Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-10-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 octobre 1920 20 octobre 1920
Description : 1920/10/20 (T16,N1580). 1920/10/20 (T16,N1580).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62153684
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES
DES
t'PAIRES ÉTRANGERES
De LA guerre
? 1580
Mercredi 20 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont d-
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
I SOMMAIRE
S SE ALLEMANDE. - Les préliminaires de
Riga. (Max Theodor Behrmann dans
Vossische Zeitung ; Hamburger Na-
chrichten ; Deutsche Zeitung). — Le
Congrès de Halle : le rattachement à la
Troisième Internationale et la scission
des Indépendants (Frankfurter Zeitung,
Berlincr Tageblatt).
PRESSE ANGLAISE. — La grève des mineurs :
te Parlement et la Nation (Times) ;
la manifestation de Downing Street
(Daily Telegraph, Manchester Guar-
dian, Morning Post, Daily Express,
Daily News).
PRESSE SUÉDOISE. — Les difficultés des So-
viets (Social-Demokraten).
PRESSE YOUGOSLAVE. — Le retour aux pour-
parlers directs avec l'Italie (Epoha).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
ITALIE ET YOUGOSLAVIE
l\:r,LE RETOUR AUX POURPARLERS DI-
Conféré L'HEURE DÉCISIVE ». — A la
conférence de Lucerne, le pratique M. Lloyd
ti rge, a SaiS1 combien il serait peu poli-
tique d'exercer sur nous de nouvelles pres-
sions di î sur ~~s de nouvelLes pres-
sions du genre de celles du mois de janvier
et h a George-Clemenceau-Nitti],
son nLS à M- Giolitti de faire tout
son bX pour s'entendre directement
qUe Belg,rade. Ce dernier, pour ne pas ris-
quer H,p, se trouver devant un problème
lad éternellement en suspens, de-
Vant une sItuatIon intérieure plutôt délicate,
eornmeriAt à songer aux pourparlers directs
et laissa i presse prévoir leur éventualité.
Puis
Où a VInt la Conférence d'Aix-les-Baims
et apparut toute la différence de principe,
Parf cl-'a même de fait, entre la politique
^rangèrp Lie la Franoe et celle de fltalie.
Cette im
qUe e unportante différence qui sépare pres-
SUe cdoïïmVPi iiu te™:ent les deux pays, et cela
Pas des questIons tout à fait capitales, n'a
P81* notre presse, par défé-
Perice Donii la France et l'Italie. Ayant jugé
qu'il n'y « la lieu de procéder à une nou-
velle 8, P as lieu de procéder à une allié
et sur un pays libre, allié
qui fut pendant la guerre un
ouris actifs, M. Millerand, de
rtlê rne qUe M. Lloyd George, conseilla à
m. Ohtti de chercher la seule bonne so-
lution dans les pourparlers directs avec la
partie intéressée. M. Giolitti, qui possède,
sans aucun doute, d'excellentes qualités
d'homme d'Etat, soutenu par les bons con-
seils de l'Angleterre et de la France, et aussi
poussé par des nécessités pressantes et
par les intérêts réels de l'Italie, trouva en-
fin la bonne voie, celle qui est la plus utile
à son pays et au nôtre. A son retour d'Aix-
les-Bains, il a déclaré qu'il était parfaite-
ment indifférent que ce soit l'Italie ou bien
nous qui commencions les démarches pour
la reprise des pourparlers directs. -
Le gouvernement yougoslave a désigné
pour ces pourparlers M. Trumbitch, minis-
tre des Affaires Etrangères et M. Nintchitch,
ministrei du Commerce.
La déclaration de M. Giolitti et les pour-
parlers auxquels vont participer nos délé-
gués, constituent un succès moral pour la
politique logique et conséquente suivie par
nos hommes d'Etat dans la question adria-
tique. Les Etats qui nous ont, dans l'inten-
tion de hâter la solution de ce problème,
aussi difficile qu'important, envoyé un ulti-
matum au mois de janvier, ces mêmes
Etats adoptent à présent notre point de vue:
chercher l'entente sur une base de justice
dans des discussions directes, amicales,
avec, pour l'avenir, le désir d'une politique
de bon voisinage..
A cette heure grave et décisive nous som-
mes obligés de dire à l'Italie qu'elle doit,
dans l'intérêt de la tranquillité et de notre
tranquillité, pour nos bons rapports, à ve-
nir renoncer à demander, pour les 500.000
victimes dont parle le comte Sforza dans
son discours au Parlement, — 500.000 escla-
ves de notre nationalité. Que ferait-elle de
cette population qui aime l'Italie artistique,
scientifique, civilisée, mais qui serait un
ennemi implacable pour une Italie-gen-
darme ?
