Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-10-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 octobre 1920 09 octobre 1920
Description : 1920/10/09 (T16,N1571). 1920/10/09 (T16,N1571).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62153595
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRES
DES
t'PAIRES ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE
1 Y 1571
Samedi 9 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont des
resumés. il est donné ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PnESSE ALLEMANDE. — Les négociations
iraneo - allemandes (Frankfurter Zei-
Un(l)- — La convention militaire
fnanco - .belge (Otto Hoetzsch dans
PrelJssisclzer Zeilung). — Les pourpar-
lers de Riga (Otto Hoetzsch dans
Prel/ssischer Zeitung).
E AMÉR)cAi\E. — Les Etats-Unis et la
Société des Nrations : le referendum sur
a Société des Nations (Washington
Pos^ Un Par^ divisé » (Evening
post,
pA^GLAlsE- — Le projet d'accord com-
rlle,r,--ial-ano'lo-r,u,sse - (Daily News, Daily
t'lironicle Le message de M. Smillie
aux mineurs anglais (Times, Morning
--,ost, DaHy Chronicle, Manchester
rG\ufa, rd>i■ an, Daih, News).
PnES~E" l 'b' .t
^l'TRICHIENNE' — Le plébiscite au-
trietien sur le rattachement (Wiener
M i\/nor ^g en zeitung).
ern; tSLAVE' - Les projets hon
gr«;HS et la restauration de la monar.
chie (Epoha); un discours du comte
Bethlen (Obzor). 1"1 DISCOURS DU COMTE
POLITIQUE GENEHALB
ET DIPLOMATIE
LA POLITIQUE DE LA FRANCE,
ltt LEs. NEGOCIA TIONS FRANCO-ALLE-
!yiANX)Es,mtention de la politique
/ariÇaisp Proposant ces pourparlers était,
n'en pas douter, de rendre superflue la
» ? avec les représentants
ho Allemagne et de confier toute la ques-
tior, à la Commission des réparations. L'Al-
r-û111--- Ce n^ pas se Placer sur ce ter-
li. ceque l'on veut' dans cette Confé-
~- C est débrouillelr et éclaircir au point
tin Vue tech-n^iml 1 tout l'ensemble des ques-
puiss finano afin que ces question,s
rehc ertt être elXposées que ces questions
trPCe pinc .h Kf0Sees grande Confé-
7enîent Possible, les minis-
tre 8 char" nés de traiter ce problème ayant
irtroP de temps à se
Illettr,, aCCord sur ses bases mêmes. La
ftoiî Velle que -ces conférences techniques
,lui.,Iiè "t lietu à Berlin est inexacte. Il est
able cS Sn/S également ne sera .pas
choisi La decision naturellement restera
fésrv^e à la rneren('e générale qui aura
ldieen s féri%em ienre les représentants
^jliâtes et ceux de l'Allemagne et il est
Je*1U* e de fo?m faire aux Allemands un re-
ctte réserve. Le point
de Vile de la presse française est que le
traité de paix de Versailles est ferme comme
roc et que la Commission des Réparations
se trouve devant un programme clair et
immuable. Il faut opposer à cela que le
traité de paix implique la possibilité de sa
propre revision de même qu'il laisse une
certaine liberté à l'Allemagne dans le choix
des modalités des réparations. Des pour-
parlers économiques dont il est également
question ne sont pas envisagés.
FRANKFURTER ZEITUNG, 7.10 matin.
LA CONVENTION MILITAIRE FRANCO-
BELGE. —. Il est surprenant que la presse
allemande ait accordé aussi peu d'attention
à la conclusion' de La convention militaire
passée entre la France et la Belgique dans
la deuxième semaine du mois d'août. C'est
cependant un fait d'une importance politi-
que considérable. Par là, la Belgique aban-
donne définitivement cette neutralité pour
laquelle l'Angleterre est entrée en guerre
en 1914. L'accord n'a été signé que par le
président du Conseil et le ministre de la
Guerre, si bien que son contenu reste in-
connu. Il ne vaut, que pour le cas d'une
attaque non provoquée venant d'Allemagne.
