Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-11-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 novembre 1920 08 novembre 1920
Description : 1920/11/08 (T16,N1595). 1920/11/08 (T16,N1595).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6215382d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MlN'STE[lES
DES
lf>MREs ÉTRANGERES
ET DE LA GUER RE
E La guerre
L 1595
Lundi 8 novembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont <1m
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
$SOMMAIRE
^"Ess' p- M.U:!I.[\:\OE - L'élection de M. Har-
ding (hoelnischc Volkszeiturig, Kreuz
7v Deutsche Zritung, Leipziger
encste Nachrichten, Hannoverscher
Kuri^ Uote Fahne).
1 h V.RssfAMK!!i('\i\k. — L'accord de naviga-
tion germano-mnéricain (Boston He-
raid). - Les îll'(,^lu^e,irs/ américains et
p 1 a k aib,s,e des prix (Washington Post).
K S S F' N< r USK" - Le châtiment de Gml-
JnllInc 11 : 1 opinion de M. Lloyd George
(^n*( llester GIlŒ/'dian).i — Le discours
de 1 Asquith à Cardiff sur la situa-
dOn il'l.a.ndaise ('rimes Morninq Post,
l%- Chronicle)-
I-FAI-IENNE « La vente des marchan-
dises nÇaises à Hume (Avanti).
P's
les HOL'MAI!\E. - Roumanie et Hongrie :
5 les incidents de Budapest (Indépendance
.l ai)
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
Le: CHATIMENT
DE GUILLAUME Il
1'4 DE M. LLOYD GEORGE
Hqiaf -sincèrenJiu 1) 1. CaL 2,1. - ;"'-O/IS Plai'
gnons sincèrement les gens qui, comme M.
Baldwin Rayer, député (I-Islington, n'ont pas
depllt(j r!.'Islmgton, n ont pa:)
quf\ les promesses de M.
Lloyd George C Ul}iment du kaiser, etc.
Ion ;t que ries msl/'uments clee/oraux que
"ii'n née. "»»«, des que f élection, est ter-
4^ M. (leoj" 6 M. George .est la sui-
ciu Cr'Uf; pPfomiis de punir le kai-
t'lit, ia,lr{iit fait V '^Î'J été dangereuse, car
& S1 (lu kaiSlG'r le mar-
tyf 'i6 1ut°s de V-v}nnoina8'no- M. Lloyd Geor-
rrlien. le sail-n donc 1);1 il le sait
que iv x* que tout autre. mai,s H savait aussi
• mais, il savait aussi
(tUf ,f1 Menace no l)OUvait jamais être mise
• nn conséquent. personne ne
maif lie; PrestrgG de cette
À°" ■ r,|ii se nr^V.feiKla,|t - capable de « faire
qu aUgmenté.
N•tae it C'u'ail|gtn©nté de :ses héros n, n'en
M'L'VCl/BSTEn GUARDIAN, 6. 11.
i
ROUMANIE ET HONGRIE
LES INCIDENTS DE BUDAPEST. — Une
dépêche de Budapest au Temps annonce que
les agresseurs1 ŒU chef de la commission
militaire roumaine en Hongrie, ont enfin
été arrêtés. On connaît, sans doute, les
faits : sur l'initiative des Alliés, le gouver-
nement roumain a envoyé, il y a quelques
mois, une commission militaire, sous la
direction dm colonel Dumitresco chargée
du règlement de certains détails techniques
touchant la, ligne de frontière. Le délégué
roumain dont l'attitude digne et ferme se
trouva indisposer Les Hongrois, fut obligé
die quitter Budapest ayant été l'objet de
perquisitions, à la suite d'une affaire mon-
tée par la police; de Horty.
Xouis1 ne savons pas les conclusions que
le gouvernement en a. tirées mais pour ne
pas suspendre le but de la mission, il envoya
un nouveau délégué à Budapest, le lieute-
nant-colon él'Panesco. Quelques jours après
son arrivée, ce dernier fut, également l'objet
d'une agression avec voies de fait.
C'est à la suite de ce dernier fait que nous
parvient de l'étranger la nouvelle de l'arres-
tation des agresseurs.
Il est. d'abord étrange que ce soit du
dehors que nous; vienne et l'annonce diu fait
et celle des suites, alors, que ,e'est du gou-
vernement que l'opinion publique roumaine
l'aurait attendu. Mais en faisant abstraction
de ce manquement, on voudrait savoir quel
est le sentiment du gouvernement sur les
conséquences que comporte l'affaire, et au
point de vue du fait en lui-même, et au
point de vue des enseignements qu'il con-
vient d'en tirer d'un façon plus générale.
Est-ce un simple incident dont l'impor-
tance se limite à une petite satisfaction
personnelle à nous accorder, ou bien est-ce
l'indice d'un état d'esprit symptomatique
qui devrait intéresser sinon inquiéter aussi
d' autres que nous.
Examinons pour cela la situation dans
son ensemble.
