Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-06-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 juin 1920 07 juin 1920
Description : 1920/06/07 (T15,N1467). 1920/06/07 (T15,N1467).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6238474p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
~TERES
DES
ETRANGERES
~T bh, 1 Llk GUERRE
1 N° 1467
Lundi 7 Juin 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
MOT A. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui Ma* én
resumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
~(J IVI IVI A 1 K E
ALLEMANDE. - « Le chemin de la
~SM)n » (B. W. von Bulow dans Deut-
~he Politik). — Les frais d'entretien
armées d'occupation (Kœlnische
~J-119). — Le Traita de Saint-Germain
~ant la Chambre française (Hanno-
eher Kurier),
~, calne. — La fixation de nnruem-
~(Boston Transcript).
~E ANGLAISE. — La mission Krassine :
~- arations de M. Lloyd George
~* a J'utn à la Chambre des Communes
q,ornm,g Post, Daily News). — Les che-
~>britanniques et l'offensive polo-
~e ~orning Post),
HOLLANDAISE. -. La mission Kras-
~De (Volk). — L'agitation en Orient
rd). - L'encyclique de Pente-
(Nieuwe Courant, Telegraaf).
ïnne. — La France et l'Italie
~Ils lia question d'Autriche (Popoto
talia). — L'encyclique de Pentecôte
l'T'ier'e della Sera, Corriere d'Italia).
La mission Krassine (Avanti, Idea
~e).
ItITIQflE GENERALE
ET DIPLOMATIE
IÉS ET L'ALLEMAGNE
~MN DE LA REVISION » [sous
-Il faut distinguer deux sortes
du Traité de Versailles :la « pe-
~ion qui modifie de telle manière
de Versailles et de Saint-Ger-
~N~ irs clauses deviennent exécuta-
~i permet de vivre aux peuples qui
,rd'hui sur la domination de la
~e. Cette revision est inévitable.
question qui se pose à son sujet,
ait lieu « à temps » ou qu'elle
~(trop tard ».
revision, la « grande » ne peut se
que plus tard : elle doit rétablir
~é fondamentaux des peuples et
~tQt de choses rendant possible le
~e la paix mondiale.
avait pu réaliser son pro-
~t~~M~' Paris ou si Brockdarff-Rantzau
N!) lV\ir la tâche qu'il s'était pro-
~sailles, ni l'une ni Vautre de
revisions n'eût été nécessaire. La
Nations s'en filt chargée. Or ceci
n'est pas possible.
~e ennemie croit vraiment que
~Mf de force suffiront à maintenir
~t~ Versailles, les événements se
chargeront de prouver le contraire. A San
Remo, déjà, les plus avisés parmi les adver-
saires de l'Allemagne ont obtenu quelque
succès. Le procédé si en faveur du « royàge
du maréchal Foch '-s'Ur' les bords du Rhin »
doit être complété par des négociations et
peut-être doit-il cesser. Ce changement de
système est déjà le commencement de la
« petite » révision.
Le caractère inexécutable de nombreux
points du Traité de Versailles a amené
beaucoup des adversaires de l'Allemagne à
se familiariser avec l'idée de la « petite »
revision.
Le but de la « petite » revision est d'as-
surer la possibilité d'existence de t1 Allema-
gne. Or pour cela il faut à l'Allemagne l'aide
des anciens ennemis, en vivres, matières
premières et crédit. Cette aide est prévue par
l'article 251 du Traité, et le manifeste éco-
nomique. de Londres en tient compte.
Cependant le crédit et la -recnnstitlltion:de
l'Allemagne dépendent en premier lieu de la
sécurité de l'Allemagne. Or celle-ci est me-
nacée à l'extérieur par la Ligue ennemie,
qui par la famine qu'elle a provoquée et les
clauses du Traité de Versailles, est respon-
sable des crises intérieures.
La convalescence de l'Allemagne n'est
possible qu'avec la sécurité absolue — il ne
faut plus d'occupation étrangère, plus de
cette petite guerre de chicanes et de notes
Il s'agit aussi de fixer une indemnité dont
le vaiement soit possible.
