Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-10-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 octobre 1920 28 octobre 1920
Description : 1920/10/28 (T16,N1587). 1920/10/28 (T16,N1587).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62153758
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
M,N'STERES
DEs
ÏPai ftES ÉTRANGÈRES
Er DE LA GUERRE
1 N° 1587
Jeudi 28 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont du
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLFMAWR- — ^a. Conférence de
G&nàVe {Koelnische Volhszeitung). —
1-X Bavière et la France (Bayerischer
en rJ/- - L'agitation réactionnaire
en Prusse orientale (Whilelm Weide-
mann dans Vorwarts)
P~ t UERICAINE- - - Un envoi d'or aux
HtatcTTni-s (New York Times). -
LeSun and Neu) Vork Jlcrald et l'Eve-
nlllg Su, n (1V orld).
^Ssf .I.GLATs^- - La Petite Entente
(Vor/cfe °5^)- La Petite Entente
Ueurs • 'inouYeauPr°jet du gouver-
'■> né £ ociations (Daily Chro-
ntcle, Times); LLmergency Bill (DaÛy
/[erald), - La mort du lord-maire de
Cork (Times, Morning Post, Daily Ex-
press, Daily Telegraph).
',., SE ESP.\GNOLE. La propagande aile-
iailde en Haute-Silésie (Alberto Insua
| dans s correspondencia de Espana).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA paix
14 roxr EREN'R, DE GENEVE. - Les
HfS , 'ont P'u considérer
twf Une certninp®. lnciuiétude ^, Les conversa-
ti,Uïl', .lqui ont eu liell entre nos anciens ad-
Il aIres au sujet de Genève.
il ri OUS faut répéter ''f leiniJ-'i à autre que
, de"|? «iisc-orde survetf ? ®ntre les membres
«eMérite serait contraire à notre intérêt
L'Aii Jj^agne taiIP^ian,e sans défense ne
alors àup la -0 v'des deux anciens
^ïïiio fil]i voudraient Se dédommager. à ses
à %Pri5®ns Nous av.ïn« particulièrement intérêt
jusan'à DfSiî la fixation de la somme
P C tlve à
PUiss IVe a payer par l'Allemagne, les deux
i' a restent bien ensem-
rtJ.e.ot ntentp r va très probable-
Ce épreuve à Genève à une très
Preuve.
chiffre cOIIlm.e s Orrime- mixim-a avec
chiffrp®s fantasti-rn• dont on a nourri pen-
^ois 1 Viiv lm°n publique française.
0tl Dpi i se Iren-dre compte de la tâche formi-
^ble ^nt il faut venir à bout, tâche qui est
en wlé la dï^ n même de l'Europe.
lQ Pres t d ordre pour Genève a été donné à
Pr^e francaîio ti
Ie Qu»d'Orsa^ v Jw entend remarquablement
~~r res La France sait ce que
Les commentaires fran-
m résignation-
%]. f^nd semblf se réserver, à moins
qu'il ne projette un « clou ».
L'attitude de l'Allemagne vis-à-vis de Ge-
nève a été Clairement indiquée. Seules la
clarté et la franchise la plus absolue peuvent
conduire à un résultat.
Non seulement en Allemagne, mais dans
toute l'Europe on met de grands espoirs en
l'Angleterre. Or c'est la question de la réa-
lité pratique qui seule ici se pose. Quiconque
cherche autre chose derrière la mentalité
britannique se trompe. La Grande-Bretagne
est si étroitement liée au continent par le
traité de Versailles, dont elle est devenue
garante, qu'elle ne peut se détacher de mi.
Le « splendide isolement ». tant que l'in
fluence de Versailles se fera sentir, est im-
possible. C'est pourquoi nous considérons
comme de simples phrases les menaces que
les journaux anglais adressent au continent
et selon lesquelles, au cas où le continent ne
ferait pas preuve de raison, la Grande-Bre-
tagne Ise détacherait de lui. La Grande-
Bretagne non seulement devra résoudre le
problème de Genève, mais les problèmes
plus difficiles encore que peu à peu posera
Versailles.
De plus, nous considérons comme peu heu-
reuses les allusions faites çà et là, dans la
presse, à un rapprochement de l'Allemagne
avec la Grande-Bretagne. C'est la Kreuz-Zei-
tung, qui, la première a abordé cette ques-
tion et dernièrement le Tag rouge s'en est
lui-même occupé. A notre avis il n'y a nulle-
ment lieu de se livrer à de tels épanche-
ments qui doivent produire en Grande-Bre-
tagne une impression fort bizarre. Tout
cela en réalité ne fait que porter de l'eau au
moulin de certains politiciens français qui se
tiennent'dans les coulisses.
