Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-08-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 août 1920 23 août 1920
Description : 1920/08/23 (T15,N1531). 1920/08/23 (T15,N1531).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62385385
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
b,
,.. MINISTÈRES
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
1 N° 1531
Lundi 23 Août 19?0
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui IIOIM dee
resumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
( SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les succès polonais et
les pourparlers de Minsk (Berliner Ta-
geblatt, Vorwaents, Rote Fahne). — Les
incidents de Kattowitz (Bruno Stümke
dans Berliner Tageblatt, Hamburger
Fremdenblatt, Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Le ralentissement des
constructions maritimes aux Etats-Unis
(Washington Post). - Les causes de la
grève de l'acier (World).
PRESSE ANGLAISE. — Le socialisme britanni-
que et les événements de Pologne (Dai-
ly Herald, Daily News). — Les troubles
de Mésopotamie (Manchester Guardian,
Times, Daily Telegraph, Daily Express,
Morning Post, Daily Chronicle).
PRESSE ITALIENNE. — L'entrevue de Lucerne
(Giornale d'Italia, Stampa, Corriere
della Sera). — La démarche du gouver-
nement allemand auprès du gouver-
nement italien sur la situation dans la
Sarre (Messaggero, Tribuna).
PRESSE YOUGOSLAVE. — Déclarations de M.
Benès au cours de son voyage à Bel-
grade (Politika). i
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
t
L'ENTREVUE DE LUCERNE
PRESSE ITALIENNE. — Il y a analogie
entre la situation du gouvernement anglais
et celle du gouvernement italien. L'Angle-
terre doit ménager ses travaillistes, l'Italie
doit transiger avec ses socialistes. A l'égard
de la Russie, Italie et Angleterre veulent la
Paix.
Cette analogie, fait comprendre l'impor-
tance de l'entrevue Lloyd George-Giolitti ;
elle arrive en un moment très délicat, au
moment de la tension franco-anglaise ;
elle ne pourra que resserrer les liens entre
Rome et Londres. ✓
Lloyd George et Giolitti s'efforceront de
trouver le moyen de rétablir la paix entre
la Pologne et la Russie.
Le dissentiment entre la France et l'An-
gleterre est réel. M. Lloyd George a tra-
versé Paris sans voir M. Millerand. La
France s'obstine dans sa politique résolu-
ment hostile aux soviets. M. Lloyd George
croit plus opportun de rétablir les relations.
Le gouvernement anglais s'entend avec les
travaillistes. M. Millerand expulse leurs dé-
légués.
Si la Pologne résistait, les trois Puissan-
ces de l'Entente en seraient très heureuses
et l'on pourrait tenter d'accorder Paris et
Londres sur la base du salut complet de la
Pologne : après quoi les Français se rési-
gneraient peut-être à reprendre les rapports
avec la Russie.
On assure que M. Giolitti, s'il ne règle
pas la Question Adriatique, essaiera de tâ-
ter le terrain aussi bien auprès de M. Lloyd
Georae Í/ne plus tard auprès de M. Mille-
rand. Nos alliés ne peuvent nous refuser
l'application du pacte de Londres. Quant à
Fiume elle va se proclamer indépendante.
M. Giolitti est loin d'avoir rien décidé encore
sur cette question.
GIORNALE D'ITALIA, 20.8.
- A Lucerne, M. Giolitti et M. Lloyd
George ne s'occuperont pas de faits parti-
culiers.
Ils se mettront d'accord sur l'orientation
générale de leur politique. Cette orientation
entraînera, comme naturelle et logique con-
séquence. la solution des nroblèmes parti-
culiers. Lloyd George et Giolitti qui ont une
vision d'ensemble de la politique, euro-
péenne neuvent facilement s'entendre. Ils
sont poussés à l'accord par la conformité
de leur structure intellectuelle, ennemie du
général et amie du concret, par la concor-
dance des intérêts des pays qu'ils représen-
tent, et par le sens qu'ils ont des besoins
et de la volonté des multitudes.
Tous deux ne peuvent vouloir que la paix.
La paix à la vérité, ne peut être assurée
que par l'accord de tous les intéressés ;
mais l'accord préventif des deux princi-
paux hommes d'Etat ne peut avoir qu'une
bienfaisante influence sur toute l'Europe.
