Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-06-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 juin 1920 26 juin 1920
Description : 1920/06/26 (T15,N1484). 1920/06/26 (T15,N1484).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62384916
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MUR"'
MINISTtnEs
1 DES
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',Er DE LA G UEHRE
N° 1484
Samedi 26 Juin 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
,%or
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont dM
resumes. il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
: E E A - L'exécution du traité
ft de Versailles : les moyens de con-
| tramte de la France et de la Grande-
t Bretagne (A. Rechberg dans München.
Augsburger Abendzeitung). — Le Dr
Sunons, ministre des Affaires étrangè-
res (A. Redlich dans Vossische Zei-
tung).
ESSE AMÉRICAINE. — Le recensement de la
Population aux Etats-Unis (New York
P Tlmes Evening Post).
ItE:SSE ANGLAISE. — La Conférence de Bou-
logne, (Times, Globe, Glasgow Herald).
- L occupation britannique en Méso.
• Dotamie : le débat des Communes du
23 jÜin (Pall Mail Gazette, Glosgow Ile-
laid., Trish Times Westminster Ga-
anihi vtàty Chronicle). — Le commerce
î"eman^ : déclaration de Sir Ro-
bert Horne, président du Board of
Trade (Times).
^eSPagnole- — L'Espagne et Tanger
(Diatio Universal). - L'intervention de
arniée grecque en Turquie (Corres-
Pondencia de Espana).
REssE ILALIEN E. — La part de l'Italie dans
indemnité (Corriere della Sera). —
L'Intervention italienne en Albanie
\Luigi Federzoni dans Idea Nazionale).
- Les désordres de Milan (Corriere
dcllâ Sera).
--
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
• LEs ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
U«e1imi?IFERENCE DE BOULOGNE. -
logne r.°rta-nte décision a été prise à Bou-
Les Alliés ont résolu d'insister sur
l'obseVv a stricte des clauses relatives
Hon désarrïlement dexl'Allemagne. L'exécu-
tipn (je Ces clauses, comme nous l'avions
répété a "Tîntes reprises, est un prélimi-
naire i.nril•sPe,nsable à l'exécution du reste.
ta mic §ne armée ne se résignera pas
à la mise vigueur du traité. Elle l'a dé-
Montré Jh lairement et par ses actes et par
SOlt dés l,es. En conséquence, il faut qu'elle
e' à moins qu'on ne veuille
r?viser ]! , raité dans le sens qu'elle désire,
!lUri sraiîP cède aux demandes explicites
v? >es nombre de ses hommes d'Etat,
~®ts_ et de ses publicistes. Les
ies Glit dissipé toutes les équivoques et
t i*U* y f ambiguïtés ; ils ont dégagé les
dOit désaexactes du problème. L'Allemagne
sOn r er' ou sufrir les conséquences
Les conséquences ont été dis-
eutées par la Conférence et les sanctions à
prendre, en cas d'entêtement de la part de
l'Allemagne, ont été envisagées. L'accord
de la France et de l'Angleterre au sujet, de
la destruction du matériel de guerre et de
la réduction des effectifs a été aussi com-
plet et aussi cordial qu'on pouvait le dési-
rer. Cet accord, il est superflu d'y insister
a rendu possibles les décisions prises, qui
sont un pas sérieux vers l'exécution du
traité!. Le désarmement, — pour employer
la formule heureuse dont s'est servi
M. Millerand en causant à un de nos cor-
respondants; — est la pierre de touche de
l'accord allié, comme il est la pierre de
touche de la bonne foi allemande. L'accord
allié a résisté complètement et victorieuse-
ment à l'épreuve. C'est là un heureux résul-
tat grâce auquel les nuages et les soupçons
qui planaient au-dessus de San Remo ont
été dissipés
TIMES. 23.6.
- Les choses paraissent avoir suivi un
cours plus égal à Boulogne qu'à San Remo,
et il semblerait que les Alliés ont enfin
réussi à établir en parfaite solidarité une
liste de demandes à l'Allemagne. Ce qui
reste à faire maintenant est de veiller à ce
que ces demandes reçoivent satisfaction, et
nous sommes heureux de savoir que les
Alliés rencontreront la délégation allemande
à Spa, entièrement résolus à faire triom-
pher des revendications claires et, définies.
Les Allemands ont, pendant des mois,
compté sur une division des Alliés ; il sera
pour eux une surprise désagréable de dé-
couvrir à Spa qu'aucune division n'existe,
et nue sur toutes les questions relatives à
l'Allemagne, la Grande-Bretagne et la
France n'ont qu'un seul et même point de
vue, qu'elles sont toutes deux inspirées par
la même inflexible détermination.
