Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 janvier 1922 05 janvier 1922
Description : 1922/01/05 (T20,N1945). 1922/01/05 (T20,N1945).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253315g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1945
*
Jeudi 5 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimes en petits caractères Les articles
traduits integralemen. sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
P¡U:::;SE ALLEMANDE. - La Conférence de Can-
nes (Deriincr Tageblall). — « La pro-
chaine guerre » (H. von Gerlach dans
W elt am Motitag).
Pm:SSE AMÉRICAINE. - « Société des Nations
Ou Association » (New York Tribune).
I'UESSE1 ANGLAISE. - Les divergences franco-
britanniques (Daily Chronicle, Daily Ex-
press, G. Siccombe dans Daily Herald,
Moming Post). — La sécurité de la
France (DaHu News, Westminster Ga-
zette, Times).
Pm:,,;sl<: HOLLANDAISE. - La priorité belge
(Handels blad).
FIIESSE ITALIENNE. — L'Italie et les projets de
pacte européen (Mario Borsa dans Se-
colo). — La France et la Conférence de
Washington (Carrière della Sera, Stam-
pa).
POLITIQUE GÉNERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
LES DIVERGENCES FRANCO-BRITAN
- NIQUES. — La Daily Chronicle publie sous
la signature « Politicus » un article sur l'entente
anglo-française dans lequel l'auteur déclare que
« le fait que l'Entente ne repose aujourd'hui
sur aucune base solide n'empêche pas qu'elle
puisse être restaurée demain ». Les deux causes
principales du désaccord sont : les réparations
et le désarmement. Les causes secondaires. les
Problèmes de Russie et de Turquie. Etudiant la
question des réparations et le désarmement,
Politicus constate que sur la première question,
les experts sont d'accord sur le montant des
sommes d'argent que l'Allemagne devra et
pourra verser pendant quelques années. Il ré-
sume ensuite les thèses française et anglaise.
La France réclame de l'argent liquide. « L'Alle-
magne est responsable dit-elle ; qu'importe si
> elle est ruinée. Elle a 60 millions d'habitants
©t je n'en ai que 40 millions. » — « Mes régions
dévastées, répond l'Angleterre, sont mes 2 mil-
lions de chômeurs. Chaque crise franco-alle-
mande accentue la crise de chômage chez moi.
Il faut que la question des réparations soit ré-
solue pratiquement, autrement les changes ne
Pourront être rétablis, l'Allemagne ne pourra
lettre de l'ordre dans ses finances. Le com-
merce et l'industrie demeureront dans l'état où
ils sont actuellement. Or, mon existence dépend
de la reprise des échanges et pour l'obtenir.
j'abandonnerais, au besoin, mes créances. »
Mais, remarque Politicus, la question des
armements est liée à la question des réparations.
L armée française et l'armée de la Petite En-
tente, toutes deux sous le commandement du
maréchal Foch, sont pour la France une garan-
tie. Car elle ne met sa confiance que dans la
force, et Washington et la Société des Nations
ne sont pour elle que des essais diplomatique.
Elle pense que l'avenir de l'Europe sera sembln-
ble au passé : les systèmes d'alliance, les arme-
ments et les guerres ! Vivront ceux qui seront
forts ! L'Angleterre ne partage pas cette opi-
nion. Elle constate que les Hohenzollern, les
Habsbourgs, les Romanov ont disparu, que l'Eu-
rope est un continent démocratique (exception
faite de la Russie). Elle estime que l'avenir de
l'Europe doit être fondé sur la paix et non sur la
rivalité, sur le désarmement et non sur les ar-
mements. Enfin, elle croit que le désarmement
permettra aux Alliés de rétablir leur budget,
d'interrompre l'émission du papier qui retarde
In renaissance économique.
La thèse britannique, dit Politicus, est ans
doute trop optimiste ; elle ignore, un peu tron,
la violence des passions politiques sur le con-
tinent. Elle oublie que l'on ne pourra de sitôt
faire naître chez les peuples cette confiance mu-
tuelle sur laquelle doit être fondé le désarme-
ment. Mais, d'autre part, Politicus déclare que
la France ne semble avoir aucune idée nette
quant à la restauration des nations européennes
Elle ne comprend pas l'interdépendance écono
mique. Elles menace, elle ne connaît que la me-
nace, et son attitude à Washington le prouve.
