Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-02-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 février 1920 25 février 1920
Description : 1920/02/25 (T14,N1387). 1920/02/25 (T14,N1387).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6254953j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 MINISTERES
DES
ETRANGERES
Er DE LA GUERRE
N° 1387
Mercredi 25 février 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sowl dee
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales on par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PnEs s't
PRESSE ALLEMANDE. derniers actes du
président Wilson (E. Reventlow dans
Deutsche Tageszeitung).-M. Poin-
Deutsche Tageszeitu:ng). - M. om-
caré, président de la Commission des
Réparations (Frankfuter Zeitung). -
le jugement des auteurs d'actes ari-
minels (Lettl'e ouverte du comte Berns-
tarlf. Kreuz-Zeitung). Le plébiscite
en Haute-Silésie (Neue Badische Lan-
deszeitung) - Allemagne et Russie
(Freiheit). — voyage de Noske à
Hambourg (Kölnische Zeitung). -- Les
journées suPPI'ém-entaires dans les mi-
nes alllenn,id-^ Tldes (Germania).
PRESSE AMERICAINE. — Déclarations de Mar-
tens agent des Soviets aux Etats-Unis
présidentielle de Eagle). - L'élection
Etats-Unis -6f les créances de l'Europe
sur l'Amérique du Sud (New York Ti-
mes ) , du ~Su(l (New Yoj'k Ti-
PRESSE ANGLAISE. - Le sort de Constanti-
nople (Manchester Guardian).
PRESSE DANOISE. Uli congrès socialiste à
PRESSE ITALIENNE — La situation ministé-
rielle 6 della Sera). — Le reoen-
sement de la houille (Corriere della
PRESSE YOUGOSLAVE. — La crise ministé-
et les Sections (Pravda).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ETATS-UNIS ET L'EUROPE
SON - OPINON ALLEMANDE : Wilson, comme
les derniers événements ~b~ le montrent, n'a
pas energie abandonné l'espoir d'imposer à
noyeau son influence et il se trouve obli-
gé à ce sujet, de lutter pour ainsi dire en
Maintenant que l'Angleterre l'a abandon-
né, il essaie d'exploiter le courant anti-an-
glais existant dans son pays pour se faire
bien avoir par son action dans la question de
En même temps, Htf. 'lffer f temPS, Wilson voudrait
bien se venger de ses anciens amis de
l'Entente. On voit d' autant moins clair dans
les détails que ls fl(le la retraite de Lansing est
survenue dans l'intervale. s i'in- ervaHe. La note améri.
caine sur Fiume aurait ,été, dit-on, rédi-
gée encore par Lansing et n'aurait reçu
~rr. d'ultimatum que dans une sorte
de post-scriptum dû à Wilson lui-même.
C'est ce qui explique pourquoi l'Entente a
affirmé après coup et formellement admis
que la note n'avait en réalité rien d'un ulti-
matum. La retraite de Lansing comme tout
ce qui a précédé cette retraite et qui nuit
à la renommée de Wilson fait que le prési-
dent, par cette dernière action, ne semble
pas devoir atteindre son but, qui est de re-
trouver la popularité. — (E. Reventlow.)
DEUTSCHE TAGESZEITUNG, 20.2 soir.
LE SENAT AMERICAIN ET LA SO-
CIETE DES NATIONS. — Le Sénat eméri.
cain a repoussé le Covenant, comme toute
personne douée d'une lueur de bon sens
aurait dù le prévoir. Si notre Parlement
britannique avait conservé quelques traces
de notre esprit national, il aurait repoussé
une proposition qui tend à soumettre l'Em-
pire britannique à un Conseil composé en
majorité d'étrangers.
Mais les dupes et les idéalistes ont plus
de poids chez nous qu'en Amérique et nous
continuons à tenter l'application d'un plan
que les décisions du Sénat américain rend
plus illusoire que jamais. Le président Wil-
son et ses amis ont tenté en vain de faire
revenir le Sénat sur sa décision ; le séna-
teur Hitchcock a présenté une motion qui
devait permettre de tâter le terrain ; le
Sénat l'a repoussée à une forte majorité.
