Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-08-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 août 1920 14 août 1920
Description : 1920/08/14 (T15,N1525). 1920/08/14 (T15,N1525).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6238532p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
f MINISTÈRES
DES
Maires étrangères
ET DE LA GUERRE
N° 1525
Samedi 14 Août 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont des
reaumes. il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'entrevue de Hythe
(Berliner Tageblatt, Frankfurter Zei-
tung).
PRESSE ANGLAISE. — La reconnaissance du
gouvernement Wrangel (Daily Express,
Daily Télégraphe Times, Daily Chroni-
cle, Daily News, Manchester Guardian,
Morning Post).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'accord de Spa sur
le charbon (Washington Post). — La
vente des stocks américains aux Alliés
(Bradstreet's).
PRESSE HOLLANDAISE. — Les Jeunesses Gom-
munistes en Orient (Tribune). —_ La
question des langues en Belgique
(Nieuwe Courant).
PRESSE ITALIENNE. — L'entrevue de Hythe
(Tribuna, Giornale d'Italia). — L'atti-
tude de l'Italie dans la guerre russo-
polonaise (Messaggero Corriere d'Ita-
lia) ; l'entrevue Lloyd George-Gioliti
(Idea Nazionale) ; le socialisme polonais
et le socialisme italien (Resto del Car-
lino, Avanti) ; la délégation commerciale
des Soviets en Italie (Tribuna). — La
Russie et les Etats limitrophes (Stam.
pa). — L'annule des Soviets (Corriere
della Sera). — Interview du comte
Bernstorff sur l'Allemagne et la So-
ciété des Nations (Secolo).
PRESSE SUISSE. — L'entrevue de Hythe (Ber-
ner Tagblatt).
POLITIQUE GENERALE v
ET DIPLOMATIE
RUSSIE ET POLOGNE
LA RECONNAISSANCE DU GOUVER-
NEMENT WRANGEL. — PRESSE ANGLAISE.
- La presse de Londres, à une seule ex-
ception près, est maintenant en faveur de
la paix avec la Russie, et stupéfaite de
l'indiscrétion commise à Paris par quel-
qu'un qui cherche à entraîner l'Angleterre
à la guerre. Il n'y a aucun doute que la
presse représente la grande masse de l'opi-
nion publique et ministérielle. Nous ne
sommes nullement enclins à une nouvelle
guerre même si nos charges étaient
fort limitées, et si la France en désire une
^lie peut s'en payer seule le plaisir.
Quoi que la France puisse faire, notre
Politique est claire. La Pologne doit être
sauvée, autant que possible, des consé-
quences de sa propre folie ; et une paix gé-
nérale, couvrant tous les problèmes, doit
être rapidement conclue avec la Russie.
DAILY EXPRESS [unioniste-coalitionniste],
13.8.
- Le premier ministre pouvait seulement
espérer que la déclaration semi-officielle
avait été faite par erreur et ne représentait
pas exactement l'attitude du gouvernement
français. Mais il devient évident qu'elle était
tout à fait officielle et M. Millerand n'en dé-
savoue pas la responsabilité. Les journaux
de Paris insinuent qu'il y a là une sorte de
mesure de représailles à .l'égard de M.
Lloyd George pour avoir souscrit aux con-
ditions de paix des Soviets, puibliées (ou édi-
tées) par M. Kamenev, sans consulter le
gouvernement français. Heureusement
cette théorie s'écroule en raison du fait que
la décision relative à Wrangel a été prise
mardi matin, alors que les conditions faites
par les Soviets aux Polonais n'ont pas été
connues par notre gouvernement avant
mardi après midi. Cependant le seul fait
qu'une telle théorie ait été émise indique un
état d'esprit auquel les hommes d'Etat des
deux pays ont le devoir de remédier par
tous les moyens à leur disposition. Un dé-
saccord réel entre les deux grandes puis-
sances de l'Entente serait une calamité si
sérieuse que nous sommes sûrs qu'on ne la
laissera pas se produire. Les ennemis
de l'Entente déclarent déjà avec joie qu'elle
a été durement éprouvée, et nous ne pou-
vons pas être surpris de leur satisfaction,
bien que nous croyions qu'elle est mal fon-
dée.
DAILY TELEGRAPH, [unioniste
coalitionniste], 13.8.
