Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 janvier 1922 21 janvier 1922
Description : 1922/01/21 (T20,N1959). 1922/01/21 (T20,N1959).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533283
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
,4 lMyn,i5l
CES
AlbEs ETRANGÈRE,,,
1 N° 1959
Samedi 21 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
HEssE
MANDE' - La France et les
: étions,. PoJono-russes (Wilm Stein
dans n Cr Tageblatt). — Les répa-
mitons: l'élüboration du mémoire du
gouver-ri leinent allemand (Vorwærts) ;
I ! la situatIon du cabinet Wirth (Tægliche
IhlndSChall).
RESSE AMÉRICAINE. — Les t de la
ï !?r^ncfttidettes de guerre (Wash-
[ in0ton p 0s^- — Les Etats-Unis et la
[. Confpr„ri - Les Etats-Unis et la
~~férp'n~ de Gênes : l'invitation à la
Russie /fu ashinQton Post). — La Qua-
ruPle Entente du Pacifique (World).
RESSE ,
Il cléch ,r" - Le cabinet Poincaré :
; ministérielle du 19 jan-
Vier m Daily Chronicle, Daily
Express, Westminster Gazette, Daily
Herald). Dail'
~,
i ÏTAIlE^NE' - L'Italie el le projet de
fnc^britannique (Stampa,
t RIf Po). Les. dettes de la France aux
(Pio Schinetti dans Secolo).
POLITIOUE GENERALE
LA p°L,TIOUE FRANÇAISE
Lt
ION 'NET POINCARE. LA DÉCLARA-
Ï"^WNM UE DU 19 JANVIER. - La
chambre re fi. f t ",ne ovalion à M Poin(-,arp, à
fio de S'or, d. lme ovatlon à M Poincaré à
U Cours et le gouvernement a
tI1.e hl\c.' 1111e forte majorité ; cela veut dire
fnv,majorité ; cela veut dire
toe Pour - êlle ¡Larsse le nouveau
> lrbre d'appliquer la politique qui
'W!?111®.. n„ Hé est cette politique ? En
i€ la fU-t-ratiori est l'expression de
ROll 1. S VIgoureux plutôt qu'un argument
[ue virTri,1' eUx plutôt qu'un argument
(ill lie eut rtiieul- la définir qu'en disant
un 4 ru adapté à un événe-
la présentation du gou-
ver n "tent D'. é é
û \?P°sé , Un P°in^ de vue plus géné-
ral, l' \, Pose Il est pns entièrement satisfai-
n'avn ?Srien à dire> certes, con-
ts f riel-i à dire, certes, con-
^p^^çais. relatif à la défense des inté-
Nt-, Poincaré a justement
cl^e l'Âii ema§ne est riche et qu'elle
A. ? Ceirtain moment, M. Poin-
caré éde la , de conclure un
fifé passage
acte; ce passage a ÉTÉ applaudi, mais
< ^^°rr>esPoïidJ f , que les autres, dit
tre correspondant. Le fait que M. Poin-
I e SUr cetlp question est
Ntêt Pe Slcrnlfic t'f cette question est
t .fi 1 ; apparemment, il n'en
fait pas la base de sa politique internatio-
nale ; mais après tout, aux Français de dé-
cider ; nous leur avons offert un pacte et
nous ne pouvons dire si le peuple français
veut se maintenir sur le terrain du nationa-
lisme étroit ou s'il commence à se rendre
compte qu'il est nécessaire de créer une
vaste association de peuples. Dans certains
articles parus récemment dans la presse
française, nous avions cru saisir les preu-
ves d'une veine plus généreuse et nous
constatons qu'elles ont disparu dans le dis-
cours de M. Poincaré : c'est pour nous une
déception. En ce qui concerne la conférence
de Gênes, nous constatons avec regret que
M. Poincaré semble plutôt disposé à entou-
rer la France d'un renfort de précautions et
de négations qu'à l'inciter à se joindre à ses
amis, dans la lutte pour la réalisation à la-
quelle nous allons tous prendre part. En-
trons dans cette lutte, avec la résolution
d'en sortir vainqueurs ; l'époque des procé-
dés politiques timides, le temps des réser-
ves et des discussions vaines est passé ; ce
sont ces procédés qui ont fait tant de mal
depuis l'armistice et avec M. Poincaré nous
critiquons les Conseils Suprêmes. Des mé-
thodes diplomatiques saines sont néces-
saires, mais elles doivent tendre au but le
plus élevé ; or M. Poincaré ne tend pas
vers le but le plus élevé, quand il déclare
que le regrettable accord d'Angora doit être
la base d'une politique de reconstruction en
Orient.