Un autre point important pour la petite
revision, c'est de libérer l'Allemagne de là
toute-puissance de la Commission des Ré-
parations. L'Allemagne ne peut se mettre au
travail tant que la Commission des Répa-
rations sera autorisée à réquisitionner la
production du travail allemand.
C'est une fausse politique de la part de
l'Allemagne de ne cesser d'affirmer la vo-
lonté d'exécuter loyalement le traité, alors
qu'il ne faudrait se lasser de montrer son
caractère inexécutable. Il n'est pas impossi-
ble de modifier le traité de Versailles. Dans
la lutte pour la revision, le premier devoir
de la politique allemande est de s'attaquer à
la base même du traité. L'Allemagne ne
peut espérer, par ses propres forces, saper
à ce point le traité de Versailles, que les
clauses en soient rejetées, et qu'on recon-
naisse le tort fait à l'empire.
Le but qu'elle peut atteindre c'est d'arri-
ver à obtenir que le traité de Versailles ne
soit plus pris en considération et que ses
clauses soient remplacées par des accords
justes et conclus après entente mutuelle.
Pour arriver à ce but, il ne faut cesser de
répéter que le traité de Versailles a pour
base la violence et le mensonge. (Mensonge :
le traité ne répond pas aux directives de
Wilson, violence : la signature a été impo-
sée sous la menace d'une reprise de la guer-
re alors que l'Allemagne était confiante dans
les accords de novembre 1918.)
Chaque fois que l'on fait allusion à la si-
gnature de l'Allemagne, il faut répondre par
ces mots de duperie et de mensonge. Tandis
que les conditions premières de la « petite Il
revision sont données par les enne-
mis, c'est à l'Allemagne de créer celles de
la « grande » revision.
La. première condition de la « grande »
revision c'est que les peuples de la Ligue
ennemie soient mécontents de la solution de
paix, la deuxième est que l'Allemagne s'at- ,
taque à la force dont disposent les ennemis
pour maintenir le traité. — Il ne peut être
question pour elle d'employer des moyens
militaires, elle ne les possède plus et même
si les moyens préconisés par les nationalis-
tes allemands étaient possibles, ils ne se-
raient ni les plus sûrs ni les plus oppor-
tuns.
Nous avons à notre disposition d'autres
moyens, et de meilleurs. Grâce à la « pe-
tite » revision qui s'impose d'elle-même, le
traité de Versailles se trouvera déjà ruiné
dans ses points les plus importants. Mais,
nous devons et pouvons enlever è cette paix
de châtiment son appui le plus essentiel en
détruisant la légende suivant laquelle l'Alle-
magne est seule responsable de la guerre
et en chargeant chaque pays de la part de
responsabilité qui lui revient. — Ainsi s'é-
croulerait la construction logique du traité
de Versailles. De plus, il est essentiel que
nous échappions autant que possible au
joug militaire direct des ennemis et c'est
pourquoi il ne faut cesser de protester con-
tre l'occupation des pays rhénans.
Il s'agit selon v. Bulow de combattre ce
militarisme qui n'est qu'une survivance
d'une conception du monde surannée. Les
désastres de la guerre ne peuvent être ré-
parés que par une intensification du tra-
vail. Vouloir rétablir l'Europe en asservis-
sant l'Allemagne ne peut conduire qu'à un
échec car on ne peut attendre de zèle que
d'une collaboration volontaire.
Comme porte-parole de l'idée d'une ère
nouvelle, l'Allemagne sera écoutée par le
monde entier et trouvera des amis.
Celui qui, dans la lutte d'opinions qui
divise les peuples, sait représenter une idée
se crée des partisans dans le camp étran-
ger. Nous ne devons jamais oublier que le
pays qui lutte pour la revision du traité de
Versailles est une Allemagne nouvelle que
le monde ne connaît pas encore et dont il
faut que nous-mêmes, nous nous rendions
compte.
L'esprit du progrès jouera, dans nos re-
lations avec les peuples étrangers, un rôle
plus grand que le nombre de nos bataillons
au sujet duquel discutent les experts mili-
taires.