GLOBE, 23.6.
— La Conférence alliée de Boulogne, qui
s'est terminée hier, a été un chaînon impor-
tant dans la série des négociations périodi-
ques qui a commencé avec San Remo et
qui, nous l'espérons, se terminera à la sa-
tisfaction des Alliés, à la réunion de Spa.
L'importance principale de la Conférence de
Boulogne réside dans le fait que la solida-
rité entre nations alliées y est apparue ré-
tablie et renforcée. Le point d'intérêt le
plus immédiat a été l'approbation donnée
à la note relative au désarmement, qui
avait été préparée par les maréchaux Foch
et Wilson et d'autres experts militaires.
Quelle que puisse être la diversité des opi-
nions au sujet du traité, on s'entend una-
nimement à reconnaître que ses clauses es-
sentielles et fondamentales, sont les clauses
concernant le désarmement de l'Allemagne.
GLASGOW. HERALD, 23.6.
LA PART DE L'ITALIE DANS L'INDEM-
NITE. — Sous le titre « CE QUE L'ITALIE AT-
TEND DES ALLIÉS ».— Le ministre des Affaires
Etrangères italien a obtenu du Premier Mi-
nistre britannique l'affirmation que la répar-
tition proposée par la France et par l'Angle-
terre devait être considérée, non pas comme
un chiffre définitif, mais comme une « sim-
ple suggestion ». Du reste, M. Lloyd George
lui-même avait précédemment déclaré au
comte Sforza, d'une manière officielle, que
la proposition établie entre la France et
l'Angleterre (en vertu de laquelle pour onze
livres sterling touchées par la France,
l'Angleterre en percevrait cinq), ne se réfé-
rait pas au montant global des réparations
allemandes, mais seulement à la quote-part
anglo-française. Notre ministre des Affaires
Etrangères complète la proportion, en sou-
tenant que pour seize livres sterling assi-
gnées cumulativement à la France et à l'An-
gleterre, l'Italie doit en toucher quatre.
Il est malheureusement prévisible que la
tâche des experts financiers des cinq Etats
qui, à Paris, d'aujourd'hui jusqu'au 2 juillet,
devront étudier une répartition nouvelle et
plus équitable des réparations allemandes,
sera extrêmement laborieuse. Déjà on met
en avant une théorie singulière, à savoir
que le gouvernement français ne peut ré-
duire son pourcentage pour des raisons
d'opportunité parlementaire et pour éviter
une crise. Ce n'est pas la première fois que
de pareilles raisons sont utilisées. Elles
n'en apparaissent pas plus convaincantes
pour cela : on peut répondre qu'il serait
inique pour donner une satisfaction à l'a-
mour-propre d'une puissance, de faire subir
un dommage profond aux finances d'une
puissance alliée et de lui soustraire ce qui
lui revient de droit et conformément au
traité. Du reste, ce n'est pas à la France
seule qu'on demande de revoir ses calculs
hâtifs : on réclame simplement que tous les
Alliés acceptent de renoncer à une partie de
leurs prétentions établies sur des devis trop
hâtivement établis et qui ne reposent sur
aucun fondement de justice. Si en France on
prétend vraiment que seul le pourcentage
absolu de 55 peut donner au peuple la
sensation d'avoir gagné la guerre, à plus
forte raison l'Italie peut soutenir que c'est
justement pour ne pas donner au sien la
sensation injustifiée de l'avoir perdue que
nous repoussons le misérable pourcentage
de 7 qu'on voulait nous donner.
Pour le moment, il faut établir un point :
c'est que l'entente de tous les Alliés est in-
dispensable, comme l'a dit Lloyd George,
pour que la nouvelle décision au sujet des
réparations puisse être présentée aux Alle-
mands à Spa. A la réunion du 2 juillet h
Bruxelles, l'Italie ne donnera pas son con-
sentement, si on n'a pas établi auparavant,
d'une manière juste et avec notre concours,
sa quote-part de l'indemnité.
CORRIERE DELLA SERA, 24.6.
L'EXECUTION DU TRAITE DE VER-
SAILLES. — LES MOYENS DE CONTRAINTE DE
LA FRANCE ET DE LA GRANDE-BRETAGNE. — De-
vant l'imminence de la Conférence de Spa,
l'auteur analyse la situation dans laquelle
l'Allemagne se trouve par rapport à l'An-
gleterre et à la France, comme aussi la
situation dans laquelle se trouvent, vis-à-
vis l'une de l'autre, l'Angleterre et la Fran-
ce. Considérant que les charges imposées à
l'Allemaane par le Traité de Versailles, qui
sera la base des négociations de Spa, sont
MINISTtnEs
1 DES
"S1"» "m noe„b,
',Er DE LA G UEHRE
N° 1484
Samedi 26 Juin 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
,%or
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont dM
resumes. il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
: E E A - L'exécution du traité
ft de Versailles : les moyens de con-
| tramte de la France et de la Grande-
t Bretagne (A. Rechberg dans München.
