Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-05-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 mai 1920 03 mai 1920
Description : 1920/05/03 (T15,N1439). 1920/05/03 (T15,N1439).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6238446c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
N° 1439
Lundi S mai 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui »mé là»
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La Conférence de San-
Remo (Frankfurter Zeitung, Leipziger
Neueste Nachrichten).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'occupation des vil-
les du Mein (WorM, New York Times);
l'appel de l'Allemagne à la Société des
Nations (World). — La situation des
troupes d'occupation américaines (New
York Times).
PRESSE ANGLAISE. - Les Soviets et la vie
économique russe (Economist).
PRESSE ESPAGNOLE. — La Conférence de San-
Remo (Publicidad, Impartial).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
L'OCCUPATION DES VILLES DU MEIN.
PRESSE AMÉIIICAINE : La menace faite par
les Français d'occuper les villes de Franc-
fort, de Darmstadt, de Hombourg et de Ha-
nau sur la rive droite du Rhin, compromet
bien plus sérieusement la paix de l'Europe
que ne le fait l'emploi par le gouvernement
allemand de troupes destinées à réprimer
les désordres inférieurs de la région de la
Ruhr
Au point de vue strict, le Traité de Ver-
sailles se prête à l'interprétation que lui
donne le gouvernement français.
Il est contraire au bon sens, toutefois, de
supposer que l'interdiction [de faire péné-
trer des troupes dans la zone neutre] avait
Pour but ? empêcher l'Allemagne d'em-
ployer des - troupes dans la zone neutre à
i'esî dn ni m en vue de réprimer la révolu-
tion A
existon Aucun gouvernement ne pourrait
exister sous de pareilles restrictions. Pas
Plus que les Etats-Unis, la Grande-Breta-
gne, ni ne considèrent l'intervention
du gouvernement Ebert en vue de faire face
R l'émeute - communiste de la région de la
Ruhr comme une violation du Traité.
d Malgré les manifestations « hystériques »
de la ^rp SSe française inspirée, il est per-
mis dp i,H^1* Cfue - le gouvernement fran-
mis lUI-même s'inquiète sérieusement,
étant données les circonstances de la pré-
sence de troupes allemandes dans la zone
neutre, ou qu'il estime que les 40.000 sol-
dats allemand occupés à maintenir l'ordre
public et à protéger la vie et les biens des
habitants m &Ïteg< V a vie et les biens des
habitants mette en danger la sécurité de la
France. Ce dont le gouvernement français
se préoccupe surtout c'est la demande crois-
santé d'une revision du Traité de paix et
le peu d'empressement que met la Grande-
Bretagne à interpréter ce document à la
lettre.
La tentative faite par le gouvernement
allemand pour supprimer de force les trou-
bles communistes de la région de la Ruhr
fournit à la France l'occasion de démontrer
qu'elle seule est capable d'imposer les con-
ditions du Traité en ce qui la concerne, et
le parti militaire qui a en ce moment la
haute main sur le gouvernement français dé-
sire ardemment mettre cette occasion à
profit. Il n'est retenu que par la certitude
de l'énergique désapprobation des Anglais
et des Américains.
Mais ici encore, la responsabilité de cette
fâcheuse situation et les conséquences qui
en découlent pèsent sur le Sénat des Etats-
Unis. Si le Sénat avait ratifié le Traité
de paix il y a plusieurs mois, comme il au-
rait dû le faire, et ratifié ensuite l'accord
franco-américain, le parti militaire n'aurait
pas pu prendre la haute main sur le gou-
vernement français. Le peuple français se
serait senti en sécurité et serait resté in-
différent à la propagande militariste qui a
pris aujourd'hui tant de force. Les Etats-
Unis et les Alliés auraient trouvé moyen
déjà d'interpréter le Traité d'une manière
pratique, et l'Europe se rapprocherait d'une
ère de stabilité .politique et économique.
Quoi qu'il advienne de l'aventure fran-
çaise au delà du Rhin, le peuple américain
ne peut se soustraire à sa part de respon-
sabilité. Le Sénat qui a entrepris d'opposer
son veto à la paix du monde est le Sénat
des Etats-Unis.
WOBLD [de New-York], 6.4.
-- Le monde a besoin de la paix comme
la France et l'Allemagne. L'occupation de
Francfort, Darmstadt, Hanau et Hombourg,
ne peut que nuire aux relations franco-alle-
mandes et la réconciliation des deux pays,
si elle doit se produire un jour, sera encore
retardée, mais à qui la faute ?