La seule chose que nous puissions souhai-
ter et demander au sujet de Genève est que
l'on se rende compte de la détresse où nous
sommes, et aue l'on comprenne la tâche que
nous avons à remplir en Europe, tâche qui
doit se tourner au profit des puissances oc-
cidentales. -
KOELNISCHE VOLKSZEITUNG.
23.10 matin
LA BAVIERE ET LA FRANCE. - rLc
Bulletin N° 1585, page 1. vol. 2, avait déjà
donné d'après la Frankfurter Zeitung un
résumé de, l'article suivant, parvenu depuis
à Paris, et qu'il paraît utile de reproduire
plus complètement en raison de son impor-
tance]. - Les quelques déclarations de
journaux français sur les afiaires franco-
bavaroises reproduites par nous ces temps
derniers ont donné à la presse bavaroise
et allemande l'occasion de discuter abon-
damment le problème. Dans leur majorité,
les exposés présentés ne sont pas moins
obliques, faux et menteurs que les exposés
français qui ont provoqué la discussion.
Pour considérer la question de façon ob-
jective et impartiale il faut partir de deux
faits incontestables. Le premier fait est que
la politique officielle poursuivie par la
France victorieuse depuis les jours de Com-
piègne, vise à ruiner l'Allemagne non seu-
lement sur le terrain économique mais
aussi sur le terrain politique et à édifier
sur les ruines de l'Empire allemand une
hégémonie continentale de la France. De
même que la politique extérieure de la IIIe
République depuis le Traité de Francfort
(à peu d'exceptions près : par exemple Cail-
laux et Hanotaux) étaient d'accord sur le
ton fondamental : Revanche, et subor-
donnaient à cette politique de sentiment
toutes les considérations économiques et
politiques ; de même la politique de la
France victorieuse semble ne pas connaître
d'autre but que d'enlever par l'anéantisse-
ment politique du Reich, à la Prusse-Alle-
magne toute possibilité de penser elle-
même à une revanche ! Or, cet aneantisse-
ment politique n'est possible que sous une
double forme ; d'une part par l'annexion
immédiate de territoires d'importances vi-
tales, soit à l'Ouest, soit à l'Est, d'autre part
par l'établissement en états automones de
territoires allemands qui, séparés du Reich,
deviendraient par là même des Etats vas-
saux de la France.
Le mouvement fédéraliste allemand se
proposant comme but de donner une plus
grande autonomie aux pays constitutifs du
Reich et de mettre fin à l'hégémonie prus-
sienne, on croit en Franoe que les tendan-
ces françaises vont de pair avec les ten-
dances fédéralistes allemandes. On espère
pouvoir exploiter le mouvement fédéraliste
en Allemagne en général, et particulière-
ment en Bavière pour les fins politiques
françaises. C'est un état d'esprit assez géné-
ralement répandu dans les milieux diri-
geants français. ,,,, dU. -'- d_- -
- C'est une preuve de l'ignorande qu'on a
en France du véritable état d'esprit alle-
mand.
C'est une folie de croire que le fédéralisme
allemand se propose le morcellement du
Reich, alors qu'au contraire il ne vise qu'à
une consolidation véritable de son unité et
à son extension à tous nos frères de race.
Le fédéralisme allemand estime qu'il n'est
possible de fonder une véritable unité alle-
mande que par un mélange approprié de
liberté et de dépendance entre les différents
Etats allemands. La principale raison pour
laquelle il répudie l'unitarisme et le centra-
lisme est HU' il y voit précisément un des
plus grands dangers qui menace l'unité
allemande.
L'hégémonie prussienne n'est plus au-
jourd'hui, après la guerre et la révolution,
l'armature de l'unité allemande ; elle est un
danger pour cette unité.
Les ennemis du particularisme allemand
lui font un double reproche. Le premier a
trait à la prétendue solidarité antibolche-
viste qui existerait entre la France et l'Al-
lemagne et qui se manifesterait par le fait
que la France tolère les gardes d'habitants
bavaroises. Cette solidarité est indéniable :
une Allemagne bolcheviste serait pour la
France elle aussi le commencement de la
fin. Et, d'autre part, il est manifeste que
cette solidarité peut profiter non seulement
à la Bavière mais encore et surtout au
Reich, à moins qu'on admette que toute
idée d'accord entre la France et l'Allema-
gne implique a priori une idée d'hostilité
au Reich.
