MINISTÈRES
DES
AFÏ f*ihES ÉTRANGÈRES
DE LA GUERRF
1 N° 1623
Samedi 11 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont dM
résumes, il est donné ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^RESSE ALLEMANDE. — La note des Alliés
sur les discours des ministres alle-
mands en Rhénanie (Journaux divers).
pliEsSE AMÉRICAINE. — L'enquête sur le
Il Shipping Board » (New York Times,
Washington Post). — L'immigration ja-
ponaise (Boston Transcript). - Les
Journaux de Frank Munsey (New Yorl,
Times).
))HEsSE ANGLAISE, — Le débat sur les éco-
nomies à la Chambre des Communes
(9 décembre) (Times, Daily Mail, Daily
Chrnnicle, Marning Post, Manchester
Guardian. Dai6« News, Daily Herald).
Pnr<:SSE ESPAGNOLE. - L'élévation des tarifs
douaniers en Espagne (Correspondancia
Militar, Accion).
''ESSE ITALIENNE. — L'attitude de d'Annun-
zio : l'échec de la mission parlementaire
à Fiume (Corriere délla Sera) ; la défec-
tion des deux contre-torpilleurs (Mes-
saggero, Tribuna, Tempo).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
!-A NOTE DES ALLIES SUR LES DIS-
SJJURS DES MINISTRES ALLEMANDS
^_RhENANI-3. — C'est par un communi-
riTe très bref de l'agence Wolf que la
essc allemande [du 8] a eu connaissance
les ta note de protestation des Alliés. Tous
les iournaux regrettent que l'opinion alle-
Zande soit ainsi maintenue dans l'igno-
lnce- La Frankfurter Zeitung (8.12) en
che'lld prétexte pour lancer quelques flê-
1110 s contre la Wilhelmstrasse et le Dr Si-
JJpns qu'elle n'aime pas. La presse natio-
lste fait suivre le communiqué de com-
raenlaires brefs et violents dont une phrase
m Nachrichten peut duMMer
des Hamburger Nachrichten peut donner
« Il a fallu, pour que le monde vit ce
la e oïn-cidence de deux faits:
li^e part, l'orgueil et l'arbitraire sans
(J?1tes des Alliés ,' d'autre part, la mollesse
Ilor/d direction de l'Empire. La seule re-
qUe Se digne et possible à cette note, est
et q les Allemands sont des hommes libres,
Peu ne les Alliés n'ont rien à voir à ce que
bayent dire, à leurs compatriotes, des mi-
Tp^es de l'Empire, sur le territoire de
C' PIre. »
terest une réponse analogue, quoique en
terrnes plus mesurés. que réclame la
T->., rur'ter Zeitung, qui invite l'opinion
a//p Kiande à conserver le calme et à ne pas
$e ?éT>andre en injures, comme fait la
Se de droite. Le même journal ajoute
que l'Entente aurait pu choisir une autre
forme de procédure (par exemple des re-
présentations diplomatiques discrètes) pour
faire connaître son mécontentement.. Enfin
il faut remarquer que, d'une part, les Amé-
ricains ne se sont pas joints aux Alliés et,
d'autre part, que c'est l'ambassadeur de
France, et non l'ambassadeur anglaisqui
a transmis la note.
LA QUESTION ADRIATIQUE
L'ATTITUDE DE D'ANNUNZIO. — Les
journaux italiens continuent à s'occuper
presque exclusivement des événements de
Fiume. La défection des deux torpilleurs
est blâmée unanimement par la presse du 9
qui craint qu'un tel acte d'indiscipline affai-
blisse le prestige de l'Italie à l'étranqer et
qu'il soit un mauvais exemple pour les so-
cialistes révolutionnaires.
La délégation parlementaire, à son retour
de Fiume, a été reçue par M. Giolitti. Le
Président du Conseil a déclaré que les îles
de Veglia et d'Arbe devaient être remises à
la Yougoslavie, que le traité de Rapallo Me
serait pas modifié, qu'aucune annexion de
l'Etat du Carnaro ne pouvait être envisagée
et que l'attitude de la Régence dans l'af-
faire des torpilleurs ne faciliterait pas l'ac-
cord.
Le Saint Siège a fait une demande pour
obtenir l'accord. Le Cardinal Gasparri a
envoyé, à cet effet, un message au maire
de Fiume Gigante. Celui-ci a répondu pro-
testant de sa fidélité inébranlable à d'An-
nunzio.
