Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-11-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 novembre 1920 20 novembre 1920
Description : 1920/11/20 (T16,N1605). 1920/11/20 (T16,N1605).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6215392s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÊRES
D F, 8
"PAIRES "ÉTR A N GE RES
Er De LA GUERRE
1 N° 1605
Samedi 20 novembre 1920.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont d«
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
f, SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE.- Les déc.1arations du
ALLEMANI)E. — Les déclarations du
H r SCimons en pays rhénans (Deutsche
uyeszeitung, Hamburger Fremden-
Fahne). - La défaite du gé-
neral Wrangel et la Pologne (Koelnis-
che Zeitung). b
PRESSE AMÉRICAINE. — Le paiement des det-
des Alliés aux Etats-Unis (Was-
tllngton Post).
pRe anglaise- — Les relations commer-
■aies entre la Grande-Bretagne et les
oviets (Daily Telegraph, Daily Ex-
press, Daily Herald). — La chute de
; , • VenIzellos (Daily Telegraph) ; décla-
tions du roi Constantin (Times).
PRESSE AUTRICHIENNE. — L'Italie et la Petite
pw ntente (Remedetto Cirmeni, sénateur
Italie, dans Neue Freie Presse).
PrU':SSE .ESPAGNOLE. — L'accord franco-bri-
tannique sur le-si réparations (Mariano
Marfil dans Epoca). — Le franc et lia
Peseta (Dia).
ETFE ITAIIENNE. — France et Italie : « Les
S d'une amitié » (Resto del Car-
lno). — L'accord de Rapallo : l'attitude
de d'Annunzio (Journaux divers). — La
chi + M. Venizelos (Corriere d'Ita-
lia) ^enize'os (Corriere d'ita-
'& SUISSE. — L'accord de Rapallo (Na-
nirp?^ ^iïunçi). - La chute de M. Ve-
nlzelos (Basler Nachrichten, Berner
Tagblatt).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
Allemagne ET LA PAIX
^DÉCLARATIONS DU Dr SIMONS
J'dorf. le ministre des Affaires étran-
llé-e'e,s, .r Simams a énoncé trois conditions
sUrn,er pour que l'Allemagne puisse as-
Sil ,e,r es charges d'indemnité : il faut
rne e l'Allemagne ne soit plus dé-
Ne et particulièrement qu'elle ne
PQ&, î Haute-Silésie, qu'elle ne se voie
,eninr6chée d'exercer son activité écono-
rr)'f{ue ?ns le monde et enfin que les frais
upation soient rédmts. Ce sont là des
^tfitirm S a^Sl°llUment nécessaires pour que
ri0lls nn,,SSl9n,s> fournir des prestations et
inrv. ^rVn'®S" Il faudrait que les frais
h0f'c,Jpnt
point f'abon, conformément au troisième
~pr~~ réduits bientôt au minimum ;
('¡((t'té '&':t. dJu Reï.ch montre en effet avec une
0slrté ^vnvii '^te que nous ne pourrons plus
81 bÜlUt CI anStempsi les frais d'occupation
tl'oj)he Si fi ne voulons pas aller à une catas-
~he nancière qui nous empêcherait de
payer aucune indemnité. Les choses en sont
en effet au point que nous ne pouvons plus
supporter aucune surcharge au delà de nos
besoins les plus nécessaires et toutes les
prestations fournies doivent être prises sur
notre capital, soit directement, soit indirec-
tement en émettant du papier-monnaie qui
alourdit encore notre économie nationale
Un tel état de choses, cela va de soi, ne
peut durer longtemps sans provoquer une
catastrophe.
Les trois conditions énumérées par le
Dr Simons ne sont pas limitatives. Le mi-
nistre allemand des Affaires étrangères au-
rait dû insister au moins' sur deux autres
points. Le premier est la revision de l'ac-
cord de Spa : toute notre économie natio-
nale se trouve menacée gravement du fait
des livraisons excessives de charbon. Une
autre condition est encore nécessaire pour
éviter la catastrophe : il faut que nous puis-
sions être approvisionnés en * denrées ali-
mentaires et en matières premières sans
que notre change en souffre trop.
On doit saluer la fermeté avec laquelle le
Dr Simons a déclaré dans son discours de
Dusseldorf que l'entrée dans le territoire de
la Ruhr serait considérée par l'Allemagne
comme un acte d'hostilité.
Comme le ministre des Affaires étran-
gères l'a dit à Dusseldorf. l'Allemagne at-
tend pour bientôt une invitation aux négo-
ciations de Bruxelles où l'on devra préparer
la Conférence de Genève annoncée à Spa.
