Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 janvier 1922 16 janvier 1922
Description : 1922/01/16 (T20,N1954). 1922/01/16 (T20,N1954).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533231
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
4* **IKES ÉTRANGÈRES
V 1954
Lundi 16 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangere
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précedés d'un asterisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La démission du cabi-
net Briand et la politique extérieure
(Deutsche Tageszeitung, Kreuz-Zeitung,
Taegliche Rundschau, Tag, Freiheit,
Vorwaerts, Berliner Tageblatt, Frank-
furter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — La Conférence de
Washington : la publicité des débats
(Colonel House dans Public Ledger).
PRESSE ANGLAISE. — La démission du cabi-
net Briand (Times, Daily Telegraph,
Daily Chronicle, Daily News, Daily He-
rald). — Le projet de pacte franco-bri-
Í:î.JJJ1ique (Morning Post)..
ïV(Ei? SSE BELGE. — La démission du cabinet
Briand (Flandre Libérale, Soir, XXe Siè-
cle). — Le projet de pacte franco-bri-
tJaiI)inique (xxe Siècle).
Pin- c' La d, d
-')"1': ESPAGNOLE. — La démission du ca-
hiruet Briand (Publicidad).
pnF.SSE ITALIENNE. — La démission du cabi-
net Briand (Marcello Prati dans Stam-
Pa ; Giornale d'Italia, Mussolini dans
popolo d'Italia ; Paese). — Le projet de
Pacte franco - britannique (Giornale
d'Italia, Corriere della Sera).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
JJ^A DEMISSION DU CABINET BRIAND
LA POLITIQUE EXTERIEURE. —
L'A,SSE ALLEMANDE. — Que doit attendre
l'A.ilernaun.e d'un cabinet Poincaré, ou plus
lent que peut-il nous arriver de pire
(lUe Ce que nous avons enduré jusqu'ici ?
p ?riSOïlrie ne peut le dire actuellement.
chevétrement commencé à Cannes se
t~~- Après comme avant, il reste ex-
ernent douteux qu'une complication des
rUrj franco-britanniques nous puisse
Iln: U'Me prochainement. L'Angleterre
flrijr par s'entendre même avec Poincaré
CfI1 r conclure un accommodement quel-
que sur les conditions de la paix de
Vepsailles et les modalités des réparations.
ver anslgeance de la France peut aggra-
ver encore pour nous les décisions défini-
tives. Tout Pour est dans la nuit de l'ave-
Poincaré président (tu conseil français,
c'est au moins la clarté complète sur les
vues de la France à l'égard de l'Allemagne
et sur les directives de la politique conti
nentale de la France. Poincaré est connu
même des socialdémocrates allemands. Ré
cemment, de nombreux documents on
montré la participation de sa responsabilité
dans la politique d'encerclement et le dé-
chaînement de la guerre mondiale.
Encore une question : est-on arrivé, avec
toute la bonne volonté manifestée par l'Alle-
magne, avec notre bonne grâce à exécuter,
avec nos sacrifices, à amadouer la France ?
Voilà la réponse : « Poincaré ». — W. H.
DEUTSCHE TAGESZEITUNG, 13.1 matin.
— Le fait de confier la constitution du
nouveau cabinet à M. Poincaré prouve
que la France est décidée à poursuivre sa
politique de violence. Poincaré a été le chef
véritable de l'opposition contre la politique
de Briand à Londres et à Cannes. Si le
cabinet Poincaré est constitué, ce qui ne
fait aucun doute, tout le résultat de la con-
férence de Cannes se trouvera remis en
question, comme aussi le problème des
réparations, la conférence économique, la
reconstruction de la Russie et tous les
efforts de Lloyd George pour trouver une
base à la reconstruction de l'Europe. Un
ministère Poincaré ne peut que grandir
encore l'opposition contre l'Angleterre.
Inutile de souligner qu'une politique aux
ordres du belliqueux Poincaré exposerait
l'Allemagne à de nouveaux dangers.
t
KREUZ-ZEITUNG, 13.1 matin.
— Quoi qu'il puisse advenir, depuis 1914
la situation de la paix européenne n'a ja
mais été aussi critique ; une chose est sûre,
malheureusement pour nous : c'est que,
pour l'instant, c'est l'Allemagne qui doit
tout supporter, les frais d'un conflit pos-
sible entre l'Angleterre et la France, comme
ceux d'une entente subite entre les deux
pays. Quant à l'avenir, il est inconnu
Celui qui a renversé Briand est l'un des
plus terribles ennemis de l'Allemagne en
France, c'est celui qui a réveillé le chauvi-
nisme, l'un des plus coupables parmi les
coupables de guerre. Quelle que puisse être
la liste ministérielle, l'esprit de ce Poincaré,
de cet ennemi intime [sic] de Millerand ré-
gnera dans ce cabinet. En Allemagne on
espère encore que le chauvinisme français
va cette fois se ruiner par exagération et
que, finalement, un mieux sortira du pire.