L'ÉCHEC DE LA MISSION PARLEMENTAIRE A
FIUME. — On ne peut dire que la mission
parlementaire à Fiume ait obtenu les résul-
tats importants. qu'on en attendait
La lâche de ces hommes de bonne volonté
comportait logiquement deux sujets oMi-
uato:reis et un facultatif. En premier lieu,
ils auraient dû rapporter à d'Annunzio, avec
l'autorité dont ils étaient revêtus, la volonté
unanime du pays qui exige l'exécution
loyale du traité de Rapallo : en second lieu,
;ls auraient dû exactement comprendre et
rnnpcder au pays les intentions de d'An-
nunzio : en troisième lieu, ils auraient pu
tâter l'état d'âme de la population fiumaine
et se rendre compte si Fiume est du même
avis que le Commandant. Car tous les ci-
toyens de Fiume n'accourent pas sous le
balcon de d'Annunzio, et ceux qui ne pen
sent pas comme les gouvernants militaires
de leur ville, n'ont aucun moyen d'expri-
mer leur dissentiment.
Pour mener à bien une enquête de ce gen-
re, les parlementaires accourus - à Fiume
n'ont pas eu le temps matériel, et nous re-
connaissons volontiers que. s'ils avaient ten-
té de la faire, ils auraient attiré sur eux
la défiance et la mauvaise volonté du Com-
mandement. Mais comment ont-ils réalisé
la tâche tout à fait essentielle de faire va-
loir auprès de d'Annunzio la volonté de
l'Italie ? Ont-ils porté à la ville du Carna-
ro un message national ou y ont-ils fait
une sorte de pélerinage ?
Que dire enfin de la façon dont Hs ont in-
terprété les déclarations de d'Annunzio ? A
peine rentrés en Italie, ils ont répandu des
communiqués optimistes et des interviews
couleur de rose à la lecture desquels bien
peu ont secoué la tête en signe de doute
et la conviction que l'accord était véritable
ment conclu devint quasi universelle. Mais
le Commandement de Fiume se hâta de dis-
siper cette satisfaction de circonstances et
ses communiqués, froids et non dépourvus
die mépris, eurent au moins le mérite indis-
cutable de ne pas altérer la réalité. Hier
d'ailleurs , pour conclure par un point final
ces tergiversations illusoires, arriva la nou-
velle que deux bâtiments de la marine
royale étaient passés d'Annunzio.
lrArulunzio- a dit et répété qu'il ne trai-
tera pas avec l'Italie si l'Italie ne reconnaît
pas la Régence du Canaro. Demander
qu'elle reconnaisse la Régence avant que
soient échangées les ratifications du traité
de Rapallo équivaut (même si on laisse de
côté tout jugement sur la légitimité du
gouvernement de Fiume) à demander la
violation du traité de Rapallo. Si la re-
connaissance de Fiume implique la recon-
naissance de son statut, le gouvernement
italien sanctionnerait de sa signature les
aspirations de l'état-major de Fiume sur les
iles de Veglia et d'Arbe que le traité cte
Rapallo, comme le pacte de Londres, attri-
bue à la Yougoslavie, et il deviendrait aus-
sitôt parjure envers l'autre partie contrae
tante. D'Annunzio a même été plus expli-
cite : il a dit qu'à peine la Régence aurait
été reconnue, il demandera de son balcon
d'annexion de Fiume à l'Italie et si l'Italie
la refuse (c'est-à-dire si l'Italie refuse de
considérer comme des chiffons de papier
les traités internationaux), il mettra entre
l'Italie et Fiume, entre l'Italie et la Dalma-
tie, son corps ensanglanté.
.Nous souhaitons de toutes les forces de
notre âme que les solutions violentes
soient écartées, mais nous condamnons
également la rhétorique confuse de ceux
qui, en caressant les plaies, les gangrè-
nent. Nul ne désire que le nœud de Fiume
soit taillé d'un coup d'épée ; mais chacun
souhaite qu'il soit dénoué et rapidement :
et il ne doit être permis à personne de
l'embrouiller davantage.
.Il y a en jeu le sens de la loi, la cohé-
sion interne et la respectabilité internatio-
nale de l'Italie, la paix avec toutes ses con-
séquences sociales et économiques parmi
lesquelles, au premier rang, la possibilité
d'obtenir du ravitaillement et des crédits.
Fatalement, malgré toute la longanimité
qu'il a montrée jusqu'ici, le Gouvernement
doit réfléchir sévèrement sur l'avenir im-
médiat qui se prépare pour l'Italie.
CORRIERE DELLA SERA, 9.12.
LA DÉFECTION DES DEUX CONTRE-TORPILLEURS.