Faut-il donc se laisser aller au désespoir ? Non.
il n'y a pas conflit d'intérêts entre la France
et l'Angleterre, mais seulement « conflit de thè-
ses, de points de vue ». La question des répa-
rations doit être résolue pratiquement, ainsi que
le problème du désarmement. Mais l'Angleterre
pourrait bien en retour accorder à la France et
à la Belgique la priorité sur les réparations et
garantir la neutralité de la Rhénanie. « Avant
tout, soyons loyaux, honnêtes et francs, c'est
ainsi que l'on éduquera l'opinion publique et
qu'on lui fera comprendre la nécessité de cette
entente véritable que tout Anglais, digne du
nom réclame n.
DAILY CHRONICLE, 4.1.
— Il faut répéter que la Conférence de
Cannes, pas plus qu'une autre d'ailleurs, ne
donnera un résultat quelconque si la France
et l'Angleterre ne peuvent trouver un
terrain d'entente. On peut réaliser oet
accord, on doit le réaliser et, lorsqu'il le
sera, les deux nations devront le respecter
La situation actuelle est particulièrement
déplorable. Nous considérons, par exemple,
comme lamentable le fait qu'un frère de
M. Bertheloit ait pu être mis en cause dans
l'affaire de la Banque industrielle de Chine
et que M. Berthelot ait dû, ensuite, quitter
son poste au quai d'Orsay et plus lamenta-
ble encore le fait que M. Briand, parce qu'il
défendait M. Berthelot, ait dû adopter une
politique intransigeante, inopportune, pour
imposer silence à l'opposition de la Cham
bre. Les peuples de France et d'Angleterre
ont le droit d'exiger que les manifestations
de la politique intérieure avec les réflexes
qu'elles provoquent, ne causent aucun dom-
mage à leurs intérêts communs. Nous ai-
merions mieux que douze banques fussent
déclarées en failllite et que la France ne se
livrât point à de nouveaux « édats » sur la
question des sous-marins. Nous aimerions
mieux qu'une douzaine de Lord Curzon se
retirassent de la politique que l'Angle-
terre ne s'amusât à de coûteuses aventures
dans le Proche-Orient. — (Ed.)
DAILY EXPRESS, J.J.
- De Paris : Pour le peuple français au-
cune Conférence, depuis la guerre, n'a eu
un caractère de gravité plus accentué que
la prochaine réunion de Cannes. Les propo-
sitions que le Premier posera sur la
« roulette 'H de Cannes peuvent être défi-
nies ainsi : alliance franco-britannique (et
dans ce cas la France fera preuve de mo-
dération en ce qui concerne les réparations).
Sinon, isoilement moral et maintien de la
vieillie politique de « fermeté » à l'égard de
la Russie et de l'Allemagne. En tout cas,
l'attitude de la France sur le terrain des
réparations, est purement politique, elle
n'est en réalité iIlUi]ll.eme.nt' dictée par les né-
cessités véritables de la reconstruction,
mais par le désir d'établir l'hégémonie mi-
litaire de la France sur l'Europe. Le cri ré-
pété : « Faites payer l'Allemagne » est un
prétexte. Je crois, en outre, que, bien que le
projet de M. Lloyd George ait reçu publique-
ment un accueil favorable, l'attitude du
gouvernement français à l'égard de la Rus-
sie ne s'est pas modifiée. La France ne
peut disposer d'aucun capital pour la res-
tauration de l'Europe orientale et, en ce
qui concerne la Russie, elle ne possède que
des titres dont la valeur est douteuse. Pour-
cette raison, et pour prévenir une combi-
naison de capitalistes anglais et allemands,
elle s'efforcera de retarder l'opération jus-
qu'au moment où l'arrivée des capitaux
américains rétablira en sa faveur la ba-
lance des forces. — G. Slocombe.
DAILY HERALD, 4. i.
« LE ROI SOLEIL » [sous ce titre] — Le
givre de notre mécontentement se dis-
sipera-t-il sous le soleil de Cannes ?
Le Premier croit certainement que le
soflei'1 de Cannes peut exercer une
heureuse influence et Lord Curzon qui
devait étudier la terrible question d'Angora,
à Paris, a reçu l'autorisation d'accompagner
son gilorieux chef dans le Midi. Là-bas, on
abordera la question des réparations par
un mouvement tournant, en passant par la
reconstruction de l'Europe et la reconnais-
sance des Soviets. et il devient évident
qu'on a l'intention d'être très indulgent
pour l'Allemagne. Le Premier a remporté la
victoire aux élections en criant : « L'Alle-
magne paiera », et il espère remporter une
autre victoire en criant aux prochaines élec-
tions : « Elle ne doit pas payer !.. » Avec de
tels cris, il est capable de faire sortir M.