Il réserve à la France la défense d'une
portion de la frontière belge et elle impose
à la Belgique des obligations d'armement
considérables. Les avantages sont tous du
côté de la France qui assure par là sa
prédominance en Europe occidentale et
renforce son bastion alsacien-lorrain. La
Belgique, elle, est réduite au rôle de vas-
sale. La convention — du moins d'après les
désirs de la France — doit être suivie. d'un
accord économique. Elle constitue un gros
succès pour- la politique étrangère fran-
çaise. Les mobiles qui ont fait agir la
France sont bien clairs. Mais la Belgique,
que reçoit-elle ? Des charges militaires, une
situation dépendante de la France — elle
n'a absolument aucun intérêt à un accord
économique, — de la. méfiance de la. part
de la Hollande, du mécontentement et de
l'excitation à l'intérieur même du pays. Et
teut cela parce que la haine de 1914" aveu-
gle encore les milieux dirigeants de la Bel-
gique. La nation belge ne se range pas
tout entière derrière cette orientation
francophile. Bien au contraire, l'accord a
suscité une vive opposition de la part des
Flamingants comme de la part des socia-
listes, en dépit des déclarations du minis
tre de la Justice Vandervelde. La politique
française n'a pas encore atteint son but. —
Otto Hoetzsch.
PREUSSISCIJER ZEITUNG, 6.10 soir
L'EUROPE CENTRALE
LES PROJETS HONGROIS ET LA RES
TAURATION DE LA MONARCHIE. —
l'Arbeiter Zeitung (de Vienne publie le
rapport confidentiel de la section de pro-
pagande près la légation de Hongrie à Vien-
ne, rapport. où se révèle jusque dans ses
détails la politique hongroise et le grand
travail d'organisation entrepris pour réali-
ser les plans de cette politique.
Son but serait de culbuter de nouveau
l'état de choses existant et de rejeter l'Eu-
rope Centrale en arrière de quelques siècles,
pour le compte des ambitions impérialistes
des magnats et des barons magyars. Ces
gens-là ne peuvent pas se débarrasser de
leurs , conceptions médiévales de l'histoire
et ne conçoivent point que.les temps nou-
veaux demandent de nouvelles orientations
et de nouvelles méthodes, et avant tout la
méthode de travail paisible et d'amitié en-
tre les peuples.
Quant aux moyens de réaliser leurs com-
binaisons, ils préconisent la restauration de
la monarchie, pour laquelle ils ont organisé
une propagande effrénée, payée de façon
ruineuse, en Hongrie, en Autriche et même
en Tchéco-Slovaquie. Avec la complicité de
Charles de Habsbourg, qui attend son heure
avec beaucoup de confiance, et. ne laisse
passer aucune occasion pour la préparer,
les gouvernants hongrois, qui n'ont apporté
à ce peuple rien sinon la terreur blanche,
un chauvinisme débridé et un impérialisme
imbécile, lâchent leurs agents partout en
Autriche et en Tchéoo-Slovaquie, paient la
presse, espionnent, et empoisonnent tous les
milieux par leur propagande.
Le rapport en question affirme même que
certains succès auraient été obtenus dans
cet ordre d'idées et que, notamment, la
France consentirait à les aider, étant donné
que ses intérêts nationaux s'accordaient
avec cette politique.
Nous ne savons jusqu'à quel point est
justifié cet espoir des Magyars, d'être sou-
tenus par la France, et dans quelle mesure
celle-ci est disposée à se prêter à de telles
combinaisons d'aventuriers, quelque grand
que soit le prix de ces services (aux termes
du rapport en question). Mais ce que. nous
savons de façon positive, c'est que les nou-
veaux Etats de l'Europe Centrale ne vou-
dront et ne pourront jamais permettre une
restauration de l'ancienne monarchie austro-
hongroise, surtout, lorsqu'elle manifeste l'in-
tention de continuer le vieux jeu. Ceci ne
sera pas oublié par la France, et elle ne
consentira jamais à soutenir une politique
dirigée contre la Tchéco-Slovaquie et la
Yougoslavie contre l'Autriche et la Rouma- *
nie, quand même cette politique serait pour
le moment dirigée aussi contre l'Allemagne.
Or, cette dernière supposition ne' saurait
subsister longtemps, surtout si le nouveau
groupement comprend la Bavière, comme
on le croit d'après les informations de
l'Arbeite, Zeitung. Nous espérons. donc
que le calcul de la Hongrie, d'après lequel
la France l'aiderait parce qu'elle a tourné
momentanément le dos à la Tchéco-Slova-
quie, se trouvera à la fin complètement
faux.
La Hongrie telle qu'elle est aujourd'hui,
représente un foyer d'incendie. Il est dans
l'intérêt de tous ses voisins de voir cet in-
cendie se localiser et de ne pas permettre
sa propagation chez eux. Cet intérêt est tel-
lement grand que tous les Etats devraient.
se trouver d'accord sur ce point et s'ap-
puyer l'un sur l'autre pour le défendre.
