Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-10-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 octobre 1920 15 octobre 1920
Description : 1920/10/15 (T16,N1576). 1920/10/15 (T16,N1576).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6215364g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
1 tl DE LA GUERRE
¡; --
1 N° 1576
Vendredi 15 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont d«
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, integraies ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^fiE.SSF AI-T-EMANDE. - La politique continen-
ce de la France : « L'Allemagne est
seule » (Hamburger Nachrichten). - La
Conférence financière de Genève : le
point de vue allemand (O. G. W. dans
Deutsche Allgemeine Zeitung) ; l'atti-
tude des Afiliés (Neúe Badische Landes-
zeitung). — La contre-révolution en
Russie (Hamburger Nachrichten). —
L'œuvre de la Conférence financière de
Bruxelles (Frankfurter Zeitung).
AMÉRICAINE. — La politique navale
amérincaine (Washington Post).
ESSE ANGLAISE. — Le référendum des mi-
neurs britanniques (Times, Daily Chro-
nicle, Daily Telegraph).
SSE AUTRICHIENNE — La politique conti-
nentale de la France : « l'Allemagne et
la France » (M. L. dans Neues Wiener
RESSE HOLLANDAISE. — La prochaine crise
ministerielle en Belgique (Maasboode).
Le 'cl"édit hollandais à l'Allemagne
(Nieuwe Rotterdamsche Courant, Alge-
meen Handelsblad).
PRESSE ITALIENNE. — Le parti nationaliste
italien contre M. Giolitti (ldea Nazio-
naleà). - La crise du parti socialiste ita-
lien : le Congrès de Reggio Emilia
t. POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
POLITIQUE DE LA FRANCE
LA POLITIQUE CONTINENTALE DE
FRANCE; — L'ALLEMAGNE ET LA
FRANCE » [sous ce titre]. - La France, par
politique nationaliste a perdu les sym-
de l'Angleterre, des Etats-Unis et
de l'Italie ; cependant depuis la Confé-
rence de Bruxelles, elle semble vouloir se
rapprocheer de l'Allemagne.
le elles surprenantes répandues
par le Niewe Rotterdamsche Courant et
Belge au sujet d'un revirement de
ion française valent la peine d'être
minées parce qu'elles complètent les
velles concernant des négociations di-
entre la France et l'Allemagne se
ttachant à la conversation entre MM. Si-
mons et Laurent à Berlin et au voyage de
l'amba ssadeur de France à Paris. Mais
âme française est indécise. Avant cons-
de l'injustice inouïe qu'elle commet
Europe centrale vaincue la France
ne peut s'empêcher de craindre les consé-
du relèvement de l'Allemagne,
que s'es dirigeants savent en même
!
temps que le pays et le peuple seront dé-
truits par une catastrophe si l'Allemagne
est condamnée à mourir. L'inquiétude et la
raison hésitent encore, à Paris, entre le
bien et le mal, entre la volonté d'arriver à
une entente et la terreur du voisin revenu
à la santé. Cette crainte se manifeste sous
les formes les plus variées et l'on peut
considérer comme l'un de ses symptômes
le renforcement de l'armée d'occupation,
qui semble s'organiser pour un séjour dé-
finitif.
Les dépenses de VAllemagne pour l'en-
tretien des troupes d'occupation s'élèvent à
27 milliards 600 millions de marks par (/'n,
au lieu de 3 milliards prévus au budget.
Comment assurer les réparations et
quelle somme l'Allemagne devrait-elle ex-
traire de la moelle de ses os si elle était
forcée de dépenser les deux tiers de son
budget, actuel pour le seul entretien des
troupes alliées en territoire allemand ?
En attendant la France travaille infatiga-
blement à renforcer sa position en face de
l'Allemagne : outre les efforts incessants
pour ruiner le Beich en aggravant les ten-
dances séparatistes, la convention militaire
franco-belge tend au même but. C'est un
événement dont l'importance ne saurait
être exagérée, bien qu'en vérité on y ait
prêté peu d'attention.
Cette remarque s'applique aussi à l'An-
gleterre. L'opinion publique anglaise aurait
dû être vivement intriguée, on peut le
croire, en apprenant l'existence de cette
convention militaire qui place Anvers et
les bouches de l'Escaut sous l'influence de
la France, au lieu de l'Angleterre.