Mais, pour l'instant, des jours graves nous
attendent. -
T ÆGLICHE RUNDSCHAU, 13.1 matin.
— On n'a pas besoin d'en dire long sur
Raymond Poincaré ; tout Allemand le con-
naît comme le chauvin et le germanophobe
le plus acharné parmi les hommes d'Etat
français qui ont dirigé la politique depuis
des décades. Iil était le chef du chœur des
agitateurs anti-allemands avant la guerre ;
les documents que l'ont vient de publier
récemment l'ont montré à nouveau. Sur sa
tête doivent retomber le sang et les larmes
des millions d'hommes tués ou plongés dans
'la détresse pendant la guerre
Au cours des derniers mois, il se posait
à nouveau comme le principal tenant de la
politique d'anéantissement contre l'Alle-
magne. Son éditorial du lundi dans le Matin
et ses « Lettres Libres » dans le Temps ont
été propagés dans le monde entier. Et c'est
cet homme que le peuple français élève sur
le pavois, désigne pour son porte-parole et
l'exécuteur de ses volontés ! On ne pouvait
faire de meilleure réponse à nos franco-
philes du camp démocrate et socialdémo-
crate, qui croyaient, jusqu'à ces jours der-
niers, pouvoir conclure une entente avec la
France de Poincaré. Ce que Poincaré veut,
le monde le sait, et nous aussi. Il veut tout
faire, dans la mesure de ses forces, pour
nuire à l'Allemagne, pour détruire tout ce
que Briand a pu laisser. Malgré tout, le
retour de Poincaré a un grand avantage
pour nous ; il prouve au monde que c'est
la France qui sabote systématiquement la
paix et que ses folles prétentions ne laisse-
ront aucun repos au monde.
Peut-être le nom de Poincaré contribuera-
t-il à modifier le jugement du monde sur les
causes de la guerre mondiale. Tant que
l'Angleterre avait besoin du chauvinisme
français pour écarter la concurrence alle-
mande, Poincaré lui agréait. Mais, mainte-
nant, ce même chauvinisme va contre les
intérêts de l'Angleterre et l'on va voir si la
phraséologie française suffit à obscurcir le
sain jugement du peuple britannique. —
Hbg.
TAG, 13.1 matin.
— Il ne faut cesser de répéter que der-
rière la politique de Poincaré se trouvent
uniquement les éléments les plus réaction-
naires et les plus conservateurs des classes
possédantes de la France. Cependant, 1a'.
grande masse de la population ouvrière et
un certain nombre d'éléments démocrati
ques reconnaissent de plus en plus le dan-
ger croissant que représente pour eux
la politique du bloc national.
Les déclarations de la presse démocrati-
que et socialiste française montrent qu'elle
est en opposition absolue avec la politique
de Poincaré et voit dans la politique de
Lloyd George le premier pas fait vers la
raison économique et lIa guérison politique
de l'Europe.
Il faut espérer que la démocratie française
devant la crise formidable qui menace la
DES
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V 1954
Lundi 16 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangere
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précedés d'un asterisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La démission du cabi-
net Briand et la politique extérieure
(Deutsche Tageszeitung, Kreuz-Zeitung,
Taegliche Rundschau, Tag, Freiheit,
Vorwaerts, Berliner Tageblatt, Frank-
furter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — La Conférence de
Washington : la publicité des débats
(Colonel House dans Public Ledger).
PRESSE ANGLAISE. — La démission du cabi-
net Briand (Times, Daily Telegraph,
Daily Chronicle, Daily News, Daily He-
rald). — Le projet de pacte franco-bri-
Í:î.JJJ1ique (Morning Post)..
ïV(Ei? SSE BELGE. — La démission du cabinet
Briand (Flandre Libérale, Soir, XXe Siè-
cle). — Le projet de pacte franco-bri-
tJaiI)inique (xxe Siècle).
Pin- c' La d, d
-')"1': ESPAGNOLE. — La démission du ca-
hiruet Briand (Publicidad).
pnF.SSE ITALIENNE. — La démission du cabi-
net Briand (Marcello Prati dans Stam-
Pa ; Giornale d'Italia, Mussolini dans
popolo d'Italia ; Paese). — Le projet de
Pacte franco - britannique (Giornale
d'Italia, Corriere della Sera).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
JJ^A DEMISSION DU CABINET BRIAND
LA POLITIQUE EXTERIEURE. —
L'A,SSE ALLEMANDE. — Que doit attendre
l'A.ilernaun.e d'un cabinet Poincaré, ou plus
lent que peut-il nous arriver de pire
(lUe Ce que nous avons enduré jusqu'ici ?
p ?riSOïlrie ne peut le dire actuellement.
chevétrement commencé à Cannes se
t~~- Après comme avant, il reste ex-
ernent douteux qu'une complication des
rUrj franco-britanniques nous puisse
Iln: U'Me prochainement. L'Angleterre
flrijr par s'entendre même avec Poincaré
CfI1 r conclure un accommodement quel-
que sur les conditions de la paix de
Vepsailles et les modalités des réparations.
ver anslgeance de la France peut aggra-
ver encore pour nous les décisions défini-
tives. Tout Pour est dans la nuit de l'ave-
Poincaré président (tu conseil français,
c'est au moins la clarté complète sur les
vues de la France à l'égard de l'Allemagne
et sur les directives de la politique conti
nentale de la France. Poincaré est connu
même des socialdémocrates allemands. Ré
cemment, de nombreux documents on
montré la participation de sa responsabilité
dans la politique d'encerclement et le dé-
chaînement de la guerre mondiale.