Une très grande partie des travaux pré-
paratoires à la revision consiste dans la pro-
pagande, mais non dans la propagande an-
cien style ni dans celle du gouvernement.
Cette propagande a les mains liées par le
traité de paix, les nombreuses commissions
de la Ligue ennemie et le manque d'ar-
gent. Cette propagande ne peut pas non plus
utiliser les excellentes occasions qu'offre la
présence des milliers de sujets ennemis of-
ficiels ou non, attirés en Allemagne par la
curiosité. Le devoir de tout Allemand est
d'agir sur eux.
Le premier but à poursuivre est l'unité
de front à l'intérieur et une grande armée
DES
ETRANGERES
~T bh, 1 Llk GUERRE
1 N° 1467
Lundi 7 Juin 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
MOT A. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui Ma* én
resumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
~(J IVI IVI A 1 K E
ALLEMANDE. - « Le chemin de la
~SM)n » (B. W. von Bulow dans Deut-
~he Politik). — Les frais d'entretien
armées d'occupation (Kœlnische
~J-119). — Le Traita de Saint-Germain
~ant la Chambre française (Hanno-
eher Kurier),
~, calne. — La fixation de nnruem-
~(Boston Transcript).
~E ANGLAISE. — La mission Krassine :
~- arations de M. Lloyd George
~* a J'utn à la Chambre des Communes
q,ornm,g Post, Daily News). — Les che-
~>britanniques et l'offensive polo-
~e ~orning Post),
HOLLANDAISE. -. La mission Kras-
~De (Volk). — L'agitation en Orient
rd). - L'encyclique de Pente-
(Nieuwe Courant, Telegraaf).
ïnne. — La France et l'Italie
~Ils lia question d'Autriche (Popoto
talia). — L'encyclique de Pentecôte
l'T'ier'e della Sera, Corriere d'Italia).
La mission Krassine (Avanti, Idea
~e).
ItITIQflE GENERALE
ET DIPLOMATIE
IÉS ET L'ALLEMAGNE
~MN DE LA REVISION » [sous
-Il faut distinguer deux sortes
du Traité de Versailles :la « pe-
~ion qui modifie de telle manière
de Versailles et de Saint-Ger-
~N~ irs clauses deviennent exécuta-
~i permet de vivre aux peuples qui
,rd'hui sur la domination de la
~e. Cette revision est inévitable.
question qui se pose à son sujet,
ait lieu « à temps » ou qu'elle
~(trop tard ».
revision, la « grande » ne peut se
que plus tard : elle doit rétablir
~é fondamentaux des peuples et
~tQt de choses rendant possible le
~e la paix mondiale.
avait pu réaliser son pro-
~t~~M~' Paris ou si Brockdarff-Rantzau
N!) lV\ir la tâche qu'il s'était pro-
~sailles, ni l'une ni Vautre de
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Nations s'en filt chargée. Or ceci
n'est pas possible.
~e ennemie croit vraiment que
~Mf de force suffiront à maintenir
~t~ Versailles, les événements se
chargeront de prouver le contraire. A San
Remo, déjà, les plus avisés parmi les adver-
saires de l'Allemagne ont obtenu quelque
succès. Le procédé si en faveur du « royàge
du maréchal Foch '-s'Ur' les bords du Rhin »
doit être complété par des négociations et
peut-être doit-il cesser. Ce changement de
système est déjà le commencement de la
« petite » révision.
Le caractère inexécutable de nombreux
points du Traité de Versailles a amené
beaucoup des adversaires de l'Allemagne à
se familiariser avec l'idée de la « petite »
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Le but de la « petite » revision est d'as-
surer la possibilité d'existence de t1 Allema-
gne. Or pour cela il faut à l'Allemagne l'aide
des anciens ennemis, en vivres, matières
premières et crédit. Cette aide est prévue par
l'article 251 du Traité, et le manifeste éco-
nomique. de Londres en tient compte.