Asquith de Paisley. (Ed.)
MORNING POST, 4.1.
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1945
*
Jeudi 5 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimes en petits caractères Les articles
traduits integralemen. sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
P¡U:::;SE ALLEMANDE. - La Conférence de Can-
nes (Deriincr Tageblall). — « La pro-
chaine guerre » (H. von Gerlach dans
W elt am Motitag).
Pm:SSE AMÉRICAINE. - « Société des Nations
Ou Association » (New York Tribune).
I'UESSE1 ANGLAISE. - Les divergences franco-
britanniques (Daily Chronicle, Daily Ex-
press, G. Siccombe dans Daily Herald,
Moming Post). — La sécurité de la
France (DaHu News, Westminster Ga-
zette, Times).
Pm:,,;sl<: HOLLANDAISE. - La priorité belge
(Handels blad).
FIIESSE ITALIENNE. — L'Italie et les projets de
pacte européen (Mario Borsa dans Se-
colo). — La France et la Conférence de
Washington (Carrière della Sera, Stam-
pa).
POLITIQUE GÉNERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
LES DIVERGENCES FRANCO-BRITAN
- NIQUES. — La Daily Chronicle publie sous
la signature « Politicus » un article sur l'entente
anglo-française dans lequel l'auteur déclare que
« le fait que l'Entente ne repose aujourd'hui
sur aucune base solide n'empêche pas qu'elle
puisse être restaurée demain ». Les deux causes
principales du désaccord sont : les réparations
et le désarmement. Les causes secondaires. les
Problèmes de Russie et de Turquie. Etudiant la
question des réparations et le désarmement,
Politicus constate que sur la première question,
les experts sont d'accord sur le montant des
sommes d'argent que l'Allemagne devra et
pourra verser pendant quelques années. Il ré-
sume ensuite les thèses française et anglaise.
La France réclame de l'argent liquide. « L'Alle-
magne est responsable dit-elle ; qu'importe si
> elle est ruinée. Elle a 60 millions d'habitants
©t je n'en ai que 40 millions. » — « Mes régions
dévastées, répond l'Angleterre, sont mes 2 mil-
lions de chômeurs. Chaque crise franco-alle-
mande accentue la crise de chômage chez moi.
Il faut que la question des réparations soit ré-
solue pratiquement, autrement les changes ne
Pourront être rétablis, l'Allemagne ne pourra
lettre de l'ordre dans ses finances. Le com-
merce et l'industrie demeureront dans l'état où
ils sont actuellement. Or, mon existence dépend
de la reprise des échanges et pour l'obtenir.
j'abandonnerais, au besoin, mes créances. »
Mais, remarque Politicus, la question des
armements est liée à la question des réparations.
L armée française et l'armée de la Petite En-
tente, toutes deux sous le commandement du
maréchal Foch, sont pour la France une garan-
tie. Car elle ne met sa confiance que dans la
force, et Washington et la Société des Nations
ne sont pour elle que des essais diplomatique.
Elle pense que l'avenir de l'Europe sera sembln-
ble au passé : les systèmes d'alliance, les arme-
ments et les guerres ! Vivront ceux qui seront
forts ! L'Angleterre ne partage pas cette opi-
nion. Elle constate que les Hohenzollern, les
Habsbourgs, les Romanov ont disparu, que l'Eu-
rope est un continent démocratique (exception
faite de la Russie). Elle estime que l'avenir de
l'Europe doit être fondé sur la paix et non sur la
rivalité, sur le désarmement et non sur les ar-
mements. Enfin, elle croit que le désarmement
permettra aux Alliés de rétablir leur budget,
d'interrompre l'émission du papier qui retarde
In renaissance économique.
La thèse britannique, dit Politicus, est ans
doute trop optimiste ; elle ignore, un peu tron,
la violence des passions politiques sur le con-
tinent. Elle oublie que l'on ne pourra de sitôt
faire naître chez les peuples cette confiance mu-
tuelle sur laquelle doit être fondé le désarme-
ment. Mais, d'autre part, Politicus déclare que
la France ne semble avoir aucune idée nette
quant à la restauration des nations européennes
Elle ne comprend pas l'interdépendance écono
mique. Elles menace, elle ne connaît que la me-
nace, et son attitude à Washington le prouve.