Nous pouvons en conclure que l'Amérique
persiste à maintenir des réserves qui ren-
draient sa situation dans la Société des
Nations tout à fait burlesque. Nos enthou-
siastes ont déjà proposé que l'Amérique fût
admise à ces conditions ; en d'autres mots,
ils ont demandé qu'elle fût appelée à re-
cueillir les avantages sans courir les ris-
ques. Une pareille proposition est à la fois
humiliante et fantastique. Elle ne laissera
dans l'esprit de tout homme sensé aucune
illusion sur l'avenir de la Société des Na-
tions. — (Ed.)
MORNING POST, 23.2
L'EXÉCUTION DU TRAITÉ
DE VERSAILLES
LA COMMISSION DES REPARATIONS
— LA PRÉSIDENCE DE M. POINCARÉ. - M. Poin-
caré ne pouvait faire autrement que de dé-
fendre le traité de paix auquel il a pris une
part si prépondérante et de le recomman-
der comme un héritage sacré à son succes-
seur. Les clauses du traité de Versailles
couronnent la politique que, pendant les
sept années de sa présidence et les onze
mois qui l'ont immédiatement précédée (du-
rant lesquels il était président du Conseil),
il a suivie avec toute l'opiniâtreté de son
propre caractère. La sûreté qui se révèle
ainsi dans sa conduite permettra d'établir
plus tard sa responsabilité historique.
M. Poincaré ne veut pas disparaître ; il
s'est assuré une place au Sénat, qui lui per-
met encore de prendre une part active à la
politique. En outre, il vient de se faire nom-
mer président de la Commission des Répa-
rations. Il est donc à la première place pour
exercer une influence directe sur l'exécu-
tion du traité de paix et, par là, .sur la fu-
ture politique de la France. Les Français
doivent être sûrs qu'avec lui l'exécution des
obligations imposées à l'Allemagne sera
poursuivie avec la plus entière rigueur.
Pour notre part, nous craignons plutôt que
la nomination de Poincaré ne soit une er-
reur. Car l'exécution du traité de paix ne
dépend pas de la rigueur plus ou moins
grande dont fait preuve le vainqueur, mais
c'est une question de possibilités matériel-
les dans laquelle la compréhension et l'ex-
périence des affaires doivent être, du côté
français aussi, les conditions nécessaires du
succès. Si les Français ne se rendent pas
encore compte de cela en voyant l'état de
leur propre change, la critique que les An-
glais font du traité de paix doit leur mon-
trer que la doctrine de « la corde tendue
jusqu'à se rompre » prêchée par eux abou-
tit à tout autre chose qu'à la reconstitution
de l'Europe, sans laquelle ni l'Allemagne
ni la France ne peuvent renaître.
FRANKFURTER ZEITUNG, 21.2, soir.
LE JUGEMENT DES AUTEURS D'AC-
TES CRIMINELS. — LETTRE OUVERTE DU
COMTE BERNSTORFF. — Presqu'immédiate-
ment après la Révolution, une amnistie a
été décrétée par le Gouvernement. Très cer-
tainement, des gens sont inscrits sur la
liste d'extradition, qui répondent aux con-
ditions de cette amnistie et que, par con-
séquent, on ne peut pas punir. Nous espé-
rons que le Gouvernement aura la force
de caractère nécessaire pour déclarer que
le lieutenant X, le grenadier Y, qui se
trouvent sur la liste échappent, par suite de
l'amnistie allemande, au châtiment en-
couru pour ces prétendus crimes. Par suite
de cette amnistie, nous ne sommes pas à
même de les faire comparaître, sur l'ordre
de l'Entente, devant un tribunal.
Cette question est posée au Gouverne,
ment, malgré la note allemande du 25 jan-
vier.
Notre magistrature, soutenue par la con-
fiance inébranlable du peuple entier, est in-
violable. Or la note de l'Entente exprime
une grande méfiance à l'égard des juges
allemands, car, en bon allemand, cette note
dit ceci : « Si vous, juges allemands, ne
châtiez pas comme nous (l'Entente) le dési-
rons, nous châtierons, en retour, votre pa-
trie. » Le Gouvernement a-t-il l'intention
d'accepter tout tranquillement encore cet
affront ? 1
Je n'ai aucun doute sur ce que feront nos
juges allemands. — (Comte Bernstorff.)
KREUZ-ZEITUNG, 20.2, matin.
LE PLEBISCITE EN HAUTE-SILESIE.