L'Angleterre, qui a fait la guerre en 1914
au nom de la neutralité belge, accepte
aujourd'hui que la France supprime cette
neutralité à son profit. Ni dans les débats
parlementaires, mi dans les journaux an-
glais, on ne trouve de déclarations sur cet
événement, qui est contraire à toute la po-
litique anglaise en Belgique au cours du
dix-neuvième siècle. C'est donc un fait sur-
prenant : la Belgique est devenue la vas-
sale de la France et non de l'Angleterre.
L'Angleterre aussi a assuré victorieuse-
ment contre l'Allemagne les bases de sa
puissance en Europe. D'où vient qu'elle s'en
désintéresse à ce point maintenant ? Est-
ce la surabondance des affaires intérieures,
est-ce l'indifférence croissante envers l'Eu-
rope continentale, le retour au « splendide
isolement » avec le sentiment très net
d'être, comme maîtresse de la mer, assurée
contre la nouvelle puissance de la France
en Europe ? Quoi qu'il, en soit, et même -si
l'Angleterre n'a pas encore dit son dernier
mot dans la question de Belgique, ce pro-
blème, par son importance extraordinaire,
passe incontestablement au premier plan de
la politique européenne. — (M. L.)
NEUES WIENER TAGBLATT, 9.10
— « L'ALLEMAGNE EST SEÛLE ». — Jusqu'à
la Conférence de Spa on n'entendait parler
que de la détresse économique de la pauvre
France. Presque toute la presse française et
on tête M. Poincaré, dans le Matin et dans
la Revue des Deux Mondes, débitaient les
litanies suivantes : L'industrie française est
détruite pour des années dans ses districts
les plus riches. Les mines françaises sont-
pleines d'eau et il faudra des années avant
de pouvoir les remettre en exploitation. Les
territoires les plus riches de la France sont
dévastés ; le sol est plein de grenades et
d'explosifs et qui sait si ces déserts pour-
ront jamais être remis en exploitation ; les
financeis de la France sont ébranlées et le
pays est au bord de l'abime ; tout cela la
France le doit aux Allemands qui l'ont atta-
quée en 1914 et qui ont conduit la guerre
d'une façon barbare dans l'intention de rui-
ner à tout jamais la France ! Et maintenant,
ces mêmes Allemands veulent se dérober au
devoir des réparations. Pendant des mois on
a palabré sur ce ton et certains Allemands
ont même prêté l'oreille à ces discours.
A Spa, la France a obtenu un plein suc-
cès et l'on a pu constater aussitôt un chan-
gement de ton dans la presse. Bientôt on ap-
prenait que la France avait maintenant plus
de charbon qu'elle n'en avait besoin ; que
les territoires dévastés et les puits de mi-
nes notamment pourraient être remis en
valeur dans un assez bref délai. A. Bruxelles
les discours des représentants français mon-
traient que, sur le terrain financier, la
France pouvait envisager l'avenir avec es-
poir. bref, tout ce que l'on avait dit jus-
qu'alors n'était plus qUf' mensnnges. Une
fois le but politique atteint on pouvait lais-
ser tomber le masque,
Des personnes qui ont visité la France
peuvent en effet confirmer ce fait que la
« malheureuse France » est florissante dans
tous les domaines. Combien de fois avons-
nous entendu cette phrase chez nous : l'Al-
lemagne est menacée de la banquerollte,
mais si cet événement se produit la France
et toute l'Europe seront entraînées dans
l'abîme. Rien que pour cela, la France de-
vait aider l'Allemagne. Aujourd'hui, on parle
très froidement en France d'une banque-
route de l'Etat allemand. Si cet événement
se produisait la France mettrait simplement
la main sur les richesses naturelles de l'Al-
lemagne, notamment sur le bassin de la
Ruhr et sur ce qui lui conviendrait en
outre.
Encore une autre belle pensée allemande :
les puissances doivent se rendre compte que
pour sauver l'Europe, l'Allemagne doit être
sauvée. Que l'on nous permette une ques-
tion indiscrète : qu'est donc cette Europe
dont les Allemands parlent si volontiers ?
Nous connaissons bien un territoire géo-
graphique de ce nom. Avant la guerre, cer-
tains facteurs constituaient même une Eu-
rope économique, mais aujourd'hui on ne
voit plus rien de tel, et si l'on parle de l'unité
de culture de l'Europe on prononce une
phrase vide de sens. On peut en dire autant
de la Société des Nations.
