Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 janvier 1922 09 janvier 1922
Description : 1922/01/09 (T20,N1948). 1922/01/09 (T20,N1948).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253318q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1 N° 1948
Lundi 9 janvier 1922 ;
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement, sont précédés d'un astérisque.
- SOMMAIRE
PRESSE allemande. — L'Allemagne et la
Conférence de Cannes : dans l'attente
des décisions (Bayerischer Kurier,
Deutsche Allgemeine Zeitung).
Presse américaine. — Les richesses inex-
ploitées des Etats-Unis (Washington
Post).
Presse ANGLAISE. — La reconstruction gé-
nérale : les propositions de M. Lloyd
George (Times, Morning Post, Daily
Chronicle, Daily News, Daily Herald).
— Sur l'alliance franco-britannique
(Outlook, Westminster Gazette).
Presse ITALIENNE. — L'Italie et la Confé-
rence de Cannes : l'intérêt européen
(Corriere della Sera) ; la revision du
Traité de Versailles (Nello Quilici dans
Resto del Carlino).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
LA RECONSTRUCTION GENERALE. —
LEs PROPOSITIONS DE M. LLOYD GEORGE. —
*~s Bolcheviks prennent probablement un
très grand intérêt aux discussions de Can-
o 11es. Ces joueurs pratiques et méthodiques
> Ont beaucoup misé, quoique jusqu'à un cer-
taIn point, sur lies nouveaux projets de re-
ÇQïistructioin. Après avoir défié les capita-
les d'Occident, tout en ruinant la Russie,
Ils comprennent qu'ils n'ont pu rompre le
système économique européen par une
attaque directe et ils essaient maintenant
e l'attaque de flanc. Nous sommes COIn-
vaincusi que la reconstruction de la Russie
est impossible sous le régime soviétiste et
le-s avances réciproques que se font en ce
bornent le capitalisme et les bolcheviks
Sont un spectacle suggestif : c'est la mou-
f,he et l'araignée. Lequel des deux est
baignée ? — (Ed.)
TIMES, 7.1.
- Avant de se prononcer sur les nou-
VeUX projets, la naÜolfl voudra savoir ce
qu sont les garanties. Les Alliés ne pour-
rom jamais reconstruire l'Europe, la Rus-
siP et passer un accord satisfaisant avec
dé l.Jemagne s'ils ne sont pas unis. Si le
Accord persiste, Lenine donnera toutes
PrO csses qu'on lui demandera et il les
nU lIera ensuite, et Ludendorff essaiera, à
Ouveau, la brillante armure de son impé-
rial maître. L'alliance franco-anglaise,
fondée sur la confiance et la bonne foi,est la
seule politique possible. Pour obtenir cet
accord, il faut être prudent et sage. Quand
ils se permettent de critiquer la France et
sa politique, l'es hommes d'Etat britanni-
ques feraient bien de songer à l'enjeu.
Ainsi, Lord Lee parait avoir — involontai
rement bien entendu — donné une version
incorrecte des remarques attribuées à un
officier de marine français. Et Lord
Curzon éprouve le besoin de publier au-
jourd'hui la correspondance franco-anglaise
sur le Traité d'Angora. Lorsque la France
et l'Angleterre auront enterré Ue Traité de
Sèvres, quand Turcs et Grecs auront fait
la paix, alors et seulement alors on pourra
parler de Livre Blanc ! — (Ed.)
MORNING POST, 7.1.
— Nous savons parfaitement que lorsque
les Premiers examineront dans le détail la
question des garanties, des difficultés aq
présenteront. Quiconque voudrait susciter
des obstacles n'aurait qu'à soumettre des
conditions que ni Moscou, ni Berlin ne
pourraient accepter. Il est évident que
l'on n'arrivera à rien, si l'on ne fait pas
un effort. Si les puissances persistent dans
leur attitude, si elles continuent à attendre,
les obstacles demeureront, ainsi que le
chômage, la misère et la perspective de la
banqueroute européenne. — (Ed.)
- DAILY CHRONICLE, 7.1.