— L'authenticité de la communication
française ne saurait être mise plus long-
temps eh doute. Nous déplorons cette dé-
cision comme une faute diplomatique, qui
en tout temps eût été un manque de tact,
et aujourd'hui est particulièrement inoppor-
tune. Mais, bien que ce soit une faute, il
y a des circonstances atténuantes, dont
quelques-unes étaient inconnues hier du
public. En premier lieu, notre gouverne-
ment a envoyé mardi une note à la Polo-
gne, sans consulter les Français, quoique
le texte de la note ait été expédié simulta-
nément à Varsovie et à Paris. Quelques
journaux français ont suggéré que l'irri-
tation produite par l'envoi de cette note, ou
par son caractère, avait poussé M. Mille-
rand et ses collègues à reconnaître le gou-
vernement Wrangel. Une action nrocédant
de semblables motifs n'aurait fait - que
d'honneur au gouvernement d'une grande
nation, au milieu d'une crise dangereuse
et inquiétante. La suggestion se trouve
heureusement démentie par l'horloge. Le
cabinet français a pris sa décision à dix
heures et demie mercredi matin, et la note
anglaise n'est parvenue au Quai d'Orsay
qu'à midi et demi. M. Millerand, comme
nous l'avons plus d'une fois rappelé à nos
lecteurs, s'était d'autre part engagé dès le
20 juillet à reconnaître le gouvernement
Wrangel si certaines conditions étaient
remplies.
Nous ne pouvons pas ne pas imaginer
cependant que le mécontentement provo-
qué par l'attitude anglaise à Hythe sur une
question importante de politique extérieure
peut avoir eu l'influence attribuée à tort
au ressentiment causé par la note anglaise
à la Pologne. On sait que les Français
étaient partisans d'une politique plus réso-
lue (tant à l'égard des Allemands que des
bolchevistes) que celle exposée lundi par
M. Lloyd George.
Néanmoins nous estimons que tout ma-
lentendu né des conversations de Hythe ou
de la reconnaissance de Wrangel doit s'ar-
ranger. Le facteur capital de la situation
internationale est la nécessité d'une en-
tente étroite entre l'Angleterre et la
France. Si elles ne se soutiennent pas.
l'une et J'autre, elles s'effondreront sépa-
rément. Ceci est clair aux yeux du public
des deux côtés de la Manche. Le commu-
niqué publié hier à Paris, après l'entretien
du chargé d'affaires britanniques et le se-
crétaire général du ministère des Affaires
étrangères, les paroles de M. Lloyd George
au banquet des libéraux coalitionnistes, le
discours de M. Millerand à Noyon, nous
fournissent la preuve que les gouverne
ments et les hommes d'Etat ne sont nul-
lement disposés à oublier cette vérité pre-
mière.
TIMES [unioniste], 13.8.
— La façon même dont la communication
a été faite, sa publication sitôt après la Con-
férence de Hythe et immédiatement après le
discours de M. Lloyd George, sans discus-
sion avec notre Foreign Office, ont fait (nous
sommes contraints de le dire) une impres-
sion profonde sur notre pays. De quelque
façon cependant qu'on l'envisage, elle n'a
rien de comparable à J'action indépendante
de la France lors de l'occupation de Franc-
fort. Et après l'incident de Francfort
même, bien que nous ayons formulé des
protestations, nous n'avons pris aucune me-
sure pour nous dissocier de la France, mais
avons continué à coopérer avec elle dans
l'union la plus étroite.
Nous reconnaissons pleinement le fait que
les Français ont toujours eu des vues sen-
siblement différentes des nôtres en ce qui
concerne la Russie. Nous n'avons pas be-
soin d'ajouter que nous constatons, avec le
plus profond regret, ces divergences entre
nous et les plus vieux comme les plus chers
de nos alliés (ou du moins le gouvernement
qui les représente). Il ne sert de rien, tou-
tefois, de dissimuler ces divergences réelles
Sur cette question, le peuple britannique est
plus uni qu'il n'a jamais été sur aucune
question avant que la guerre ne reléguât
tout au second plan. La Grande-Bretagne
est entièrement derrière M. Lloyd George.
Unionistes, Libéraux, Travaillistes, avec
quelques rares exceptions, sont résolument
hostiles, non seulement à une guerre avec
la Russie, mais à toute continuation de la
la Russie, mais illogique d'une guerre qui
n'était pas une guerre. Si le gouvernement
des Soviets tient sa parole à l'égard de la
Pologne, la conduite à suivre est fort claire.
La France doit comprendre que si elle en-
tend poursuivre une politique consistant à
soutenir en Russie un parti contre un autre,
à lui fournir des munitions, des conseils, de
l'argent, elle aura à agir seule.
DAILY CHRONICLE [libéral
coalitionniste], 13-8.
DES
Maires étrangères
ET DE LA GUERRE
N° 1525
Samedi 14 Août 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont des
reaumes. il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'entrevue de Hythe
(Berliner Tageblatt, Frankfurter Zei-
tung).
PRESSE ANGLAISE. — La reconnaissance du
gouvernement Wrangel (Daily Express,
Daily Télégraphe Times, Daily Chroni-
cle, Daily News, Manchester Guardian,
Morning Post).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'accord de Spa sur
le charbon (Washington Post). — La
vente des stocks américains aux Alliés
(Bradstreet's).
PRESSE HOLLANDAISE. — Les Jeunesses Gom-
munistes en Orient (Tribune). —_ La
question des langues en Belgique
(Nieuwe Courant).
PRESSE ITALIENNE. — L'entrevue de Hythe
(Tribuna, Giornale d'Italia). — L'atti-
tude de l'Italie dans la guerre russo-
polonaise (Messaggero Corriere d'Ita-
lia) ; l'entrevue Lloyd George-Gioliti
(Idea Nazionale) ; le socialisme polonais
et le socialisme italien (Resto del Car-
lino, Avanti) ; la délégation commerciale
des Soviets en Italie (Tribuna). — La
Russie et les Etats limitrophes (Stam.
pa). — L'annule des Soviets (Corriere
della Sera). — Interview du comte
Bernstorff sur l'Allemagne et la So-
ciété des Nations (Secolo).
PRESSE SUISSE. — L'entrevue de Hythe (Ber-
ner Tagblatt).
POLITIQUE GENERALE v
ET DIPLOMATIE
RUSSIE ET POLOGNE
LA RECONNAISSANCE DU GOUVER-
NEMENT WRANGEL. — PRESSE ANGLAISE.
- La presse de Londres, à une seule ex-
ception près, est maintenant en faveur de
la paix avec la Russie, et stupéfaite de
l'indiscrétion commise à Paris par quel-
qu'un qui cherche à entraîner l'Angleterre
à la guerre. Il n'y a aucun doute que la
presse représente la grande masse de l'opi-
nion publique et ministérielle. Nous ne
sommes nullement enclins à une nouvelle
guerre même si nos charges étaient
fort limitées, et si la France en désire une
^lie peut s'en payer seule le plaisir.
Quoi que la France puisse faire, notre
Politique est claire. La Pologne doit être
sauvée, autant que possible, des consé-
quences de sa propre folie ; et une paix gé-
nérale, couvrant tous les problèmes, doit
être rapidement conclue avec la Russie.
DAILY EXPRESS [unioniste-coalitionniste],
13.8.
- Le premier ministre pouvait seulement
espérer que la déclaration semi-officielle
avait été faite par erreur et ne représentait
pas exactement l'attitude du gouvernement
français. Mais il devient évident qu'elle était
tout à fait officielle et M. Millerand n'en dé-
savoue pas la responsabilité. Les journaux
de Paris insinuent qu'il y a là une sorte de
mesure de représailles à .l'égard de M.
Lloyd George pour avoir souscrit aux con-
ditions de paix des Soviets, puibliées (ou édi-
tées) par M. Kamenev, sans consulter le
gouvernement français. Heureusement
cette théorie s'écroule en raison du fait que
la décision relative à Wrangel a été prise
mardi matin, alors que les conditions faites
par les Soviets aux Polonais n'ont pas été
connues par notre gouvernement avant
mardi après midi. Cependant le seul fait
qu'une telle théorie ait été émise indique un
état d'esprit auquel les hommes d'Etat des
deux pays ont le devoir de remédier par
tous les moyens à leur disposition. Un dé-
saccord réel entre les deux grandes puis-
sances de l'Entente serait une calamité si
sérieuse que nous sommes sûrs qu'on ne la
laissera pas se produire. Les ennemis
de l'Entente déclarent déjà avec joie qu'elle
a été durement éprouvée, et nous ne pou-
vons pas être surpris de leur satisfaction,
bien que nous croyions qu'elle est mal fon-
dée.
DAILY TELEGRAPH, [unioniste
coalitionniste], 13.8.
— L'authenticité de la communication
française ne saurait être mise plus long-
temps eh doute. Nous déplorons cette dé-
cision comme une faute diplomatique, qui
en tout temps eût été un manque de tact,
et aujourd'hui est particulièrement inoppor-
tune. Mais, bien que ce soit une faute, il
y a des circonstances atténuantes, dont
quelques-unes étaient inconnues hier du
public. En premier lieu, notre gouverne-
ment a envoyé mardi une note à la Polo-
gne, sans consulter les Français, quoique
le texte de la note ait été expédié simulta-
nément à Varsovie et à Paris. Quelques
journaux français ont suggéré que l'irri-
tation produite par l'envoi de cette note, ou
par son caractère, avait poussé M. Mille-
rand et ses collègues à reconnaître le gou-
vernement Wrangel. Une action nrocédant
de semblables motifs n'aurait fait - que
d'honneur au gouvernement d'une grande
nation, au milieu d'une crise dangereuse
et inquiétante. La suggestion se trouve
heureusement démentie par l'horloge. Le
cabinet français a pris sa décision à dix
heures et demie mercredi matin, et la note
anglaise n'est parvenue au Quai d'Orsay
qu'à midi et demi. M. Millerand, comme
nous l'avons plus d'une fois rappelé à nos
lecteurs, s'était d'autre part engagé dès le
20 juillet à reconnaître le gouvernement
Wrangel si certaines conditions étaient
remplies.
Nous ne pouvons pas ne pas imaginer
cependant que le mécontentement provo-
qué par l'attitude anglaise à Hythe sur une
question importante de politique extérieure
peut avoir eu l'influence attribuée à tort
au ressentiment causé par la note anglaise
à la Pologne. On sait que les Français
étaient partisans d'une politique plus réso-
lue (tant à l'égard des Allemands que des
bolchevistes) que celle exposée lundi par
M. Lloyd George.
Néanmoins nous estimons que tout ma-
lentendu né des conversations de Hythe ou
de la reconnaissance de Wrangel doit s'ar-
ranger. Le facteur capital de la situation
internationale est la nécessité d'une en-
tente étroite entre l'Angleterre et la
France. Si elles ne se soutiennent pas.
l'une et J'autre, elles s'effondreront sépa-
rément. Ceci est clair aux yeux du public
des deux côtés de la Manche. Le commu-
niqué publié hier à Paris, après l'entretien
du chargé d'affaires britanniques et le se-
crétaire général du ministère des Affaires
étrangères, les paroles de M. Lloyd George
au banquet des libéraux coalitionnistes, le
discours de M. Millerand à Noyon, nous
fournissent la preuve que les gouverne
ments et les hommes d'Etat ne sont nul-
lement disposés à oublier cette vérité pre-
mière.
TIMES [unioniste], 13.8.
— La façon même dont la communication
a été faite, sa publication sitôt après la Con-
férence de Hythe et immédiatement après le
discours de M. Lloyd George, sans discus-
sion avec notre Foreign Office, ont fait (nous
sommes contraints de le dire) une impres-
sion profonde sur notre pays. De quelque
façon cependant qu'on l'envisage, elle n'a
rien de comparable à J'action indépendante
de la France lors de l'occupation de Franc-
fort. Et après l'incident de Francfort
même, bien que nous ayons formulé des
protestations, nous n'avons pris aucune me-
sure pour nous dissocier de la France, mais
avons continué à coopérer avec elle dans
l'union la plus étroite.
Nous reconnaissons pleinement le fait que
les Français ont toujours eu des vues sen-
siblement différentes des nôtres en ce qui
concerne la Russie. Nous n'avons pas be-
soin d'ajouter que nous constatons, avec le
plus profond regret, ces divergences entre
nous et les plus vieux comme les plus chers
de nos alliés (ou du moins le gouvernement
qui les représente). Il ne sert de rien, tou-
tefois, de dissimuler ces divergences réelles
Sur cette question, le peuple britannique est
plus uni qu'il n'a jamais été sur aucune
question avant que la guerre ne reléguât
tout au second plan. La Grande-Bretagne
est entièrement derrière M. Lloyd George.
Unionistes, Libéraux, Travaillistes, avec
quelques rares exceptions, sont résolument
hostiles, non seulement à une guerre avec
la Russie, mais à toute continuation de la
la Russie, mais illogique d'une guerre qui
n'était pas une guerre. Si le gouvernement
des Soviets tient sa parole à l'égard de la
Pologne, la conduite à suivre est fort claire.
La France doit comprendre que si elle en-
tend poursuivre une politique consistant à
soutenir en Russie un parti contre un autre,
à lui fournir des munitions, des conseils, de
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