— De Berlin, 18 février : la Neue Berliner
Zeitung rappelle les allusions faites par di-
vers journaux silésiens et selon lesquelles
l'Entente aurait donné l'assurance à la Po-
logne que le plébiscite n'aurait lieu que pour
la forme et que le pays en tous cas revien-
DES
ETRANGERES
Er DE LA GUERRE
N° 1387
Mercredi 25 février 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sowl dee
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales on par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PnEs s't
PRESSE ALLEMANDE. derniers actes du
président Wilson (E. Reventlow dans
Deutsche Tageszeitung).-M. Poin-
Deutsche Tageszeitu:ng). - M. om-
caré, président de la Commission des
Réparations (Frankfuter Zeitung). -
le jugement des auteurs d'actes ari-
minels (Lettl'e ouverte du comte Berns-
tarlf. Kreuz-Zeitung). Le plébiscite
en Haute-Silésie (Neue Badische Lan-
deszeitung) - Allemagne et Russie
(Freiheit). — voyage de Noske à
Hambourg (Kölnische Zeitung). -- Les
journées suPPI'ém-entaires dans les mi-
nes alllenn,id-^ Tldes (Germania).
PRESSE AMERICAINE. — Déclarations de Mar-
tens agent des Soviets aux Etats-Unis
présidentielle de Eagle). - L'élection
Etats-Unis -6f les créances de l'Europe
sur l'Amérique du Sud (New York Ti-
mes ) , du ~Su(l (New Yoj'k Ti-
PRESSE ANGLAISE. - Le sort de Constanti-
nople (Manchester Guardian).
PRESSE DANOISE. Uli congrès socialiste à
PRESSE ITALIENNE — La situation ministé-
rielle 6 della Sera). — Le reoen-
sement de la houille (Corriere della
PRESSE YOUGOSLAVE. — La crise ministé-
et les Sections (Pravda).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ETATS-UNIS ET L'EUROPE
SON - OPINON ALLEMANDE : Wilson, comme
les derniers événements ~b~ le montrent, n'a
pas energie abandonné l'espoir d'imposer à
noyeau son influence et il se trouve obli-
gé à ce sujet, de lutter pour ainsi dire en
Maintenant que l'Angleterre l'a abandon-
né, il essaie d'exploiter le courant anti-an-
glais existant dans son pays pour se faire
bien avoir par son action dans la question de
En même temps, Htf. 'lffer f temPS, Wilson voudrait
bien se venger de ses anciens amis de
l'Entente. On voit d' autant moins clair dans
les détails que ls fl(le la retraite de Lansing est
survenue dans l'intervale. s i'in- ervaHe. La note améri.
caine sur Fiume aurait ,été, dit-on, rédi-
gée encore par Lansing et n'aurait reçu
~rr. d'ultimatum que dans une sorte
de post-scriptum dû à Wilson lui-même.
C'est ce qui explique pourquoi l'Entente a
affirmé après coup et formellement admis
que la note n'avait en réalité rien d'un ulti-
matum. La retraite de Lansing comme tout
ce qui a précédé cette retraite et qui nuit
à la renommée de Wilson fait que le prési-
dent, par cette dernière action, ne semble
pas devoir atteindre son but, qui est de re-
trouver la popularité. — (E. Reventlow.)
DEUTSCHE TAGESZEITUNG, 20.2 soir.
LE SENAT AMERICAIN ET LA SO-
CIETE DES NATIONS. — Le Sénat eméri.
cain a repoussé le Covenant, comme toute
personne douée d'une lueur de bon sens
aurait dù le prévoir. Si notre Parlement
britannique avait conservé quelques traces
de notre esprit national, il aurait repoussé
une proposition qui tend à soumettre l'Em-
pire britannique à un Conseil composé en
majorité d'étrangers.
Mais les dupes et les idéalistes ont plus
de poids chez nous qu'en Amérique et nous
continuons à tenter l'application d'un plan
que les décisions du Sénat américain rend
plus illusoire que jamais. Le président Wil-
son et ses amis ont tenté en vain de faire
revenir le Sénat sur sa décision ; le séna-
teur Hitchcock a présenté une motion qui
devait permettre de tâter le terrain ; le
Sénat l'a repoussée à une forte majorité.
