th. Wolff
, "e"liller Tageblatt).
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la pp!^CAlNE\— La position navale
SE rhllce (Sew l'orh American).
SSE ANGLAISE.- Le cabinet Poincaré et
ît. Paote f ranco -brit anniq u ç
hror¡" • Donohoe dans Daily
raph lcle ;. Morning Post, Daily Tele-
IUls S Da,tly News; Crawfurd Price
lInday Times).
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lâ d.éC¡ISSE.. - La politique française :
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PrJLI-rio UE FRANÇAISE
'^°LlTlQUE française
^TOon MINISTERIELLE. -
Cet %\:'-\DE, - Le discours de Poin
cet appel ai°u de Chantecler, n'éclai-
sitiioltl0n- 11 ne fait que la trou,
rai
l'a oe- Pour le moment. Mais il
r d'autres personnes à
attItude nette. En France même
0 ne^e- Ln France même
ci à,.' Se peut que ce, discours
lell rsÔ nalité de M. Poincaré,
Son. Ca maÎJS; moins bien peut
et le Cabinet Briand sans
Hj' et rrinin. encore à la France. Déjà,
«n h e,ïrs de la Chambre, on
à Poinca,ré s'il marche-
1 o ^lin •« f"ns l'assentiment des Al-
cti f 6slion dû ,
naNotre on de la part d'un pays étran-
e Ge que Peu brillant, consiste à at-
ce n que diront ceux sans qui la
que diront oeux sans qui la
ce ne peut agir sous peine de voir
ç u- 1 MM- Po„i-ncaré recl.ame
J ^^DSCHAU, 20.1 matin.
h n°uveau ^^ident du Conseil fran-
qlle ~P SOn Programme politique
q ^6 06 IxrograIhme. eut été approuvé
par le Conseil des ministres sous la prési-
dence du président de la République. Il a
produit l'effet qu'on en attendait, et il a
obtenu la majorité prévue. Par ce pro-
gramme, M. Poincaré n'a ajouté aucun trait
nouveau à sa figure politique et n'en a ef-
facé aucun trait ancien. Comment aurait-il
pu faire autrement, sans perdre immédiate-
ment son prestige et tromper les espoirs
pour la réalisation desquels on l'avait appe-
lé au pouvoir ? Reste à savoir, pour lui,
pour nous et pour l'avenir du monde euro-
péen, dans quelle mesure M. Poincaré es-
saiera de mettre ses idées à exécution et
jusqu'à quel point il peut compter à ce sujet
sur un succès. Ses idées dernières ne sont
pas exprimées dans son programme. Elles
apparaissent entre les lignes à ceux tout
d'abord qui les connaissent d'auparavant.
Il ne s'agit de rien autre que de l'installa-
tion sur le Rhin de l'écrasement définit il
de l'empire allemand et si possible de son
démembrement.
KOELNISCHE ZEITUNG, 20.1 soir.
— M. Poincaré ne sera pas éternellement
président du Conseil français. Mais tant
qu'il régnera, nous serons en danger, et il
sera un obstacle à la guérison du monde.
M. Poincaré, contrairement à ses deux der-
niers prédécesseurs, ne connaît point d'Al-
lemagne ayant la volonté d'exécuter loyale-
ment, dans la mesure du possible, les con-
ditions qui lui sont imposées. Pour lui,
l'Allemagne est un pays auquel on doit
faire exécuter à coups de fouet des tâches
d'esclave. Le mot « Paix » sonne étrange-
ment dans cette bouche. Car Ce que veut
Poincaré, ce n'est pas l'avènement de l'es-
prit pacifique. Ce qu'il veut, c'est une ter-
reur aveugle et haineuse. Il y a des gens
qui peuvent penser qu'il est bon que le na-
tionalisme français qui, jusqu'ici, a poussé
toujours plus les gouvé>nemen,t¡g. de la
France vers une politique funeste, soit
aussi au pouvoir, attendu qu'il court ainsi
à sa propre perte et que le peuple français
finira par reconnaître qu'il lui faut rompre
avec ces gens. Mais nous ne voulons voir
que les dangers présents.
FRANKFURTER ZEITUNG,
20.1. soir.
— Le système absolu de Poincaré doit
échouer devant 'la vie active, et plus tôt le
peuple français et ses alliés le compren-
dront, mieux cela vaudra pour toute l'Eu-
rope. Il y a une république allemande, il y
a un peuple allemand qui veut vivre et qui
doit vivra même si M. Poincaré n'en voit
pais la nécessité. Le monde ne veut pas
être transformé en un désert où les; para-
graphes triomphent, où les bataillons, se
mettent en marche.
Pour l'Allemagne la déclaration du nou-
veau gouvernement français constitue un
avertissement : « Garde toi ! » C'est vrai.
Jamais des sottises ne pourraient nous être
plus dangereuses, que maintenant. Pour la
lutte qu'elle doit mener présentement non
seulement pour elle-même mais pour la dé-
fense des intérêts du monde, la République
allemande a besoin de l'aide de tous les es-
prits raisonnables du monde. Elle doit don-
ner la preuve définitive que tout déficit de
ses prestations n'est pas imputable à sa
mauvaise volonté mais au traité qui de-
mande l'impassible pour fournir un pré-
texte à des entreprises injustes. Cette
preuve, elle ne pourra jamais la produire
par les discussions théoriques, mais en
fournissant des prestations jusqu'à la li-
mite du possible.
