Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-03-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 mars 1920 20 mars 1920
Description : 1920/03/20 (T14,N1407). 1920/03/20 (T14,N1407).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62549739
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTErtEs
f DES
ÏDRS ÉTRANGÈRES
LA GUERRE
N° 1407
Samedi 20 mars 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont 4m
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^•8 Al
NDE* — Le coup d'état
llisch,ure (Frankfurter Zeitung, Koel-
Msch Zeitung).
"V Zeltung).
traitMÉRICAINE. - « La revision du
tr aité de Versailles » (Evening Post).
(DQ' ANGLAISE. - Le Montenegro
T^e9raph). - Le mouvement
lic/e)' all.ste en Egypte (Daily Chro-
nicle). — Le coup d'état
h de 3?rv(Nieuwe Courant).
teri-In (Nieuwe Courant).
t NE. — La situation minis-
^rieSpet le Parti Populaire (G. Be-
vione dans Gazzetta dei Popolo). -
Le coup d'état de Berlin (Giornale
la). etat de Berlin (Giornale
"'------
QUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
* »
~~ÉTATS-UNtS ET
Il "tRAITÉ DE VERSAILLES
~t. t:t ~v
S IC)N DU TRAITÉ » [Sous
^sî0tl dit t 0f,irïion anglaise aurait, à ce
Hr^UtV^ fait pris son parti d'une
de Versailles et la France
ve S la même solution, sous ré-
tt lui fut assuré certaines garan-
S ! rtq%u'n 'tai !?,s cornpensations. Il ne faut
Q ailleurs, que, par &e fait, la
S*%s'- 0ri (j,j ra)1^ a déjà commencé. Elle
1~ ^cé ,,-mo'is de juin 1919, date à la-
la CfSe"r,ence de la Paix accepta
.:'l\'¡ et- 'à ce Œo!cuffienlt de sérieuses mo
iSla 'S' en réponse aux protestations
(fit Et ru les plénipotentiaires alle-
~Uir J lnodificatLOiris ont continué à
~jt Au mois de septembre
2S ^ifiéauses les relatives au charbon
V iju® à l'avantage de l'Allema-
A N ue
C~ ~l.e lah clUantité de charbon à li-
kA()i £ 6Ue Caque année 'a été abaissée
f«^t ~ds -^;^00 de tonnes. Encore
~,~t¡.1! -~'P s se P'iaignenit-jls que la char-
}> j0 r<*e pour eux et l'on disait
autre jour oi~ M. MilJerand avbit décJa-
à
il était *'~Ç¡¡'i \111 en ltI.on que. la Grande-Breta-
tw cha J, Pour fournir au peuple
n
terlir H-désormais pour un fait ac-
autres ponts que l'Allemagne déclare par-
V^twlrHs sera revisé sur deux
vN w^'t oïn®- r,eux P^r elle. Ce sont les,
'"tv'els EU jugement de Guillau-
S V??J°!lei>n et au jugement individuel
%rr els ri e • guerre allemands. Sous
leur forme primitive, ces demandes n'au-
raient jamais dû être faites. Les Alliés au-
raient dû insister, comme Ils, le font au-
jourd'hui, dans leur dernière note au gou-
vernemnet hollandais, pour que Guillau-
me Hohenzollern fût logé assez loin de la
frontière allemande pour ne pouvoir deve-
nir un centre d'intrigues. De même, en
dressant la liste des criminels de guerre, il
était absurde de présentes une série de 900
noms, comprenant virtuellement tous les
principaux fonctionnaires civils et militai-
res de l'Allemagne. Une liste beaucoup plus
courte, rie comprenant que les coupables
les plus notoires laurait rendu la position
morale des Alliés pour ainsi dire inatta-
quable. Dans les conditions actuelles, les
Alliés ont dû, au bout de quelques semai-
nes, abandonner aux tribunaux allemands
le soin de juger les accusés. On ne peut
nier que, sous ce rapport, le traité n'ait su-
bi un nouveau changement.