Nous pouvons en conclure que l'Amérique
persiste à maintenir des réserves qui ren-
draient sa situation dans la Société des
Nations tout à fait burlesque. Nos enthou-
siastes ont déjà proposé que l'Amérique fût
admise à ces conditions ; en d'autres mots,
ils ont demandé qu'elle fût appelée à re-
cueillir les avantages sans courir les ris-
ques. Une pareille proposition est à la fois
humiliante et fantastique. Elle ne laissera
dans l'esprit de tout homme sensé aucune
illusion sur l'avenir de la Société des Na-
tions. — (Ed.)
MORNING POST, 23.2
L'EXÉCUTION DU TRAITÉ
DE VERSAILLES
LA COMMISSION DES REPARATIONS
— LA PRÉSIDENCE DE M. POINCARÉ. - M. Poin-
caré ne pouvait faire autrement que de dé-
fendre le traité de paix auquel il a pris une
part si prépondérante et de le recomman-
der comme un héritage sacré à son succes-
seur. Les clauses du traité de Versailles
couronnent la politique que, pendant les
sept années de sa présidence et les onze
mois qui l'ont immédiatement précédée (du-
rant lesquels il était président du Conseil),
il a suivie avec toute l'opiniâtreté de son
propre caractère. La sûreté qui se révèle
ainsi dans sa conduite permettra d'établir
plus tard sa responsabilité historique.
M. Poincaré ne veut pas disparaître ; il
s'est assuré une place au Sénat, qui lui per-
met encore de prendre une part active à la
politique. En outre, il vient de se faire nom-
mer président de la Commission des Répa-
rations. Il est donc à la première place pour
exercer une influence directe sur l'exécu-
tion du traité de paix et, par là, .sur la fu-
ture politique de la France. Les Français
doivent être sûrs qu'avec lui l'exécution des
obligations imposées à l'Allemagne sera
poursuivie avec la plus entière rigueur.
Pour notre part, nous craignons plutôt que
la nomination de Poincaré ne soit une er-
reur. Car l'exécution du traité de paix ne
dépend pas de la rigueur plus ou moins
grande dont fait preuve le vainqueur, mais
c'est une question de possibilités matériel-
les dans laquelle la compréhension et l'ex-
périence des affaires doivent être, du côté
français aussi, les conditions nécessaires du
succès. Si les Français ne se rendent pas
encore compte de cela en voyant l'état de
leur propre change, la critique que les An-
glais font du traité de paix doit leur mon-
trer que la doctrine de « la corde tendue
jusqu'à se rompre » prêchée par eux abou-
tit à tout autre chose qu'à la reconstitution
de l'Europe, sans laquelle ni l'Allemagne
ni la France ne peuvent renaître.
FRANKFURTER ZEITUNG, 21.2, soir.
LE JUGEMENT DES AUTEURS D'AC-
TES CRIMINELS. — LETTRE OUVERTE DU
COMTE BERNSTORFF. — Presqu'immédiate-
ment après la Révolution, une amnistie a
été décrétée par le Gouvernement. Très cer-
tainement, des gens sont inscrits sur la
liste d'extradition, qui répondent aux con-
ditions de cette amnistie et que, par con-
séquent, on ne peut pas punir. Nous espé-
rons que le Gouvernement aura la force
de caractère nécessaire pour déclarer que
le lieutenant X, le grenadier Y, qui se
trouvent sur la liste échappent, par suite de
l'amnistie allemande, au châtiment en-
couru pour ces prétendus crimes. Par suite
de cette amnistie, nous ne sommes pas à
même de les faire comparaître, sur l'ordre
de l'Entente, devant un tribunal.
Cette question est posée au Gouverne,
ment, malgré la note allemande du 25 jan-
vier.
Notre magistrature, soutenue par la con-
fiance inébranlable du peuple entier, est in-
violable. Or la note de l'Entente exprime
une grande méfiance à l'égard des juges
allemands, car, en bon allemand, cette note
dit ceci : « Si vous, juges allemands, ne
châtiez pas comme nous (l'Entente) le dési-
rons, nous châtierons, en retour, votre pa-
trie. » Le Gouvernement a-t-il l'intention
d'accepter tout tranquillement encore cet
affront ? 1
Je n'ai aucun doute sur ce que feront nos
juges allemands. — (Comte Bernstorff.)
KREUZ-ZEITUNG, 20.2, matin.
LE PLEBISCITE EN HAUTE-SILESIE.
— De Berlin, 18 février : la Neue Berliner
Zeitung rappelle les allusions faites par di-
vers journaux silésiens et selon lesquelles
l'Entente aurait donné l'assurance à la Po-
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