Si en ce moment, où l'on conclut des
traités économiques, l'Italie se laissait en-
traîner par les stratèges irresponsables et
ultra patriotes du Giornale d'Italia, et per-
dait l'occasion de conquérir une place sur
nos marchés où elle trouverait beaucoup de
clientèle, l'Italie pourrait se dire qu'elle a
perdu énormément, et cela pour une lon-
gue période.
Nous sommes heureux de pouvoir remar-
quer quelques points clairs à l'horizon et de
voir nos désirs sincères de paix et d'entente
trouver un écho dans les déclarations offi-
cielles des ministres italiens.
Aujourd'hui, à la veille de la rencontre
de nos représentants officiels, nous disons
bien haut à l'Italie que nous ne désirons
qu'une chose : entrer, immédiatement
après la solution juste du problème qui
nous intéresse, dans des relations très inti-
mes avec elle, relations d'amitié, rapports
intellectuels et économiques : l'homme
d'Etat qui voudra léser les intérêts du pays
voisin et qui rendra impossible la réalisa-
tion des beaux projets que nous envisa-
geons, sera coupable pour les conséquences
de son action, devant son peuple et devant
le forum de la communauté sociale tout
entière.
EPOHA de Belgrade], 10.10.
LES ÉVÉNEMENTS DE RUSSIE
LES DIFFICULTES DES SOVIETS. -
Les symptômes ne peuvent tromper. La si-
tuation s'est considérablement transformée
en Russie et elle prend pour le parti au pou-
voir un caractère critique.
On n'a pas besoin d'exagérer l'importance
des dépêches alarmantes qui pullulent dans
les colonnes des journaux, pour en venir
à cette conception. Ces nouvelles provien-
nent la plupart du temps de sources singu-
lièrement troubles, sont presque toujours
soustraites à toute vérification effective et
sont en règle générale moins sensationnel-
les quant au fond que quant à la rédaction.
Des troubles, des mutineries, des révoltes
dans quelque corps de troupes ou dans
quelque atelier, cela n'a rien qui puisse faire
sensation. Ce sont choses à l'ordre du jour,
et la Russie a appris à ne pas leur accorder
une importance exagérée. Grâce aux éner-
giques répressions policières des Soviets,
l'ordre est bientôt rétabli et en général de
tels troubles n'ont guère de chance de se
développer et de devenir un mouvement
comprenant des masses entières.
Il est donc plus prudent et plus juste de
ne pas accorder trop d'importance à des
informations sensationnelles. D'ailleurs,
dans la situation présente, nous n'avons pas
à rechercher les faits qu'elles pourraient
fournir à la rigueur. Nous sommes en effet
en présence de réalités d'une plus haute va-
leur et qui parlent un langage suffisam-
ment clair : les paix de Dorpat et de Riga.
L'attitude si singulièrement conciliante de
Moscou, ses concessions extraordinaires, ce
n'est pas l'amour de la paix de Lénine qui
les explique, cet amour de la paix qu'il a
proclamé avec autant d'emphase, qu'il l'a
désavoué ensuite sèchement en déclarant
que <( les Bolcheviks ne sont pas des pa-
cifistes ». Ce qui explique cette attitude des
Soviets, c'est tout simplement la même rai-
son que celle qui expliquait autrefois l'ac-
ceptation de la paix de Brest-Litovsk. A
Dorpat et à Riga, et surtout à Riga, c'est
une « trêve » que l'on conclut. Les traités
qui vont être signés seront, avec toutes
leurs délimitations de frontière et autres
clauses, aussi éphémères que les documents
autrefois signés par les diplomates alle-
mands et les commissaires russes de 1918.
On n'en peut plus. On a besoin d'une trêve.
Voilà tout.
Il y a cependant beaucoup de chances que
les espoirs de trêve ne se réalisent pas plus
cette fois-ci qu'après Brest-Litovsk.