On fait à certains représentants du fédé-
ralisme bavarois un reproche du fait qu'ils
DEs
ÏPai ftES ÉTRANGÈRES
Er DE LA GUERRE
1 N° 1587
Jeudi 28 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont du
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLFMAWR- — ^a. Conférence de
G&nàVe {Koelnische Volhszeitung). —
1-X Bavière et la France (Bayerischer
en rJ/- - L'agitation réactionnaire
en Prusse orientale (Whilelm Weide-
mann dans Vorwarts)
P~ t UERICAINE- - - Un envoi d'or aux
HtatcTTni-s (New York Times). -
LeSun and Neu) Vork Jlcrald et l'Eve-
nlllg Su, n (1V orld).
^Ssf .I.GLATs^- - La Petite Entente
(Vor/cfe °5^)- La Petite Entente
Ueurs • 'inouYeauPr°jet du gouver-
'■> né £ ociations (Daily Chro-
ntcle, Times); LLmergency Bill (DaÛy
/[erald), - La mort du lord-maire de
Cork (Times, Morning Post, Daily Ex-
press, Daily Telegraph).
',., SE ESP.\GNOLE. La propagande aile-
iailde en Haute-Silésie (Alberto Insua
| dans s correspondencia de Espana).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA paix
14 roxr EREN'R, DE GENEVE. - Les
HfS , 'ont P'u considérer
twf Une certninp®. lnciuiétude ^, Les conversa-
ti,Uïl', .lqui ont eu liell entre nos anciens ad-
Il aIres au sujet de Genève.
il ri OUS faut répéter ''f leiniJ-'i à autre que
, de"|? «iisc-orde survetf ? ®ntre les membres
«eMérite serait contraire à notre intérêt
L'Aii Jj^agne taiIP^ian,e sans défense ne
alors àup la -0 v'des deux anciens
^ïïiio fil]i voudraient Se dédommager. à ses
à %Pri5®ns Nous av.ïn« particulièrement intérêt
jusan'à DfSiî la fixation de la somme
P C tlve à
PUiss IVe a payer par l'Allemagne, les deux
i' a restent bien ensem-
rtJ.e.ot ntentp r va très probable-
Ce épreuve à Genève à une très
Preuve.
chiffrp®s fantasti-rn• dont on a nourri pen-
^ois 1 Viiv lm°n publique française.
0tl Dpi i se Iren-dre compte de la tâche formi-
^ble ^nt il faut venir à bout, tâche qui est
en wlé la dï^ n même de l'Europe.
lQ Pres t d ordre pour Genève a été donné à
Pr^e francaîio ti
Ie Qu»d'Orsa^ v Jw entend remarquablement
~~r res La France sait ce que
Les commentaires fran-
m résignation-
%]. f^nd semblf se réserver, à moins
qu'il ne projette un « clou ».
L'attitude de l'Allemagne vis-à-vis de Ge-
nève a été Clairement indiquée. Seules la
clarté et la franchise la plus absolue peuvent
conduire à un résultat.
Non seulement en Allemagne, mais dans
toute l'Europe on met de grands espoirs en
l'Angleterre. Or c'est la question de la réa-
lité pratique qui seule ici se pose. Quiconque
cherche autre chose derrière la mentalité
britannique se trompe. La Grande-Bretagne
est si étroitement liée au continent par le
traité de Versailles, dont elle est devenue
garante, qu'elle ne peut se détacher de mi.
Le « splendide isolement ». tant que l'in
fluence de Versailles se fera sentir, est im-
possible. C'est pourquoi nous considérons
comme de simples phrases les menaces que
les journaux anglais adressent au continent
et selon lesquelles, au cas où le continent ne
ferait pas preuve de raison, la Grande-Bre-
tagne Ise détacherait de lui. La Grande-
Bretagne non seulement devra résoudre le
problème de Genève, mais les problèmes
plus difficiles encore que peu à peu posera
Versailles.
De plus, nous considérons comme peu heu-
reuses les allusions faites çà et là, dans la
presse, à un rapprochement de l'Allemagne
avec la Grande-Bretagne. C'est la Kreuz-Zei-
tung, qui, la première a abordé cette ques-
tion et dernièrement le Tag rouge s'en est
lui-même occupé. A notre avis il n'y a nulle-
ment lieu de se livrer à de tels épanche-
ments qui doivent produire en Grande-Bre-
tagne une impression fort bizarre. Tout
cela en réalité ne fait que porter de l'eau au
moulin de certains politiciens français qui se
tiennent'dans les coulisses.