EPOII.1 [de Belgrade], 30.9.
DES
t'PAIRES ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE
1 Y 1571
Samedi 9 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont des
resumés. il est donné ci-dessous des traductions, intégra es ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PnESSE ALLEMANDE. — Les négociations
iraneo - allemandes (Frankfurter Zei-
Un(l)- — La convention militaire
fnanco - .belge (Otto Hoetzsch dans
PrelJssisclzer Zeilung). — Les pourpar-
lers de Riga (Otto Hoetzsch dans
Prel/ssischer Zeitung).
E AMÉR)cAi\E. — Les Etats-Unis et la
Société des Nrations : le referendum sur
a Société des Nations (Washington
Pos^ Un Par^ divisé » (Evening
post,
pA^GLAlsE- — Le projet d'accord com-
rlle,r,--ial-ano'lo-r,u,sse - (Daily News, Daily
t'lironicle Le message de M. Smillie
aux mineurs anglais (Times, Morning
--,ost, DaHy Chronicle, Manchester
rG\ufa, rd>i■ an, Daih, News).
PnES~E" l 'b' .t
^l'TRICHIENNE' — Le plébiscite au-
trietien sur le rattachement (Wiener
M i\/nor ^g en zeitung).
ern; tSLAVE' - Les projets hon
gr«;HS et la restauration de la monar.
chie (Epoha); un discours du comte
Bethlen (Obzor). 1"1 DISCOURS DU COMTE
POLITIQUE GENEHALB
ET DIPLOMATIE
LA POLITIQUE DE LA FRANCE,
ltt LEs. NEGOCIA TIONS FRANCO-ALLE-
!yiANX)Es,mtention de la politique
/ariÇaisp Proposant ces pourparlers était,
n'en pas douter, de rendre superflue la
» ? avec les représentants
ho Allemagne et de confier toute la ques-
tior, à la Commission des réparations. L'Al-
r-û111--- Ce n^ pas se Placer sur ce ter-
li. ceque l'on veut' dans cette Confé-
~- C est débrouillelr et éclaircir au point
tin Vue tech-n^iml 1 tout l'ensemble des ques-
puiss finano afin que ces question,s
rehc ertt être elXposées que ces questions
trPCe pinc .h Kf0Sees grande Confé-
7enîent Possible, les minis-
tre 8 char" nés de traiter ce problème ayant
irtroP de temps à se
Illettr,, aCCord sur ses bases mêmes. La
ftoiî Velle que -ces conférences techniques
,lui.,Iiè "t lietu à Berlin est inexacte. Il est
able cS Sn/S également ne sera .pas
choisi La decision naturellement restera
fésrv^e à la rneren('e générale qui aura
ldieen s féri%em ienre les représentants
^jliâtes et ceux de l'Allemagne et il est
Je*1U* e de fo?m faire aux Allemands un re-
ctte réserve. Le point
de Vile de la presse française est que le
traité de paix de Versailles est ferme comme
roc et que la Commission des Réparations
se trouve devant un programme clair et
immuable. Il faut opposer à cela que le
traité de paix implique la possibilité de sa
propre revision de même qu'il laisse une
certaine liberté à l'Allemagne dans le choix
des modalités des réparations. Des pour-
parlers économiques dont il est également
question ne sont pas envisagés.
FRANKFURTER ZEITUNG, 7.10 matin.
LA CONVENTION MILITAIRE FRANCO-
BELGE. —. Il est surprenant que la presse
allemande ait accordé aussi peu d'attention
à la conclusion' de La convention militaire
passée entre la France et la Belgique dans
la deuxième semaine du mois d'août. C'est
cependant un fait d'une importance politi-
que considérable. Par là, la Belgique aban-
donne définitivement cette neutralité pour
laquelle l'Angleterre est entrée en guerre
en 1914. L'accord n'a été signé que par le
président du Conseil et le ministre de la
Guerre, si bien que son contenu reste in-
connu. Il ne vaut, que pour le cas d'une
attaque non provoquée venant d'Allemagne.