Cet accord deviendrait le centre d'attrac-
tion vers lequel tous les autres gravite-
raient.
C'est la première fois, après tant de dé-
sillusions, que l'Italie retrouve une place
dans la nolitique générale. Et l'assentiment
de l'Italie à la nécessité de la cessation du
conflit, russo-polonais a été cité avec grande
satisfaction au Parlement anglais. L'entre-
tien de M. Giolitti et de M. Lloyd George
renforcera certainement notre nouvelle posi-
tion — nous ne pouvons pas dire encore
que notre prestige sera renouvelé, mais ce
sera un acheminement vers la réacquisition
de notre prestige. Ce résultat, qui sera
pour nous un très grand avantage moral,
nous permettra en même temps de faciliter
la solution des problèmes qui nous intéres-
sent.
STAMPA, 20.8.
— L'entrevue entre le chef du gouverne-
ment italien et le chef du gouvernement an-
glais arrive à un moment qui, malgré les
dissentiments de 1919, donne une grande
valeur à cette amitié anglo-italienne qui
doit sa persistance à la communauté des
intérêts bien entendus. Ni l'Italie, ni l'An-
gleterre n'aspirent à se rendre maîtresses
du continent européen ; l'Italie et l'Angle-
terre désirent qu'aucun Etat européen ne
devienne assez puissant pour conquérir
l'hégémonie. L'une et l'autre ont confiance
dans la théorie de l'équilibre qui serait la
pire si elle était sa propre fin, si elle ne
s'inspirait que du dessein cynique d'exciter
les autres à des luttes dont la force de cha-
cun sortirait diminuée, mais qui est excel-
lente si elle est suggérée par la volonté d'as-
surer une vie de dignité aux petites et aux
moyennes nations et de préserver la liberté
de toutes contre les menaces des plus ra-
paces.
L'Empire britannique serait condamné à
mort si l'Europe était unifiée et soumise
par l'un de ses peuples ; et, dans une Eu-
rope ainsi constituée, l'Italie ne pourrait
être qu'esclave. De là viennent la concorde
essentielle entre nos deux politiques et l'in-
succès remporté chez nous par les propa-
gandes anglophobes. Nous n'entendons pas
dire que les intérêts et les idées des deux
pays coïncident sur tous les sujets ; il fau-
drait avoir bien peu de mémoire pour effa-
cer le souvenir des expériences de 1919,
lorsque dans tous les problèmes qui inté-
ressaient notre nation nous trouvâmes en
l'Angleterre un adversaire, ou une amie
trop tiède. Son opposition contribua nette-
ment à laisser irrésolues des questions qui,
encore aujourd'hui, sont ouvertes comme
des plaies, mais dans le cadre des événe-
ments généraux, beaucoup de choses ont
changé depuis, et, si Lloyd George est resté
au pouvoir, ses idées sur la route à suivre
ont subi une évolution qui, à certains
égards, est proprement une révolution.
Dans les conférences interalliées de ces
derniers temps, l'Italie et l'Angleterre ont
adopté presque régulièrement la même li-
gne de conduite, et San Remo fut l'épisode
décisif de ce rapprochement. Le ministère
Giolitti n'a fait, et il ne pouvait faire que
développer, sur tous les problèmes capi-
taux, la politique inauguréé par Nitti. Spa
fut la continuation de San Remo. Lucerne
sera probablement la suite logique de Spa.
Les bases de l'avenir consistent, selon
nous comme selon la politique actuelle du
gouvernement britannique, dans l'accord
graduel avec l'Allemagne et avec la Russie.
Le moment est très délicat, mais la reprise
de la résistance polonaise est une donnée
de fait qui, tempérant l'orgueil belliqueux
des Russes, peut servir à de justes média-
tions. Dans tout ce mouvement, l'Italie
peut être une excellente associée de l'Angle-
terre. Il est nécessaire d'ajouter que notre
concours serait beaucoup plus libre et plus
efficace si nos frontières orientales étaient
enfin déterminées, et aussi que nous pour-
rions coopérer plus activement à la paix
des autres, si nous avions enfin la nôtre.
Nous souhaitons que l'entrevue de Lucerne
ne se passe pas en manifestations décora-
tives et générales, mais qu'elle attaque les
,.. MINISTÈRES
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
1 N° 1531
Lundi 23 Août 19?0
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui IIOIM dee
resumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
( SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les succès polonais et
les pourparlers de Minsk (Berliner Ta-
geblatt, Vorwaents, Rote Fahne). — Les
incidents de Kattowitz (Bruno Stümke
dans Berliner Tageblatt, Hamburger
Fremdenblatt, Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Le ralentissement des
constructions maritimes aux Etats-Unis
(Washington Post). - Les causes de la
grève de l'acier (World).
PRESSE ANGLAISE. — Le socialisme britanni-
que et les événements de Pologne (Dai-
ly Herald, Daily News). — Les troubles
de Mésopotamie (Manchester Guardian,
Times, Daily Telegraph, Daily Express,
Morning Post, Daily Chronicle).
PRESSE ITALIENNE. — L'entrevue de Lucerne
(Giornale d'Italia, Stampa, Corriere
della Sera). — La démarche du gouver-
nement allemand auprès du gouver-
nement italien sur la situation dans la
Sarre (Messaggero, Tribuna).
PRESSE YOUGOSLAVE. — Déclarations de M.
Benès au cours de son voyage à Bel-
grade (Politika). i
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
t
L'ENTREVUE DE LUCERNE
PRESSE ITALIENNE. — Il y a analogie
entre la situation du gouvernement anglais
et celle du gouvernement italien. L'Angle-
terre doit ménager ses travaillistes, l'Italie
doit transiger avec ses socialistes. A l'égard
de la Russie, Italie et Angleterre veulent la
Paix.
Cette analogie, fait comprendre l'impor-
tance de l'entrevue Lloyd George-Giolitti ;
elle arrive en un moment très délicat, au
moment de la tension franco-anglaise ;
elle ne pourra que resserrer les liens entre
Rome et Londres. ✓
Lloyd George et Giolitti s'efforceront de
trouver le moyen de rétablir la paix entre
la Pologne et la Russie.
Le dissentiment entre la France et l'An-
gleterre est réel. M. Lloyd George a tra-
versé Paris sans voir M. Millerand. La
France s'obstine dans sa politique résolu-
ment hostile aux soviets. M. Lloyd George
croit plus opportun de rétablir les relations.
Le gouvernement anglais s'entend avec les
travaillistes. M. Millerand expulse leurs dé-
légués.
Si la Pologne résistait, les trois Puissan-
ces de l'Entente en seraient très heureuses
et l'on pourrait tenter d'accorder Paris et
Londres sur la base du salut complet de la
Pologne : après quoi les Français se rési-
gneraient peut-être à reprendre les rapports
avec la Russie.
On assure que M. Giolitti, s'il ne règle
pas la Question Adriatique, essaiera de tâ-
ter le terrain aussi bien auprès de M. Lloyd
Georae Í/ne plus tard auprès de M. Mille-
rand. Nos alliés ne peuvent nous refuser
l'application du pacte de Londres. Quant à
Fiume elle va se proclamer indépendante.
M. Giolitti est loin d'avoir rien décidé encore
sur cette question.
GIORNALE D'ITALIA, 20.8.
- A Lucerne, M. Giolitti et M. Lloyd
George ne s'occuperont pas de faits parti-
culiers.
Ils se mettront d'accord sur l'orientation
générale de leur politique. Cette orientation
entraînera, comme naturelle et logique con-
séquence. la solution des nroblèmes parti-
culiers. Lloyd George et Giolitti qui ont une
vision d'ensemble de la politique, euro-
péenne neuvent facilement s'entendre. Ils
sont poussés à l'accord par la conformité
de leur structure intellectuelle, ennemie du
général et amie du concret, par la concor-
dance des intérêts des pays qu'ils représen-
tent, et par le sens qu'ils ont des besoins
et de la volonté des multitudes.
Tous deux ne peuvent vouloir que la paix.
La paix à la vérité, ne peut être assurée
que par l'accord de tous les intéressés ;
mais l'accord préventif des deux princi-
paux hommes d'Etat ne peut avoir qu'une
bienfaisante influence sur toute l'Europe.
Cet accord deviendrait le centre d'attrac-
tion vers lequel tous les autres gravite-
raient.
C'est la première fois, après tant de dé-
sillusions, que l'Italie retrouve une place
dans la nolitique générale. Et l'assentiment
de l'Italie à la nécessité de la cessation du
conflit, russo-polonais a été cité avec grande
satisfaction au Parlement anglais. L'entre-
tien de M. Giolitti et de M. Lloyd George
renforcera certainement notre nouvelle posi-
tion — nous ne pouvons pas dire encore
que notre prestige sera renouvelé, mais ce
sera un acheminement vers la réacquisition
de notre prestige. Ce résultat, qui sera
pour nous un très grand avantage moral,
nous permettra en même temps de faciliter
la solution des problèmes qui nous intéres-
sent.
STAMPA, 20.8.
— L'entrevue entre le chef du gouverne-
ment italien et le chef du gouvernement an-
glais arrive à un moment qui, malgré les
dissentiments de 1919, donne une grande
valeur à cette amitié anglo-italienne qui
doit sa persistance à la communauté des
intérêts bien entendus. Ni l'Italie, ni l'An-
gleterre n'aspirent à se rendre maîtresses
du continent européen ; l'Italie et l'Angle-
terre désirent qu'aucun Etat européen ne
devienne assez puissant pour conquérir
l'hégémonie. L'une et l'autre ont confiance
dans la théorie de l'équilibre qui serait la
pire si elle était sa propre fin, si elle ne
s'inspirait que du dessein cynique d'exciter
les autres à des luttes dont la force de cha-
cun sortirait diminuée, mais qui est excel-
lente si elle est suggérée par la volonté d'as-
surer une vie de dignité aux petites et aux
moyennes nations et de préserver la liberté
de toutes contre les menaces des plus ra-
paces.
L'Empire britannique serait condamné à
mort si l'Europe était unifiée et soumise
par l'un de ses peuples ; et, dans une Eu-
rope ainsi constituée, l'Italie ne pourrait
être qu'esclave. De là viennent la concorde
essentielle entre nos deux politiques et l'in-
succès remporté chez nous par les propa-
gandes anglophobes. Nous n'entendons pas
dire que les intérêts et les idées des deux
pays coïncident sur tous les sujets ; il fau-
drait avoir bien peu de mémoire pour effa-
cer le souvenir des expériences de 1919,
lorsque dans tous les problèmes qui inté-
ressaient notre nation nous trouvâmes en
l'Angleterre un adversaire, ou une amie
trop tiède. Son opposition contribua nette-
ment à laisser irrésolues des questions qui,
encore aujourd'hui, sont ouvertes comme
des plaies, mais dans le cadre des événe-
ments généraux, beaucoup de choses ont
changé depuis, et, si Lloyd George est resté
au pouvoir, ses idées sur la route à suivre
ont subi une évolution qui, à certains
égards, est proprement une révolution.
Dans les conférences interalliées de ces
derniers temps, l'Italie et l'Angleterre ont
adopté presque régulièrement la même li-
gne de conduite, et San Remo fut l'épisode
décisif de ce rapprochement. Le ministère
Giolitti n'a fait, et il ne pouvait faire que
développer, sur tous les problèmes capi-
taux, la politique inauguréé par Nitti. Spa
fut la continuation de San Remo. Lucerne
sera probablement la suite logique de Spa.
Les bases de l'avenir consistent, selon
nous comme selon la politique actuelle du
gouvernement britannique, dans l'accord
graduel avec l'Allemagne et avec la Russie.
Le moment est très délicat, mais la reprise
de la résistance polonaise est une donnée
de fait qui, tempérant l'orgueil belliqueux
des Russes, peut servir à de justes média-
tions. Dans tout ce mouvement, l'Italie
peut être une excellente associée de l'Angle-
terre. Il est nécessaire d'ajouter que notre
concours serait beaucoup plus libre et plus
efficace si nos frontières orientales étaient
enfin déterminées, et aussi que nous pour-
rions coopérer plus activement à la paix
des autres, si nous avions enfin la nôtre.
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