- Les Anglais considèrent que la ques-
tion la plus importante est celle-ci : l'Eu-
rope, qu'elle le veuille ou non, forme un
tout et la seule issue hors du chaos et de la
ruine dans laquelle l'Allemagne et la Rus-
sie ont sombré et vers laquelle l'Europe oc-
cidentale sera peut-être entraînée, réside
dans l'unité d'action. Les Français consi-
dérait, au contraire, que l'Europe est, sur le
terrain politique, divisée, qu'elle le demeu-
rera, et que tant que l'Allemagne et la
Russie constitueront une menace, il ne fau-
dra) pas songer à l'action commune. Mais
les paroJes importent peu, les actes seuls
comptent et M Lloyd George aura vérita-
blement remporté une grande victoire, s'il
peut mettre à pratique les théories qu'il a
exposées hièr. Si les désaccords du passé
devenaient des réalités internationales, la
guerre serait non seulement probable, mais
inévitable. En émettant cette opinion,
nous ne manifestons aucune animosité à
l'égard de la France ; aucune sympathie
à l'égard de l'Allemagne et de la Russie. Ce
sont là des faits qu'il faut reconnaître et, si
nous n'agissons pas aujourd'hui en Euro-
péens, nous ne serons bientôt plus rien.
(Ed.)
DAILY NEWS, 7,1.
— M. Lloyd George comprend enfin qu'il
faut faire quelque chose. Car. il songe au,
mouvement d'impatience qui se manifeste
chez les Unionistes. Il doit donc soumettre
un plan de reconstruction qui, d'une part,
donne satisfaction aux libéraux et permet-
te, d'autre part, aux adversaires du gâchis
de demeurer fidèles aux principes du parti
tory. Bref, il veut pouvoir dire aux
seconds qu'il est prêt à réduire les dépenses
et au peuple, en général, qu'il est prêt à
donner un nouvel élan à l'industrie, et du
travail à tous. « Revenons donc à ArÍn-
kipo », proclame-t-il. «Reconnaissons la Rus-
sie! » Le bon sens reprend enfin le dessus.
M. Briand lui-même semble comprendre
que la France trouvera son avantage dans
la, reprise des relations économiques entra
la Russie et le reste du monde ; mais il
veut des garanties; garanties de quoi ? La
réponse est assez obscure ; mais nous sa-
vons ce qu'elle vaut. En réalité, l'idée de M.
Briand est que la Russie et l'Allemagne de-
vraient être exploitées par la France. L'idée
de M. Lloyd George est qu'elles devraient
être exploitées dans l'intérêt du capitalisme
international; et, derrière la scène de la
Conférence internationale, — qui a si bon
aspect, — nous apercevons le spectre du
nouveau consortium qui doit faire des
travailleurs d'Europe les esclaves des fi-
nanciers et des capitalistes. Ainsi que nous
l'avons dit, il faut choisir entre trois mé-
thodes : 1° marcher vers l'abîme en pres-
surant l'Allemagne, en vue de la contrain-
dre à donner ce qu'elle n'a pas; 2° hypo-
théquer l'industrie et la main-d'œuvre eu-
ropéennes au profit du capital, pour permet-
tre à l'Europe de survivre ; 3° méthode du
Labour Party, annuler les dettes, les in-
demnités, ouvrir des crédits de nation à na-
tion, sans que les capitaux privés puis-
sent intervenir. Il semble que l'on soit par-
tisan, à Cannes, du deuxième procédé; il
n'y a pourtant de salut que dans le troi-
sième (Ed.)
DAILY HERALD, 7,1.
SUR L'ALLIANCE FRANCO-BRITAN-
NIQUE. — Il ne faut pas s'étonner si
M. Briand a fait choix du Daily Mail, qui
après avoir voulu jadis « rouler la France
dans la boue et le sang », s'exprime, depuis
quelques années, comme un organe inspiré
par le Quai d'Orsay, pour lui communiquer
sa proposition surprenante de conclusion
d'un pacte d'alliance entre la Grande-Bre-
tagne et la France. Il est difficile, en effet,
d'y voir autre chose qu'une tentative de
chantage diplomatique, sous la forme la
moins déguisée. M. Briand ne dit pas expli-
citement que la conclusion d'une alliance
entraînerait l'abandon du programme de
sous-marins dirigés contre l'Angleterre,
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1 N° 1948
Lundi 9 janvier 1922 ;
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement, sont précédés d'un astérisque.