Que si l'on demande pourquoi ces clau-
ses furent primitivement insérées dans le
traité, il faut chercher la réponse dans l'é-
tfet d'esprit où se trouvait l'Europe après
l'armistice, état d'esprit fait d'amertume,
de craintes et de méfiances, d'ignorance
des ressources de l'Allemagne. On ne se
rendait compte pour ainsi dire que des
horribles souffrances que la guerre avait
infligées aux vainqueurs. Aujourd'hui l'Eu-
rope en arrive à une manière de voir plus
saine et du même coup de traité de Versail-
les est en train d'être révisé.
EVENING POST [de New-York], 17.2.
LES BALKANS
LE MONTENEGRO — OPINION AN-
GLAISE. — Il n'est pas d'Etat en Europe qui
possède plus de titres à l'indépendance
quele Monténégro. Alors que l'invasion otto-
mane submergenit l'Europe jusqu'aux murs
de Vienne, seules de toutes les races balkani-
ques, le petit peuple des montagnards du
Montenegro réussi à sauvegarder son exis-
tence autonome. L'Angleterre, la France
et les Etats-Unis ont promis que l'intégrité
territoriale et la liberté du Monténégro se-
raient restaurées. Personne ne contestera
qu'il s'agit là d'une dette d'honneur. Reste
à savoir comment elle devra être acquit-
tée. Comme l'a dit lord Curzon, la question
est complexe et difficile à résoudre. Elle
ne peut pas être séparée du problème de
l'Adriatique. En tout cas, l'opinion anglaise
sera un anime à déclarer qu'il faut l'abor-
der avec une sympathie profonde et géné-
reuse pour les droits et les aspirations du
Monténégro. Ainsi que l'a rappelé lord
Bryce, il peut se prononcer pour l'incorpo-
ration à l'Etat yougoslave, pour une exis-
tence autonome à l'intérieur d'une fédéra-
tion yougoslave, ou pour l'indépendance ab-
solue. Nous avons pleinement le droit de ju-
ger que l'une ou l'autre de ces solutions
est la plus avantageuse et de la recomman-
der à ce titre, mais nous ne pouvons pas,
selon les termes de lord Gladstone, voir
dans le Monténégro un simple pion sur
l'échiquier adriatique. Les Monténégrins
ont, par leur bravoure affirmée durant des
siècles, conquis le droit de choisir librement
leur sort. (Ed.).
DAILY TELEGRAPH, 15.3
——— ———
AFFAIRES INTÉRIEURES
EMPIRE BRITANNIQUE
LE MOUVEMENT NATIONALISTE
EN EGYPTE. — L'activité néfaste du lea-
der Zaghlouf Pachat redouble. Ses partisans
ont profité du départ de la mission Milner
pour convoquer les membres nationalistes
de l'assemblée législative et voter une ré-
solution qui déclare nul et sans effet le
protectorat britannique et proclame l'in-
dépendance de l'Egypte et du Soudan.
La majorité des Egyptiens instruits et
éclairés sait fort bien que les propositions
de Zaghloul sont complètement irréalisa-
bles ; elle n'ignore pas que les promoteurs
de la campagne nationaliste doivent leur
succès au parti fidèle qu'ils ont su tirer du
malaise général, économique, social et re-
ligieux. Aucun Egyptien raisonnable ne
peut souhaiter le départ des autorités bri-
tanniques, puisque le pays serait condam-
né à être exploité par l'étranger et dèchiré
par les querelles intestines. Bien que ces
faits lui fussent connus, l'opinion modérée
a gardé le silence ; ellle n'a pas pris, ou-
vertement au moins, la défense des autori-
tés. C'est qu'il n'existe aucun programme,
en dehors des propositions fanatiques de
Zaghloul. Le gouvernement n'a pas encore
établi le moindre plan de réformes ; la
mission qu'il a envoyée sur place n'a pas
fait connaître ses conclusions ; malgré une
attente de plusieurse mois, elle n'a pas je-
té la lumière sur la situation. Rien n'est
plus propre à faire le jeu des agitateurs.
(Ed.).
