Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-09-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 septembre 1920 28 septembre 1920
Description : 1920/09/28 (T16,N1562). 1920/09/28 (T16,N1562).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6215350f
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES
DES
Maires étrangères
Et de LA guerre
No 1562
Mardi 28 septembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
resumes, il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PBESSE ALLEMANDE. — L'élection de M. Mille-
rand (Rote Fahne ; Victor Auburtin
dans Berliner Tageblatt). — Le minis-
tère Leygues (Frankfurter Zeitung).
PBESSE ANGLAISE. — Le ministère Leygues
REf[Daily r>.Telegrœph). — Attentats et repré-
sailles en Irlande (Times, Morning Post,
Daily Herald, Daily News, Manchester
Guardian, Daily Chronicle, New Wit-
ness, Irish Independent). — Le conflit
ramier : les possibilités d'accord (Man-
cries ter Guardian, Daily Herald).
PBESSE AUTRICHIENNE. — L'élection de M.
Millerand (Neue Freie Presse, Rote
Fahne, Wiener Morgenzeitung).
PBESSE ESPAGNOLE. — Le parti conservateur
espagnol et la France (Epoca). — L'é-
lection de M. Millerand (Tribuna, A B C,
Accion).
PnESSE ITALIENNE. — La crise du socialisme
italien (Messaggero).
KESSE SUISSE. — L'élection de M. Millerand
(Bund, Basler Nachrichten, St Galler
Tagblatt, Journal de Genève, Neue Zür-
cuer Zeitung, National Zeitung).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
FRANCE ET ESPAGNE
LE PARTI CONSERVATEUR ESPAGNOL
P"r LA JRANCE. - * L'article que le
Temps [20 sept.] a Coinsacré à commenter
la situation politlique en Espagne, quelque
peu défiguré <:lans les extraits que les agen-
c&s télégraphiques en ont donnés, pèche
par une certaine mécomnaissance qu'on re-
troiuvp eraenieri^ dans la presse fran-
çaise en ce qui nous concerne. On ne peut
comprendre d'autre façon l'injustice de no-
re confrère parisien.
On ne peut nier - qu'il ait eu en Espagne
u ne Partie de l'opinion et une partie de la
Presse d'PY^îmlte qui a été favorable
à l'allemagne ,et qui a favorisé sa propa-
S^nde. C ,6S^ faire preuve d'ignorance
°u d'iniiiQt,v.f que d'envelopper dans cette
accusatian toute l'opinion et toute la presse
conservatrice
Ça été précisément le parti conservateur,
xe.utralité à ù ato- qui a maintenu la
à eftrahté à toute force assisté et appuyé
à tou moments par l'opinion et la presse
conservatrice. La grande masse du pays a
^montré coiWfa^™r,^nen:t ses sympathies à
la France et les gouvernements s'en sont
tou Olir s
toujours inspirés. Que pouvait donc repré-
&pW une partie de la presse d'extrême-
en face de la presse purement con-
qui. représente l'immense majo-
ri L du pays ?
e lllême journal le Temps rend justice à
J
notre roi et loue son attitude et ses travaux
humanitaires pendant la guerre. Eh bien !
cette attitude de neutralité, tout à fait cor-
recte et sympalhique à la France, a été
celle qu'ont suivie l'opinion et la presse
conservatrice et en réalité tout le pays
sauf les exceptions que l'on connaît.
EPOCA [de Madrid], 21.9.
AFFAIRES INTÉRIEURES
FRANCE
L'ELECTION DE M. MILLERAND. -
PRESSE ALLEMANDE. — Aujourd'hui l'ex-socia-
liste Millerand se place à la tête de la
grande puissance la plus réactionnaire du
monde, celle qui mène la lutte du capital
mondial contre la Russie des Soviets. Mil-
lerand veut rendre la Présidence indépen-
dante des corps parlementaires — et ces
Parlements sont pourtant des représentants
purs des tntérêts bourgeois qui acceptent
sans critique la politique gouvernementale.
Le sens du bonapartisme de Millerand est
plus clair si l'on examine un autre point de
son progremme : la décentralisation du
pouvoir gouvernemental Ceci ne peut avoir
d'autre effet que de fortifier la province aux
dépens de Paris, c'est-à-dire la puissance
des paysans aux dépens de la ciasse ou-
vrière révolutionnaire.