- SOMMAIRE
PRESSE allemande. — L'Allemagne et la
Conférence de Cannes : dans l'attente
des décisions (Bayerischer Kurier,
Deutsche Allgemeine Zeitung).
Presse américaine. — Les richesses inex-
ploitées des Etats-Unis (Washington
Post).
Presse ANGLAISE. — La reconstruction gé-
nérale : les propositions de M. Lloyd
George (Times, Morning Post, Daily
Chronicle, Daily News, Daily Herald).
— Sur l'alliance franco-britannique
(Outlook, Westminster Gazette).
Presse ITALIENNE. — L'Italie et la Confé-
rence de Cannes : l'intérêt européen
(Corriere della Sera) ; la revision du
Traité de Versailles (Nello Quilici dans
Resto del Carlino).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
LA RECONSTRUCTION GENERALE. —
LEs PROPOSITIONS DE M. LLOYD GEORGE. —
*~s Bolcheviks prennent probablement un
très grand intérêt aux discussions de Can-
o 11es. Ces joueurs pratiques et méthodiques
> Ont beaucoup misé, quoique jusqu'à un cer-
taIn point, sur lies nouveaux projets de re-
ÇQïistructioin. Après avoir défié les capita-
les d'Occident, tout en ruinant la Russie,
Ils comprennent qu'ils n'ont pu rompre le
système économique européen par une
attaque directe et ils essaient maintenant
e l'attaque de flanc. Nous sommes COIn-
vaincusi que la reconstruction de la Russie
est impossible sous le régime soviétiste et
le-s avances réciproques que se font en ce
bornent le capitalisme et les bolcheviks
Sont un spectacle suggestif : c'est la mou-
f,he et l'araignée. Lequel des deux est
baignée ? — (Ed.)
TIMES, 7.1.
- Avant de se prononcer sur les nou-
VeUX projets, la naÜolfl voudra savoir ce
qu sont les garanties. Les Alliés ne pour-
rom jamais reconstruire l'Europe, la Rus-
siP et passer un accord satisfaisant avec
dé l.Jemagne s'ils ne sont pas unis. Si le
Accord persiste, Lenine donnera toutes
PrO csses qu'on lui demandera et il les
nU lIera ensuite, et Ludendorff essaiera, à
Ouveau, la brillante armure de son impé-
rial maître. L'alliance franco-anglaise,
fondée sur la confiance et la bonne foi,est la
seule politique possible. Pour obtenir cet
accord, il faut être prudent et sage. Quand
ils se permettent de critiquer la France et
sa politique, l'es hommes d'Etat britanni-
ques feraient bien de songer à l'enjeu.
Ainsi, Lord Lee parait avoir — involontai
rement bien entendu — donné une version
incorrecte des remarques attribuées à un
officier de marine français. Et Lord
Curzon éprouve le besoin de publier au-
jourd'hui la correspondance franco-anglaise
sur le Traité d'Angora. Lorsque la France
et l'Angleterre auront enterré Ue Traité de
Sèvres, quand Turcs et Grecs auront fait
la paix, alors et seulement alors on pourra
parler de Livre Blanc ! — (Ed.)
MORNING POST, 7.1.
— Nous savons parfaitement que lorsque
les Premiers examineront dans le détail la
question des garanties, des difficultés aq
présenteront. Quiconque voudrait susciter
des obstacles n'aurait qu'à soumettre des
conditions que ni Moscou, ni Berlin ne
pourraient accepter. Il est évident que
l'on n'arrivera à rien, si l'on ne fait pas
un effort. Si les puissances persistent dans
leur attitude, si elles continuent à attendre,
les obstacles demeureront, ainsi que le
chômage, la misère et la perspective de la
banqueroute européenne. — (Ed.)
- DAILY CHRONICLE, 7.1.