Il réserve à la France la défense d'une
portion de la frontière belge et elle impose
à la Belgique des obligations d'armement
considérables. Les avantages sont tous du
côté de la France qui assure par là sa
prédominance en Europe occidentale et
renforce son bastion alsacien-lorrain. La
Belgique, elle, est réduite au rôle de vas-
sale. La convention — du moins d'après les
désirs de la France — doit être suivie. d'un
accord économique. Elle constitue un gros
succès pour- la politique étrangère fran-
çaise. Les mobiles qui ont fait agir la
France sont bien clairs. Mais la Belgique,
que reçoit-elle ? Des charges militaires, une
situation dépendante de la France — elle
n'a absolument aucun intérêt à un accord
économique, — de la. méfiance de la. part
de la Hollande, du mécontentement et de
l'excitation à l'intérieur même du pays. Et
teut cela parce que la haine de 1914" aveu-
gle encore les milieux dirigeants de la Bel-
gique. La nation belge ne se range pas
tout entière derrière cette orientation
francophile. Bien au contraire, l'accord a
suscité une vive opposition de la part des
Flamingants comme de la part des socia-
listes, en dépit des déclarations du minis
tre de la Justice Vandervelde. La politique
française n'a pas encore atteint son but. —
Otto Hoetzsch.
PREUSSISCIJER ZEITUNG, 6.10 soir
L'EUROPE CENTRALE
LES PROJETS HONGROIS ET LA RES
TAURATION DE LA MONARCHIE. —
l'Arbeiter Zeitung (de Vienne publie le
rapport confidentiel de la section de pro-
pagande près la légation de Hongrie à Vien-
ne, rapport. où se révèle jusque dans ses
détails la politique hongroise et le grand
travail d'organisation entrepris pour réali-
ser les plans de cette politique.
Son but serait de culbuter de nouveau
l'état de choses existant et de rejeter l'Eu-
rope Centrale en arrière de quelques siècles,
pour le compte des ambitions impérialistes
des magnats et des barons magyars. Ces
gens-là ne peuvent pas se débarrasser de
leurs , conceptions médiévales de l'histoire
et ne conçoivent point que.les temps nou-
veaux demandent de nouvelles orientations
et de nouvelles méthodes, et avant tout la
méthode de travail paisible et d'amitié en-
tre les peuples.
Quant aux moyens de réaliser leurs com-
binaisons, ils préconisent la restauration de
la monarchie, pour laquelle ils ont organisé
une propagande effrénée, payée de façon
ruineuse, en Hongrie, en Autriche et même
en Tchéco-Slovaquie. Avec la complicité de
Charles de Habsbourg, qui attend son heure
avec beaucoup de confiance, et. ne laisse
passer aucune occasion pour la préparer,
les gouvernants hongrois, qui n'ont apporté
à ce peuple rien sinon la terreur blanche,
un chauvinisme débridé et un impérialisme
imbécile, lâchent leurs agents partout en
Autriche et en Tchéoo-Slovaquie, paient la
presse, espionnent, et empoisonnent tous les
milieux par leur propagande.
Le rapport en question affirme même que
certains succès auraient été obtenus dans
cet ordre d'idées et que, notamment, la
France consentirait à les aider, étant donné
que ses intérêts nationaux s'accordaient
avec cette politique.
Nous ne savons jusqu'à quel point est
justifié cet espoir des Magyars, d'être sou-
tenus par la France, et dans quelle mesure
celle-ci est disposée à se prêter à de telles
combinaisons d'aventuriers, quelque grand
que soit le prix de ces services (aux termes
du rapport en question). Mais ce que. nous
savons de façon positive, c'est que les nou-
veaux Etats de l'Europe Centrale ne vou-
dront et ne pourront jamais permettre une
restauration de l'ancienne monarchie austro-
hongroise, surtout, lorsqu'elle manifeste l'in-
tention de continuer le vieux jeu. Ceci ne
sera pas oublié par la France, et elle ne
consentira jamais à soutenir une politique
dirigée contre la Tchéco-Slovaquie et la
Yougoslavie contre l'Autriche et la Rouma- *
nie, quand même cette politique serait pour
le moment dirigée aussi contre l'Allemagne.
Or, cette dernière supposition ne' saurait
subsister longtemps, surtout si le nouveau
groupement comprend la Bavière, comme
on le croit d'après les informations de
l'Arbeite, Zeitung. Nous espérons. donc
que le calcul de la Hongrie, d'après lequel
la France l'aiderait parce qu'elle a tourné
momentanément le dos à la Tchéco-Slova-
quie, se trouvera à la fin complètement
faux.
La Hongrie telle qu'elle est aujourd'hui,
représente un foyer d'incendie. Il est dans
l'intérêt de tous ses voisins de voir cet in-
cendie se localiser et de ne pas permettre
sa propagation chez eux. Cet intérêt est tel-
lement grand que tous les Etats devraient.
se trouver d'accord sur ce point et s'ap-
puyer l'un sur l'autre pour le défendre.
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