La politique que nous avons poursuivie
au cours des .hUJits derniers mois nous
donne la possibilité d'envisager de sang-
froid la suite des événements. Les hivers
rigoureux sont ceux qui durent le moins.
VORWAERTS, 20.1. matin.
— La déclaration du ministère Poincaré
dans les parties, qui ont trait à l'Allemagne,
est d'un ton très rude. Poincaré répète
foutes les accusations contre l'Allemagne,
que le « bloc national » entend avec tant de
plaisir. Lorsque Poincaré exige en premier
lieu la reconstruction des territoires dévas-
tés de France et de Belgique, on peut rap-
peler que nous avons toujours affirmé la
nécesisité de cette reconstruction. Mais nous
estimons que ce but peut être atteint le
plus rapidement au moyen d'accords écono-
miques sensés, et réalisables tandis que la
politique de violence ne peut que faire du
mal aux deux pays. Les paroles mena-
çantes de Poincaré ne sont pas de mise
étant donné la politique étrangère actuelle
du cabinet Wirth. La mise en ordre de nos
finances et la réduction de l'inflation sont
assurément nécessaires. Le gouvernement
El le devoir de tout faire dans cet ordre
d'idées pour ne plus prêter le flanc à la cri-
tique. Mais Poincaré reprend la question du
châtiment des coupables, parle de nouvelles
sanctions et d'une prolongation de l'occupa-
tion du Rhin. Ce n'est pas, avec des sanc-
tions, mais au moyen d'accords écono-
miques que l'on pourra réaliser la recons-
truction et fournir les prestations néces-
saires aux réparations.
FREIHEIT, 20.1 matin.
— Ce n'est pas en première ligne à nous
qu'il appartient de critiquer la politique que
M. Poincaré a promise ou semblé promettre
au bloc national. Cette méthode, si elle fait
mine de se réaliser, se heurtera non pas à
la résistance de l'Allemagne impuissante,
J DES
| ^ÉTRANGÈRES
N° 1960
J Lundi 23 janvier 1922
Mletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
sommaire
sSE AL ^— La '.politique firan-
LEMANDE. - La ~polit;ique: fl~an-
la déclaration ministérielle
i^®(Jlichp Ihmdschau, Kœlnische Zei-
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attItude nette. En France même
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ci à,.' Se peut que ce, discours
lell rsÔ nalité de M. Poincaré,
Son. Ca maÎJS; moins bien peut
et le Cabinet Briand sans
Hj' et rrinin. encore à la France. Déjà,
«n h e,ïrs de la Chambre, on
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1 o ^lin •« f"ns l'assentiment des Al-
cti f 6slion dû ,
na
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ce n que diront ceux sans qui la
que diront oeux sans qui la
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J ^^DSCHAU, 20.1 matin.
h n°uveau ^^ident du Conseil fran-
qlle ~P SOn Programme politique
q ^6 06 IxrograIhme. eut été approuvé
par le Conseil des ministres sous la prési-
dence du président de la République. Il a
produit l'effet qu'on en attendait, et il a
obtenu la majorité prévue. Par ce pro-
gramme, M. Poincaré n'a ajouté aucun trait
nouveau à sa figure politique et n'en a ef-
facé aucun trait ancien. Comment aurait-il
pu faire autrement, sans perdre immédiate-
ment son prestige et tromper les espoirs
pour la réalisation desquels on l'avait appe-
lé au pouvoir ? Reste à savoir, pour lui,
pour nous et pour l'avenir du monde euro-
péen, dans quelle mesure M. Poincaré es-
saiera de mettre ses idées à exécution et
jusqu'à quel point il peut compter à ce sujet
sur un succès. Ses idées dernières ne sont
pas exprimées dans son programme. Elles
apparaissent entre les lignes à ceux tout
d'abord qui les connaissent d'auparavant.
Il ne s'agit de rien autre que de l'installa-
tion sur le Rhin de l'écrasement définit il
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KOELNISCHE ZEITUNG, 20.1 soir.
— M. Poincaré ne sera pas éternellement
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qu'il régnera, nous serons en danger, et il
sera un obstacle à la guérison du monde.
M. Poincaré, contrairement à ses deux der-
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ment, dans la mesure du possible, les con-
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l'Allemagne est un pays auquel on doit
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prit pacifique. Ce qu'il veut, c'est une ter-
reur aveugle et haineuse. Il y a des gens
qui peuvent penser qu'il est bon que le na-
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aussi au pouvoir, attendu qu'il court ainsi
à sa propre perte et que le peuple français
finira par reconnaître qu'il lui faut rompre
avec ces gens. Mais nous ne voulons voir
que les dangers présents.
FRANKFURTER ZEITUNG,
20.1. soir.
— Le système absolu de Poincaré doit
échouer devant 'la vie active, et plus tôt le
peuple français et ses alliés le compren-
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a un peuple allemand qui veut vivre et qui
doit vivra même si M. Poincaré n'en voit
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être transformé en un désert où les; para-
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mettent en marche.
Pour l'Allemagne la déclaration du nou-
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donne la possibilité d'envisager de sang-
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rigoureux sont ceux qui durent le moins.
VORWAERTS, 20.1. matin.
— La déclaration du ministère Poincaré
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est d'un ton très rude. Poincaré répète
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du cabinet Wirth. La mise en ordre de nos
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FREIHEIT, 20.1 matin.
— Ce n'est pas en première ligne à nous
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