Voilà pourquoi Millerand insiste sur
le fait qu'il faut absolument maintenir la
République et la laïcité : c'est un appât pour
les paysans antimonarchistes et anticléri-
caux, qui doivent à la grande Révolution
antimonarchiste et anticléricale leur pro-
priété bourgeoise. Voilà pourquoi il faut
maintenir le traité de Versailles qui enlè-
vera les charges de guerre des épaules des
petits possédants, paysans, et petits bour-
geois, et ouvre la perspective positive d'un
anéantissement de la Russie des Soviets et
la restauration d'une Russie réactionnaire
forte, alliée de la France et qui paiera les
milliards avancés au tsar par les paysans
français.
Au point de vue de la politique intérieure,
la dictature présidentielle annonce l'oppres-
sion de la classe ouvrière ; c'est sur les
épaules des ouvriers et, en dernière analyse,
aussi des paysans que retomberont les char-
ges de guerre quand l'espoir aura disparu
de voir payer le « Boche » et l'ouvrier russe;
au point de vue de la politique extérieure,
c'est la poursuite de la guerre d'anéantis-
sement contre la Russie des Soviets et
l'abaissement de l'Allemagne avec l'aide de
l'alliance continentale ; c'est de plus, la
continuation de la politique coloniale dirigée
contre l'Angleterre.
Pour l'Allemagne, cette politique verra
augmenter les efforts de la bourgeoisie fran-
çaise pour prendre l'Allemagne comme base
d'opérations contre la Russie des Soviets,
pour arracher à l'Empire, avec l'aide de la
contre-révolution de l'Allemagne du Sud,
le district de la Ruhr et l'Allemagne du Sud,
pour en faire un anneau de la chaîne de
petits Etats s'étendant jusqu'à la Crimée et
destinés à servir à la réaction universelle
de bastion contre une Allemagne du Nord
bolcheviste. La pression de la France sur
la bourgeoisie allemande pour tirer les
sommes destinées aux réparations de la
sueur du prolétariat allemand sera ren-
forcée et la tension franco-allemande au
point de vue politique et économique en sera
encore augmentée.
Mais cette politique de l'impérialisme fran-
çais est bâtie sur le sable. Elle se heurte
au développement objectif de la crise du ca-
pitalisme mondial qui rend impossible la
reconstitution capitaliste de l'Allemagne et,
par suite, de la France et aux facteurs sub-
jectifs créés par ce développement : la force
de résistance révolutionnaire de la Russie
des Soviets, l'évolution progressive de la ré-
volution allemande et la situation révolu-
tionnaire qui commence à germer en France
comme dans les autres pays capitalistes.
ROTE FAHNE, 23.9.
— La politique de Millerand consiste à
faire exécuter de la façon la plus étroite
la dictée de Versailles, sans même permet-
tre aux vaincus le droit reconnu dans le
monde entier, même chez les Papous, de
prononcer une parole. C'est pour mettre à
exécution cette politique qu'il fit, occuper la
ville où naquit Gœthe, par ses Sénégalais,
qu'il a retardé Spa et cherche maintenant
par tous les moyens à supprimer Genève.
Nous verrons dans les semaines qui vont
suivre si son passage à la plus haute fonc-
tion, en le faisant abandonner la politique
active, changera l'orientation politique de
la France. Nous avons déjà parlé des sou-
pirs de Léon Daudet, disant qu'il était dom-
mage que Millerand quittât le quai d'Orsay,
car il était le seul homme capable, le cas
échéant, de faire occuper la Ruhr. —
Victor Auburtin.
BERLINER TAGEBLATT, 24.9 matin.
PRESSE AUTRICHIENNE. — La personnalité
de Millerand est connue grâce aux événe-
ments de ces derniers mois. Il sera, comme
Président, le représentant tenace et inflexi-
ble de la politique suivie à San Remo et
à Spa.
C'est la politique de pression sur l'Alle-
magne et de pression sur les Alliés pour
qu'ils cèdent aux aspirations de la France
et l'aident à imposer l'application des traités
de paix.
Cependant le monde entier a besoin d'une
réconciliation, et le plus grand bonheur qui
puisse arriver au monde est un rapproche-
ment, ou du moins une détente entre l'Alle-
magne et la France. Millerand a souvent
exprimé son désir de voir l'Allemagne et la
France collaborer et les échanges commer-
ciaux apaiser leur inimitié: Il serait temps
de réaliser cette idée.
NEUE FREIE PRESSE, 23.9 sotr.
- Ce n'est pas la faveur des partis. mais
son énergie personnelle qui porte Millerand
à la plus haute fonction.