— Il ne faut plus ni encourager, ni exalter
ces actes fréquents et déplorables d'indisci-
pline qui jettent un jour sinistre sur nos-
forces de terre et de mer. Il est temps qu'on
réagisse contre le mal contagieux de l'indis-
cipline, du désordre, de la rébellion. L'Itatie
ne sera, grande et respectée dans le monde
DES
AFÏ f*ihES ÉTRANGÈRES
DE LA GUERRF
1 N° 1623
Samedi 11 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont dM
résumes, il est donné ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^RESSE ALLEMANDE. — La note des Alliés
sur les discours des ministres alle-
mands en Rhénanie (Journaux divers).
pliEsSE AMÉRICAINE. — L'enquête sur le
Il Shipping Board » (New York Times,
Washington Post). — L'immigration ja-
ponaise (Boston Transcript). - Les
Journaux de Frank Munsey (New Yorl,
Times).
))HEsSE ANGLAISE, — Le débat sur les éco-
nomies à la Chambre des Communes
(9 décembre) (Times, Daily Mail, Daily
Chrnnicle, Marning Post, Manchester
Guardian. Dai6« News, Daily Herald).
Pnr<:SSE ESPAGNOLE. - L'élévation des tarifs
douaniers en Espagne (Correspondancia
Militar, Accion).
''ESSE ITALIENNE. — L'attitude de d'Annun-
zio : l'échec de la mission parlementaire
à Fiume (Corriere délla Sera) ; la défec-
tion des deux contre-torpilleurs (Mes-
saggero, Tribuna, Tempo).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
!-A NOTE DES ALLIES SUR LES DIS-
SJJURS DES MINISTRES ALLEMANDS
^_RhENANI-3. — C'est par un communi-
riTe très bref de l'agence Wolf que la
essc allemande [du 8] a eu connaissance
les ta note de protestation des Alliés. Tous
les iournaux regrettent que l'opinion alle-
Zande soit ainsi maintenue dans l'igno-
lnce- La Frankfurter Zeitung (8.12) en
che'lld prétexte pour lancer quelques flê-
1110 s contre la Wilhelmstrasse et le Dr Si-
JJpns qu'elle n'aime pas. La presse natio-
lste fait suivre le communiqué de com-
raenlaires brefs et violents dont une phrase
m Nachrichten peut duMMer
des Hamburger Nachrichten peut donner
« Il a fallu, pour que le monde vit ce
la e oïn-cidence de deux faits:
li^e part, l'orgueil et l'arbitraire sans
(J?1tes des Alliés ,' d'autre part, la mollesse
Ilor/d direction de l'Empire. La seule re-
qUe Se digne et possible à cette note, est
et q les Allemands sont des hommes libres,
Peu ne les Alliés n'ont rien à voir à ce que
bayent dire, à leurs compatriotes, des mi-
Tp^es de l'Empire, sur le territoire de
C' PIre. »
terest une réponse analogue, quoique en
terrnes plus mesurés. que réclame la
T->., rur'ter Zeitung, qui invite l'opinion
a//p Kiande à conserver le calme et à ne pas
$e ?éT>andre en injures, comme fait la
Se de droite. Le même journal ajoute
que l'Entente aurait pu choisir une autre
forme de procédure (par exemple des re-
présentations diplomatiques discrètes) pour
faire connaître son mécontentement.. Enfin
il faut remarquer que, d'une part, les Amé-
ricains ne se sont pas joints aux Alliés et,
d'autre part, que c'est l'ambassadeur de
France, et non l'ambassadeur anglaisqui
a transmis la note.
LA QUESTION ADRIATIQUE
L'ATTITUDE DE D'ANNUNZIO. — Les
journaux italiens continuent à s'occuper
presque exclusivement des événements de
Fiume. La défection des deux torpilleurs
est blâmée unanimement par la presse du 9
qui craint qu'un tel acte d'indiscipline affai-
blisse le prestige de l'Italie à l'étranqer et
qu'il soit un mauvais exemple pour les so-
cialistes révolutionnaires.
La délégation parlementaire, à son retour
de Fiume, a été reçue par M. Giolitti. Le
Président du Conseil a déclaré que les îles
de Veglia et d'Arbe devaient être remises à
la Yougoslavie, que le traité de Rapallo Me
serait pas modifié, qu'aucune annexion de
l'Etat du Carnaro ne pouvait être envisagée
et que l'attitude de la Régence dans l'af-
faire des torpilleurs ne faciliterait pas l'ac-
cord.
Le Saint Siège a fait une demande pour
obtenir l'accord. Le Cardinal Gasparri a
envoyé, à cet effet, un message au maire
de Fiume Gigante. Celui-ci a répondu pro-
testant de sa fidélité inébranlable à d'An-
nunzio.
