Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-12-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 décembre 1920 24 décembre 1920
Description : 1920/12/24 (T16,N1634). 1920/12/24 (T16,N1634).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62154212
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRES
: DES
trAIl\ES ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE
N° 1634
Vendredi 24 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence techni-
» que de Bruxelles Neue Badische Lan-
I deszeitung, Kreuzzeitung ; A. Redlich,
| dans Vossische Zeitung,Deutsche Allge-
IV meine Zeitung). — La France et la Ré-
gi publique allemande (Deutsche Allge-
& meine Zeitung). — La Société des Na-
tions : l'admission des petits Etats
, * (Frankfurter ZeitungJ.
PnESsE ANGLAISE. — La Société des Nations:
les déclarations de MM. Lloyd George
et Balfour au banquet de la Parliamen-
tary Association (Times, Daily News).
La politique intérieure de la France :
le débat du 22 décembre à la Chambre
des Députés (Times, Morning Post, Dai-
ly News, Daily Herald).
^Esse ITALIENNE. — Les Etats-Unis et la
reconstitution de l'Europe (F. Nitti, an-
cien Président du Conseil, dans Matti-
no). — D'Annunzio et le traité de Ra-
pallo (Corriere della Sera ; correspon-
dance d'Abbazia à la Stampa).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
r.^A CONFERENCE DE BRUXELLES. -
i ensemble de la presse allemande enre-
f stres avec satisfaction, les correspondances
tr' les télégrammes des agences qui mon-
t/nt k: cours satisfaisant suivi par la Con-
nnence de Bruxelles. Plutôt que le résultat
'OsitiÎ de ces pourparlers, — dont on doute
^ipurs, - ce sont les rapports des délé-
Qvétions française et allemande, et le ton de
Ira Presse française qui paraissent avoir
appé agréablement l'opinion allemande.]
L8L France a déjà fait pour le moins les
lS quarts du travail pour la reconstruc.
tin des provinces dévastées. Ce qu'elle
Vpw ^ut ce ne sont ni des conseils, ni de l'aide
a part de l'Allemagne, mais le rem-
Vair sement de ses frais. La question de sa-
Co comment fournir à ses frais est fort
cor ^£ P^quée et doit être minutieusement
ét Mais les experts français ainsi que
fair des autres pays ne pourraient-ils pas
îair e eux aussi des propositions en ce
terls ? Ils les auraient faites depuis long-
tem si, au lieu de vouloir fixer le montant
trou lndemnités, ils s'étaient attachés à
tron le moyen le plus propre à les obte-
en. p QUand ils disent une chose alors qu'ils
en Posent une autre, c'est là une ruse fort
lijx Préhensible à leur point de vue. En réa-
l ité entre le paiement en nature et les in-
demnités en argent, il n'y a pas, au fond,
de différence. Même la somme la plus basse
dont devraient se contenter les adversai-
res ne peut être fournie que sous forme de
marchandises. Toute livraison en nature se
chiffre pour l'Etat à une somme égale à la
valeur de cette livraison, Dans le cas où
l'Etat s'engage à payer une somme d'ar-
gent il ne peut trouver cette somme que si
l'économie allemande lui fournit en mar-
chandises la valeur équivalente. L'écono-
mie nationale ne livre au compte des répa-
rations que ce que l'Etat lui paie. La som-
me reste la même et s'exprime par un nom-
bre déterminé de milliards.
C'est cette somme qui importe aux adver-
saires. C'est pourquoi ils veulent arriver à
obtenir que les négociateurs allemands
fassent une offre précise. L'Allemagne, de
façon directe õu non, devra indiquer une
certaine somme qui, naturellement, ne sera
pas trouvée assez importante, mais au-
dessous de laquelle elle ne pourra pas des-
cendre. Il sera peut-être inévitable de faire
cette offre, car nous voulons et nous de-
vons nous aussi, connaître la somme glo-
bale. Mais ces propositions, ce n'est pas
pour elles-mêmes qu'on nous les demande ,
on les exige, pour connaître l'offre que nous
ferons.
NEUE BADISCHE LANDESZEITUNG,
20.12 soir.
— L'impression favorable qui s'exprime
à Bruxelles doit manifestement être réduite
à ce fait que le plan de Seydoux (directeur
de la section économique du ministère des
Affaires étrangères à Paris), coïncide dans
une mesure importante avec les projets dé-
veloppés par le secrétaire- dEtat Berg-
rnann.
m on peut se demander si le plan Seydoux,
pour la reconstruction des territoires dévas.
tés, ne se heurtera pas en France a une
vive opposition.