Certes, ce qui se dissimule derrière les
communiqués de la Russie du Sud, c'est
surtout une guerilla désordonnée plutôt
que des opérations militaires régulièrement
poursuivies et dirigées. Il n'en est pas moins
certain que Wrangel est maintenant deve-
nu un facteur dont l'importance est un dan-
ger pour le gouvernement de Moscou. Tout
indique en outre que la France le soutient
et l'appuie avec beaucoup d'énergie, proba-
blement dans l'espoir qu'il pourra obtenir
à toute force une décision à temps, décision
qui permette de placer les Etats-Unis de-
DES
t'PAIRES ÉTRANGERES
De LA guerre
? 1580
Mercredi 20 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont d-
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
I SOMMAIRE
S SE ALLEMANDE. - Les préliminaires de
Riga. (Max Theodor Behrmann dans
Vossische Zeitung ; Hamburger Na-
chrichten ; Deutsche Zeitung). — Le
Congrès de Halle : le rattachement à la
Troisième Internationale et la scission
des Indépendants (Frankfurter Zeitung,
Berlincr Tageblatt).
PRESSE ANGLAISE. — La grève des mineurs :
te Parlement et la Nation (Times) ;
la manifestation de Downing Street
(Daily Telegraph, Manchester Guar-
dian, Morning Post, Daily Express,
Daily News).
PRESSE SUÉDOISE. — Les difficultés des So-
viets (Social-Demokraten).
PRESSE YOUGOSLAVE. — Le retour aux pour-
parlers directs avec l'Italie (Epoha).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
ITALIE ET YOUGOSLAVIE
l\:r,LE RETOUR AUX POURPARLERS DI-
Conféré L'HEURE DÉCISIVE ». — A la
conférence de Lucerne, le pratique M. Lloyd
ti rge, a SaiS1 combien il serait peu poli-
tique d'exercer sur nous de nouvelles pres-
sions di î sur ~~s de nouvelLes pres-
sions du genre de celles du mois de janvier
et h a George-Clemenceau-Nitti],
son nLS à M- Giolitti de faire tout
son bX pour s'entendre directement
qUe Belg,rade. Ce dernier, pour ne pas ris-
quer H,p, se trouver devant un problème
lad éternellement en suspens, de-
Vant une sItuatIon intérieure plutôt délicate,
eornmeriAt à songer aux pourparlers directs
et laissa i presse prévoir leur éventualité.
Puis
Où a VInt la Conférence d'Aix-les-Baims
et apparut toute la différence de principe,
Parf cl-'a même de fait, entre la politique
^rangèrp Lie la Franoe et celle de fltalie.
Cette im
qUe e unportante différence qui sépare pres-
SUe cdoïïmVPi iiu te™:ent les deux pays, et cela
Pas des questIons tout à fait capitales, n'a
P81* notre presse, par défé-
Perice Donii la France et l'Italie. Ayant jugé
qu'il n'y « la lieu de procéder à une nou-
velle 8, P as lieu de procéder à une allié
et sur un pays libre, allié
qui fut pendant la guerre un
ouris actifs, M. Millerand, de
rtlê rne qUe M. Lloyd George, conseilla à
m. Ohtti de chercher la seule bonne so-
lution dans les pourparlers directs avec la
partie intéressée. M. Giolitti, qui possède,
sans aucun doute, d'excellentes qualités
d'homme d'Etat, soutenu par les bons con-
seils de l'Angleterre et de la France, et aussi
poussé par des nécessités pressantes et
par les intérêts réels de l'Italie, trouva en-
fin la bonne voie, celle qui est la plus utile
à son pays et au nôtre. A son retour d'Aix-
les-Bains, il a déclaré qu'il était parfaite-
ment indifférent que ce soit l'Italie ou bien
nous qui commencions les démarches pour
la reprise des pourparlers directs. -
Le gouvernement yougoslave a désigné
pour ces pourparlers M. Trumbitch, minis-
tre des Affaires Etrangères et M. Nintchitch,
ministrei du Commerce.
La déclaration de M. Giolitti et les pour-
parlers auxquels vont participer nos délé-
gués, constituent un succès moral pour la
politique logique et conséquente suivie par
nos hommes d'Etat dans la question adria-
tique. Les Etats qui nous ont, dans l'inten-
tion de hâter la solution de ce problème,
aussi difficile qu'important, envoyé un ulti-
matum au mois de janvier, ces mêmes
Etats adoptent à présent notre point de vue:
chercher l'entente sur une base de justice
dans des discussions directes, amicales,
avec, pour l'avenir, le désir d'une politique
de bon voisinage..
