Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-02-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 février 1920 16 février 1920
Description : 1920/02/16 (T14,N1379). 1920/02/16 (T14,N1379).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62549450
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1MINISTERES
a.
'■«BEs ^7>VIKan«ERES
ÎDe
^^JjU K h R E
----.,
No 1379
Lundi 16 février 1920
I Mletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont du
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par wxtrtdtt
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
M MA ire
V,,. r
^s d'ace'" - La livraison des au-
sne , (Hannoverscher
'-trzer F. ,
Neu ., Froni/ Zeitung, Leipziqer
ftr<*nkfurter Zeitung).
IÉRiCAI\f t ,
~s~
llictAMÉRICAI!'\E. - L'organisation sio-
e a""é' /:)')
l'éle amérilaine (New York Tinies). -
Ue ! ction Drïn'!,elle de 1920 (New
%'r^«ne) Vft'7 ,H® apports de l'Exé-
et du Législatif aux Etats-Unis
i IV RepUblic, Chicago Daily News).
sSe
ralld' GLAISE. - Le voyage de M. Mille-
fcj ^Londrll ]n ; de M. Mille-
Pranà Londres (Daily Graphie). - L?
1er pe et les pays X lhenans (Manches-
$ ttiqll .lUardzan). - La Politique britan-
1 e en Russie (Morning Post).
àS £;<;:1"1.
: Les éT^;Espagne et Tanger
Les élections municipales à
(Epoca). ens municipales à
1 K?ePf^Nau?" La lettre de l'ex-
po» c^f d'Etats de l'En-
41 e ive Rotterdamscite Couraîît,
vmeen Handelsblad).
~N~E T
! ts franco vm publication des do-
¡ ~s francoy~ (Corriere
d'ltai' Sera, ea Nazionale, G19rnale
t la: Messaggero). r~~
—————~
: ^UTIQde genekale
.■ ET DIPLOMATIE
~&r.
IV & AGNE
à Londres millerand A
feu 'Ï £ :î«K est arrlvé
^errter non seu"
NlProblèmeS infA ïr? ?-onaux issus
dqit discuter non seu-
jS eVrê'qSV8 r'resse Parisien-
J!6 hglei> sn s deux P Ti£ fet en-
* temps la presse parisien-
le. 0810 des diver"
S Ne^°risist/nt L«aï>PrenH reusement,
exactement en
>vagues Pas 'exactement en
M® >t ces divîS? lm^ ?®nces
qklne lonslltent Ces divergences; elle fait
t'on S allusions à la ques-
rie au sort de Constantinople. au
du S,arbon v britannique,
N5 «^ti0^ r«p4.i^aUx d'ap-
A la 80lutlorl appropriép tant que les
~~ont riee tant que les
tur ftVront pas fnKP"™"" la na"
w été sans dout
®0?' été sans doute
H/Velrait des troupes britanni-
1 n'est pas sûr que la France
ait éprouvé ainsi un détriment ; aujour-
d'hui, pour maintenir l'ordre dans cette ré-
gion troublée, la Fance doit renforcer son
armée d'occupation. En ce qui concerne le
sort de Constantinople beaucoup d'Anglais
pensent avec les Français qu'il vaut mieux
laisser la ville au Sultan. A l'égard du char-
bon, les Français payent des prix supé-
rieurs à ceux fixés pour notre consomma-
tion intérieure, mais moins élevés néan-
moins que ceux imposés aux neutres. Il
importe avant tout que les Français nous
fassent connaître ouvertement leurs désirs;
ils peuvent avoir la certitude que l'immense
majorité des Anglais voit dans l'alliance
française la base de notre politique étran-
gère, et que s'il y a des motifs de grief
entre eux et nous ils ne peuvent provenir
que d'un malentendu. (Ed.)
DAILY GRAPHIC. 12.2.