Augsburger Abendzeitung). — Le Dr
Sunons, ministre des Affaires étrangè-
res (A. Redlich dans Vossische Zei-
tung).
ESSE AMÉRICAINE. — Le recensement de la
Population aux Etats-Unis (New York
P Tlmes Evening Post).
ItE:SSE ANGLAISE. — La Conférence de Bou-
logne, (Times, Globe, Glasgow Herald).
- L occupation britannique en Méso.
• Dotamie : le débat des Communes du
23 jÜin (Pall Mail Gazette, Glosgow Ile-
laid., Trish Times Westminster Ga-
anihi vtàty Chronicle). — Le commerce
î"eman^ : déclaration de Sir Ro-
bert Horne, président du Board of
Trade (Times).
^eSPagnole- — L'Espagne et Tanger
(Diatio Universal). - L'intervention de
arniée grecque en Turquie (Corres-
Pondencia de Espana).
REssE ILALIEN E. — La part de l'Italie dans
indemnité (Corriere della Sera). —
L'Intervention italienne en Albanie
\Luigi Federzoni dans Idea Nazionale).
- Les désordres de Milan (Corriere
dcllâ Sera).
--
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
• LEs ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
U«e1imi?IFERENCE DE BOULOGNE. -
logne r.°rta-nte décision a été prise à Bou-
Les Alliés ont résolu d'insister sur
l'obseVv a stricte des clauses relatives
Hon désarrïlement dexl'Allemagne. L'exécu-
tipn (je Ces clauses, comme nous l'avions
répété a "Tîntes reprises, est un prélimi-
naire i.nril•sPe,nsable à l'exécution du reste.
ta mic §ne armée ne se résignera pas
à la mise vigueur du traité. Elle l'a dé-
Montré Jh lairement et par ses actes et par
SOlt dés l,es. En conséquence, il faut qu'elle
e' à moins qu'on ne veuille
r?viser ]! , raité dans le sens qu'elle désire,
!lUri sraiîP cède aux demandes explicites
v? >es nombre de ses hommes d'Etat,
~®ts_ et de ses publicistes. Les
ies Glit dissipé toutes les équivoques et
t i*U* y f ambiguïtés ; ils ont dégagé les
dOit désaexactes du problème. L'Allemagne
sOn r er' ou sufrir les conséquences
Les conséquences ont été dis-
eutées par la Conférence et les sanctions à
prendre, en cas d'entêtement de la part de
l'Allemagne, ont été envisagées. L'accord
de la France et de l'Angleterre au sujet, de
la destruction du matériel de guerre et de
la réduction des effectifs a été aussi com-
plet et aussi cordial qu'on pouvait le dési-
rer. Cet accord, il est superflu d'y insister
a rendu possibles les décisions prises, qui
sont un pas sérieux vers l'exécution du
traité!. Le désarmement, — pour employer
la formule heureuse dont s'est servi
M. Millerand en causant à un de nos cor-
respondants; — est la pierre de touche de
l'accord allié, comme il est la pierre de
touche de la bonne foi allemande. L'accord
allié a résisté complètement et victorieuse-
ment à l'épreuve. C'est là un heureux résul-
tat grâce auquel les nuages et les soupçons
qui planaient au-dessus de San Remo ont
été dissipés
TIMES. 23.6.
- Les choses paraissent avoir suivi un
cours plus égal à Boulogne qu'à San Remo,
et il semblerait que les Alliés ont enfin
réussi à établir en parfaite solidarité une
liste de demandes à l'Allemagne. Ce qui
reste à faire maintenant est de veiller à ce
que ces demandes reçoivent satisfaction, et
nous sommes heureux de savoir que les
Alliés rencontreront la délégation allemande
à Spa, entièrement résolus à faire triom-
pher des revendications claires et, définies.
Les Allemands ont, pendant des mois,
compté sur une division des Alliés ; il sera
pour eux une surprise désagréable de dé-
couvrir à Spa qu'aucune division n'existe,
et nue sur toutes les questions relatives à
l'Allemagne, la Grande-Bretagne et la
France n'ont qu'un seul et même point de
vue, qu'elles sont toutes deux inspirées par
la même inflexible détermination.