La France ne peut vivre avec une poli-
tique de négation pure et simple ; ce n'est
pas ainsi qu'elle a conquis sa place parmi
les « leaders » de la civilisation. Nous re-
grettons vivement, profondément que M.
Poincaré n'ait pas cru devoir élever le
ton de son discours ; en vérité, le souci de
l'intérêt national ne peut prévenir le libre
jeu des instincts généreux. Le monde est
actuellement uni dans une telle affliction
qu'aucune nation ne saurait se réfugier
dans sa coquille pour ne songer qu'à ses
intérêts particuliers. Cédant à son senti-
ment véritable, la France se réveillera et
rejoindra ses amis dans la lutte, afin de sor-
tir du chaos où toutes les nations souffrent
en commun. — (Ed.)
TIMES, 20.1.
— De Paris : On ne saurait dire, sans
exagérer, que le début de M. Poincaré est
un succès oratoire ; ses déclarations sont
tombées sèchement sur une assemblée at-
tentive ; il leur manquait quelque chose, et,
ce qui est plus grave, elles ne contenaient
aucun élément de politique constructive ; en
réalité, elles ne définissent aucune politi-
que nouvelle. — Martin H. Donohe.
DAILY CHRONICLE, 20.1.
— La déclaration ministérielle ressemble
à toutes les déclarations ministérielles : des
généralités, pas de détails. M. Poincaré a
fait allusion au pacte, non pour s'expliquer
sur ses critiquess précédentes, mais seule-
ment pour émettre l'espoir qu'il sera bien-
tôt conclu. Mais il y a une phrase dans ce
discours qui ne sera probablement pas ac-
cueillie favorablement par le lecteur an-
glais ; après avoir signalé les évasions
successives de l'Alleriiàcvne, M. Poincaré
dit : Nous avons le droit de déclarer que
Id période de délai fixée pour l'évacuation
de la rive gauche du Rhin ne court pas
encore. C'est une. opinion que l'Angleterre
ne peut accepter, parce quelle sait que le
gouvernement allemand, avec le Dr Wirth,
a adopté une attitude loyale à l'égard du
Traité. — (Ed.)
DAILY CITRONICLE, 20.1.
- - *Le discours de M. Poincaré à la
Chambre ne dissipera pas les inquiétudes
créées en Angleterre et aux Etats-Unis par
les tendances de la politique française.
M. Poincaré s'est exprimé (il ne pouvait
d'ailleurs faire autrement en cette occasion)
comme le porte-parole du chauvinisme
français. Il insiste sur l'application du traité
de Versailles dans la lettre aussi bien que
dans l'esprit.
Sans doute M. Poincaré manifeste le dé-
sir d'agir en harmonie avec la Grande-Bre-
tagne et de contribuer à la réorganisation
économique de l'Europe. Il déclare que la
restauration des régions dévastées de
France et de Belgique doit être une condi-
tion première de cette réorganisation. Per-
sonne ne l'a contesté. Par malheur,
M. Poincaré ne paraît pas saisir qu'il n'est
pas moins important de sauver l'Allemagne
de la ruine et de la faillite. Le passage le
plus inquiétant de son discours est celui où
il parle de maintenir les sanctions, et même
d'en imposer de nouvelles, s'il est néces-
saire. Ces sanctions, (pour ne pas parler de
l'occupation française du Rhin) demeure-
ront en vigueur' tant que les autres clauses
du traité de Versailles — désarmement, pu-
nition des coupables — n'auront pas été
exécutées. Beaucoup de personnes .crai-
gnent en Angleterre que les Français
n'aient recours à cet argument, que parce
qui leur servirait d'excuse; ils voient avec
défiance une nation agir à la fois comme
juge et partie dans une matière de
cette importance. Le temps convaincra peut-
être la France de la folie du chauvinisme.
En tout cas. ce moment n'est pas encore
venu. — (Ed.)
DAILY EXPRESS, 20.1.