« LA FRANGE ET LES PAYS RHE-
NANS » [sous ce titre]. — * Dans la situa-
tion actuelle de l'Europe déjà si grave, un
des points les plus menaçants est la poli-
tique constante de la France qui cherche à
imposer à l'Etat allemand la limite du
Rhin. Foch préconisait, comme l'on sait,
l'annexion pure et simple ; il ne voyait,
comme bonne frontière militaire de la
France, que la ligne bleue du fleuve. Cette
folie ne fut pas admise ; toutefois il fut
prévu, qu'à titre de garantie d'exécution
du traité, les territoires allemands à l'ouest
du Rhin seraient occupés pendant quinze
années par les troupes alliées. Aujourd'hui
M. Millerand, successeur de M. Clemen-
ceau à la présidence du Conseil, présente
une demande extraordinaire ; il voudrait
que les délais d'occupation fussent étendus
sans limite, sous le prétexte que l'Allema-
gne, en refusant de livrer les auteurs d in-
fractions criminelles, manque à l'exécution
du traité. Tout d'abord, il n'est pas exact
que l'Allemagne ait jusqu'à présent refusé
de livrer les coupables ; elle ne pourra
d'ailleurs certainement pas livrer tous les
individus, dont les noms figurent sur la
liste alliée, puisque, en dehors de toute au-
trg raison, bon nombre d'entre eux sont
morts, et bon nombre d'autres se sont mis
à l'abri en Amérique du Sud ou ailleurs.
A supposer même d'ailleurs que l'Allema-
gne eût opposé un refus définitif et officiel
quant à la livraison de tout ou partie des
coupables, ni la France, ni les Alliés col-
lectivement ne sont qualifiés à exercer le
droit que M. Millerand revendique. Le
traité prévoit que si l'Allemagne s'acquitte
loyalement de ses obligations, l'évacuation
pourra être accélérée par degrés. La né.
riode d'occupation ne peut être étendue que
si, au bout des quinze ans, les garanties
contre une agression non provoquée de
l'Allemagne n'étaient pas considérées com-
me suffisantes (art. 429) ou si durant ou
après l'expiration de cette période la com-
mission des réparations reconnaissait que
l'Allemagne refuse d'observer tout ou partie
de ses obligations relativement aux répa-
rations, c'est-à-dire au payement des in-
demnités (art. 430). Il est bien évident qu'à
l'heure actuelle aucune de ces deux éven-
tualités ne s'est réalisée. Le délai de quinze
ans, prévu par l'article 429, n'est pas ex-
piré ; la commission des réparations n'a
pas signalé, selon les termes de l'article
430, un manquement de l'Allemagne à ses
obligations d'ordre financier. Aussi bien
cette commission n'a-t-elle établi encore
aucun rapport. Nous ne pouvons que nous
borner à souhaiter que les paroles de
M. Millerand aient été infidèlement rap-
portées, encore que le texte du discours
qui nous a été transmis ne semble guère
prêter à ambiguïté. La situation dans les
pays rhénans est devenue scandaleuse.
L'exercice du gouvernement civil allemand,
prévu par le traité, a été sans cesse en-
travé ; des complqts séparatistes, d'ailleurs
voués à l'insuccès, ont été tramés. Il est
temps que tout cela cesse. — (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 12.2.
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LA LIVRAISON DES AUTEURS D'AC-
TES CRIMINELS. — De Berlin : Dans la
question de la livraison des coupables, il
n'y a, en dehors du changement d'attitude
qui se produit, dit-on, chez Lloyd George,
que deux possibilités entre lesquelles les
dés du Destin devront décider. Ou bien c'est
un « non » pur et simple, ou bien ce sont
de nouvelles négociations, un nouveau mar-
chandage. Les partis de droite réclament
officiellement le « non » pur et simple. Mais
les milieux démocratiques, et même les mi-
lieux socialistes majoritaires se montrent
partisans d'une rupture des négociations,
malgré ce qui pourrait résulter.