DAILY CHRONICLE, 16.3.
ITALIE
LA SITUATION MINISTÉRIELLE
ET LE PARTI POPULAIRE. — Le se-
cond ministère Nitti naît dans des conditions
très singulières. Il est rare qu'un président
du Conseil réussisse à s'entourer d'un lot de
ministres aussi éminents, aussi estimés au
Parlement et ailleurs, aussi expérimentés
aussi aptes à gouverner. Et, cependant, ce
Cabinet, où les valeurs personnelles sura-
bondent d'une manière insolite, est dès à
présent un ministère en minorité. Non seu-
lement sa baSie parlementaire est fragile
et délicate, mais, en réalité, il ne possède
pas de majorité, j'entends une majorité
sûre, ou tout au moins suffisamment ga-
rantie contre les risques de la navigation
parlementaire.
Voici, en effet, quelle est, dans le domai-
ne parlementaire, la situation du nouveau
ministère. La démocratie libérale, les dé-
mocrates constitutionnels, les radicaux et
f DES
ÏDRS ÉTRANGÈRES
LA GUERRE
N° 1407
Samedi 20 mars 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont 4m
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^•8 Al
NDE* — Le coup d'état
llisch,ure (Frankfurter Zeitung, Koel-
Msch Zeitung).
"V Zeltung).
traitMÉRICAINE. - « La revision du
tr aité de Versailles » (Evening Post).
(DQ' ANGLAISE. - Le Montenegro
T^e9raph). - Le mouvement
lic/e)' all.ste en Egypte (Daily Chro-
nicle). — Le coup d'état
h de 3?rv(Nieuwe Courant).
teri-In (Nieuwe Courant).
t NE. — La situation minis-
^rieSpet le Parti Populaire (G. Be-
vione dans Gazzetta dei Popolo). -
Le coup d'état de Berlin (Giornale
la). etat de Berlin (Giornale
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QUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
* »
~~ÉTATS-UNtS ET
Il "tRAITÉ DE VERSAILLES
~t. t:t ~v
S IC)N DU TRAITÉ » [Sous
^sî0tl dit t 0f,irïion anglaise aurait, à ce
Hr^UtV^ fait pris son parti d'une
de Versailles et la France
ve S la même solution, sous ré-
tt lui fut assuré certaines garan-
S ! rtq%u'n 'tai !?,s cornpensations. Il ne faut
Q ailleurs, que, par &e fait, la
S*%s'- 0ri (j,j ra)1^ a déjà commencé. Elle
1~ ^cé ,,-mo'is de juin 1919, date à la-
la CfSe"r,ence de la Paix accepta
.:'l\'¡ et- 'à ce Œo!cuffienlt de sérieuses mo
iSla 'S' en réponse aux protestations
(fit Et ru les plénipotentiaires alle-
~Uir J lnodificatLOiris ont continué à
~jt Au mois de septembre
2S ^ifiéauses les relatives au charbon
V iju® à l'avantage de l'Allema-
A N ue
C~ ~l.e lah clUantité de charbon à li-
kA()i £ 6Ue Caque année 'a été abaissée
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n
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V^twlrHs sera revisé sur deux
vN w^'t oïn®- r,eux P^r elle. Ce sont les,
'"tv'els EU jugement de Guillau-
S V??J°!lei>n et au jugement individuel
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raient jamais dû être faites. Les Alliés au-
raient dû insister, comme Ils, le font au-
jourd'hui, dans leur dernière note au gou-
vernemnet hollandais, pour que Guillau-
me Hohenzollern fût logé assez loin de la
frontière allemande pour ne pouvoir deve-
nir un centre d'intrigues. De même, en
dressant la liste des criminels de guerre, il
était absurde de présentes une série de 900
noms, comprenant virtuellement tous les
principaux fonctionnaires civils et militai-
res de l'Allemagne. Une liste beaucoup plus
courte, rie comprenant que les coupables
les plus notoires laurait rendu la position
morale des Alliés pour ainsi dire inatta-
quable. Dans les conditions actuelles, les
Alliés ont dû, au bout de quelques semai-
nes, abandonner aux tribunaux allemands
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nier que, sous ce rapport, le traité n'ait su-
bi un nouveau changement.