Ses convictions socialistes n'ont pas em-
pêché Millerand avant la guerre, de pas-
ser dans le camp militariste et chauvin,
pas plus qu'elles ne l'empêchèrent, comme
DES
Maires étrangères
Et de LA guerre
No 1562
Mardi 28 septembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
resumes, il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PBESSE ALLEMANDE. — L'élection de M. Mille-
rand (Rote Fahne ; Victor Auburtin
dans Berliner Tageblatt). — Le minis-
tère Leygues (Frankfurter Zeitung).
PBESSE ANGLAISE. — Le ministère Leygues
REf[Daily r>.Telegrœph). — Attentats et repré-
sailles en Irlande (Times, Morning Post,
Daily Herald, Daily News, Manchester
Guardian, Daily Chronicle, New Wit-
ness, Irish Independent). — Le conflit
ramier : les possibilités d'accord (Man-
cries ter Guardian, Daily Herald).
PBESSE AUTRICHIENNE. — L'élection de M.
Millerand (Neue Freie Presse, Rote
Fahne, Wiener Morgenzeitung).
PBESSE ESPAGNOLE. — Le parti conservateur
espagnol et la France (Epoca). — L'é-
lection de M. Millerand (Tribuna, A B C,
Accion).
PnESSE ITALIENNE. — La crise du socialisme
italien (Messaggero).
KESSE SUISSE. — L'élection de M. Millerand
(Bund, Basler Nachrichten, St Galler
Tagblatt, Journal de Genève, Neue Zür-
cuer Zeitung, National Zeitung).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
FRANCE ET ESPAGNE
LE PARTI CONSERVATEUR ESPAGNOL
P"r LA JRANCE. - * L'article que le
Temps [20 sept.] a Coinsacré à commenter
la situation politlique en Espagne, quelque
peu défiguré <:lans les extraits que les agen-
c&s télégraphiques en ont donnés, pèche
par une certaine mécomnaissance qu'on re-
troiuvp eraenieri^ dans la presse fran-
çaise en ce qui nous concerne. On ne peut
comprendre d'autre façon l'injustice de no-
re confrère parisien.
On ne peut nier - qu'il ait eu en Espagne
u ne Partie de l'opinion et une partie de la
Presse d'PY^îmlte qui a été favorable
à l'allemagne ,et qui a favorisé sa propa-
S^nde. C ,6S^ faire preuve d'ignorance
°u d'iniiiQt,v.f que d'envelopper dans cette
accusatian toute l'opinion et toute la presse
conservatrice
Ça été précisément le parti conservateur,
xe.utralité à ù ato- qui a maintenu la
à eftrahté à toute force assisté et appuyé
à tou moments par l'opinion et la presse
conservatrice. La grande masse du pays a
^montré coiWfa^™r,^nen:t ses sympathies à
la France et les gouvernements s'en sont
tou Olir s
toujours inspirés. Que pouvait donc repré-
&pW une partie de la presse d'extrême-
en face de la presse purement con-
qui. représente l'immense majo-
ri L du pays ?
e lllême journal le Temps rend justice à
J
notre roi et loue son attitude et ses travaux
humanitaires pendant la guerre. Eh bien !
cette attitude de neutralité, tout à fait cor-
recte et sympalhique à la France, a été
celle qu'ont suivie l'opinion et la presse
conservatrice et en réalité tout le pays
sauf les exceptions que l'on connaît.
EPOCA [de Madrid], 21.9.
AFFAIRES INTÉRIEURES
FRANCE
L'ELECTION DE M. MILLERAND. -
PRESSE ALLEMANDE. — Aujourd'hui l'ex-socia-
liste Millerand se place à la tête de la
grande puissance la plus réactionnaire du
monde, celle qui mène la lutte du capital
mondial contre la Russie des Soviets. Mil-
lerand veut rendre la Présidence indépen-
dante des corps parlementaires — et ces
Parlements sont pourtant des représentants
purs des tntérêts bourgeois qui acceptent
sans critique la politique gouvernementale.
Le sens du bonapartisme de Millerand est
plus clair si l'on examine un autre point de
son progremme : la décentralisation du
pouvoir gouvernemental Ceci ne peut avoir
d'autre effet que de fortifier la province aux
dépens de Paris, c'est-à-dire la puissance
des paysans aux dépens de la ciasse ou-
vrière révolutionnaire.