Aujourd'hui la Hongrie vient d'obtenir
une nouvelle prolongation du délai dans le-
quel elle devait ratifier la paix. On ne voit
déjà pas la nécessité de cet ajournement,
puisque les négociations, étaient terminées
depuis longtemps, sans compter que c'est
un second ajournement dans les mêmes
conditions inexplicables. Quelle conclusion
en tirer, si ce n'est celle de la
«, bonne disposition » des Alliés à son égard,
ce qui la renforce dans les espérances
qu'elle n'a. pas abandonnées. Une dépêche de
Budapest au Temps ne cachait d'ailleurs
pas sa « réjouissance » à cette occasion.
Voilà le mot, de l'énigme. Comptant sur
ces « bonnes dispositions », dont ri connaît
le prix, le gouvernement hongrois a pris
toute l'attitudee de quelqu'un qui se croit
soutenu. Comment expliquerait-on autre-
ment. qu'il se permette une série d'actions
preuves évidentes de ses intentions ? Il suf-
nt. de rappeler les complots organisés, contre
ses voisins et dont },elsi documents publiés à
Vienne et à Prague, ne laissent aucun
doute sur leurs tentatives. ; les crimes dont
ont été victimes de nombreux Roumains,
jusqu'aux agressions publiques contre des
représentants du gouvernement roumain.
Et ce qui confirme cet esprit de suite dans
l'action ce sont les propres paroles que
Horthy vient de lancer tout dernièrement
Szckes Fehervar : « L'épée hon groise • l'éta-
blira l'intégrité de la Hongrie ! Il
En regard de cette attitude, quelle a été
la notre ? Nous avons, répondant ainsi aux
désirs exprimés par les Alliés, repris des
relations avec la Hongrie, malgré que le
traité de Trianon ne fût pas encore ratifié.
Nous savons, même que des pourparlers
s.;-mt en cours pour des arrangements éco
nomiques de transports etc. Et c'est dans ce
même désir de bon voisinage que le gou-
vernement a envoyé ses délégués à Bu-
dapest dans la question de la frontière. On
sait même que notre ministre â Pest était
nommé, et il n'attendait pour rejoindre son
poste que 1-eis, coiidifioiis officielles fussent
remplies.
Voilà quelles sont nos deux situations
respectives. Dans ces conditions, nous
/'fiiOllS en droit de nOUISI attendre, que, à la
répétition des Incidents que nous signa-
lons, nos Alliés aient montré cette solida-
rité qui eût été nécessaire, ne fut-ce que
comme désaveu moral de l'attitude prise
par la Hongrie.
Pour le gouvernement, il doit, de sa
bouichie. à l'opinion publique des explica-
tions sur les incidents et des précisions sur
les suites.
Nous pensons qu'il n'enverra pas un troi-
sième délégué à Pest, après l'accueil fait
aux deux autres. Que l'on nous comprenne
bien, nous voulons dire, par là que le gou-
vernement doit s'interdire toute relation
avec le gouvernement de Pest, avant
d avoir reçu la satisfaction à laquelle nous
avons droit avec les garanties qu'elle com-
porte.
INDEPENDANCE ROUMAINE, 3. 11.
AFFAIRES INTÉRIEURES
ÉTATS-UNIS
L'ELECTION DE M. HARDING. -
Presse allemande. — Quelle peut être la
répercussion de l'élection américaine sur
la situation de l'Allemagne et sur sa poli-
tique ?
Il faut se garder de placer quelqu'espoir
dans la désignation de Harding. La. solu-
tion de nos plus importants problèmes s'ac-
complira de la façon la plus néfaste devant
DES
lf>MREs ÉTRANGERES
ET DE LA GUER RE
E La guerre
L 1595
Lundi 8 novembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont <1m
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
$SOMMAIRE
^"Ess' p- M.U:!I.[\:\OE - L'élection de M. Har-
ding (hoelnischc Volkszeiturig, Kreuz
7v Deutsche Zritung, Leipziger
encste Nachrichten, Hannoverscher
Kuri^ Uote Fahne).
1 h V.RssfAMK!!i('\i\k. — L'accord de naviga-
tion germano-mnéricain (Boston He-
raid). - Les îll'(,^lu^e,irs/ américains et
p 1 a k aib,s,e des prix (Washington Post).
K S S F' N< r USK" - Le châtiment de Gml-
JnllInc 11 : 1 opinion de M. Lloyd George
(^n*( llester GIlŒ/'dian).i — Le discours
de 1 Asquith à Cardiff sur la situa-
dOn il'l.a.ndaise ('rimes Morninq Post,
l%- Chronicle)-
I-FAI-IENNE « La vente des marchan-
dises nÇaises à Hume (Avanti).
P's
les HOL'MAI!\E. - Roumanie et Hongrie :
5 les incidents de Budapest (Indépendance
.l ai)
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
Le: CHATIMENT
DE GUILLAUME Il
1'4 DE M. LLOYD GEORGE
Hqiaf -sincèrenJiu 1) 1. CaL 2,1. - ;"'-O/IS Plai'
gnons sincèrement les gens qui, comme M.
Baldwin Rayer, député (I-Islington, n'ont pas
depllt(j r!.'Islmgton, n ont pa:)
quf\ les promesses de M.
Lloyd George C Ul}iment du kaiser, etc.
Ion ;t que ries msl/'uments clee/oraux que
4^ M. (leoj" 6 M. George .est la sui-
ciu Cr'Uf; pPfomiis de punir le kai-
t'lit, ia,lr{iit fait V '^Î'J été dangereuse, car
& S1 (lu kaiSlG'r le mar-
tyf 'i6 1ut°s de V-v}nnoina8'no- M. Lloyd Geor-
rrlien. le sail-n donc 1);1 il le sait
que iv x* que tout autre. mai,s H savait aussi
• mais, il savait aussi
(tUf ,f1 Menace no l)OUvait jamais être mise
• nn conséquent. personne ne
maif lie; PrestrgG de cette
À°" ■ r,|ii se nr^V.feiKla,|t - capable de « faire
qu aUgmenté.
N•tae it C'u'ail|gtn©nté de :ses héros n, n'en
M'L'VCl/BSTEn GUARDIAN, 6. 11.
i
ROUMANIE ET HONGRIE
LES INCIDENTS DE BUDAPEST. — Une
dépêche de Budapest au Temps annonce que
les agresseurs1 ŒU chef de la commission
militaire roumaine en Hongrie, ont enfin
été arrêtés. On connaît, sans doute, les
faits : sur l'initiative des Alliés, le gouver-
nement roumain a envoyé, il y a quelques
mois, une commission militaire, sous la
direction dm colonel Dumitresco chargée
du règlement de certains détails techniques
touchant la, ligne de frontière. Le délégué
roumain dont l'attitude digne et ferme se
trouva indisposer Les Hongrois, fut obligé
die quitter Budapest ayant été l'objet de
perquisitions, à la suite d'une affaire mon-
tée par la police; de Horty.
Xouis1 ne savons pas les conclusions que
le gouvernement en a. tirées mais pour ne
pas suspendre le but de la mission, il envoya
un nouveau délégué à Budapest, le lieute-
nant-colon él'Panesco. Quelques jours après
son arrivée, ce dernier fut, également l'objet
d'une agression avec voies de fait.
C'est à la suite de ce dernier fait que nous
parvient de l'étranger la nouvelle de l'arres-
tation des agresseurs.
Il est. d'abord étrange que ce soit du
dehors que nous; vienne et l'annonce diu fait
et celle des suites, alors, que ,e'est du gou-
vernement que l'opinion publique roumaine
l'aurait attendu. Mais en faisant abstraction
de ce manquement, on voudrait savoir quel
est le sentiment du gouvernement sur les
conséquences que comporte l'affaire, et au
point de vue du fait en lui-même, et au
point de vue des enseignements qu'il con-
vient d'en tirer d'un façon plus générale.
Est-ce un simple incident dont l'impor-
tance se limite à une petite satisfaction
personnelle à nous accorder, ou bien est-ce
l'indice d'un état d'esprit symptomatique
qui devrait intéresser sinon inquiéter aussi
d' autres que nous.
Examinons pour cela la situation dans
son ensemble.
Aujourd'hui la Hongrie vient d'obtenir
une nouvelle prolongation du délai dans le-
quel elle devait ratifier la paix. On ne voit
déjà pas la nécessité de cet ajournement,
puisque les négociations, étaient terminées
depuis longtemps, sans compter que c'est
un second ajournement dans les mêmes
conditions inexplicables. Quelle conclusion
en tirer, si ce n'est celle de la
«, bonne disposition » des Alliés à son égard,
ce qui la renforce dans les espérances
qu'elle n'a. pas abandonnées. Une dépêche de
Budapest au Temps ne cachait d'ailleurs
pas sa « réjouissance » à cette occasion.
Voilà le mot, de l'énigme. Comptant sur
ces « bonnes dispositions », dont ri connaît
le prix, le gouvernement hongrois a pris
toute l'attitudee de quelqu'un qui se croit
soutenu. Comment expliquerait-on autre-
ment. qu'il se permette une série d'actions
preuves évidentes de ses intentions ? Il suf-
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Vienne et à Prague, ne laissent aucun
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jusqu'aux agressions publiques contre des
représentants du gouvernement roumain.
Et ce qui confirme cet esprit de suite dans
l'action ce sont les propres paroles que
Horthy vient de lancer tout dernièrement
Szckes Fehervar : « L'épée hon groise • l'éta-
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En regard de cette attitude, quelle a été
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traité de Trianon ne fût pas encore ratifié.
Nous savons, même que des pourparlers
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même désir de bon voisinage que le gou-
vernement a envoyé ses délégués à Bu-
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Voilà quelles sont nos deux situations
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par la Hongrie.
Pour le gouvernement, il doit, de sa
bouichie. à l'opinion publique des explica-
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les suites.
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avec le gouvernement de Pest, avant
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INDEPENDANCE ROUMAINE, 3. 11.
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