Que si l'on demande pourquoi ces clau-
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saine et du même coup de traité de Versail-
les est en train d'être révisé.
EVENING POST [de New-York], 17.2.
LES BALKANS
LE MONTENEGRO — OPINION AN-
GLAISE. — Il n'est pas d'Etat en Europe qui
possède plus de titres à l'indépendance
quele Monténégro. Alors que l'invasion otto-
mane submergenit l'Europe jusqu'aux murs
de Vienne, seules de toutes les races balkani-
ques, le petit peuple des montagnards du
Montenegro réussi à sauvegarder son exis-
tence autonome. L'Angleterre, la France
et les Etats-Unis ont promis que l'intégrité
territoriale et la liberté du Monténégro se-
raient restaurées. Personne ne contestera
qu'il s'agit là d'une dette d'honneur. Reste
à savoir comment elle devra être acquit-
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est complexe et difficile à résoudre. Elle
ne peut pas être séparée du problème de
l'Adriatique. En tout cas, l'opinion anglaise
sera un anime à déclarer qu'il faut l'abor-
der avec une sympathie profonde et géné-
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Monténégro. Ainsi que l'a rappelé lord
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tence autonome à l'intérieur d'une fédéra-
tion yougoslave, ou pour l'indépendance ab-
solue. Nous avons pleinement le droit de ju-
ger que l'une ou l'autre de ces solutions
est la plus avantageuse et de la recomman-
der à ce titre, mais nous ne pouvons pas,
selon les termes de lord Gladstone, voir
dans le Monténégro un simple pion sur
l'échiquier adriatique. Les Monténégrins
ont, par leur bravoure affirmée durant des
siècles, conquis le droit de choisir librement
leur sort. (Ed.).
DAILY TELEGRAPH, 15.3
——— ———
AFFAIRES INTÉRIEURES
EMPIRE BRITANNIQUE
LE MOUVEMENT NATIONALISTE
EN EGYPTE. — L'activité néfaste du lea-
der Zaghlouf Pachat redouble. Ses partisans
ont profité du départ de la mission Milner
pour convoquer les membres nationalistes
de l'assemblée législative et voter une ré-
solution qui déclare nul et sans effet le
protectorat britannique et proclame l'in-
dépendance de l'Egypte et du Soudan.
La majorité des Egyptiens instruits et
éclairés sait fort bien que les propositions
de Zaghloul sont complètement irréalisa-
bles ; elle n'ignore pas que les promoteurs
de la campagne nationaliste doivent leur
succès au parti fidèle qu'ils ont su tirer du
malaise général, économique, social et re-
ligieux. Aucun Egyptien raisonnable ne
peut souhaiter le départ des autorités bri-
tanniques, puisque le pays serait condam-
né à être exploité par l'étranger et dèchiré
par les querelles intestines. Bien que ces
faits lui fussent connus, l'opinion modérée
a gardé le silence ; ellle n'a pas pris, ou-
vertement au moins, la défense des autori-
tés. C'est qu'il n'existe aucun programme,
en dehors des propositions fanatiques de
Zaghloul. Le gouvernement n'a pas encore
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fait connaître ses conclusions ; malgré une
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té la lumière sur la situation. Rien n'est
plus propre à faire le jeu des agitateurs.
(Ed.).
DAILY CHRONICLE, 16.3.
ITALIE
LA SITUATION MINISTÉRIELLE
ET LE PARTI POPULAIRE. — Le se-
cond ministère Nitti naît dans des conditions
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Parlement et ailleurs, aussi expérimentés
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présent un ministère en minorité. Non seu-
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et délicate, mais, en réalité, il ne possède
pas de majorité, j'entends une majorité
sûre, ou tout au moins suffisamment ga-
rantie contre les risques de la navigation
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Voici, en effet, quelle est, dans le domai-
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ministère. La démocratie libérale, les dé-
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