— Nous sommes reconnaissants à
M. Poincaré d'avoir bien voulu définir
promptement l'attitude de son gouverne-
CES
AlbEs ETRANGÈRE,,,
1 N° 1959
Samedi 21 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
HEssE
MANDE' - La France et les
: étions,. PoJono-russes (Wilm Stein
dans n Cr Tageblatt). — Les répa-
mitons: l'élüboration du mémoire du
gouver-ri leinent allemand (Vorwærts) ;
I ! la situatIon du cabinet Wirth (Tægliche
IhlndSChall).
RESSE AMÉRICAINE. — Les t de la
ï !?r^ncfttidettes de guerre (Wash-
[ in0ton p 0s^- — Les Etats-Unis et la
[. Confpr„ri - Les Etats-Unis et la
~~férp'n~ de Gênes : l'invitation à la
Russie /fu ashinQton Post). — La Qua-
ruPle Entente du Pacifique (World).
RESSE ,
Il cléch ,r" - Le cabinet Poincaré :
; ministérielle du 19 jan-
Vier m Daily Chronicle, Daily
Express, Westminster Gazette, Daily
Herald). Dail'
~,
i ÏTAIlE^NE' - L'Italie el le projet de
fnc^britannique (Stampa,
t RIf Po). Les. dettes de la France aux
(Pio Schinetti dans Secolo).
POLITIOUE GENERALE
LA p°L,TIOUE FRANÇAISE
Lt
ION 'NET POINCARE. LA DÉCLARA-
Ï"^WNM UE DU 19 JANVIER. - La
chambre re fi. f t ",ne ovalion à M Poin(-,arp, à
fio de S'or, d. lme ovatlon à M Poincaré à
U Cours et le gouvernement a
tI1.e hl\c.' 1111e forte majorité ; cela veut dire
fnv,majorité ; cela veut dire
toe Pour - êlle ¡Larsse le nouveau
> lrbre d'appliquer la politique qui
'W!?111®.. n„ Hé est cette politique ? En
i€ la fU-t-ratiori est l'expression de
ROll 1. S VIgoureux plutôt qu'un argument
[ue virTri,1' eUx plutôt qu'un argument
(ill lie eut rtiieul- la définir qu'en disant
un 4 ru adapté à un événe-
la présentation du gou-
ver n "tent D'. é é
û \?P°sé , Un P°in^ de vue plus géné-
ral, l' \, Pose Il est pns entièrement satisfai-
n'avn ?Srien à dire> certes, con-
ts f riel-i à dire, certes, con-
^p^^çais. relatif à la défense des inté-
Nt-, Poincaré a justement
cl^e l'Âii ema§ne est riche et qu'elle
A. ? Ceirtain moment, M. Poin-
caré éde la , de conclure un
fifé passage
acte; ce passage a ÉTÉ applaudi, mais
< ^^°rr>esPoïidJ f , que les autres, dit
tre correspondant. Le fait que M. Poin-
I e SUr cetlp question est
Ntêt Pe Slcrnlfic t'f cette question est
t .fi 1 ; apparemment, il n'en
fait pas la base de sa politique internatio-
nale ; mais après tout, aux Français de dé-
cider ; nous leur avons offert un pacte et
nous ne pouvons dire si le peuple français
veut se maintenir sur le terrain du nationa-
lisme étroit ou s'il commence à se rendre
compte qu'il est nécessaire de créer une
vaste association de peuples. Dans certains
articles parus récemment dans la presse
française, nous avions cru saisir les preu-
ves d'une veine plus généreuse et nous
constatons qu'elles ont disparu dans le dis-
cours de M. Poincaré : c'est pour nous une
déception. En ce qui concerne la conférence
de Gênes, nous constatons avec regret que
M. Poincaré semble plutôt disposé à entou-
rer la France d'un renfort de précautions et
de négations qu'à l'inciter à se joindre à ses
amis, dans la lutte pour la réalisation à la-
quelle nous allons tous prendre part. En-
trons dans cette lutte, avec la résolution
d'en sortir vainqueurs ; l'époque des procé-
dés politiques timides, le temps des réser-
ves et des discussions vaines est passé ; ce
sont ces procédés qui ont fait tant de mal
depuis l'armistice et avec M. Poincaré nous
critiquons les Conseils Suprêmes. Des mé-
thodes diplomatiques saines sont néces-
saires, mais elles doivent tendre au but le
plus élevé ; or M. Poincaré ne tend pas
vers le but le plus élevé, quand il déclare
que le regrettable accord d'Angora doit être
la base d'une politique de reconstruction en
Orient.