Le Gouvernement est, lui, d'un avis tout
différent, comme nous l'apprenons de sour-
ce autorisée. Le Gouvernement Bauer-Mul-
ler attend le miracle, c'est-à-dire des
éclairs de génie de la part de ses conseil-
lers ou bien que des événements se produi-
sent au sein même de l'Entente qui, d'un
seul coup, changeraient la face des choses.
Ces fluctuations du Gouvernement sont pro-
voquées par différentes circonstances, par-
mi lesquelles tout d'abord les « avertisse-
ments » venus de l'ouest de l'Allemagne.
Naturellement ce sont des avertissements
socialistes auxquels le Gouvernement actuel,
ne fût-ce que par devoir, prête une oreille
fraternellement attentive. Donc la presse so-
cialiste des régions industrieHes de l'Ouest
est d'avis, contrairement au Vorwärts de
est qu'il faut se montrer, quant au re-
Berlin, qu'il faut se montrer, quant au re-
:,- de la plus extrême prudence.
La déclaration surprenante de l'ancien
ministre bavarois Efhardt Auer est cause
du désarroi du Gouvernement. Auer qui,
par erreur, se croyait sur la liste voulait se
livrer spontanément et ceci pour trois rai-
sons : tout d'abord parce qu'il se sentait in.
nocent, puis parce qu'il ne fallait retarder
le rapatriement d'aucun prisonnier, et troi-
sièmement, parce qu'il fallait, au moyen de
débats juridiques, faire la clarté complète
sur les reproches adressés aux méthodes
de guerre allemandes.
HANNOVERSCHER KURIER, 10.2, matin.
a.
'■«BEs ^7>VIKan«ERES
ÎDe
^^JjU K h R E
----.,
No 1379
Lundi 16 février 1920
I Mletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont du
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par wxtrtdtt
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
M MA ire
V,,. r
^s d'ace'" - La livraison des au-
sne , (Hannoverscher
'-trzer F. ,
Neu ., Froni/ Zeitung, Leipziqer
ftr<*nkfurter Zeitung).
IÉRiCAI\f t ,
~s~
llictAMÉRICAI!'\E. - L'organisation sio-
e a""é' /:)')
l'éle amérilaine (New York Tinies). -
Ue ! ction Drïn'!,elle de 1920 (New
%'r^«ne) Vft'7 ,H® apports de l'Exé-
et du Législatif aux Etats-Unis
i IV RepUblic, Chicago Daily News).
sSe
ralld' GLAISE. - Le voyage de M. Mille-
fcj ^Londrll ]n ; de M. Mille-
Pranà Londres (Daily Graphie). - L?
1er pe et les pays X lhenans (Manches-
$ ttiqll .lUardzan). - La Politique britan-
1 e en Russie (Morning Post).
àS £;<;:1"1.
: Les éT^;Espagne et Tanger
Les élections municipales à
(Epoca). ens municipales à
1 K?ePf^Nau?" La lettre de l'ex-
po» c^f d'Etats de l'En-
41 e ive Rotterdamscite Couraîît,
vmeen Handelsblad).
~N~E T
! ts franco vm publication des do-
¡ ~s francoy~ (Corriere
d'ltai' Sera, ea Nazionale, G19rnale
t la: Messaggero). r~~
—————~
: ^UTIQde genekale
.■ ET DIPLOMATIE
~&r.