Faut-il donc se laisser aller au désespoir ? Non.
il n'y a pas conflit d'intérêts entre la France
et l'Angleterre, mais seulement « conflit de thè-
ses, de points de vue ». La question des répa-
rations doit être résolue pratiquement, ainsi que
le problème du désarmement. Mais l'Angleterre
pourrait bien en retour accorder à la France et
à la Belgique la priorité sur les réparations et
garantir la neutralité de la Rhénanie. « Avant
tout, soyons loyaux, honnêtes et francs, c'est
ainsi que l'on éduquera l'opinion publique et
qu'on lui fera comprendre la nécessité de cette
entente véritable que tout Anglais, digne du
nom réclame n.
DAILY CHRONICLE, 4.1.
— Il faut répéter que la Conférence de
Cannes, pas plus qu'une autre d'ailleurs, ne
donnera un résultat quelconque si la France
et l'Angleterre ne peuvent trouver un
terrain d'entente. On peut réaliser oet
accord, on doit le réaliser et, lorsqu'il le
sera, les deux nations devront le respecter
La situation actuelle est particulièrement
déplorable. Nous considérons, par exemple,
comme lamentable le fait qu'un frère de
M. Bertheloit ait pu être mis en cause dans
l'affaire de la Banque industrielle de Chine
et que M. Berthelot ait dû, ensuite, quitter
son poste au quai d'Orsay et plus lamenta-
ble encore le fait que M. Briand, parce qu'il
défendait M. Berthelot, ait dû adopter une
politique intransigeante, inopportune, pour
imposer silence à l'opposition de la Cham
bre. Les peuples de France et d'Angleterre
ont le droit d'exiger que les manifestations
de la politique intérieure avec les réflexes
qu'elles provoquent, ne causent aucun dom-
mage à leurs intérêts communs. Nous ai-
merions mieux que douze banques fussent
déclarées en failllite et que la France ne se
livrât point à de nouveaux « édats » sur la
question des sous-marins. Nous aimerions
mieux qu'une douzaine de Lord Curzon se
retirassent de la politique que l'Angle-
terre ne s'amusât à de coûteuses aventures
dans le Proche-Orient. — (Ed.)
DAILY EXPRESS, J.J.
- De Paris : Pour le peuple français au-
cune Conférence, depuis la guerre, n'a eu
un caractère de gravité plus accentué que
la prochaine réunion de Cannes. Les propo-
sitions que le Premier posera sur la
« roulette 'H de Cannes peuvent être défi-
nies ainsi : alliance franco-britannique (et
dans ce cas la France fera preuve de mo-
dération en ce qui concerne les réparations).
Sinon, isoilement moral et maintien de la
vieillie politique de « fermeté » à l'égard de
la Russie et de l'Allemagne. En tout cas,
l'attitude de la France sur le terrain des
réparations, est purement politique, elle
n'est en réalité iIlUi]ll.eme.nt' dictée par les né-
cessités véritables de la reconstruction,
mais par le désir d'établir l'hégémonie mi-
litaire de la France sur l'Europe. Le cri ré-
pété : « Faites payer l'Allemagne » est un
prétexte. Je crois, en outre, que, bien que le
projet de M. Lloyd George ait reçu publique-
ment un accueil favorable, l'attitude du
gouvernement français à l'égard de la Rus-
sie ne s'est pas modifiée. La France ne
peut disposer d'aucun capital pour la res-
tauration de l'Europe orientale et, en ce
qui concerne la Russie, elle ne possède que
des titres dont la valeur est douteuse. Pour-
cette raison, et pour prévenir une combi-
naison de capitalistes anglais et allemands,
elle s'efforcera de retarder l'opération jus-
qu'au moment où l'arrivée des capitaux
américains rétablira en sa faveur la ba-
lance des forces. — G. Slocombe.
DAILY HERALD, 4. i.
« LE ROI SOLEIL » [sous ce titre] — Le
givre de notre mécontentement se dis-
sipera-t-il sous le soleil de Cannes ?
Le Premier croit certainement que le
soflei'1 de Cannes peut exercer une
heureuse influence et Lord Curzon qui
devait étudier la terrible question d'Angora,
à Paris, a reçu l'autorisation d'accompagner
son gilorieux chef dans le Midi. Là-bas, on
abordera la question des réparations par
un mouvement tournant, en passant par la
reconstruction de l'Europe et la reconnais-
sance des Soviets. et il devient évident
qu'on a l'intention d'être très indulgent
pour l'Allemagne. Le Premier a remporté la
victoire aux élections en criant : « L'Alle-
magne paiera », et il espère remporter une
autre victoire en criant aux prochaines élec-
tions : « Elle ne doit pas payer !.. » Avec de
tels cris, il est capable de faire sortir M.
Asquith de Paisley. (Ed.)
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