Le gouvernement allemand ne doit pas,
en vertu du traité maintenir ou rassembler
des forces armées soit provisoirement, soit
de façon permanente dans la zone neutre
qui englobe la région de la Ruhr. Or le
gouvernement allemand a violé sa double
promesse à la France et aux insurgés de la
Ruhr en faisant occuper les districts mi-
niers par une armée réactionnaire. ce qui
n'empêche pas qu'il est question en Angle-
terre et en Italie d'indulgence pour l'Alle-
magne, de nouvelles concessions et de re-
vision complète du traité. On ne peut pas
blâmer les Français parce qu'ils remar-
quent que l'Angleterre et l'Italie ont obtenu
ce qu'elles voulaient, qu'elles se sentent tou-
tes deux en sécurité à l'égard d'une menace
allemande, alors que la France voit avec
inquiétude une armée réactionnaire dans
les régions minières où elle puisse arrêter
les livraisons qui ont été faites jusqu'ici au
compte-gouttes.
L'attitude de la France est compréhensi-
ble. Elle traite d'acte hostile ce que nous
avions tous promis de traiter ainsi et que
nous ignorons parce que nous ne nous sen-
tons pas menacés. La reprise des hostili-
tés serait un grand malheur pour le monde
mais si on en arrive là les responsables se-
ront encore ceux de 1914 et les Etats-Unis
sont coupables de la plus grave négligence
par leur attitude à l'égard du traité. (Ed.)
NEW YORK TIMES, 6.4.
« L'APPEL DF L'ALLEMAGNE A LA SOCIÉTÉ DES
NATIONS » [sous ce titre]. — La protestation
du gouvernement allemand contre l'occupa-
tion des villes des pays rhénans se termine
par cette assertion qu' « en'vertu du pacte
de la Société des Nations qui est partie in-
tégrale du traité de paix on aurait dû d'a-
bord essayé de régler le conflit par un ar-
bitrage interallié ».
La France et l'Allemagne sont en paix,
La France est membre de la Société des Na-
tions dont l'Allemagne ne fait pas encore
partie. Or, le pacte de la Société fixe la pro-
cédure à suivre en cas de conflit entre ses
membres et les autres Etats, qu'ils appar-
tiennent ou non à la Société des Nations. ;
mais au lieu d'en appeler à la ligue, la
France s'est livrée à un acte de guerre en
envahissant l'Allemagne et en s'emparant
de quatre villes.
Si l'Europe a quelque respect pour la So-
ciété des Nations, le recours à son arbi-
trage ne devrait pas être laissé à l'Etat qui
n'en fait pas partie. La théorie que tout est
en suspens parce que les Etats-Unis n'ont
pas encore adhéré à la Société ne résiste
pas à la critique. Tous les autres pays in-
vités à entrer dans la ligue ont accepté et
le lien ne sera jamais plus fort entre eux
qu'il ne l'est aujourd'hui. Une Société des
Nations qui ne fonctionne pas en cas de
menace d'hostilités est discrédite par ses
propres membres.
Il existe tout au moins un secrétariat de
la ligue qui est supposé en fonctions. A
moins que l'Angleterre et l'Italie ne voient
avec complaisance la reprise possible des
hostilités, ce qui ne semble pas être leur
attitude d'après les câbles de Londres, elles
pourraient essayer de se rendre compte si
la France est désireuse de s'en tenir au
pacte de la Société des Nations, et c'est pro-
bablement ce qu'elles ont l'intention de
faire. (Ed.)
WORLD [de New-York], 9.4.
LA SITUATION DES TROUPES D'OCCU-
PATION AMERICAINES. — Dans sa ré-
ponse à une résolution de la Chambre des
Représentants demandant des renseigne-
ments sur le statut « des forces militaires
américaines stationnées actuellement sur le
territoire allemand », le président Wilson
déclare que ces troupes « opèrent en ce mo-
ment suivant les conditions primitives de
l'armistice et des conventions ultérieures
prolongeant ledit armistice - ». Aux termes de
ce document. « les territoires de la rive
gauche du Rhin seront administrés par les
troupes locales d'occupation ». Le corps
expéditionnaire des Etats-Unis se trouve
dans la région de Coblence. Aux termes du
chapitre XIV du Traité de Paix, lequel n'a
pas été ratifié par les Etats-Unis, l'occupa-
tion de la région de Coblence doit se prolon-
ger pendant dix ans « à partir de la mise
en vigueur du présent Traité » et constituer
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
N° 1439
Lundi S mai 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui »mé là»
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La Conférence de San-
Remo (Frankfurter Zeitung, Leipziger
Neueste Nachrichten).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'occupation des vil-
les du Mein (WorM, New York Times);
l'appel de l'Allemagne à la Société des
Nations (World). — La situation des
troupes d'occupation américaines (New
York Times).