On sait que sur les nationalistes français,
le mot : Révision du traité de paix, fait l'ef-
fet du chiffon rouge sur le taureau. Or, il
s'agit dans les projets de tout un program-
me de revision. En lisant le Temps, on
peut concevoir l'attitude des nationalistes
devant le fait d'une constatation d'incapa-
cité financière du Reich par les experts de
Bruxelles. Ce journal demande à l' Entente
« d'agir aussi rapidement que possible dans
l'intérêt du monde entier », si l'on établis-
sait à Bruxelles la banqueroute allemande
Lelui qui connaît le langage de cette presse
française comprend qu'il ne s'agit de rien
d'autre que de l'occupation de la Ruhr.
L'Entente s'emparera par force de valeurs
que l'Allemagne appauvrie ne peut pas
payer. — H. W.
KREUZ-ZEITUNG, 21.12 soir.
- L'atmosphère amicale de la Conféren-
ce les louanges décernées à l'Allemagne
par les Alliés, les relations courtoises, tout
cela pourrait facilement inciter à un opti-
misine exagéré.
Mais il ne faut pas oublier que tout ce qui
a été fait jusqu'à présent n'est qu un préli-
minaire, que les problèmes les plus ardus
n'ont pas été résolus et particulièrement
que l'Angleterre n'a encore rien dit
Un seul résultat a été atteint : la volonté
du Gouvernement français de s'entendre
économiquement avec l'Allemagne est
maintenant indubitablement établie et la
délégation allemande le reconnaîtra cer-
tainement.
On peut dire en résumé qu'à Bruxelles,
une nouvele porte a été ouverte à la raison.
— A. Redlich.
VOSSISCHE ZEITUNG, 22.12 matin.
— On peut se réjouir, dans une certaine
mesure, du communiqué Havas-Reuter :
aux yeux mêmes de nos adversaires, l'Al-
lemagne est arrivée à choisir pour les né-
gociations des personnalités qui s'impo-
saient. On peut aussi accuser un léger pro-
grès en ce sens qu'on ne voit plus le dis-
cours stéréotypé sur la « mauvaise volon.
té » de l'Allemagne, mais que l'on va cher
cher bien plutôt des solutions qui suppo-
sent la bonne volonté allemande.
Cependant, on ne doit pas préjuger des
résultats définitifs et l'on ne doit pas s'a-
bandonner à des illusions optimistes. La
Conférence de Bruxelles est, bien que d'é-
minents hommes d'Etats y prennent part,
simplement une conférence d'experts.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG
22,12 matin.
LA FRANCE ET LA REPUBLIQUE
ALLEMANDE. — Sous le titre : « POLITIQUE
CONTRADICTOIRE ». — Le Temps a fait à pro-
pos du dernier débat à la Chambre fran-
çaise un commentaire digne de remarque.
Craignant l'éventualité d'une dictature
militariste ou communiste, le Temps dé-
clare que la France aurait grand intérêt à
voir se consolider en Allemagne une Répu-
blique vraiment démocratique ; et la France
pourrait y contribuer.
Ce disant, le Temps ne fait que répéter ce
qui a été souvent dit du côté allemand, à
savoir que l'attitude de l'Entente -menaçant
sans cesse l'existence politique et économi-
que de l'Allemagne, affaiblit le gouverne-
ment républicain et renforce les partis des
deux extrémités.
Telle est bien, en effet, l'évolution politi-
que en Allemagne depuis le Traité de Ver-
sailles qui fournit sans cesse aux radicaux
de gauche et de droite de nouveaux moyens
et occasions d'agitation. La uetresse éco-
nomique, la chute constante du change le
manque de charbon, le chômage, les char-
ges d'occupation, les impôts écrasants, tout
cela fournit à la propagande communiste
un riche aliment pendant que les nationa-
listes, eux, peuvent dire : « L'Entente de-
mande toujours plus ; seule la force peut
nous sauver ; agir est, au surplus, un de-
voir d'honneur impérieux. »
Les négociations de Spa n'ont malheu-
reusement pas amélioré la situation, elles
l'ont plutôt aggravée en soumettant encore
une fois le gouvernement allemand à la con-
trainte. On peut seulement souhaiter que le
point de vue du Temps soit adopté dans
l'Entente et que les décisions de la Confé-
: DES
trAIl\ES ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE
N° 1634
Vendredi 24 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence techni-
» que de Bruxelles Neue Badische Lan-
I deszeitung, Kreuzzeitung ; A. Redlich,
| dans Vossische Zeitung,Deutsche Allge-
IV meine Zeitung). — La France et la Ré-
gi publique allemande (Deutsche Allge-
& meine Zeitung). — La Société des Na-
tions : l'admission des petits Etats
, * (Frankfurter ZeitungJ.