L'ÉCHEC DE LA MISSION PARLEMENTAIRE A
FIUME. — On ne peut dire que la mission
parlementaire à Fiume ait obtenu les résul-
tats importants. qu'on en attendait
La lâche de ces hommes de bonne volonté
comportait logiquement deux sujets oMi-
uato:reis et un facultatif. En premier lieu,
ils auraient dû rapporter à d'Annunzio, avec
l'autorité dont ils étaient revêtus, la volonté
unanime du pays qui exige l'exécution
loyale du traité de Rapallo : en second lieu,
;ls auraient dû exactement comprendre et
rnnpcder au pays les intentions de d'An-
nunzio : en troisième lieu, ils auraient pu
tâter l'état d'âme de la population fiumaine
et se rendre compte si Fiume est du même
avis que le Commandant. Car tous les ci-
toyens de Fiume n'accourent pas sous le
balcon de d'Annunzio, et ceux qui ne pen
sent pas comme les gouvernants militaires
de leur ville, n'ont aucun moyen d'expri-
mer leur dissentiment.
Pour mener à bien une enquête de ce gen-
re, les parlementaires accourus - à Fiume
n'ont pas eu le temps matériel, et nous re-
connaissons volontiers que. s'ils avaient ten-
té de la faire, ils auraient attiré sur eux
la défiance et la mauvaise volonté du Com-
mandement. Mais comment ont-ils réalisé
la tâche tout à fait essentielle de faire va-
loir auprès de d'Annunzio la volonté de
l'Italie ? Ont-ils porté à la ville du Carna-
ro un message national ou y ont-ils fait
une sorte de pélerinage ?
Que dire enfin de la façon dont Hs ont in-
terprété les déclarations de d'Annunzio ? A
peine rentrés en Italie, ils ont répandu des
communiqués optimistes et des interviews
couleur de rose à la lecture desquels bien
peu ont secoué la tête en signe de doute
et la conviction que l'accord était véritable
ment conclu devint quasi universelle. Mais
le Commandement de Fiume se hâta de dis-
siper cette satisfaction de circonstances et
ses communiqués, froids et non dépourvus
die mépris, eurent au moins le mérite indis-
cutable de ne pas altérer la réalité. Hier
d'ailleurs , pour conclure par un point final
ces tergiversations illusoires, arriva la nou-
velle que deux bâtiments de la marine
royale étaient passés d'Annunzio.
lrArulunzio- a dit et répété qu'il ne trai-
tera pas avec l'Italie si l'Italie ne reconnaît
pas la Régence du Canaro. Demander
qu'elle reconnaisse la Régence avant que
soient échangées les ratifications du traité
de Rapallo équivaut (même si on laisse de
côté tout jugement sur la légitimité du
gouvernement de Fiume) à demander la
violation du traité de Rapallo. Si la re-
connaissance de Fiume implique la recon-
naissance de son statut, le gouvernement
italien sanctionnerait de sa signature les
aspirations de l'état-major de Fiume sur les
iles de Veglia et d'Arbe que le traité cte
Rapallo, comme le pacte de Londres, attri-
bue à la Yougoslavie, et il deviendrait aus-
sitôt parjure envers l'autre partie contrae
tante. D'Annunzio a même été plus expli-
cite : il a dit qu'à peine la Régence aurait
été reconnue, il demandera de son balcon
d'annexion de Fiume à l'Italie et si l'Italie
la refuse (c'est-à-dire si l'Italie refuse de
considérer comme des chiffons de papier
les traités internationaux), il mettra entre
l'Italie et Fiume, entre l'Italie et la Dalma-
tie, son corps ensanglanté.
.Nous souhaitons de toutes les forces de
notre âme que les solutions violentes
soient écartées, mais nous condamnons
également la rhétorique confuse de ceux
qui, en caressant les plaies, les gangrè-
nent. Nul ne désire que le nœud de Fiume
soit taillé d'un coup d'épée ; mais chacun
souhaite qu'il soit dénoué et rapidement :
et il ne doit être permis à personne de
l'embrouiller davantage.
.Il y a en jeu le sens de la loi, la cohé-
sion interne et la respectabilité internatio-
nale de l'Italie, la paix avec toutes ses con-
séquences sociales et économiques parmi
lesquelles, au premier rang, la possibilité
d'obtenir du ravitaillement et des crédits.
Fatalement, malgré toute la longanimité
qu'il a montrée jusqu'ici, le Gouvernement
doit réfléchir sévèrement sur l'avenir im-
médiat qui se prépare pour l'Italie.
CORRIERE DELLA SERA, 9.12.
LA DÉFECTION DES DEUX CONTRE-TORPILLEURS.
— Il ne faut plus ni encourager, ni exalter
ces actes fréquents et déplorables d'indisci-
pline qui jettent un jour sinistre sur nos-
forces de terre et de mer. Il est temps qu'on
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