PRESSE ANGLAISE. - Les Soviets et la vie
économique russe (Economist).
PRESSE ESPAGNOLE. — La Conférence de San-
Remo (Publicidad, Impartial).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
L'OCCUPATION DES VILLES DU MEIN.
PRESSE AMÉIIICAINE : La menace faite par
les Français d'occuper les villes de Franc-
fort, de Darmstadt, de Hombourg et de Ha-
nau sur la rive droite du Rhin, compromet
bien plus sérieusement la paix de l'Europe
que ne le fait l'emploi par le gouvernement
allemand de troupes destinées à réprimer
les désordres inférieurs de la région de la
Ruhr
Au point de vue strict, le Traité de Ver-
sailles se prête à l'interprétation que lui
donne le gouvernement français.
Il est contraire au bon sens, toutefois, de
supposer que l'interdiction [de faire péné-
trer des troupes dans la zone neutre] avait
Pour but ? empêcher l'Allemagne d'em-
ployer des - troupes dans la zone neutre à
i'esî dn ni m en vue de réprimer la révolu-
tion A
existon Aucun gouvernement ne pourrait
exister sous de pareilles restrictions. Pas
Plus que les Etats-Unis, la Grande-Breta-
gne, ni ne considèrent l'intervention
du gouvernement Ebert en vue de faire face
R l'émeute - communiste de la région de la
Ruhr comme une violation du Traité.
d Malgré les manifestations « hystériques »
de la ^rp SSe française inspirée, il est per-
mis dp i,H^1* Cfue - le gouvernement fran-
mis lUI-même s'inquiète sérieusement,
étant données les circonstances de la pré-
sence de troupes allemandes dans la zone
neutre, ou qu'il estime que les 40.000 sol-
dats allemand occupés à maintenir l'ordre
public et à protéger la vie et les biens des
habitants m &Ïteg< V a vie et les biens des
habitants mette en danger la sécurité de la
France. Ce dont le gouvernement français
se préoccupe surtout c'est la demande crois-
santé d'une revision du Traité de paix et
le peu d'empressement que met la Grande-
Bretagne à interpréter ce document à la
lettre.
La tentative faite par le gouvernement
allemand pour supprimer de force les trou-
bles communistes de la région de la Ruhr
fournit à la France l'occasion de démontrer
qu'elle seule est capable d'imposer les con-
ditions du Traité en ce qui la concerne, et
le parti militaire qui a en ce moment la
haute main sur le gouvernement français dé-
sire ardemment mettre cette occasion à
profit. Il n'est retenu que par la certitude
de l'énergique désapprobation des Anglais
et des Américains.
Mais ici encore, la responsabilité de cette
fâcheuse situation et les conséquences qui
en découlent pèsent sur le Sénat des Etats-
Unis. Si le Sénat avait ratifié le Traité
de paix il y a plusieurs mois, comme il au-
rait dû le faire, et ratifié ensuite l'accord
franco-américain, le parti militaire n'aurait
pas pu prendre la haute main sur le gou-
vernement français. Le peuple français se
serait senti en sécurité et serait resté in-
différent à la propagande militariste qui a
pris aujourd'hui tant de force. Les Etats-
Unis et les Alliés auraient trouvé moyen
déjà d'interpréter le Traité d'une manière
pratique, et l'Europe se rapprocherait d'une
ère de stabilité .politique et économique.
Quoi qu'il advienne de l'aventure fran-
çaise au delà du Rhin, le peuple américain
ne peut se soustraire à sa part de respon-
sabilité. Le Sénat qui a entrepris d'opposer
son veto à la paix du monde est le Sénat
des Etats-Unis.
WOBLD [de New-York], 6.4.
-- Le monde a besoin de la paix comme
la France et l'Allemagne. L'occupation de
Francfort, Darmstadt, Hanau et Hombourg,
ne peut que nuire aux relations franco-alle-
mandes et la réconciliation des deux pays,
si elle doit se produire un jour, sera encore
retardée, mais à qui la faute ?