- Les Anglais considèrent que la ques-
tion la plus importante est celle-ci : l'Eu-
rope, qu'elle le veuille ou non, forme un
tout et la seule issue hors du chaos et de la
ruine dans laquelle l'Allemagne et la Rus-
sie ont sombré et vers laquelle l'Europe oc-
cidentale sera peut-être entraînée, réside
dans l'unité d'action. Les Français consi-
dérait, au contraire, que l'Europe est, sur le
terrain politique, divisée, qu'elle le demeu-
rera, et que tant que l'Allemagne et la
Russie constitueront une menace, il ne fau-
dra) pas songer à l'action commune. Mais
les paroJes importent peu, les actes seuls
comptent et M Lloyd George aura vérita-
blement remporté une grande victoire, s'il
peut mettre à pratique les théories qu'il a
exposées hièr. Si les désaccords du passé
devenaient des réalités internationales, la
guerre serait non seulement probable, mais
inévitable. En émettant cette opinion,
nous ne manifestons aucune animosité à
l'égard de la France ; aucune sympathie
à l'égard de l'Allemagne et de la Russie. Ce
sont là des faits qu'il faut reconnaître et, si
nous n'agissons pas aujourd'hui en Euro-
péens, nous ne serons bientôt plus rien.
(Ed.)
DAILY NEWS, 7,1.
— M. Lloyd George comprend enfin qu'il
faut faire quelque chose. Car. il songe au,
mouvement d'impatience qui se manifeste
chez les Unionistes. Il doit donc soumettre
un plan de reconstruction qui, d'une part,
donne satisfaction aux libéraux et permet-
te, d'autre part, aux adversaires du gâchis
de demeurer fidèles aux principes du parti
tory. Bref, il veut pouvoir dire aux
seconds qu'il est prêt à réduire les dépenses
et au peuple, en général, qu'il est prêt à
donner un nouvel élan à l'industrie, et du
travail à tous. « Revenons donc à ArÍn-
kipo », proclame-t-il. «Reconnaissons la Rus-
sie! » Le bon sens reprend enfin le dessus.
M. Briand lui-même semble comprendre
que la France trouvera son avantage dans
la, reprise des relations économiques entra
la Russie et le reste du monde ; mais il
veut des garanties; garanties de quoi ? La
réponse est assez obscure ; mais nous sa-
vons ce qu'elle vaut. En réalité, l'idée de M.
Briand est que la Russie et l'Allemagne de-
vraient être exploitées par la France. L'idée
de M. Lloyd George est qu'elles devraient
être exploitées dans l'intérêt du capitalisme
international; et, derrière la scène de la
Conférence internationale, — qui a si bon
aspect, — nous apercevons le spectre du
nouveau consortium qui doit faire des
travailleurs d'Europe les esclaves des fi-
nanciers et des capitalistes. Ainsi que nous
l'avons dit, il faut choisir entre trois mé-
thodes : 1° marcher vers l'abîme en pres-
surant l'Allemagne, en vue de la contrain-
dre à donner ce qu'elle n'a pas; 2° hypo-
théquer l'industrie et la main-d'œuvre eu-
ropéennes au profit du capital, pour permet-
tre à l'Europe de survivre ; 3° méthode du
Labour Party, annuler les dettes, les in-
demnités, ouvrir des crédits de nation à na-
tion, sans que les capitaux privés puis-
sent intervenir. Il semble que l'on soit par-
tisan, à Cannes, du deuxième procédé; il
n'y a pourtant de salut que dans le troi-
sième (Ed.)
DAILY HERALD, 7,1.
SUR L'ALLIANCE FRANCO-BRITAN-
NIQUE. — Il ne faut pas s'étonner si
M. Briand a fait choix du Daily Mail, qui
après avoir voulu jadis « rouler la France
dans la boue et le sang », s'exprime, depuis
quelques années, comme un organe inspiré
par le Quai d'Orsay, pour lui communiquer
sa proposition surprenante de conclusion
d'un pacte d'alliance entre la Grande-Bre-
tagne et la France. Il est difficile, en effet,
d'y voir autre chose qu'une tentative de
chantage diplomatique, sous la forme la
moins déguisée. M. Briand ne dit pas expli-
citement que la conclusion d'une alliance
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