- P. B.
DEUTSCHE TACiESZEITUNCi, HUI matin.
- Sans ménagement aucun le ministre
des Affaires étrangères Simons a révélé
quels étaient les buts poursuivis par cette
stratégie d'occupation et montré que de l'au-
tre côté de notre frontière occidentale une
armée est toute prête à prendre l'offensive.
Le ministre aurait pu ajouter qu'en France,
on excite les esprits à demander la mise
en mouvement de cette armée. C'est à quoi
tendent les révélations de Foch prouvant que
ce n'est pas lui qui a empêché l'annexion de
la rive gauche du Rhin. Le Matin peut dire
avec orgueil que le mémoire publiant la dé-
claration de Foch a été immédiatement
épuisé et qu'il a fallu en faire une nouvelle
édition. Cela, ne suffit pas. Dans l'atmos-
phère créée par les fêtes célébrées actuelle-
ment. un nouvel article est puiblié démen-
tant que la France n'a été sauvée que parce
que les Anglais et les Français se sont mis
d'accord pour donner à Foch le haut com-
mandement. Foch incarne Ja « folie de la
rive gauche du Rhin » qui ne tardera pas à
déchaîner une nouvelle guerre si les hom-
mes d'Etat de l'Europe qui ont vraiment l'in-
tention, de travailler à la reconstitufion du
monde ne l'enrayent. C'est à eux que
s'adresse l'avertissement donné par le mi-
nistre Simons.
HAMBURGER FREMDENBLA TT,
16.11, soir.
— Le Dr Simons a raison. Depuis quel-
que temps, la France se livre à une offen-
sive stratégique pour encercler la future
république allemande des soviets. Mais, en
outre, ce fait montre que, pour la France,
ce n'est pas le point de vue économique de
la reconstitution, mais le point de vue poli-
tique de l'abaissement de l'Allemagne qui
est à la base de ses relations avec nous.
L'es arguments économiques exposés par
Simons contre les effectifs élevés des trou-
pes d'occupation manquent donc absolu-
ment leur but et sont simplement une
preuve de l'impuissance absolue de la bour-
geoisie allemande dans sa politique exté-
rieure. Et si la bourgeoisie allemande résis-
tait sérieusement aux exigences de la
France, chacun sait que ce serait justement
le moyen de mettre en marche les colonnes
françaises cantonnées en pays occupés et
à l'arrière.
Mais le prolétariat allemand tire de ces
faits la conclusion qu'il doit chercher dans
la Russie des soviets un appui contre l'im-
périalisme français, un appui non pas pour
une attaque contre la France — (en réalité,
le prolétariat allemand est pour le peuple
français la seule garantie sérieuse et dura-
ble des relations pacifiques entre l'Allema-
gne et la France) — mais contre une attaque
de l'impérialisme français.
ROTE FAHNE, 17.11
L'ACCORD FRANCO - BRITANNIQUE
SUR LES REPARATIONS. — PRESSE ES-
PAGNOLE. — La question de politique inté-
rieure qui prime toutes les autres en ce
moment consiste à savoir quelle sera' l'atti-
tude de la France et de l'Angleterre au point
de vue de la question des réparations. De
l'accord ou du désaccord de ces deux puis-
sances dépend le rétablissement plus ou
moins rapide de la situation économique du
monde. Cette question intéresse l'Espagne
sous un double aspect: d'abord au point de
vue de la situation économique générale,
ensuite parce que la France et l'Angleterre
sont les pays avec lesquels nous avons le
plus de liens, et que nous ne pouvons être
indifférents à l'amitié ou l'inimitié qu'elles
peuvent avoir entre elles. On est arrivé à
un compromis « peut-être plus près du point
de vue français que du point de vue an-
glais ».
Les divergences d'opinion entre la France
et l'Angleterre ont été tranchées ; mais le
fond du différend persiste, puisqu'il répond
à des convenances particulières engendrant
des points de vue de doctrine distincts.
Les articles de la presse de Paris et de
Londres ne laissent pas de doutes. Si bien
qu'on étave l'édifice de l'Entente. il y a des
fissures qui se voient de loin. La polémique.