Le gouvernement allemand ne doit pas,
en vertu du traité maintenir ou rassembler
des forces armées soit provisoirement, soit
de façon permanente dans la zone neutre
qui englobe la région de la Ruhr. Or le
gouvernement allemand a violé sa double
promesse à la France et aux insurgés de la
Ruhr en faisant occuper les districts mi-
niers par une armée réactionnaire. ce qui
n'empêche pas qu'il est question en Angle-
terre et en Italie d'indulgence pour l'Alle-
magne, de nouvelles concessions et de re-
vision complète du traité. On ne peut pas
blâmer les Français parce qu'ils remar-
quent que l'Angleterre et l'Italie ont obtenu
ce qu'elles voulaient, qu'elles se sentent tou-
tes deux en sécurité à l'égard d'une menace
allemande, alors que la France voit avec
inquiétude une armée réactionnaire dans
les régions minières où elle puisse arrêter
les livraisons qui ont été faites jusqu'ici au
compte-gouttes.
L'attitude de la France est compréhensi-
ble. Elle traite d'acte hostile ce que nous
avions tous promis de traiter ainsi et que
nous ignorons parce que nous ne nous sen-
tons pas menacés. La reprise des hostili-
tés serait un grand malheur pour le monde
mais si on en arrive là les responsables se-
ront encore ceux de 1914 et les Etats-Unis
sont coupables de la plus grave négligence
par leur attitude à l'égard du traité. (Ed.)
NEW YORK TIMES, 6.4.
« L'APPEL DF L'ALLEMAGNE A LA SOCIÉTÉ DES
NATIONS » [sous ce titre]. — La protestation
du gouvernement allemand contre l'occupa-
tion des villes des pays rhénans se termine
par cette assertion qu' « en'vertu du pacte
de la Société des Nations qui est partie in-
tégrale du traité de paix on aurait dû d'a-
bord essayé de régler le conflit par un ar-
bitrage interallié ».
La France et l'Allemagne sont en paix,
La France est membre de la Société des Na-
tions dont l'Allemagne ne fait pas encore
partie. Or, le pacte de la Société fixe la pro-
cédure à suivre en cas de conflit entre ses
membres et les autres Etats, qu'ils appar-
tiennent ou non à la Société des Nations. ;
mais au lieu d'en appeler à la ligue, la
France s'est livrée à un acte de guerre en
envahissant l'Allemagne et en s'emparant
de quatre villes.
Si l'Europe a quelque respect pour la So-
ciété des Nations, le recours à son arbi-
trage ne devrait pas être laissé à l'Etat qui
n'en fait pas partie. La théorie que tout est
en suspens parce que les Etats-Unis n'ont
pas encore adhéré à la Société ne résiste
pas à la critique. Tous les autres pays in-
vités à entrer dans la ligue ont accepté et
le lien ne sera jamais plus fort entre eux
qu'il ne l'est aujourd'hui. Une Société des
Nations qui ne fonctionne pas en cas de
menace d'hostilités est discrédite par ses
propres membres.
Il existe tout au moins un secrétariat de
la ligue qui est supposé en fonctions. A
moins que l'Angleterre et l'Italie ne voient
avec complaisance la reprise possible des
hostilités, ce qui ne semble pas être leur
attitude d'après les câbles de Londres, elles
pourraient essayer de se rendre compte si
la France est désireuse de s'en tenir au
pacte de la Société des Nations, et c'est pro-
bablement ce qu'elles ont l'intention de
faire. (Ed.)
WORLD [de New-York], 9.4.
LA SITUATION DES TROUPES D'OCCU-
PATION AMERICAINES. — Dans sa ré-
ponse à une résolution de la Chambre des
Représentants demandant des renseigne-
ments sur le statut « des forces militaires
américaines stationnées actuellement sur le
territoire allemand », le président Wilson
déclare que ces troupes « opèrent en ce mo-
ment suivant les conditions primitives de
l'armistice et des conventions ultérieures
prolongeant ledit armistice - ». Aux termes de
ce document. « les territoires de la rive
gauche du Rhin seront administrés par les
troupes locales d'occupation ». Le corps
expéditionnaire des Etats-Unis se trouve
dans la région de Coblence. Aux termes du
chapitre XIV du Traité de Paix, lequel n'a
pas été ratifié par les Etats-Unis, l'occupa-
tion de la région de Coblence doit se prolon-
ger pendant dix ans « à partir de la mise
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