IV & AGNE
à Londres millerand A
feu 'Ï £ :î«K est arrlvé
^errter non seu"
NlProblèmeS infA ïr? ?-onaux issus
dqit discuter non seu-
jS eVrê'qSV8 r'resse Parisien-
J!6 hglei> sn s deux P Ti£ fet en-
* temps la presse parisien-
le. 0810 des diver"
S Ne^°risist/nt L«aï>PrenH reusement,
exactement en
>vagues Pas 'exactement en
M® >t ces divîS? lm^ ?®nces
qklne lonslltent Ces divergences; elle fait
t'on S allusions à la ques-
rie au sort de Constantinople. au
du S,arbon v britannique,
N5 «^ti0^ r«p4.i^aUx d'ap-
A la 80lutlorl appropriép tant que les
~~ont riee tant que les
tur ftVront pas fnKP"™"" la na"
w été sans dout
®0?' été sans doute
H/Velrait des troupes britanni-
1 n'est pas sûr que la France
ait éprouvé ainsi un détriment ; aujour-
d'hui, pour maintenir l'ordre dans cette ré-
gion troublée, la Fance doit renforcer son
armée d'occupation. En ce qui concerne le
sort de Constantinople beaucoup d'Anglais
pensent avec les Français qu'il vaut mieux
laisser la ville au Sultan. A l'égard du char-
bon, les Français payent des prix supé-
rieurs à ceux fixés pour notre consomma-
tion intérieure, mais moins élevés néan-
moins que ceux imposés aux neutres. Il
importe avant tout que les Français nous
fassent connaître ouvertement leurs désirs;
ils peuvent avoir la certitude que l'immense
majorité des Anglais voit dans l'alliance
française la base de notre politique étran-
gère, et que s'il y a des motifs de grief
entre eux et nous ils ne peuvent provenir
que d'un malentendu. (Ed.)
DAILY GRAPHIC. 12.2.
« LA FRANGE ET LES PAYS RHE-
NANS » [sous ce titre]. — * Dans la situa-
tion actuelle de l'Europe déjà si grave, un
des points les plus menaçants est la poli-
tique constante de la France qui cherche à
imposer à l'Etat allemand la limite du
Rhin. Foch préconisait, comme l'on sait,
l'annexion pure et simple ; il ne voyait,
comme bonne frontière militaire de la
France, que la ligne bleue du fleuve. Cette
folie ne fut pas admise ; toutefois il fut
prévu, qu'à titre de garantie d'exécution
du traité, les territoires allemands à l'ouest
du Rhin seraient occupés pendant quinze
années par les troupes alliées. Aujourd'hui
M. Millerand, successeur de M. Clemen-
ceau à la présidence du Conseil, présente
une demande extraordinaire ; il voudrait
que les délais d'occupation fussent étendus
sans limite, sous le prétexte que l'Allema-
gne, en refusant de livrer les auteurs d in-
fractions criminelles, manque à l'exécution
du traité. Tout d'abord, il n'est pas exact
que l'Allemagne ait jusqu'à présent refusé
de livrer les coupables ; elle ne pourra
d'ailleurs certainement pas livrer tous les
individus, dont les noms figurent sur la
liste alliée, puisque, en dehors de toute au-
trg raison, bon nombre d'entre eux sont
morts, et bon nombre d'autres se sont mis
à l'abri en Amérique du Sud ou ailleurs.
A supposer même d'ailleurs que l'Allema-
gne eût opposé un refus définitif et officiel
quant à la livraison de tout ou partie des
coupables, ni la France, ni les Alliés col-
lectivement ne sont qualifiés à exercer le
droit que M. Millerand revendique. Le
traité prévoit que si l'Allemagne s'acquitte
loyalement de ses obligations, l'évacuation
pourra être accélérée par degrés. La né.
riode d'occupation ne peut être étendue que
si, au bout des quinze ans, les garanties
contre une agression non provoquée de
l'Allemagne n'étaient pas considérées com-
me suffisantes (art. 429) ou si durant ou
après l'expiration de cette période la com-
mission des réparations reconnaissait que
l'Allemagne refuse d'observer tout ou partie
de ses obligations relativement aux répa-
rations, c'est-à-dire au payement des in-
demnités (art. 430). Il est bien évident qu'à
l'heure actuelle aucune de ces deux éven-
tualités ne s'est réalisée. Le délai de quinze
ans, prévu par l'article 429, n'est pas ex-
piré ; la commission des réparations n'a
pas signalé, selon les termes de l'article
430, un manquement de l'Allemagne à ses
obligations d'ordre financier. Aussi bien
cette commission n'a-t-elle établi encore
aucun rapport. Nous ne pouvons que nous
borner à souhaiter que les paroles de
M. Millerand aient été infidèlement rap-
portées, encore que le texte du discours
qui nous a été transmis ne semble guère
prêter à ambiguïté. La situation dans les
pays rhénans est devenue scandaleuse.