La France a signé un traité secret avec la
Grande-Bretagne, une alliance défensive,
avec la Belgique ; elle a signé un traité se*
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
1 tl DE LA GUERRE
¡; --
1 N° 1576
Vendredi 15 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont d«
résumés, il est donne ci-dessous des traductions, integraies ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^fiE.SSF AI-T-EMANDE. - La politique continen-
ce de la France : « L'Allemagne est
seule » (Hamburger Nachrichten). - La
Conférence financière de Genève : le
point de vue allemand (O. G. W. dans
Deutsche Allgemeine Zeitung) ; l'atti-
tude des Afiliés (Neúe Badische Landes-
zeitung). — La contre-révolution en
Russie (Hamburger Nachrichten). —
L'œuvre de la Conférence financière de
Bruxelles (Frankfurter Zeitung).
AMÉRICAINE. — La politique navale
amérincaine (Washington Post).
ESSE ANGLAISE. — Le référendum des mi-
neurs britanniques (Times, Daily Chro-
nicle, Daily Telegraph).
SSE AUTRICHIENNE — La politique conti-
nentale de la France : « l'Allemagne et
la France » (M. L. dans Neues Wiener
RESSE HOLLANDAISE. — La prochaine crise
ministerielle en Belgique (Maasboode).
Le 'cl"édit hollandais à l'Allemagne
(Nieuwe Rotterdamsche Courant, Alge-
meen Handelsblad).
PRESSE ITALIENNE. — Le parti nationaliste
italien contre M. Giolitti (ldea Nazio-
naleà). - La crise du parti socialiste ita-
lien : le Congrès de Reggio Emilia
t. POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
POLITIQUE DE LA FRANCE
LA POLITIQUE CONTINENTALE DE
FRANCE; — L'ALLEMAGNE ET LA
FRANCE » [sous ce titre]. - La France, par
politique nationaliste a perdu les sym-
de l'Angleterre, des Etats-Unis et
de l'Italie ; cependant depuis la Confé-
rence de Bruxelles, elle semble vouloir se
rapprocheer de l'Allemagne.
le elles surprenantes répandues
par le Niewe Rotterdamsche Courant et
Belge au sujet d'un revirement de
ion française valent la peine d'être
minées parce qu'elles complètent les
velles concernant des négociations di-
entre la France et l'Allemagne se
ttachant à la conversation entre MM. Si-
mons et Laurent à Berlin et au voyage de
l'amba ssadeur de France à Paris. Mais
âme française est indécise. Avant cons-
de l'injustice inouïe qu'elle commet
Europe centrale vaincue la France
ne peut s'empêcher de craindre les consé-
du relèvement de l'Allemagne,
que s'es dirigeants savent en même
!
temps que le pays et le peuple seront dé-
truits par une catastrophe si l'Allemagne
est condamnée à mourir. L'inquiétude et la
raison hésitent encore, à Paris, entre le
bien et le mal, entre la volonté d'arriver à
une entente et la terreur du voisin revenu
à la santé. Cette crainte se manifeste sous
les formes les plus variées et l'on peut
considérer comme l'un de ses symptômes
le renforcement de l'armée d'occupation,
qui semble s'organiser pour un séjour dé-
finitif.
Les dépenses de VAllemagne pour l'en-
tretien des troupes d'occupation s'élèvent à
27 milliards 600 millions de marks par (/'n,
au lieu de 3 milliards prévus au budget.
Comment assurer les réparations et
quelle somme l'Allemagne devrait-elle ex-
traire de la moelle de ses os si elle était
forcée de dépenser les deux tiers de son
budget, actuel pour le seul entretien des
troupes alliées en territoire allemand ?
En attendant la France travaille infatiga-
blement à renforcer sa position en face de
l'Allemagne : outre les efforts incessants
pour ruiner le Beich en aggravant les ten-
dances séparatistes, la convention militaire
franco-belge tend au même but. C'est un
événement dont l'importance ne saurait
être exagérée, bien qu'en vérité on y ait
prêté peu d'attention.
Cette remarque s'applique aussi à l'An-
gleterre. L'opinion publique anglaise aurait
dû être vivement intriguée, on peut le
croire, en apprenant l'existence de cette
convention militaire qui place Anvers et
les bouches de l'Escaut sous l'influence de
la France, au lieu de l'Angleterre.