échangée entre le Daily News et le Temps,
dans le premier par un écrivain anonyme
qui cache son nom sous certaines initiales,
dans le second par l'ex-président de la Ré-
puiblique M. Poincaré, a été instructive a
cet, égard. N
Suit l'analuse des arlicles en question 'Cr.-
Bulletin n° 1601, page 2]:
L'accord franco-anglais se trouve donc
être un accord de forment non de fond. Le
point de vue anglais ne concorde pas avec
celui de la France dans la question des ré-
parations, comme il n'a p."IS concordé en ce
qui concerne l'occupation des villes du Rhin,
D F, 8
"PAIRES "ÉTR A N GE RES
Er De LA GUERRE
1 N° 1605
Samedi 20 novembre 1920.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont d«
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
f, SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE.- Les déc.1arations du
ALLEMANI)E. — Les déclarations du
H r SCimons en pays rhénans (Deutsche
uyeszeitung, Hamburger Fremden-
Fahne). - La défaite du gé-
neral Wrangel et la Pologne (Koelnis-
che Zeitung). b
PRESSE AMÉRICAINE. — Le paiement des det-
des Alliés aux Etats-Unis (Was-
tllngton Post).
pRe anglaise- — Les relations commer-
■aies entre la Grande-Bretagne et les
oviets (Daily Telegraph, Daily Ex-
press, Daily Herald). — La chute de
; , • VenIzellos (Daily Telegraph) ; décla-
tions du roi Constantin (Times).
PRESSE AUTRICHIENNE. — L'Italie et la Petite
pw ntente (Remedetto Cirmeni, sénateur
Italie, dans Neue Freie Presse).
PrU':SSE .ESPAGNOLE. — L'accord franco-bri-
tannique sur le-si réparations (Mariano
Marfil dans Epoca). — Le franc et lia
Peseta (Dia).
ETFE ITAIIENNE. — France et Italie : « Les
S d'une amitié » (Resto del Car-
lno). — L'accord de Rapallo : l'attitude
de d'Annunzio (Journaux divers). — La
chi + M. Venizelos (Corriere d'Ita-
lia) ^enize'os (Corriere d'ita-
'& SUISSE. — L'accord de Rapallo (Na-
nirp?^ ^iïunçi). - La chute de M. Ve-
nlzelos (Basler Nachrichten, Berner
Tagblatt).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
Allemagne ET LA PAIX
^DÉCLARATIONS DU Dr SIMONS
llé-e'e,s, .r Simams a énoncé trois conditions
sUrn,er pour que l'Allemagne puisse as-
Sil ,e,r es charges d'indemnité : il faut
rne e l'Allemagne ne soit plus dé-
Ne et particulièrement qu'elle ne
PQ&, î Haute-Silésie, qu'elle ne se voie
,eninr6chée d'exercer son activité écono-
rr)'f{ue ?ns le monde et enfin que les frais
upation soient rédmts. Ce sont là des
^tfitirm S a^Sl°llUment nécessaires pour que
ri0lls nn,,SSl9n,s> fournir des prestations et
inrv. ^rVn'®S" Il faudrait que les frais
h0f'c,Jpnt
point f'abon, conformément au troisième
~pr~~ réduits bientôt au minimum ;
('¡((t'té '&':t. dJu Reï.ch montre en effet avec une
0slrté ^vnvii '^te que nous ne pourrons plus
81 bÜlUt CI anStempsi les frais d'occupation
tl'oj)he Si fi ne voulons pas aller à une catas-
~he nancière qui nous empêcherait de
payer aucune indemnité. Les choses en sont
en effet au point que nous ne pouvons plus
supporter aucune surcharge au delà de nos
besoins les plus nécessaires et toutes les
prestations fournies doivent être prises sur
notre capital, soit directement, soit indirec-
tement en émettant du papier-monnaie qui
alourdit encore notre économie nationale
Un tel état de choses, cela va de soi, ne
peut durer longtemps sans provoquer une
catastrophe.
Les trois conditions énumérées par le
Dr Simons ne sont pas limitatives. Le mi-
nistre allemand des Affaires étrangères au-
rait dû insister au moins' sur deux autres
points. Le premier est la revision de l'ac-
cord de Spa : toute notre économie natio-
nale se trouve menacée gravement du fait
des livraisons excessives de charbon. Une
autre condition est encore nécessaire pour
éviter la catastrophe : il faut que nous puis-
sions être approvisionnés en * denrées ali-
mentaires et en matières premières sans
que notre change en souffre trop.
On doit saluer la fermeté avec laquelle le
Dr Simons a déclaré dans son discours de
Dusseldorf que l'entrée dans le territoire de
la Ruhr serait considérée par l'Allemagne
comme un acte d'hostilité.
Comme le ministre des Affaires étran-
gères l'a dit à Dusseldorf. l'Allemagne at-
tend pour bientôt une invitation aux négo-
ciations de Bruxelles où l'on devra préparer
la Conférence de Genève annoncée à Spa.
- P. B.
DEUTSCHE TACiESZEITUNCi, HUI matin.