GLOBE, 23.6.
— La Conférence alliée de Boulogne, qui
s'est terminée hier, a été un chaînon impor-
tant dans la série des négociations périodi-
ques qui a commencé avec San Remo et
qui, nous l'espérons, se terminera à la sa-
tisfaction des Alliés, à la réunion de Spa.
L'importance principale de la Conférence de
Boulogne réside dans le fait que la solida-
rité entre nations alliées y est apparue ré-
tablie et renforcée. Le point d'intérêt le
plus immédiat a été l'approbation donnée
à la note relative au désarmement, qui
avait été préparée par les maréchaux Foch
et Wilson et d'autres experts militaires.
Quelle que puisse être la diversité des opi-
nions au sujet du traité, on s'entend una-
nimement à reconnaître que ses clauses es-
sentielles et fondamentales, sont les clauses
concernant le désarmement de l'Allemagne.
GLASGOW. HERALD, 23.6.
LA PART DE L'ITALIE DANS L'INDEM-
NITE. — Sous le titre « CE QUE L'ITALIE AT-
TEND DES ALLIÉS ».— Le ministre des Affaires
Etrangères italien a obtenu du Premier Mi-
nistre britannique l'affirmation que la répar-
tition proposée par la France et par l'Angle-
terre devait être considérée, non pas comme
un chiffre définitif, mais comme une « sim-
ple suggestion ». Du reste, M. Lloyd George
lui-même avait précédemment déclaré au
comte Sforza, d'une manière officielle, que
la proposition établie entre la France et
l'Angleterre (en vertu de laquelle pour onze
livres sterling touchées par la France,
l'Angleterre en percevrait cinq), ne se réfé-
rait pas au montant global des réparations
allemandes, mais seulement à la quote-part
anglo-française. Notre ministre des Affaires
Etrangères complète la proportion, en sou-
tenant que pour seize livres sterling assi-
gnées cumulativement à la France et à l'An-
gleterre, l'Italie doit en toucher quatre.
Il est malheureusement prévisible que la
tâche des experts financiers des cinq Etats
qui, à Paris, d'aujourd'hui jusqu'au 2 juillet,
devront étudier une répartition nouvelle et
plus équitable des réparations allemandes,
sera extrêmement laborieuse. Déjà on met
en avant une théorie singulière, à savoir
que le gouvernement français ne peut ré-
duire son pourcentage pour des raisons
d'opportunité parlementaire et pour éviter
une crise. Ce n'est pas la première fois que
de pareilles raisons sont utilisées. Elles
n'en apparaissent pas plus convaincantes
pour cela : on peut répondre qu'il serait
inique pour donner une satisfaction à l'a-
mour-propre d'une puissance, de faire subir
un dommage profond aux finances d'une
puissance alliée et de lui soustraire ce qui
lui revient de droit et conformément au
traité. Du reste, ce n'est pas à la France
seule qu'on demande de revoir ses calculs
hâtifs : on réclame simplement que tous les
Alliés acceptent de renoncer à une partie de
leurs prétentions établies sur des devis trop
hâtivement établis et qui ne reposent sur
aucun fondement de justice. Si en France on
prétend vraiment que seul le pourcentage
absolu de 55 peut donner au peuple la
sensation d'avoir gagné la guerre, à plus
forte raison l'Italie peut soutenir que c'est
justement pour ne pas donner au sien la
sensation injustifiée de l'avoir perdue que
nous repoussons le misérable pourcentage
de 7 qu'on voulait nous donner.
Pour le moment, il faut établir un point :
c'est que l'entente de tous les Alliés est in-
dispensable, comme l'a dit Lloyd George,
pour que la nouvelle décision au sujet des
réparations puisse être présentée aux Alle-
mands à Spa. A la réunion du 2 juillet h
Bruxelles, l'Italie ne donnera pas son con-
sentement, si on n'a pas établi auparavant,
d'une manière juste et avec notre concours,
sa quote-part de l'indemnité.
CORRIERE DELLA SERA, 24.6.
L'EXECUTION DU TRAITE DE VER-
SAILLES. — LES MOYENS DE CONTRAINTE DE
LA FRANCE ET DE LA GRANDE-BRETAGNE. — De-
vant l'imminence de la Conférence de Spa,
l'auteur analyse la situation dans laquelle
l'Allemagne se trouve par rapport à l'An-
gleterre et à la France, comme aussi la
situation dans laquelle se trouvent, vis-à-
vis l'une de l'autre, l'Angleterre et la Fran-
ce. Considérant que les charges imposées à
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