Encore une question : est-on arrivé, avec
toute la bonne volonté manifestée par l'Alle-
magne, avec notre bonne grâce à exécuter,
avec nos sacrifices, à amadouer la France ?
Voilà la réponse : « Poincaré ». — W. H.
DEUTSCHE TAGESZEITUNG, 13.1 matin.
— Le fait de confier la constitution du
nouveau cabinet à M. Poincaré prouve
que la France est décidée à poursuivre sa
politique de violence. Poincaré a été le chef
véritable de l'opposition contre la politique
de Briand à Londres et à Cannes. Si le
cabinet Poincaré est constitué, ce qui ne
fait aucun doute, tout le résultat de la con-
férence de Cannes se trouvera remis en
question, comme aussi le problème des
réparations, la conférence économique, la
reconstruction de la Russie et tous les
efforts de Lloyd George pour trouver une
base à la reconstruction de l'Europe. Un
ministère Poincaré ne peut que grandir
encore l'opposition contre l'Angleterre.
Inutile de souligner qu'une politique aux
ordres du belliqueux Poincaré exposerait
l'Allemagne à de nouveaux dangers.
t
KREUZ-ZEITUNG, 13.1 matin.
— Quoi qu'il puisse advenir, depuis 1914
la situation de la paix européenne n'a ja
mais été aussi critique ; une chose est sûre,
malheureusement pour nous : c'est que,
pour l'instant, c'est l'Allemagne qui doit
tout supporter, les frais d'un conflit pos-
sible entre l'Angleterre et la France, comme
ceux d'une entente subite entre les deux
pays. Quant à l'avenir, il est inconnu
Celui qui a renversé Briand est l'un des
plus terribles ennemis de l'Allemagne en
France, c'est celui qui a réveillé le chauvi-
nisme, l'un des plus coupables parmi les
coupables de guerre. Quelle que puisse être
la liste ministérielle, l'esprit de ce Poincaré,
de cet ennemi intime [sic] de Millerand ré-
gnera dans ce cabinet. En Allemagne on
espère encore que le chauvinisme français
va cette fois se ruiner par exagération et
que, finalement, un mieux sortira du pire.
Mais, pour l'instant, des jours graves nous
attendent. -
T ÆGLICHE RUNDSCHAU, 13.1 matin.
— On n'a pas besoin d'en dire long sur
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naît comme le chauvin et le germanophobe
le plus acharné parmi les hommes d'Etat
français qui ont dirigé la politique depuis
des décades. Iil était le chef du chœur des
agitateurs anti-allemands avant la guerre ;
les documents que l'ont vient de publier
récemment l'ont montré à nouveau. Sur sa
tête doivent retomber le sang et les larmes
des millions d'hommes tués ou plongés dans
'la détresse pendant la guerre
Au cours des derniers mois, il se posait
à nouveau comme le principal tenant de la
politique d'anéantissement contre l'Alle-
magne. Son éditorial du lundi dans le Matin
et ses « Lettres Libres » dans le Temps ont
été propagés dans le monde entier. Et c'est
cet homme que le peuple français élève sur
le pavois, désigne pour son porte-parole et
l'exécuteur de ses volontés ! On ne pouvait
faire de meilleure réponse à nos franco-
philes du camp démocrate et socialdémo-
crate, qui croyaient, jusqu'à ces jours der-
niers, pouvoir conclure une entente avec la
France de Poincaré. Ce que Poincaré veut,
le monde le sait, et nous aussi. Il veut tout
faire, dans la mesure de ses forces, pour
nuire à l'Allemagne, pour détruire tout ce
que Briand a pu laisser. Malgré tout, le
retour de Poincaré a un grand avantage
pour nous ; il prouve au monde que c'est
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ront aucun repos au monde.
Peut-être le nom de Poincaré contribuera-
t-il à modifier le jugement du monde sur les
causes de la guerre mondiale. Tant que
l'Angleterre avait besoin du chauvinisme
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phraséologie française suffit à obscurcir le
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— Il ne faut cesser de répéter que der-
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uniquement les éléments les plus réaction-
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un certain nombre d'éléments démocrati
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la politique du bloc national.
Les déclarations de la presse démocrati-
que et socialiste française montrent qu'elle
est en opposition absolue avec la politique
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