L'Angleterre, qui a fait la guerre en 1914
au nom de la neutralité belge, accepte
aujourd'hui que la France supprime cette
neutralité à son profit. Ni dans les débats
parlementaires, mi dans les journaux an-
glais, on ne trouve de déclarations sur cet
événement, qui est contraire à toute la po-
litique anglaise en Belgique au cours du
dix-neuvième siècle. C'est donc un fait sur-
prenant : la Belgique est devenue la vas-
sale de la France et non de l'Angleterre.
L'Angleterre aussi a assuré victorieuse-
ment contre l'Allemagne les bases de sa
puissance en Europe. D'où vient qu'elle s'en
désintéresse à ce point maintenant ? Est-
ce la surabondance des affaires intérieures,
est-ce l'indifférence croissante envers l'Eu-
rope continentale, le retour au « splendide
isolement » avec le sentiment très net
d'être, comme maîtresse de la mer, assurée
contre la nouvelle puissance de la France
en Europe ? Quoi qu'il, en soit, et même -si
l'Angleterre n'a pas encore dit son dernier
mot dans la question de Belgique, ce pro-
blème, par son importance extraordinaire,
passe incontestablement au premier plan de
la politique européenne. — (M. L.)
NEUES WIENER TAGBLATT, 9.10
— « L'ALLEMAGNE EST SEÛLE ». — Jusqu'à
la Conférence de Spa on n'entendait parler
que de la détresse économique de la pauvre
France. Presque toute la presse française et
on tête M. Poincaré, dans le Matin et dans
la Revue des Deux Mondes, débitaient les
litanies suivantes : L'industrie française est
détruite pour des années dans ses districts
les plus riches. Les mines françaises sont-
pleines d'eau et il faudra des années avant
de pouvoir les remettre en exploitation. Les
territoires les plus riches de la France sont
dévastés ; le sol est plein de grenades et
d'explosifs et qui sait si ces déserts pour-
ront jamais être remis en exploitation ; les
financeis de la France sont ébranlées et le
pays est au bord de l'abime ; tout cela la
France le doit aux Allemands qui l'ont atta-
quée en 1914 et qui ont conduit la guerre
d'une façon barbare dans l'intention de rui-
ner à tout jamais la France ! Et maintenant,
ces mêmes Allemands veulent se dérober au
devoir des réparations. Pendant des mois on
a palabré sur ce ton et certains Allemands
ont même prêté l'oreille à ces discours.
A Spa, la France a obtenu un plein suc-
cès et l'on a pu constater aussitôt un chan-
gement de ton dans la presse. Bientôt on ap-
prenait que la France avait maintenant plus
de charbon qu'elle n'en avait besoin ; que
les territoires dévastés et les puits de mi-
nes notamment pourraient être remis en
valeur dans un assez bref délai. A. Bruxelles
les discours des représentants français mon-
traient que, sur le terrain financier, la
France pouvait envisager l'avenir avec es-
poir. bref, tout ce que l'on avait dit jus-
qu'alors n'était plus qUf' mensnnges. Une
fois le but politique atteint on pouvait lais-
ser tomber le masque,
Des personnes qui ont visité la France
peuvent en effet confirmer ce fait que la
« malheureuse France » est florissante dans
tous les domaines. Combien de fois avons-
nous entendu cette phrase chez nous : l'Al-
lemagne est menacée de la banquerollte,
mais si cet événement se produit la France
et toute l'Europe seront entraînées dans
l'abîme. Rien que pour cela, la France de-
vait aider l'Allemagne. Aujourd'hui, on parle
très froidement en France d'une banque-
route de l'Etat allemand. Si cet événement
se produisait la France mettrait simplement
la main sur les richesses naturelles de l'Al-
lemagne, notamment sur le bassin de la
Ruhr et sur ce qui lui conviendrait en
outre.
Encore une autre belle pensée allemande :
les puissances doivent se rendre compte que
pour sauver l'Europe, l'Allemagne doit être
sauvée. Que l'on nous permette une ques-
tion indiscrète : qu'est donc cette Europe
dont les Allemands parlent si volontiers ?
Nous connaissons bien un territoire géo-
graphique de ce nom. Avant la guerre, cer-
tains facteurs constituaient même une Eu-
rope économique, mais aujourd'hui on ne
voit plus rien de tel, et si l'on parle de l'unité
de culture de l'Europe on prononce une
phrase vide de sens. On peut en dire autant
de la Société des Nations.
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