La seule chose que nous puissions souhai-
ter et demander au sujet de Genève est que
l'on se rende compte de la détresse où nous
sommes, et aue l'on comprenne la tâche que
nous avons à remplir en Europe, tâche qui
doit se tourner au profit des puissances oc-
cidentales. -
KOELNISCHE VOLKSZEITUNG.
23.10 matin
LA BAVIERE ET LA FRANCE. - rLc
Bulletin N° 1585, page 1. vol. 2, avait déjà
donné d'après la Frankfurter Zeitung un
résumé de, l'article suivant, parvenu depuis
à Paris, et qu'il paraît utile de reproduire
plus complètement en raison de son impor-
tance]. - Les quelques déclarations de
journaux français sur les afiaires franco-
bavaroises reproduites par nous ces temps
derniers ont donné à la presse bavaroise
et allemande l'occasion de discuter abon-
damment le problème. Dans leur majorité,
les exposés présentés ne sont pas moins
obliques, faux et menteurs que les exposés
français qui ont provoqué la discussion.
Pour considérer la question de façon ob-
jective et impartiale il faut partir de deux
faits incontestables. Le premier fait est que
la politique officielle poursuivie par la
France victorieuse depuis les jours de Com-
piègne, vise à ruiner l'Allemagne non seu-
lement sur le terrain économique mais
aussi sur le terrain politique et à édifier
sur les ruines de l'Empire allemand une
hégémonie continentale de la France. De
même que la politique extérieure de la IIIe
République depuis le Traité de Francfort
(à peu d'exceptions près : par exemple Cail-
laux et Hanotaux) étaient d'accord sur le
ton fondamental : Revanche, et subor-
donnaient à cette politique de sentiment
toutes les considérations économiques et
politiques ; de même la politique de la
France victorieuse semble ne pas connaître
d'autre but que d'enlever par l'anéantisse-
ment politique du Reich, à la Prusse-Alle-
magne toute possibilité de penser elle-
même à une revanche ! Or, cet aneantisse-
ment politique n'est possible que sous une
double forme ; d'une part par l'annexion
immédiate de territoires d'importances vi-
tales, soit à l'Ouest, soit à l'Est, d'autre part
par l'établissement en états automones de
territoires allemands qui, séparés du Reich,
deviendraient par là même des Etats vas-
saux de la France.
Le mouvement fédéraliste allemand se
proposant comme but de donner une plus
grande autonomie aux pays constitutifs du
Reich et de mettre fin à l'hégémonie prus-
sienne, on croit en Franoe que les tendan-
ces françaises vont de pair avec les ten-
dances fédéralistes allemandes. On espère
pouvoir exploiter le mouvement fédéraliste
en Allemagne en général, et particulière-
ment en Bavière pour les fins politiques
françaises. C'est un état d'esprit assez géné-
ralement répandu dans les milieux diri-
geants français. ,,,, dU. -'- d_- -
- C'est une preuve de l'ignorande qu'on a
en France du véritable état d'esprit alle-
mand.
C'est une folie de croire que le fédéralisme
allemand se propose le morcellement du
Reich, alors qu'au contraire il ne vise qu'à
une consolidation véritable de son unité et
à son extension à tous nos frères de race.
Le fédéralisme allemand estime qu'il n'est
possible de fonder une véritable unité alle-
mande que par un mélange approprié de
liberté et de dépendance entre les différents
Etats allemands. La principale raison pour
laquelle il répudie l'unitarisme et le centra-
lisme est HU' il y voit précisément un des
plus grands dangers qui menace l'unité
allemande.
L'hégémonie prussienne n'est plus au-
jourd'hui, après la guerre et la révolution,
l'armature de l'unité allemande ; elle est un
danger pour cette unité.
Les ennemis du particularisme allemand
lui font un double reproche. Le premier a
trait à la prétendue solidarité antibolche-
viste qui existerait entre la France et l'Al-
lemagne et qui se manifesterait par le fait
que la France tolère les gardes d'habitants
bavaroises. Cette solidarité est indéniable :
une Allemagne bolcheviste serait pour la
France elle aussi le commencement de la
fin. Et, d'autre part, il est manifeste que
cette solidarité peut profiter non seulement
à la Bavière mais encore et surtout au
Reich, à moins qu'on admette que toute
idée d'accord entre la France et l'Allema-
gne implique a priori une idée d'hostilité
au Reich.
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