PnESsE ANGLAISE. — La Société des Nations:
les déclarations de MM. Lloyd George
et Balfour au banquet de la Parliamen-
tary Association (Times, Daily News).
La politique intérieure de la France :
le débat du 22 décembre à la Chambre
des Députés (Times, Morning Post, Dai-
ly News, Daily Herald).
^Esse ITALIENNE. — Les Etats-Unis et la
reconstitution de l'Europe (F. Nitti, an-
cien Président du Conseil, dans Matti-
no). — D'Annunzio et le traité de Ra-
pallo (Corriere della Sera ; correspon-
dance d'Abbazia à la Stampa).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
r.^A CONFERENCE DE BRUXELLES. -
i ensemble de la presse allemande enre-
f stres avec satisfaction, les correspondances
tr' les télégrammes des agences qui mon-
t/nt k: cours satisfaisant suivi par la Con-
nnence de Bruxelles. Plutôt que le résultat
'OsitiÎ de ces pourparlers, — dont on doute
^ipurs, - ce sont les rapports des délé-
Qvétions française et allemande, et le ton de
Ira Presse française qui paraissent avoir
appé agréablement l'opinion allemande.]
L8L France a déjà fait pour le moins les
lS quarts du travail pour la reconstruc.
tin des provinces dévastées. Ce qu'elle
Vpw ^ut ce ne sont ni des conseils, ni de l'aide
a part de l'Allemagne, mais le rem-
Vair sement de ses frais. La question de sa-
Co comment fournir à ses frais est fort
cor ^£ P^quée et doit être minutieusement
ét Mais les experts français ainsi que
fair des autres pays ne pourraient-ils pas
îair e eux aussi des propositions en ce
terls ? Ils les auraient faites depuis long-
tem si, au lieu de vouloir fixer le montant
trou lndemnités, ils s'étaient attachés à
tron le moyen le plus propre à les obte-
en. p QUand ils disent une chose alors qu'ils
en Posent une autre, c'est là une ruse fort
lijx Préhensible à leur point de vue. En réa-
l ité entre le paiement en nature et les in-
demnités en argent, il n'y a pas, au fond,
de différence. Même la somme la plus basse
dont devraient se contenter les adversai-
res ne peut être fournie que sous forme de
marchandises. Toute livraison en nature se
chiffre pour l'Etat à une somme égale à la
valeur de cette livraison, Dans le cas où
l'Etat s'engage à payer une somme d'ar-
gent il ne peut trouver cette somme que si
l'économie allemande lui fournit en mar-
chandises la valeur équivalente. L'écono-
mie nationale ne livre au compte des répa-
rations que ce que l'Etat lui paie. La som-
me reste la même et s'exprime par un nom-
bre déterminé de milliards.
C'est cette somme qui importe aux adver-
saires. C'est pourquoi ils veulent arriver à
obtenir que les négociateurs allemands
fassent une offre précise. L'Allemagne, de
façon directe õu non, devra indiquer une
certaine somme qui, naturellement, ne sera
pas trouvée assez importante, mais au-
dessous de laquelle elle ne pourra pas des-
cendre. Il sera peut-être inévitable de faire
cette offre, car nous voulons et nous de-
vons nous aussi, connaître la somme glo-
bale. Mais ces propositions, ce n'est pas
pour elles-mêmes qu'on nous les demande ,
on les exige, pour connaître l'offre que nous
ferons.
NEUE BADISCHE LANDESZEITUNG,
20.12 soir.
— L'impression favorable qui s'exprime
à Bruxelles doit manifestement être réduite
à ce fait que le plan de Seydoux (directeur
de la section économique du ministère des
Affaires étrangères à Paris), coïncide dans
une mesure importante avec les projets dé-
veloppés par le secrétaire- dEtat Berg-
rnann.
m on peut se demander si le plan Seydoux,
pour la reconstruction des territoires dévas.
tés, ne se heurtera pas en France a une
vive opposition.
On sait que sur les nationalistes français,
le mot : Révision du traité de paix, fait l'ef-
fet du chiffon rouge sur le taureau. Or, il
s'agit dans les projets de tout un program-
me de revision. En lisant le Temps, on
peut concevoir l'attitude des nationalistes
devant le fait d'une constatation d'incapa-
cité financière du Reich par les experts de
Bruxelles. Ce journal demande à l' Entente
« d'agir aussi rapidement que possible dans
l'intérêt du monde entier », si l'on établis-
sait à Bruxelles la banqueroute allemande
Lelui qui connaît le langage de cette presse
française comprend qu'il ne s'agit de rien
d'autre que de l'occupation de la Ruhr.
L'Entente s'emparera par force de valeurs
que l'Allemagne appauvrie ne peut pas
payer. — H. W.
KREUZ-ZEITUNG, 21.12 soir.
- L'atmosphère amicale de la Conféren-
ce les louanges décernées à l'Allemagne
par les Alliés, les relations courtoises, tout
cela pourrait facilement inciter à un opti-
misine exagéré.
Mais il ne faut pas oublier que tout ce qui
a été fait jusqu'à présent n'est qu un préli-
minaire, que les problèmes les plus ardus
n'ont pas été résolus et particulièrement
que l'Angleterre n'a encore rien dit
Un seul résultat a été atteint : la volonté
du Gouvernement français de s'entendre
économiquement avec l'Allemagne est
maintenant indubitablement établie et la
délégation allemande le reconnaîtra cer-
tainement.
On peut dire en résumé qu'à Bruxelles,
une nouvele porte a été ouverte à la raison.
— A. Redlich.
VOSSISCHE ZEITUNG, 22.12 matin.
— On peut se réjouir, dans une certaine
mesure, du communiqué Havas-Reuter :
aux yeux mêmes de nos adversaires, l'Al-
lemagne est arrivée à choisir pour les né-
gociations des personnalités qui s'impo-
saient. On peut aussi accuser un léger pro-
grès en ce sens qu'on ne voit plus le dis-
cours stéréotypé sur la « mauvaise volon.
té » de l'Allemagne, mais que l'on va cher
cher bien plutôt des solutions qui suppo-
sent la bonne volonté allemande.
Cependant, on ne doit pas préjuger des
résultats définitifs et l'on ne doit pas s'a-
bandonner à des illusions optimistes. La
Conférence de Bruxelles est, bien que d'é-
minents hommes d'Etats y prennent part,
simplement une conférence d'experts.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG
22,12 matin.
LA FRANCE ET LA REPUBLIQUE
ALLEMANDE. — Sous le titre : « POLITIQUE
CONTRADICTOIRE ». — Le Temps a fait à pro-
pos du dernier débat à la Chambre fran-
çaise un commentaire digne de remarque.
Craignant l'éventualité d'une dictature
militariste ou communiste, le Temps dé-
clare que la France aurait grand intérêt à
voir se consolider en Allemagne une Répu-
blique vraiment démocratique ; et la France
pourrait y contribuer.
Ce disant, le Temps ne fait que répéter ce
qui a été souvent dit du côté allemand, à
savoir que l'attitude de l'Entente -menaçant
sans cesse l'existence politique et économi-
que de l'Allemagne, affaiblit le gouverne-
ment républicain et renforce les partis des
deux extrémités.
Telle est bien, en effet, l'évolution politi-
que en Allemagne depuis le Traité de Ver-
sailles qui fournit sans cesse aux radicaux
de gauche et de droite de nouveaux moyens
et occasions d'agitation. La uetresse éco-
nomique, la chute constante du change le
manque de charbon, le chômage, les char-
ges d'occupation, les impôts écrasants, tout
cela fournit à la propagande communiste
un riche aliment pendant que les nationa-
listes, eux, peuvent dire : « L'Entente de-
mande toujours plus ; seule la force peut
nous sauver ; agir est, au surplus, un de-
voir d'honneur impérieux. »
Les négociations de Spa n'ont malheu-
reusement pas amélioré la situation, elles
l'ont plutôt aggravée en soumettant encore
une fois le gouvernement allemand à la con-
trainte. On peut seulement souhaiter que le
point de vue du Temps soit adopté dans
l'Entente et que les décisions de la Confé-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
- Collections numériques similaires Wodiczka Wenceslaus Wodiczka Wenceslaus /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Wodiczka Wenceslaus" or dc.contributor adj "Wodiczka Wenceslaus")
- Auteurs similaires Wodiczka Wenceslaus Wodiczka Wenceslaus /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Wodiczka Wenceslaus" or dc.contributor adj "Wodiczka Wenceslaus")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62154212/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62154212/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62154212/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62154212/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62154212
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62154212
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62154212/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest