Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 01 juillet 1920 01 juillet 1920
Description : 1920/07/01 (T15,N1488). 1920/07/01 (T15,N1488).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6238495v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 MINISTtRES
n P, s
TRanGERES
I I EtD^f ^GUERRE
N° 1488
Jeudi 1er Juillet 1920.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLEMANDE. - Le nouveau üabinet
PRESSE ATTEMande- - Le nouveau cabinet
{Frank* et la Conférence de Spa
rankturter Zeitung; H. von Gerlach
iaW Montag). - La politique
franco-ini- : les déclarations de
Tard à la Chambre des députés
(Rheini ~^es^ae^sche Zeitung). -
La rec nS^ruction du nord de la France
(Vorujârts).
T ANGLAISE. - L'offensive grecque en
e L'offensive grecque en
Turquie A!fv 1estern Daily Press). - Le
p ,ebiSCIte de Teschen (A. G. Gardiner
~n. Westminster Gazette).
réE, BOLLANDAISE. — La Hollande et le
b glIne du Hhin (Algemeen Handels-
blad)
^ nifegt Q dirigeants socialistes (Cor-
riere ^,j. a^a) î la propagande révolu-
tionria • 6 (Corriere della Sera). — La
^uti'ner16 d'Ancône et l'occupation en
Albani (Epoca) — Le programme de
la OllshtUblOn; discours de M. Turati à
Sa Chambre le 26 juin (Corriere della
f politique genekalb
ET DIPLOMATIE ,
Ai-LIÉS ET L'ALLEMAGNE
CABINET ALLEMAND
(ée : Il e FT-RÉXC:E DE SPA. - De Ber-
ee il l st a craindre que la lenteur appor-
ee a la titution du nouveau' cabinet, le
îUe de decISion et l'absence de tout sen-
hv] de responsabilité pèsent lourdement
84 r 1 a to^t lie^ de l'Allemagne.
on ?!ri extérieure de l'Allemagne,
hr heu de redouter que le nouveau
90111) elneinent banque d'au,torité à Spa, car
n ^te de
C1éParat' de la désorganisation politique, sa
à î Conférence est défectueuse.
v0n:a l n^docier à Spa ont-ils bien
~!, 'es dnn
er}ts préparés par les spé-
toUtPe« ? Ai,rfnt'^s encore le temps et le
calm e néces^nl^es V®ur bien se pénétrer de
^VlrJ^Posé wie de faits ? Or, c'est par le
( Plornat. e des laits et non par les ruses
,ePWf s^cci>^Ue l'Allemagne peut obtenir
e L'Entente aura à Spa des
re ilprése ntant de premier ordre, auxquels
re du tac au tac. Il faut
%c fa* finir ?Vec cette résignation du dé-
see Pllir La l dure depuis la signature du
ÎUe/crio e actuelle vient de ce qu'il y
Q qu elque hase de changé dans la situation
des puissances victorieuses et c'est la situa-
tion financière et économique de la France
qui pousse les chefs politiques à chercher à
réaliser l'inexécutable Traité de Versailles
C'est une faute de la part des Allemands
de se représenter nos adversaires unique-
ment comme d'avides criminels qui, pour
la joie de voir mourir un être, veulent nous
arracher le cœur de la poitrine. Il faut bien
qu'on se rende compte aussi de ce qu'a souf-
fert la France et des sacrifices qu'elle a
faits', pour trouver le genre de négociations
qui puisse exercer quelque action sur le
vainqueur. Il ne peut être question ni de
manifester notre indignation, ce qui ne se-
rait pas compris, ni de faire appel à la gé-
nérosité ennemie, ce qui pour nous serait
avilissant. La seule chose possible, c'est
d'exposer sans passion notre situation et de
prouver, au cours de la discussion, que
dans le cadre de notre impuissance écono-
mique nous avons la volonté de remplir nos
obligations.
Ce qui occupe les gouvernants aujour-
d'hui, c'est tout l'ensemble de la question
économique européenne. Du côté allemand,
il y aurait infiniment plus de facilité pour
négocier si l'on se départait un peu de la
manière de voir exclusivement allemande
et si l'on arrivait là se rapproqher de la
conception européenne, pour montrer com-
ment, dans le cadre de la reconstitution con-
tinentale, on peut aider l'Allemagne et com-
ment cette reconstituiton serait hâtée par
l'aide que fourniraient la compétence éco-
nomique de l'Allemagne et le travail alle-
mand.
Une représentation insuffisante de l'Alle-
magne ou une préparation hâtive et
peut-être simplement négative de notre plai-
doyer auraient pour nous sans doute des
conséquences graves. Ce peut être là une
occasion qui ne se représentera jamais.
Malheureusement, aux questions décisi-
ves de l'indemnité et de la reconstruction,
on a mêlé une autre question qui n'a rien
à voir avec elles : celle du désarmement
de l'Allemagne et de la réduction de la
Reicbswethr. Il faut s'attendre à trouver
sur ce point l'Entente intraitable. La ques-
tion du désarmement fournit à ceux qui
en France visent à déchirer l'Allemagne,
l'occasion de poursuivre leurs plans, si la
France se voit déçue dans les livraisons que
nous devons effectuer. Sur cette question
le gouvernement anglais se place aux côtés
de la France. Si dans la question de la
Reichswehr on en arrivait à une rupture,
ce serait funeste pour l'Allemagne et nous
risquerions fort de perdre dans les autres
pays les avocats que nous y avons encore.
Ce n'est pas sans raisons que le gouver-
nement allemand défend ce point de vue
qu'étant données les circonstances présen-
tes, on ne peut songer à dissoudre la garde
d'habitants que si la paix peut être en quel-
que sorte garantie par le maintien d'une
forte Reiohswehr.
FRANKFURTER ZEITUNG, 25.6 matin.
— -Quiconque met de côté toute politique
de parti, doit être reconnaissant au Centre
d'avoir fait le sacrifice, dans la situation si
embrouillée où nous sommes, d'assumer la
direction et de former le gouvernement.
Mais j'aurais notamment souhaité qu'un
autre que Fehrenbach, le Dr. Wirth par
exemple, fût présenté par le Centre comme
chancelier. Et cela à cause de la politique
extérieure qui va être au premier plan. —
Le chancelier doit se rendre dans quelques
jours à Spa mais Fehrenbach a prononcé
le 12 mai 1919, comme président de l'Assem-
blée Nationale, un discours qui ne me sem-
ble pas propre à servir de prélude à Spa.
Fehrenbach avait dit dans son discours
qu'il ne SAVAIT PAS, mais qu'il était possible
que les derniers actes des gouvernants alle-
mands avant la guerre eussent pu faire
croire que l'Allemagne avait provoqué la
guerre, mais il avait affirmé que toute la
responsabilité des causes de la guerre pesait
sur les ennemis.
Fehrenbach a choisi, pour l'accompagner
dans son très difficile voyage à Spa, le nou-
veau ministre des Affaires Etrangères M.
Simons, et c'est là une chose heureuse.
J'ai toujours eu l'impression que Simons
était un des rares Allemands ayant su
échapper complètement ou presque complè-
tement à la psychose de la guerre. Il m'a
toujours semblé que l'idée du droit était la
base même de tous ses actes. Dans les
jours graves et décisifs qui ont précédé la
Révolution, alors qu'il était aux côtés du
prince Max de Bade, il a montré qu'il se
rendait compte des fautes commises par le
système alors en vigueur et qu'il compre-
nait les besoins des temps nouveaux et cela,
on ne l'avait pas encore rencontré chez un
fonctionnaire de l'ancien régime.
Fehrenbach et Simons devront servir à
Spa les intérêts véritables du peuple alle-
mand et concentrer à cette fin toutes leurs
forces sur les questions financières et écono-
miques.
Quant au désarmement : Il n'est pas faci-
le, pratiquement, d'y procéder. Et ç'a été "e
grand crime politique de Noske de faire pro-
céder sans cesse à des enrôlements nou-
veaux au lieu de désarmer graduellement.
Et maintenant nous avons encore toute
cette masse inutile de soldats et d'officiers.
On ne peut pas simplement les jeter à la rue
et leur donner des secours de chômage
après que le gouvernement lui-même les a
attirés vers ce métier improductif. Il faut,
au moins, que pour un certain temps on
leur assure l'existence, comme cela, a été
fait autrefois pour les ouvriers de certaines
industries (fabrication des, cigares par exem-
ple) lorsque cértaines lois les eurent privés
de leur gagne-pain.
Mais ils ne doivent plus être soldats, ils
ne doivent plus être armés. Il faut qu'on
leur assure pendant un certain temps l'exis-
tence pour que, sans souci du lendemain,
ils puissent se tourner vers un travail utile.
Aujourd'hui, ils SEMBLENT un danger pour
l'étranger, ils SONT un danger pour la paix
intérieure, ils sont improductifs et le reste-
ront s'ils demeurent soldats.
Fehrenbach aura derrière lui toute la
n P, s
TRanGERES
I I EtD^f ^GUERRE
N° 1488
Jeudi 1er Juillet 1920.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLEMANDE. - Le nouveau üabinet
PRESSE ATTEMande- - Le nouveau cabinet
{Frank* et la Conférence de Spa
rankturter Zeitung; H. von Gerlach
iaW Montag). - La politique
franco-ini- : les déclarations de
Tard à la Chambre des députés
(Rheini ~^es^ae^sche Zeitung). -
La rec nS^ruction du nord de la France
(Vorujârts).
T ANGLAISE. - L'offensive grecque en
e L'offensive grecque en
Turquie A!fv 1estern Daily Press). - Le
p ,ebiSCIte de Teschen (A. G. Gardiner
~n. Westminster Gazette).
réE, BOLLANDAISE. — La Hollande et le
b glIne du Hhin (Algemeen Handels-
blad)
^
riere ^,j. a^a) î la propagande révolu-
tionria • 6 (Corriere della Sera). — La
^uti'ner16 d'Ancône et l'occupation en
Albani (Epoca) — Le programme de
la OllshtUblOn; discours de M. Turati à
Sa Chambre le 26 juin (Corriere della
f politique genekalb
ET DIPLOMATIE ,
Ai-LIÉS ET L'ALLEMAGNE
CABINET ALLEMAND
(ée : Il e FT-RÉXC:E DE SPA. - De Ber-
ee il l st a craindre que la lenteur appor-
ee a la titution du nouveau' cabinet, le
îUe de decISion et l'absence de tout sen-
hv] de responsabilité pèsent lourdement
84 r 1 a to^t lie^ de l'Allemagne.
on ?!ri extérieure de l'Allemagne,
hr heu de redouter que le nouveau
90111) elneinent banque d'au,torité à Spa, car
n ^te de
C1éParat' de la désorganisation politique, sa
à î Conférence est défectueuse.
v0n:a l n^docier à Spa ont-ils bien
~!, 'es dnn
er}ts préparés par les spé-
toUtPe« ? Ai,rfnt'^s encore le temps et le
calm e néces^nl^es V®ur bien se pénétrer de
^VlrJ^Posé wie de faits ? Or, c'est par le
( Plornat. e des laits et non par les ruses
,ePWf s^cci>^Ue l'Allemagne peut obtenir
e L'Entente aura à Spa des
re ilprése ntant de premier ordre, auxquels
re du tac au tac. Il faut
%c fa* finir ?Vec cette résignation du dé-
see Pllir La l dure depuis la signature du
ÎUe/crio e actuelle vient de ce qu'il y
Q qu elque hase de changé dans la situation
des puissances victorieuses et c'est la situa-
tion financière et économique de la France
qui pousse les chefs politiques à chercher à
réaliser l'inexécutable Traité de Versailles
C'est une faute de la part des Allemands
de se représenter nos adversaires unique-
ment comme d'avides criminels qui, pour
la joie de voir mourir un être, veulent nous
arracher le cœur de la poitrine. Il faut bien
qu'on se rende compte aussi de ce qu'a souf-
fert la France et des sacrifices qu'elle a
faits', pour trouver le genre de négociations
qui puisse exercer quelque action sur le
vainqueur. Il ne peut être question ni de
manifester notre indignation, ce qui ne se-
rait pas compris, ni de faire appel à la gé-
nérosité ennemie, ce qui pour nous serait
avilissant. La seule chose possible, c'est
d'exposer sans passion notre situation et de
prouver, au cours de la discussion, que
dans le cadre de notre impuissance écono-
mique nous avons la volonté de remplir nos
obligations.
Ce qui occupe les gouvernants aujour-
d'hui, c'est tout l'ensemble de la question
économique européenne. Du côté allemand,
il y aurait infiniment plus de facilité pour
négocier si l'on se départait un peu de la
manière de voir exclusivement allemande
et si l'on arrivait là se rapproqher de la
conception européenne, pour montrer com-
ment, dans le cadre de la reconstitution con-
tinentale, on peut aider l'Allemagne et com-
ment cette reconstituiton serait hâtée par
l'aide que fourniraient la compétence éco-
nomique de l'Allemagne et le travail alle-
mand.
Une représentation insuffisante de l'Alle-
magne ou une préparation hâtive et
peut-être simplement négative de notre plai-
doyer auraient pour nous sans doute des
conséquences graves. Ce peut être là une
occasion qui ne se représentera jamais.
Malheureusement, aux questions décisi-
ves de l'indemnité et de la reconstruction,
on a mêlé une autre question qui n'a rien
à voir avec elles : celle du désarmement
de l'Allemagne et de la réduction de la
Reicbswethr. Il faut s'attendre à trouver
sur ce point l'Entente intraitable. La ques-
tion du désarmement fournit à ceux qui
en France visent à déchirer l'Allemagne,
l'occasion de poursuivre leurs plans, si la
France se voit déçue dans les livraisons que
nous devons effectuer. Sur cette question
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de la France. Si dans la question de la
Reichswehr on en arrivait à une rupture,
ce serait funeste pour l'Allemagne et nous
risquerions fort de perdre dans les autres
pays les avocats que nous y avons encore.
Ce n'est pas sans raisons que le gouver-
nement allemand défend ce point de vue
qu'étant données les circonstances présen-
tes, on ne peut songer à dissoudre la garde
d'habitants que si la paix peut être en quel-
que sorte garantie par le maintien d'une
forte Reiohswehr.
FRANKFURTER ZEITUNG, 25.6 matin.
— -Quiconque met de côté toute politique
de parti, doit être reconnaissant au Centre
d'avoir fait le sacrifice, dans la situation si
embrouillée où nous sommes, d'assumer la
direction et de former le gouvernement.
Mais j'aurais notamment souhaité qu'un
autre que Fehrenbach, le Dr. Wirth par
exemple, fût présenté par le Centre comme
chancelier. Et cela à cause de la politique
extérieure qui va être au premier plan. —
Le chancelier doit se rendre dans quelques
jours à Spa mais Fehrenbach a prononcé
le 12 mai 1919, comme président de l'Assem-
blée Nationale, un discours qui ne me sem-
ble pas propre à servir de prélude à Spa.
Fehrenbach avait dit dans son discours
qu'il ne SAVAIT PAS, mais qu'il était possible
que les derniers actes des gouvernants alle-
mands avant la guerre eussent pu faire
croire que l'Allemagne avait provoqué la
guerre, mais il avait affirmé que toute la
responsabilité des causes de la guerre pesait
sur les ennemis.
Fehrenbach a choisi, pour l'accompagner
dans son très difficile voyage à Spa, le nou-
veau ministre des Affaires Etrangères M.
Simons, et c'est là une chose heureuse.
J'ai toujours eu l'impression que Simons
était un des rares Allemands ayant su
échapper complètement ou presque complè-
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toujours semblé que l'idée du droit était la
base même de tous ses actes. Dans les
jours graves et décisifs qui ont précédé la
Révolution, alors qu'il était aux côtés du
prince Max de Bade, il a montré qu'il se
rendait compte des fautes commises par le
système alors en vigueur et qu'il compre-
nait les besoins des temps nouveaux et cela,
on ne l'avait pas encore rencontré chez un
fonctionnaire de l'ancien régime.
Fehrenbach et Simons devront servir à
Spa les intérêts véritables du peuple alle-
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Quant au désarmement : Il n'est pas faci-
le, pratiquement, d'y procéder. Et ç'a été "e
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Et maintenant nous avons encore toute
cette masse inutile de soldats et d'officiers.
On ne peut pas simplement les jeter à la rue
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au moins, que pour un certain temps on
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fait autrefois pour les ouvriers de certaines
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de leur gagne-pain.
Mais ils ne doivent plus être soldats, ils
ne doivent plus être armés. Il faut qu'on
leur assure pendant un certain temps l'exis-
tence pour que, sans souci du lendemain,
ils puissent se tourner vers un travail utile.
Aujourd'hui, ils SEMBLENT un danger pour
l'étranger, ils SONT un danger pour la paix
intérieure, ils sont improductifs et le reste-
ront s'ils demeurent soldats.
Fehrenbach aura derrière lui toute la
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