Voilà pourquoi Millerand insiste sur
le fait qu'il faut absolument maintenir la
République et la laïcité : c'est un appât pour
les paysans antimonarchistes et anticléri-
caux, qui doivent à la grande Révolution
antimonarchiste et anticléricale leur pro-
priété bourgeoise. Voilà pourquoi il faut
maintenir le traité de Versailles qui enlè-
vera les charges de guerre des épaules des
petits possédants, paysans, et petits bour-
geois, et ouvre la perspective positive d'un
anéantissement de la Russie des Soviets et
la restauration d'une Russie réactionnaire
forte, alliée de la France et qui paiera les
milliards avancés au tsar par les paysans
français.
Au point de vue de la politique intérieure,
la dictature présidentielle annonce l'oppres-
sion de la classe ouvrière ; c'est sur les
épaules des ouvriers et, en dernière analyse,
aussi des paysans que retomberont les char-
ges de guerre quand l'espoir aura disparu
de voir payer le « Boche » et l'ouvrier russe;
au point de vue de la politique extérieure,
c'est la poursuite de la guerre d'anéantis-
sement contre la Russie des Soviets et
l'abaissement de l'Allemagne avec l'aide de
l'alliance continentale ; c'est de plus, la
continuation de la politique coloniale dirigée
contre l'Angleterre.
Pour l'Allemagne, cette politique verra
augmenter les efforts de la bourgeoisie fran-
çaise pour prendre l'Allemagne comme base
d'opérations contre la Russie des Soviets,
pour arracher à l'Empire, avec l'aide de la
contre-révolution de l'Allemagne du Sud,
le district de la Ruhr et l'Allemagne du Sud,
pour en faire un anneau de la chaîne de
petits Etats s'étendant jusqu'à la Crimée et
destinés à servir à la réaction universelle
de bastion contre une Allemagne du Nord
bolcheviste. La pression de la France sur
la bourgeoisie allemande pour tirer les
sommes destinées aux réparations de la
sueur du prolétariat allemand sera ren-
forcée et la tension franco-allemande au
point de vue politique et économique en sera
encore augmentée.
Mais cette politique de l'impérialisme fran-
çais est bâtie sur le sable. Elle se heurte
au développement objectif de la crise du ca-
pitalisme mondial qui rend impossible la
reconstitution capitaliste de l'Allemagne et,
par suite, de la France et aux facteurs sub-
jectifs créés par ce développement : la force
de résistance révolutionnaire de la Russie
des Soviets, l'évolution progressive de la ré-
volution allemande et la situation révolu-
tionnaire qui commence à germer en France
comme dans les autres pays capitalistes.
ROTE FAHNE, 23.9.
— La politique de Millerand consiste à
faire exécuter de la façon la plus étroite
la dictée de Versailles, sans même permet-
tre aux vaincus le droit reconnu dans le
monde entier, même chez les Papous, de
prononcer une parole. C'est pour mettre à
exécution cette politique qu'il fit, occuper la
ville où naquit Gœthe, par ses Sénégalais,
qu'il a retardé Spa et cherche maintenant
par tous les moyens à supprimer Genève.
Nous verrons dans les semaines qui vont
suivre si son passage à la plus haute fonc-
tion, en le faisant abandonner la politique
active, changera l'orientation politique de
la France. Nous avons déjà parlé des sou-
pirs de Léon Daudet, disant qu'il était dom-
mage que Millerand quittât le quai d'Orsay,
car il était le seul homme capable, le cas
échéant, de faire occuper la Ruhr. —
Victor Auburtin.
BERLINER TAGEBLATT, 24.9 matin.
PRESSE AUTRICHIENNE. — La personnalité
de Millerand est connue grâce aux événe-
ments de ces derniers mois. Il sera, comme
Président, le représentant tenace et inflexi-
ble de la politique suivie à San Remo et
à Spa.
C'est la politique de pression sur l'Alle-
magne et de pression sur les Alliés pour
qu'ils cèdent aux aspirations de la France
et l'aident à imposer l'application des traités
de paix.
Cependant le monde entier a besoin d'une
réconciliation, et le plus grand bonheur qui
puisse arriver au monde est un rapproche-
ment, ou du moins une détente entre l'Alle-
magne et la France. Millerand a souvent
exprimé son désir de voir l'Allemagne et la
France collaborer et les échanges commer-
ciaux apaiser leur inimitié: Il serait temps
de réaliser cette idée.
NEUE FREIE PRESSE, 23.9 sotr.
- Ce n'est pas la faveur des partis. mais
son énergie personnelle qui porte Millerand
à la plus haute fonction.
Ses convictions socialistes n'ont pas em-
pêché Millerand avant la guerre, de pas-
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