- Sans ménagement aucun le ministre
des Affaires étrangères Simons a révélé
quels étaient les buts poursuivis par cette
stratégie d'occupation et montré que de l'au-
tre côté de notre frontière occidentale une
armée est toute prête à prendre l'offensive.
Le ministre aurait pu ajouter qu'en France,
on excite les esprits à demander la mise
en mouvement de cette armée. C'est à quoi
tendent les révélations de Foch prouvant que
ce n'est pas lui qui a empêché l'annexion de
la rive gauche du Rhin. Le Matin peut dire
avec orgueil que le mémoire publiant la dé-
claration de Foch a été immédiatement
épuisé et qu'il a fallu en faire une nouvelle
édition. Cela, ne suffit pas. Dans l'atmos-
phère créée par les fêtes célébrées actuelle-
ment. un nouvel article est puiblié démen-
tant que la France n'a été sauvée que parce
que les Anglais et les Français se sont mis
d'accord pour donner à Foch le haut com-
mandement. Foch incarne Ja « folie de la
rive gauche du Rhin » qui ne tardera pas à
déchaîner une nouvelle guerre si les hom-
mes d'Etat de l'Europe qui ont vraiment l'in-
tention, de travailler à la reconstitufion du
monde ne l'enrayent. C'est à eux que
s'adresse l'avertissement donné par le mi-
nistre Simons.
HAMBURGER FREMDENBLA TT,
16.11, soir.
— Le Dr Simons a raison. Depuis quel-
que temps, la France se livre à une offen-
sive stratégique pour encercler la future
république allemande des soviets. Mais, en
outre, ce fait montre que, pour la France,
ce n'est pas le point de vue économique de
la reconstitution, mais le point de vue poli-
tique de l'abaissement de l'Allemagne qui
est à la base de ses relations avec nous.
L'es arguments économiques exposés par
Simons contre les effectifs élevés des trou-
pes d'occupation manquent donc absolu-
ment leur but et sont simplement une
preuve de l'impuissance absolue de la bour-
geoisie allemande dans sa politique exté-
rieure. Et si la bourgeoisie allemande résis-
tait sérieusement aux exigences de la
France, chacun sait que ce serait justement
le moyen de mettre en marche les colonnes
françaises cantonnées en pays occupés et
à l'arrière.
Mais le prolétariat allemand tire de ces
faits la conclusion qu'il doit chercher dans
la Russie des soviets un appui contre l'im-
périalisme français, un appui non pas pour
une attaque contre la France — (en réalité,
le prolétariat allemand est pour le peuple
français la seule garantie sérieuse et dura-
ble des relations pacifiques entre l'Allema-
gne et la France) — mais contre une attaque
de l'impérialisme français.
ROTE FAHNE, 17.11
L'ACCORD FRANCO - BRITANNIQUE
SUR LES REPARATIONS. — PRESSE ES-
PAGNOLE. — La question de politique inté-
rieure qui prime toutes les autres en ce
moment consiste à savoir quelle sera' l'atti-
tude de la France et de l'Angleterre au point
de vue de la question des réparations. De
l'accord ou du désaccord de ces deux puis-
sances dépend le rétablissement plus ou
moins rapide de la situation économique du
monde. Cette question intéresse l'Espagne
sous un double aspect: d'abord au point de
vue de la situation économique générale,
ensuite parce que la France et l'Angleterre
sont les pays avec lesquels nous avons le
plus de liens, et que nous ne pouvons être
indifférents à l'amitié ou l'inimitié qu'elles
peuvent avoir entre elles. On est arrivé à
un compromis « peut-être plus près du point
de vue français que du point de vue an-
glais ».
Les divergences d'opinion entre la France
et l'Angleterre ont été tranchées ; mais le
fond du différend persiste, puisqu'il répond
à des convenances particulières engendrant
des points de vue de doctrine distincts.
Les articles de la presse de Paris et de
Londres ne laissent pas de doutes. Si bien
qu'on étave l'édifice de l'Entente. il y a des
fissures qui se voient de loin. La polémique.
échangée entre le Daily News et le Temps,
dans le premier par un écrivain anonyme
qui cache son nom sous certaines initiales,
dans le second par l'ex-président de la Ré-
puiblique M. Poincaré, a été instructive a
cet, égard. N
Suit l'analuse des arlicles en question 'Cr.-
Bulletin n° 1601, page 2]:
L'accord franco-anglais se trouve donc
être un accord de forment non de fond. Le
point de vue anglais ne concorde pas avec
celui de la France dans la question des ré-
parations, comme il n'a p."IS concordé en ce
qui concerne l'occupation des villes du Rhin,
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