Cependant le crédit et la -recnnstitlltion:de
l'Allemagne dépendent en premier lieu de la
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nacée à l'extérieur par la Ligue ennemie,
qui par la famine qu'elle a provoquée et les
clauses du Traité de Versailles, est respon-
sable des crises intérieures.
La convalescence de l'Allemagne n'est
possible qu'avec la sécurité absolue — il ne
faut plus d'occupation étrangère, plus de
cette petite guerre de chicanes et de notes
Il s'agit aussi de fixer une indemnité dont
le vaiement soit possible.
Un autre point important pour la petite
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toute-puissance de la Commission des Ré-
parations. L'Allemagne ne peut se mettre au
travail tant que la Commission des Répa-
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production du travail allemand.
C'est une fausse politique de la part de
l'Allemagne de ne cesser d'affirmer la vo-
lonté d'exécuter loyalement le traité, alors
qu'il ne faudrait se lasser de montrer son
caractère inexécutable. Il n'est pas impossi-
ble de modifier le traité de Versailles. Dans
la lutte pour la revision, le premier devoir
de la politique allemande est de s'attaquer à
la base même du traité. L'Allemagne ne
peut espérer, par ses propres forces, saper
à ce point le traité de Versailles, que les
clauses en soient rejetées, et qu'on recon-
naisse le tort fait à l'empire.
Le but qu'elle peut atteindre c'est d'arri-
ver à obtenir que le traité de Versailles ne
soit plus pris en considération et que ses
clauses soient remplacées par des accords
justes et conclus après entente mutuelle.
Pour arriver à ce but, il ne faut cesser de
répéter que le traité de Versailles a pour
base la violence et le mensonge. (Mensonge :
le traité ne répond pas aux directives de
Wilson, violence : la signature a été impo-
sée sous la menace d'une reprise de la guer-
re alors que l'Allemagne était confiante dans
les accords de novembre 1918.)
Chaque fois que l'on fait allusion à la si-
gnature de l'Allemagne, il faut répondre par
ces mots de duperie et de mensonge. Tandis
que les conditions premières de la « petite Il
revision sont données par les enne-
mis, c'est à l'Allemagne de créer celles de
la « grande » revision.
La. première condition de la « grande »
revision c'est que les peuples de la Ligue
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taque à la force dont disposent les ennemis
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si les moyens préconisés par les nationalis-
tes allemands étaient possibles, ils ne se-
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Nous avons à notre disposition d'autres
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tite » revision qui s'impose d'elle-même, le
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dans ses points les plus importants. Mais,
nous devons et pouvons enlever è cette paix
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croulerait la construction logique du traité
de Versailles. De plus, il est essentiel que
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pourquoi il ne faut cesser de protester con-
tre l'occupation des pays rhénans.
Il s'agit selon v. Bulow de combattre ce
militarisme qui n'est qu'une survivance
d'une conception du monde surannée. Les
désastres de la guerre ne peuvent être ré-
parés que par une intensification du tra-
vail. Vouloir rétablir l'Europe en asservis-
sant l'Allemagne ne peut conduire qu'à un
échec car on ne peut attendre de zèle que
d'une collaboration volontaire.
Comme porte-parole de l'idée d'une ère
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monde entier et trouvera des amis.
Celui qui, dans la lutte d'opinions qui
divise les peuples, sait représenter une idée
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Versailles est une Allemagne nouvelle que
le monde ne connaît pas encore et dont il
faut que nous-mêmes, nous nous rendions
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L'esprit du progrès jouera, dans nos re-
lations avec les peuples étrangers, un rôle
plus grand que le nombre de nos bataillons
au sujet duquel discutent les experts mili-
taires.
Une très grande partie des travaux pré-
paratoires à la revision consiste dans la pro-
pagande, mais non dans la propagande an-
cien style ni dans celle du gouvernement.
Cette propagande a les mains liées par le
traité de paix, les nombreuses commissions
de la Ligue ennemie et le manque d'ar-
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utiliser les excellentes occasions qu'offre la
présence des milliers de sujets ennemis of-
ficiels ou non, attirés en Allemagne par la
curiosité. Le devoir de tout Allemand est
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