Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 janvier 1922 06 janvier 1922
Description : 1922/01/06 (T20,N1946). 1922/01/06 (T20,N1946).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253316w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
ministère
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1946
Vendredi 6 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits integralemen. sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse allemande. - Les réparations :
prévisions allemandes (Kreuz-Zeitung,
Deutsche Allgemeine leilnng). - Le
voyage de M. Bathenau à Cannes
(Tӕgliche Rundschau). - Les stocks
russes d'avant - guerre (Kœluischa
Volkszeitung).
Presse américaine. - Adieux au maréchal
Foch (J\ew York Times). — M. Lansing
et M. \\ïlsiÜn : à propos des articles de
M. Tumulty (New York Tribune).
Presse anglaise. — Sur l'alliance franco-
britannique (Westminster Gazette, Ti-
mes). - Le prétendu accord france
japonais (Manchester Guardian).
Presse italienne. - La position de l'Italie
à Cannes (Messaggero, Stampa). - La
France et les sous-marins (Corriere
délla Sera).
^Esse SUISSE. - Sur l'alliance franco-bri-
tannique (Basler Nachrichten).
POLITIQUE GÉNERALE -
LA CONFÉRENCE DE CANNES
LES REPARATIONS. - Prévisions ALLE-
MANDES. - Que peut attendre l'Allemagne
de la Conférence de Cannes ? Nul doute que
l'idée - d'une revision des réparations à effec-
tuer par l'Allemagne ne soit en marche,
Cette idée ne quittera plus désormais l'ordre
du jour. l'e plus en plus, l'Entente se rend
compte que le projet élaboré à Londres. ne
peut pas être exécuté par (l'Allemagne. Ceci
est un progrès. Ce progrès n'est pas dû à
une certaine pitié envers l'Allemagne in-
solvable, mais uniquement à l'égoïsme des
Etats vainqueurs, qui veulent que leur débi-
teur reste solvable. De là à une revision
t de l'état des paiements, il y a encore
l!om.
Ce sont les financiers des bords de la Ta-
Illise qui préconisent une diminution des ré-
parations dues par l'Allemagne. Lloyd
George s'est rallié à leur idée. Jusqu'à quel
point pourra-t-il mettre à exécution ces
grands projets ? Cela ne dépend pas unique-
ment de lui et de l'Angleterre. Il est à peu
S sûr que l'Angleterre est disposée à réa-
liser ce projet. Mais il est sûr également
que l'Angleterre posera certaines condi-
lions. Et la question est de savoir si la
France, de son côté, est prête à faire de
telles concessions. Briand s'est engagé de-
vant la Chambre à ne faire, dans la ques-
tion des réparations, aucune concession aux
dépens de la France. La France ne veut
pas sacrifier « un centime ». Et même si
Briand le voulait, tant que la Chambre na-
tionaliste est toute-puissante, il ne le pour-
rait pas.. Le cabinet serait renversé.
Mais comment l'Angleterre pourra-t-elle
faire des concessions dans la question des
réparations, renoncer aux droits que lui
a donnés t'accunl financier du 13 août 1921,
ainsi qu'à une grande partie des paiements
à effectuer cette année par l'Allemagne, si
la France reçoit les sommes qui lui ont été
garanties et les emploie à augmenter sa
flotte sous-marine, qui peut devenir une
menace pour l'Angleterre ? Tout dépend de
la solution que recevra le conflit franco-an-
glais. L'attitude de la Belgique et de l'Italie
n'aura pas une importance capitale. Ces
deux puissances, comme cela a toujours été
le cas jusqu'ici, vont louvoyer entre la
France et l'Angleterre et jouer le rôle de
médiatrices. Il ne faut pas oublier- cepen-
dant que la Belgique continue à réclamer
son droit de priorité, en ce qui concerne les
paiements de l'Allemagne, et ne semble pas
disposée à le partager avec la France. Il ne
faut pas compter, non plus, que la question
des réparations reçoive à Cannes un nou-
veau règlement contre la volonté de la
France et que Briand se trouve en mino-
rité devant les autres membres du Conseil
Suprême. L'Allemagne a toujours eu à
pâtir des sessions du Conseil Suprême. C'est
toujours à ses dépens que se sont réglés
les conflits franco-anglais. Nous craignons
bien que, cette fois encore, il en soit de
même. En mettant les choses au mieux,
le résultat de Cannes sera un compromis
bancal - un de plus - aussi bien dans les
grandes questions de politique mondiale
qu'au sujet du projet de reconstruction eu-
ropéenne, et des réparations. Car la France
n'est aujourd'hui pas mûre encore pour un
règlement raisonnable de toutes ces ques-
tions.