L'exercice du gouvernement civil allemand,
prévu par le traité, a été sans cesse en-
travé ; des complqts séparatistes, d'ailleurs
voués à l'insuccès, ont été tramés. Il est
temps que tout cela cesse. — (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 12.2.
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LA LIVRAISON DES AUTEURS D'AC-
TES CRIMINELS. — De Berlin : Dans la
question de la livraison des coupables, il
n'y a, en dehors du changement d'attitude
qui se produit, dit-on, chez Lloyd George,
que deux possibilités entre lesquelles les
dés du Destin devront décider. Ou bien c'est
un « non » pur et simple, ou bien ce sont
de nouvelles négociations, un nouveau mar-
chandage. Les partis de droite réclament
officiellement le « non » pur et simple. Mais
les milieux démocratiques, et même les mi-
lieux socialistes majoritaires se montrent
partisans d'une rupture des négociations,
malgré ce qui pourrait résulter.
Le Gouvernement est, lui, d'un avis tout
différent, comme nous l'apprenons de sour-
ce autorisée. Le Gouvernement Bauer-Mul-
ler attend le miracle, c'est-à-dire des
éclairs de génie de la part de ses conseil-
lers ou bien que des événements se produi-
sent au sein même de l'Entente qui, d'un
seul coup, changeraient la face des choses.
Ces fluctuations du Gouvernement sont pro-
voquées par différentes circonstances, par-
mi lesquelles tout d'abord les « avertisse-
ments » venus de l'ouest de l'Allemagne.
Naturellement ce sont des avertissements
socialistes auxquels le Gouvernement actuel,
ne fût-ce que par devoir, prête une oreille
fraternellement attentive. Donc la presse so-
cialiste des régions industrieHes de l'Ouest
est d'avis, contrairement au Vorwärts de
est qu'il faut se montrer, quant au re-
Berlin, qu'il faut se montrer, quant au re-
:,- de la plus extrême prudence.
La déclaration surprenante de l'ancien
ministre bavarois Efhardt Auer est cause
du désarroi du Gouvernement. Auer qui,
par erreur, se croyait sur la liste voulait se
livrer spontanément et ceci pour trois rai-
sons : tout d'abord parce qu'il se sentait in.
nocent, puis parce qu'il ne fallait retarder
le rapatriement d'aucun prisonnier, et troi-
sièmement, parce qu'il fallait, au moyen de
débats juridiques, faire la clarté complète
sur les reproches adressés aux méthodes
de guerre allemandes.
HANNOVERSCHER KURIER, 10.2, matin.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.92%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.92%.
- Collections numériques similaires Bibliothèques d'Orient Bibliothèques d'Orient /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BbLevt0"Voyage du Mont Liban, traduit de l'italien du R. P. Jérôme Dandini, nonce en ce pays-là... par R. S. P. (Richard Simon.) /ark:/12148/bpt6k91273833.highres Les tribus nomades et semi-nomades des états du Levant placés sous mandat français / Haut-commissariat de la République française, Direction du service des renseignements du levant /ark:/12148/bpt6k9127382p.highres
- Auteurs similaires Bibliothèques d'Orient Bibliothèques d'Orient /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BbLevt0"Voyage du Mont Liban, traduit de l'italien du R. P. Jérôme Dandini, nonce en ce pays-là... par R. S. P. (Richard Simon.) /ark:/12148/bpt6k91273833.highres Les tribus nomades et semi-nomades des états du Levant placés sous mandat français / Haut-commissariat de la République française, Direction du service des renseignements du levant /ark:/12148/bpt6k9127382p.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62549450/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62549450/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62549450/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62549450/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62549450
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62549450
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62549450/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest