Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-12-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 décembre 1920 18 décembre 1920
Description : 1920/12/18 (T16,N1629). 1920/12/18 (T16,N1629).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6215416r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES N° 1629
DES JLU~~
AFFAIRES ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE Samedi 18 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les réparations et
la politique intérieure française (Cor-
pondance de Paris à la Deutsche Allge-
meine Zeitung). — L'Allemagne et les
mandats coloniaux (Neue Badische
Landeszeitung).
PRESSE ANGLAISE. — France et Grande-Bre-
tagne : le livre de M. Caillaux (Times) ;
la question de l'Alliance (Glasgow He-
rald, Evening Standard). — La Société
des Nations : les travaux de l'Assem-
blée de Genève (Daily News, Daily
Graphic, Times). — Le chômage en
Grande-Bretagne (Daily News).
PRESSE ESPAGNOLE. — France et Espagne :
la prorogation du prêt espagnol ; la
question des tarifs douaniers (lmpar-
cial). — La politique franco-britanni-
que en Grèce (Sol).
PRESSE ITALIENNE. — La France et le Vati-
can : l'attitude du haut clergé français
(Resto del Carlino).
PRESSE SUISSE. — La Conférence de Genève
(National Zeitung).
PRESSE TURQUE. — L'Entente et le traité de
Sèvres: l'attitude de la Yougoslavie ;
la situation à Smyrne ; le retour de
Constantin ; le comte Sforza et la Tur-
quie ; les Grecs de Constantinople ; les
nationalistes turcs et les soviets
(Vakit).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LES REPARATIONS ET LA POLITIQUE
INTERIEURE FRANÇAISE. — De Paris,
10 décembre : Le fait que la situation éco-
nomique de la France est grandement in-
fluencée par la situation financière, con-
traint le gouvernement français — le gou-
vernement actuel et tous ceux qui suivront
— à régler, coûte que coûte et aussitôt que
possible, la question de l'indemnité qui pèse
d'un poids extrêmement lourd sur le bud-
get français. Le Trésor français est vide.
La Banque de France a employé toutes ses
disponibilités avec le dernier emprunt.
L'Etat ne peut escompter de nouvelles va-
leurs et le Parlement se refuse à voter de
nouveaux impôts. Cependant le gouverne-
ment va devoir faire face prochainement à
de nouvelles exigences. L'Amérique et l'Es-
pagne réclament le remboursement de leurs
Prêts. Il va falloir régler aussi le compte
du pétrole. Pour comble de malheur, le
ministre des Régions libérées réclame de
nouveaux crédits, ceux figurant au budget
ne devant servir qu'à solder des dépenses
déjà faites. La Banque de France, qui est
obligée de limiter ses avances, a fortement
réduit toutes les opérations d'escompte des
instituts bancaires de France.
Tout ceci explique la crise grave dans
laquelle se trouve actuellement le monde
des affaires, crise qui se traduit dans la
restriction de la production et dans le chô-
mage. La nécessité s'impose donc d'amé-
liorer le crédit français ; pour cela la Ban-
que de France doit pouvoir consentir des
prêts importants. Ces raisons obligeront les
négociateurs français à envisager, dans un
temps prochain, la question du règlement
des charges de réparations et des garan-
ties.
On commettrait une faute en négligeant
d'accorder une grande attention au déve-
loppement de la politique intérieure en
France. Quelques résultats électoraux de
ces derniers jours ont montré clairement
que l'étoile du Bloc National commence à
pâlir. L'opinion publique ne semble pas
être convaincue des avantages que la po-
litique du Bloc a valus à la France pen-
dant l'année écoulée. Dans l'arrondissement
de M. Leygues, lors d'une élection récente,
les partis de gauche ont battu sérieuse-
ment les candidats du Bloc National. A
Montpellier, où le Bloc national était tout-
puissant aux dernières élections législati-
ves, les gauches unies (radicaux et socia-
listes) ont triomphé aux élections munici-
pales.
- 10.. -_.!_-_.:- ---_'l-"-'!~--
Ceci fait prévoir pour les prochaines
élections sénatoriales un renforcement de
la majorité démocratique.
Dans la Chambre, un mouvement à gau-
che sembla se dessiner. C'est un signe des
temps, qu'un homme comme Paul de Cas-
sagnac se prononce en séance publique
pour la République.
On le voit, tout est en évolution. On peut
considérer comme un fait assez important
l'attitude de Briand la semaine dernière,
Briand si habile, qui s'est cependant assis
entre deux chaises avec son intervention
malheureuse dans le débat sur la reprise
des relations avec le Vatican. Il est sim-
plement arrivé à rendre impossible sa par-
ticipation à un ministère. Les chances de
Viviani et aussi celles du président du Sé-
nat, Léon Bourgeois, s'accroissent.
(De notre correspondant neutre.)
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
, 14.12 soir.
L'ALLEMAGNE ET LES MANDATS CO-
LONIAUX. — Plus on considère les événe-
ments de Genève et les travaux de la So-
ciété des Nations, plus on se convainc que
l'Allemagne a adopté, dans toute cette af-
faire, une sage ligne de conduite politique.
Ceci est particulièrement vrai de notre
attitude dans la question du statut futur
des colonies. En disant cela nous ne pen-
sons pas seulement à la nécessité d'avoir
une partie au moins de nos colonies, mais
à notre attitude de principe dans la ques-
tion des mandats. Nous avons adopté ce
juste point de vue que tout ce qui concerne
les mandats est proprement affaire inter-
nationale et qu'aucune puissance ne peut
considérer la répartition des mandats,
c'est-à-dire en quelque sorte la répartition
du monde comme une affaire privée.
La conception du mandat introduit dans
le droit des gens un principe nouveau et
important. On peut considérer le président
des Etats-Unis comme le père de cette idée.
Maintenant que l'idée est traduite dans la
pratique, c'est précisément l'Amérique qui
se trouve en conflit avec les Alliés à cause
de la réalisation du principe. On a lu ré-
cemment [Cf. Bull. n° 1628] la note améri-
caine adressée à l'Angleterre à propos de
l'affaire du pétrole. Cette note s'élève vive-
ment contre la conduite de l'Angleterre qui
a la prétention de s'arroger un monopole
commercial dans les territoires dont elle
est mandataire. (Dans le cas présent, il
s'agit de la Mésopotamie.) Voici donc la
thèse américaine : ces traités, accords
concernant l'exploitation de ces territoires,
ne sont pas simplement la chose de la
puissance mandataire comme si elle était
propriétaire, ce ne sont pas non plus des
affaires intéressant exclusivement les
membres de la Société des Nations, les au-
tres puissances ont aussi leur mot à dire.
En réalité, le système des mandats n'a
servi qu'à abriter les convoitises.
Personne n'est content du système ;
chacun y voit un état provisoire. Si l'on
abandonne ce système, qu'adviendra-t-il ?
Il serait difficile de le dire. L'affaire est
compliquée. L'Allemagne a un droit à faire
valoir : elle n'a renoncé à ses colonies
qu'entre les mains de la Société des Na-
tions et dans la pensée d'être prise en con-
sidération lors de la nouvelle répartition.
Les stipulations de Versailles sont bien
claires dans ce domaine.
NEUE BADISCHE LANDES-ZEITUNG,
13.12 soir.
LA CONFERENCE DE BRUXELLES. —
Il y a eu, ces dernières anntes, tant de négo-
ciations entre l'Entente et l'Allemagne qu'on
ne considère qu'avec un médiocre intérêt
la Conférence qui s'ouvre à Bruxelles et qui
est le prélude d'une entrevue décisive à Ge-
nève. A Paris comme à Berlin, on prélude
officieusement. Paris commence à compren-
dre qu'une réparation immédiate de la part
de l'Allemagne n'est pas pratiquement pos.
sible, et reconnaît la situation critique de
l'économie allemande comme une réalité
Il ne s'ensuit pas que la France renonce: il
s'agit d'une nouvelle tactique dans les négo-
ciations. Déjà les déclarations de l'ancien
ministre des Affaires Etrangères Her-
bette [sic] faisaient prévoir ce changement
de front et un article du Temps montre clai-
rement la nouvelle orientation des vœux
français.
La France ne veut pas chiffrer la somme
globale, c'est-à-dire l'ensemble de ses récla-
mations envers l'Allemagne. La décision
sera ajournée pendant trois ans. Mais on ne
pense naturellement pas à laisser l'Allema-
gne, pendant ces trois ans, vaquer sans
DES JLU~~
AFFAIRES ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE Samedi 18 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les réparations et
la politique intérieure française (Cor-
pondance de Paris à la Deutsche Allge-
meine Zeitung). — L'Allemagne et les
mandats coloniaux (Neue Badische
Landeszeitung).
PRESSE ANGLAISE. — France et Grande-Bre-
tagne : le livre de M. Caillaux (Times) ;
la question de l'Alliance (Glasgow He-
rald, Evening Standard). — La Société
des Nations : les travaux de l'Assem-
blée de Genève (Daily News, Daily
Graphic, Times). — Le chômage en
Grande-Bretagne (Daily News).
PRESSE ESPAGNOLE. — France et Espagne :
la prorogation du prêt espagnol ; la
question des tarifs douaniers (lmpar-
cial). — La politique franco-britanni-
que en Grèce (Sol).
PRESSE ITALIENNE. — La France et le Vati-
can : l'attitude du haut clergé français
(Resto del Carlino).
PRESSE SUISSE. — La Conférence de Genève
(National Zeitung).
PRESSE TURQUE. — L'Entente et le traité de
Sèvres: l'attitude de la Yougoslavie ;
la situation à Smyrne ; le retour de
Constantin ; le comte Sforza et la Tur-
quie ; les Grecs de Constantinople ; les
nationalistes turcs et les soviets
(Vakit).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LES REPARATIONS ET LA POLITIQUE
INTERIEURE FRANÇAISE. — De Paris,
10 décembre : Le fait que la situation éco-
nomique de la France est grandement in-
fluencée par la situation financière, con-
traint le gouvernement français — le gou-
vernement actuel et tous ceux qui suivront
— à régler, coûte que coûte et aussitôt que
possible, la question de l'indemnité qui pèse
d'un poids extrêmement lourd sur le bud-
get français. Le Trésor français est vide.
La Banque de France a employé toutes ses
disponibilités avec le dernier emprunt.
L'Etat ne peut escompter de nouvelles va-
leurs et le Parlement se refuse à voter de
nouveaux impôts. Cependant le gouverne-
ment va devoir faire face prochainement à
de nouvelles exigences. L'Amérique et l'Es-
pagne réclament le remboursement de leurs
Prêts. Il va falloir régler aussi le compte
du pétrole. Pour comble de malheur, le
ministre des Régions libérées réclame de
nouveaux crédits, ceux figurant au budget
ne devant servir qu'à solder des dépenses
déjà faites. La Banque de France, qui est
obligée de limiter ses avances, a fortement
réduit toutes les opérations d'escompte des
instituts bancaires de France.
Tout ceci explique la crise grave dans
laquelle se trouve actuellement le monde
des affaires, crise qui se traduit dans la
restriction de la production et dans le chô-
mage. La nécessité s'impose donc d'amé-
liorer le crédit français ; pour cela la Ban-
que de France doit pouvoir consentir des
prêts importants. Ces raisons obligeront les
négociateurs français à envisager, dans un
temps prochain, la question du règlement
des charges de réparations et des garan-
ties.
On commettrait une faute en négligeant
d'accorder une grande attention au déve-
loppement de la politique intérieure en
France. Quelques résultats électoraux de
ces derniers jours ont montré clairement
que l'étoile du Bloc National commence à
pâlir. L'opinion publique ne semble pas
être convaincue des avantages que la po-
litique du Bloc a valus à la France pen-
dant l'année écoulée. Dans l'arrondissement
de M. Leygues, lors d'une élection récente,
les partis de gauche ont battu sérieuse-
ment les candidats du Bloc National. A
Montpellier, où le Bloc national était tout-
puissant aux dernières élections législati-
ves, les gauches unies (radicaux et socia-
listes) ont triomphé aux élections munici-
pales.
- 10.. -_.!_-_.:- ---_'l-"-'!~--
Ceci fait prévoir pour les prochaines
élections sénatoriales un renforcement de
la majorité démocratique.
Dans la Chambre, un mouvement à gau-
che sembla se dessiner. C'est un signe des
temps, qu'un homme comme Paul de Cas-
sagnac se prononce en séance publique
pour la République.
On le voit, tout est en évolution. On peut
considérer comme un fait assez important
l'attitude de Briand la semaine dernière,
Briand si habile, qui s'est cependant assis
entre deux chaises avec son intervention
malheureuse dans le débat sur la reprise
des relations avec le Vatican. Il est sim-
plement arrivé à rendre impossible sa par-
ticipation à un ministère. Les chances de
Viviani et aussi celles du président du Sé-
nat, Léon Bourgeois, s'accroissent.
(De notre correspondant neutre.)
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
, 14.12 soir.
L'ALLEMAGNE ET LES MANDATS CO-
LONIAUX. — Plus on considère les événe-
ments de Genève et les travaux de la So-
ciété des Nations, plus on se convainc que
l'Allemagne a adopté, dans toute cette af-
faire, une sage ligne de conduite politique.
Ceci est particulièrement vrai de notre
attitude dans la question du statut futur
des colonies. En disant cela nous ne pen-
sons pas seulement à la nécessité d'avoir
une partie au moins de nos colonies, mais
à notre attitude de principe dans la ques-
tion des mandats. Nous avons adopté ce
juste point de vue que tout ce qui concerne
les mandats est proprement affaire inter-
nationale et qu'aucune puissance ne peut
considérer la répartition des mandats,
c'est-à-dire en quelque sorte la répartition
du monde comme une affaire privée.
La conception du mandat introduit dans
le droit des gens un principe nouveau et
important. On peut considérer le président
des Etats-Unis comme le père de cette idée.
Maintenant que l'idée est traduite dans la
pratique, c'est précisément l'Amérique qui
se trouve en conflit avec les Alliés à cause
de la réalisation du principe. On a lu ré-
cemment [Cf. Bull. n° 1628] la note améri-
caine adressée à l'Angleterre à propos de
l'affaire du pétrole. Cette note s'élève vive-
ment contre la conduite de l'Angleterre qui
a la prétention de s'arroger un monopole
commercial dans les territoires dont elle
est mandataire. (Dans le cas présent, il
s'agit de la Mésopotamie.) Voici donc la
thèse américaine : ces traités, accords
concernant l'exploitation de ces territoires,
ne sont pas simplement la chose de la
puissance mandataire comme si elle était
propriétaire, ce ne sont pas non plus des
affaires intéressant exclusivement les
membres de la Société des Nations, les au-
tres puissances ont aussi leur mot à dire.
En réalité, le système des mandats n'a
servi qu'à abriter les convoitises.
Personne n'est content du système ;
chacun y voit un état provisoire. Si l'on
abandonne ce système, qu'adviendra-t-il ?
Il serait difficile de le dire. L'affaire est
compliquée. L'Allemagne a un droit à faire
valoir : elle n'a renoncé à ses colonies
qu'entre les mains de la Société des Na-
tions et dans la pensée d'être prise en con-
sidération lors de la nouvelle répartition.
Les stipulations de Versailles sont bien
claires dans ce domaine.
NEUE BADISCHE LANDES-ZEITUNG,
13.12 soir.
LA CONFERENCE DE BRUXELLES. —
Il y a eu, ces dernières anntes, tant de négo-
ciations entre l'Entente et l'Allemagne qu'on
ne considère qu'avec un médiocre intérêt
la Conférence qui s'ouvre à Bruxelles et qui
est le prélude d'une entrevue décisive à Ge-
nève. A Paris comme à Berlin, on prélude
officieusement. Paris commence à compren-
dre qu'une réparation immédiate de la part
de l'Allemagne n'est pas pratiquement pos.
sible, et reconnaît la situation critique de
l'économie allemande comme une réalité
Il ne s'ensuit pas que la France renonce: il
s'agit d'une nouvelle tactique dans les négo-
ciations. Déjà les déclarations de l'ancien
ministre des Affaires Etrangères Her-
bette [sic] faisaient prévoir ce changement
de front et un article du Temps montre clai-
rement la nouvelle orientation des vœux
français.
La France ne veut pas chiffrer la somme
globale, c'est-à-dire l'ensemble de ses récla-
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