KREUZ-ZEITUNG, 3.1 soir.
- Briand est fermement décidé à jouer
tous ses atouts. On répand déjà la nouvelle
à Paris que le Conseil Suprême ne peut
prendre une décision définitive, et que cette
décision est affaire de la Commission des
Réparations. C'est tout simplement jouer
sur les mots. Car se sont les mêmes puis-
sances qui dirigent dans ces deux institu-
tions. L'Angleterre est forcée de compter
avec ses alliées, mais elle ne peut non plus
rester indifférente à la ruine de l'Europe.
Lloyd George veut procéder à de nouvelles
élections. L'homme du règlement irlandais
et du grand bloc anglo-saxon serait bien plus
sûr encore de ses électeurs s'il pouvait leur
déclarer que la rentrée de l'Allemagne dans
la vie économique mondiale ouvrira de nou-
veaux débouchés au commerce et à l'indus-
trie de la Grande-Bretagne. La Belgique, qui
voudrait aplanir tout conflit entre Londres
et Paris, pense avant tout à sauver ses
droits de priorité. Elle se montrera, à Cannes,
une alliiée assez sûre de la France. L'Italie,
où la finance et l'industrie ont à lutter
durement, sait, au fond, fort bien la voie
qu'elle doit suivre, mais à l'heure décisive
le gouvernement italien n'a jamais su pren-
dre la décision qui s'imposait. Après quel-
ques tentatives, l'Italie a toujours fini par
se plier au désir de sa voisine de l'ouest. De
plus, l'Italie est entrée en conflit avec les
Yougoslaves soumis à l'influence de la
France, et ce conflit menace sa position
dans l'Adriatique ainsi que le traité de Ra-
pallo. A l'égard de Rome, Briand veut aussi
avoir en mains, au moment critique, des
compensations
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEÏTC\G.
4. 1. matin.
SUR L'ALLIANCE FRANCO-BRITANNI-
QUE. - De Cannes : A la veille d'une Con-
férence qui a déjà beaucoup à faire avec les
questions de l'évasion imminente de l'Al-
lemagne, du consortium financier européen,
des sous-marins, M. Briand vient de poser,
à nouveau, l'épineuse question de l'alliance
franco-anglaise. Le projet a un aspect assez •
bizarre dans les colonnes de certains jour-
naux français qui l'entourent d'articles sur
les sous-marins où l'on critique violemment
l'attitude de l'Angleterre « qui veut être
plus forte que la France sur mer » et où
la lettre de M. Masferman est longuement
rommentée. M. Briand estime qu'une al-
liance prouverait que l'Angleterre n'a rien
à craindre des sous-marins français.
Le fait que l'exposé des deux thèses, l'une
relative à la question des sous-marins,
l'autre à l'alliance, est mis à jour au mo-
ment où les alliés vont se rencontrer, sem-
ble révéler un désir de la part des Fran-
çais, de se servir de ces deux thèses pour
marchander l'alliance en l'opposant au pro-
gramme sous-marin et peut-être aussi au
projet relatif à certaine revision du pro-
blème des réparations. Si M. Briand per-
siste dans son attitude, on ne voit pas très
bien quel résultat on peut attendre. L'An-
gleterre ne se laissera pas entraîner vers
une alliance, sous la menace, bien qu'elle
ait .,it et répété avec sincérité qu'elle serait
très satisfaite si l'on réussissait, à donner
à la France sa sécurité. Mais il n'est guère
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1946
Vendredi 6 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits integralemen. sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse allemande. - Les réparations :
prévisions allemandes (Kreuz-Zeitung,
Deutsche Allgemeine leilnng). - Le
voyage de M. Bathenau à Cannes
(Tӕgliche Rundschau). - Les stocks
russes d'avant - guerre (Kœluischa
Volkszeitung).
Presse américaine. - Adieux au maréchal
Foch (J\ew York Times). — M. Lansing
et M. \\ïlsiÜn : à propos des articles de
M. Tumulty (New York Tribune).
Presse anglaise. — Sur l'alliance franco-
britannique (Westminster Gazette, Ti-
mes). - Le prétendu accord france
japonais (Manchester Guardian).
Presse italienne. - La position de l'Italie
à Cannes (Messaggero, Stampa). - La
France et les sous-marins (Corriere
délla Sera).
^Esse SUISSE. - Sur l'alliance franco-bri-
tannique (Basler Nachrichten).
POLITIQUE GÉNERALE -
LA CONFÉRENCE DE CANNES
LES REPARATIONS. - Prévisions ALLE-
MANDES. - Que peut attendre l'Allemagne
de la Conférence de Cannes ? Nul doute que
l'idée - d'une revision des réparations à effec-
tuer par l'Allemagne ne soit en marche,
Cette idée ne quittera plus désormais l'ordre
du jour. l'e plus en plus, l'Entente se rend
compte que le projet élaboré à Londres. ne
peut pas être exécuté par (l'Allemagne. Ceci
est un progrès. Ce progrès n'est pas dû à
une certaine pitié envers l'Allemagne in-
solvable, mais uniquement à l'égoïsme des
Etats vainqueurs, qui veulent que leur débi-
teur reste solvable. De là à une revision
t de l'état des paiements, il y a encore
l!om.
Ce sont les financiers des bords de la Ta-
Illise qui préconisent une diminution des ré-
parations dues par l'Allemagne. Lloyd
George s'est rallié à leur idée. Jusqu'à quel
point pourra-t-il mettre à exécution ces
grands projets ? Cela ne dépend pas unique-
ment de lui et de l'Angleterre. Il est à peu
S sûr que l'Angleterre est disposée à réa-
liser ce projet. Mais il est sûr également
que l'Angleterre posera certaines condi-
lions. Et la question est de savoir si la
France, de son côté, est prête à faire de
telles concessions. Briand s'est engagé de-
vant la Chambre à ne faire, dans la ques-
tion des réparations, aucune concession aux
dépens de la France. La France ne veut
pas sacrifier « un centime ». Et même si
Briand le voulait, tant que la Chambre na-
tionaliste est toute-puissante, il ne le pour-
rait pas.. Le cabinet serait renversé.
Mais comment l'Angleterre pourra-t-elle
faire des concessions dans la question des
réparations, renoncer aux droits que lui
a donnés t'accunl financier du 13 août 1921,
ainsi qu'à une grande partie des paiements
à effectuer cette année par l'Allemagne, si
la France reçoit les sommes qui lui ont été
garanties et les emploie à augmenter sa
flotte sous-marine, qui peut devenir une
menace pour l'Angleterre ? Tout dépend de
la solution que recevra le conflit franco-an-
glais. L'attitude de la Belgique et de l'Italie
n'aura pas une importance capitale. Ces
deux puissances, comme cela a toujours été
le cas jusqu'ici, vont louvoyer entre la
France et l'Angleterre et jouer le rôle de
médiatrices. Il ne faut pas oublier- cepen-
dant que la Belgique continue à réclamer
son droit de priorité, en ce qui concerne les
paiements de l'Allemagne, et ne semble pas
disposée à le partager avec la France. Il ne
faut pas compter, non plus, que la question
des réparations reçoive à Cannes un nou-
veau règlement contre la volonté de la
France et que Briand se trouve en mino-
rité devant les autres membres du Conseil
Suprême. L'Allemagne a toujours eu à
pâtir des sessions du Conseil Suprême. C'est
toujours à ses dépens que se sont réglés
les conflits franco-anglais. Nous craignons
bien que, cette fois encore, il en soit de
même. En mettant les choses au mieux,
le résultat de Cannes sera un compromis
bancal - un de plus - aussi bien dans les
grandes questions de politique mondiale
qu'au sujet du projet de reconstruction eu-
ropéenne, et des réparations. Car la France
n'est aujourd'hui pas mûre encore pour un
règlement raisonnable de toutes ces ques-
tions.
KREUZ-ZEITUNG, 3.1 soir.
- Briand est fermement décidé à jouer
tous ses atouts. On répand déjà la nouvelle
à Paris que le Conseil Suprême ne peut
prendre une décision définitive, et que cette
décision est affaire de la Commission des
Réparations. C'est tout simplement jouer
sur les mots. Car se sont les mêmes puis-
sances qui dirigent dans ces deux institu-
tions. L'Angleterre est forcée de compter
avec ses alliées, mais elle ne peut non plus
rester indifférente à la ruine de l'Europe.
Lloyd George veut procéder à de nouvelles
élections. L'homme du règlement irlandais
et du grand bloc anglo-saxon serait bien plus
sûr encore de ses électeurs s'il pouvait leur
déclarer que la rentrée de l'Allemagne dans
la vie économique mondiale ouvrira de nou-
veaux débouchés au commerce et à l'indus-
trie de la Grande-Bretagne. La Belgique, qui
voudrait aplanir tout conflit entre Londres
et Paris, pense avant tout à sauver ses
droits de priorité. Elle se montrera, à Cannes,
une alliiée assez sûre de la France. L'Italie,
où la finance et l'industrie ont à lutter
durement, sait, au fond, fort bien la voie
qu'elle doit suivre, mais à l'heure décisive
le gouvernement italien n'a jamais su pren-
dre la décision qui s'imposait. Après quel-
ques tentatives, l'Italie a toujours fini par
se plier au désir de sa voisine de l'ouest. De
plus, l'Italie est entrée en conflit avec les
Yougoslaves soumis à l'influence de la
France, et ce conflit menace sa position
dans l'Adriatique ainsi que le traité de Ra-
pallo. A l'égard de Rome, Briand veut aussi
avoir en mains, au moment critique, des
compensations
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEÏTC\G.
4. 1. matin.
SUR L'ALLIANCE FRANCO-BRITANNI-
QUE. - De Cannes : A la veille d'une Con-
férence qui a déjà beaucoup à faire avec les
questions de l'évasion imminente de l'Al-
lemagne, du consortium financier européen,
des sous-marins, M. Briand vient de poser,
à nouveau, l'épineuse question de l'alliance
franco-anglaise. Le projet a un aspect assez •
bizarre dans les colonnes de certains jour-
naux français qui l'entourent d'articles sur
les sous-marins où l'on critique violemment
l'attitude de l'Angleterre « qui veut être
plus forte que la France sur mer » et où
la lettre de M. Masferman est longuement
rommentée. M. Briand estime qu'une al-
liance prouverait que l'Angleterre n'a rien
à craindre des sous-marins français.
Le fait que l'exposé des deux thèses, l'une
relative à la question des sous-marins,
l'autre à l'alliance, est mis à jour au mo-
ment où les alliés vont se rencontrer, sem-
ble révéler un désir de la part des Fran-
çais, de se servir de ces deux thèses pour
marchander l'alliance en l'opposant au pro-
gramme sous-marin et peut-être aussi au
projet relatif à certaine revision du pro-
blème des réparations. Si M. Briand per-
siste dans son attitude, on ne voit pas très
bien quel résultat on peut attendre. L'An-
gleterre ne se laissera pas entraîner vers
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