A cette heure grave et décisive nous som-
mes obligés de dire à l'Italie qu'elle doit,
dans l'intérêt de la tranquillité et de notre
tranquillité, pour nos bons rapports, à ve-
nir renoncer à demander, pour les 500.000
victimes dont parle le comte Sforza dans
son discours au Parlement, — 500.000 escla-
ves de notre nationalité. Que ferait-elle de
cette population qui aime l'Italie artistique,
scientifique, civilisée, mais qui serait un
ennemi implacable pour une Italie-gen-
darme ?
Si en ce moment, où l'on conclut des
traités économiques, l'Italie se laissait en-
traîner par les stratèges irresponsables et
ultra patriotes du Giornale d'Italia, et per-
dait l'occasion de conquérir une place sur
nos marchés où elle trouverait beaucoup de
clientèle, l'Italie pourrait se dire qu'elle a
perdu énormément, et cela pour une lon-
gue période.
Nous sommes heureux de pouvoir remar-
quer quelques points clairs à l'horizon et de
voir nos désirs sincères de paix et d'entente
trouver un écho dans les déclarations offi-
cielles des ministres italiens.
Aujourd'hui, à la veille de la rencontre
de nos représentants officiels, nous disons
bien haut à l'Italie que nous ne désirons
qu'une chose : entrer, immédiatement
après la solution juste du problème qui
nous intéresse, dans des relations très inti-
mes avec elle, relations d'amitié, rapports
intellectuels et économiques : l'homme
d'Etat qui voudra léser les intérêts du pays
voisin et qui rendra impossible la réalisa-
tion des beaux projets que nous envisa-
geons, sera coupable pour les conséquences
de son action, devant son peuple et devant
le forum de la communauté sociale tout
entière.
EPOHA de Belgrade], 10.10.
LES ÉVÉNEMENTS DE RUSSIE
LES DIFFICULTES DES SOVIETS. -
Les symptômes ne peuvent tromper. La si-
tuation s'est considérablement transformée
en Russie et elle prend pour le parti au pou-
voir un caractère critique.
On n'a pas besoin d'exagérer l'importance
des dépêches alarmantes qui pullulent dans
les colonnes des journaux, pour en venir
à cette conception. Ces nouvelles provien-
nent la plupart du temps de sources singu-
lièrement troubles, sont presque toujours
soustraites à toute vérification effective et
sont en règle générale moins sensationnel-
les quant au fond que quant à la rédaction.
Des troubles, des mutineries, des révoltes
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quelque atelier, cela n'a rien qui puisse faire
sensation. Ce sont choses à l'ordre du jour,
et la Russie a appris à ne pas leur accorder
une importance exagérée. Grâce aux éner-
giques répressions policières des Soviets,
l'ordre est bientôt rétabli et en général de
tels troubles n'ont guère de chance de se
développer et de devenir un mouvement
comprenant des masses entières.
Il est donc plus prudent et plus juste de
ne pas accorder trop d'importance à des
informations sensationnelles. D'ailleurs,
dans la situation présente, nous n'avons pas
à rechercher les faits qu'elles pourraient
fournir à la rigueur. Nous sommes en effet
en présence de réalités d'une plus haute va-
leur et qui parlent un langage suffisam-
ment clair : les paix de Dorpat et de Riga.
L'attitude si singulièrement conciliante de
Moscou, ses concessions extraordinaires, ce
n'est pas l'amour de la paix de Lénine qui
les explique, cet amour de la paix qu'il a
proclamé avec autant d'emphase, qu'il l'a
désavoué ensuite sèchement en déclarant
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Soviets, c'est tout simplement la même rai-
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Dorpat et à Riga, et surtout à Riga, c'est
une « trêve » que l'on conclut. Les traités
qui vont être signés seront, avec toutes
leurs délimitations de frontière et autres
clauses, aussi éphémères que les documents
autrefois signés par les diplomates alle-
mands et les commissaires russes de 1918.
On n'en peut plus. On a besoin d'une trêve.
Voilà tout.
Il y a cependant beaucoup de chances que
les espoirs de trêve ne se réalisent pas plus
cette fois-ci qu'après Brest-Litovsk.
Certes, ce qui se dissimule derrière les
communiqués de la Russie du Sud, c'est
surtout une guerilla désordonnée plutôt
que des opérations militaires régulièrement
poursuivies et dirigées. Il n'en est pas moins
certain que Wrangel est maintenant deve-
nu un facteur dont l'importance est un dan-
ger pour le gouvernement de Moscou. Tout
indique en outre que la France le soutient
et l'appuie avec beaucoup d'énergie, proba-
blement dans l'espoir qu'il pourra obtenir
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