La France ne peut vivre avec une poli-
tique de négation pure et simple ; ce n'est
pas ainsi qu'elle a conquis sa place parmi
les « leaders » de la civilisation. Nous re-
grettons vivement, profondément que M.
Poincaré n'ait pas cru devoir élever le
ton de son discours ; en vérité, le souci de
l'intérêt national ne peut prévenir le libre
jeu des instincts généreux. Le monde est
actuellement uni dans une telle affliction
qu'aucune nation ne saurait se réfugier
dans sa coquille pour ne songer qu'à ses
intérêts particuliers. Cédant à son senti-
ment véritable, la France se réveillera et
rejoindra ses amis dans la lutte, afin de sor-
tir du chaos où toutes les nations souffrent
en commun. — (Ed.)
TIMES, 20.1.
— De Paris : On ne saurait dire, sans
exagérer, que le début de M. Poincaré est
un succès oratoire ; ses déclarations sont
tombées sèchement sur une assemblée at-
tentive ; il leur manquait quelque chose, et,
ce qui est plus grave, elles ne contenaient
aucun élément de politique constructive ; en
réalité, elles ne définissent aucune politi-
que nouvelle. — Martin H. Donohe.
DAILY CHRONICLE, 20.1.
— La déclaration ministérielle ressemble
à toutes les déclarations ministérielles : des
généralités, pas de détails. M. Poincaré a
fait allusion au pacte, non pour s'expliquer
sur ses critiquess précédentes, mais seule-
ment pour émettre l'espoir qu'il sera bien-
tôt conclu. Mais il y a une phrase dans ce
discours qui ne sera probablement pas ac-
cueillie favorablement par le lecteur an-
glais ; après avoir signalé les évasions
successives de l'Alleriiàcvne, M. Poincaré
dit : Nous avons le droit de déclarer que
Id période de délai fixée pour l'évacuation
de la rive gauche du Rhin ne court pas
encore. C'est une. opinion que l'Angleterre
ne peut accepter, parce quelle sait que le
gouvernement allemand, avec le Dr Wirth,
a adopté une attitude loyale à l'égard du
Traité. — (Ed.)
DAILY CITRONICLE, 20.1.
- - *Le discours de M. Poincaré à la
Chambre ne dissipera pas les inquiétudes
créées en Angleterre et aux Etats-Unis par
les tendances de la politique française.
M. Poincaré s'est exprimé (il ne pouvait
d'ailleurs faire autrement en cette occasion)
comme le porte-parole du chauvinisme
français. Il insiste sur l'application du traité
de Versailles dans la lettre aussi bien que
dans l'esprit.
Sans doute M. Poincaré manifeste le dé-
sir d'agir en harmonie avec la Grande-Bre-
tagne et de contribuer à la réorganisation
économique de l'Europe. Il déclare que la
restauration des régions dévastées de
France et de Belgique doit être une condi-
tion première de cette réorganisation. Per-
sonne ne l'a contesté. Par malheur,
M. Poincaré ne paraît pas saisir qu'il n'est
pas moins important de sauver l'Allemagne
de la ruine et de la faillite. Le passage le
plus inquiétant de son discours est celui où
il parle de maintenir les sanctions, et même
d'en imposer de nouvelles, s'il est néces-
saire. Ces sanctions, (pour ne pas parler de
l'occupation française du Rhin) demeure-
ront en vigueur' tant que les autres clauses
du traité de Versailles — désarmement, pu-
nition des coupables — n'auront pas été
exécutées. Beaucoup de personnes .crai-
gnent en Angleterre que les Français
n'aient recours à cet argument, que parce
qui leur servirait d'excuse; ils voient avec
défiance une nation agir à la fois comme
juge et partie dans une matière de
cette importance. Le temps convaincra peut-
être la France de la folie du chauvinisme.
En tout cas. ce moment n'est pas encore
venu. — (Ed.)
DAILY EXPRESS, 20.1.
— Nous sommes reconnaissants à
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