Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-02-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 février 1920 12 février 1920
Description : 1920/02/12 (T14,N1376). 1920/02/12 (T14,N1376).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6254942r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 MINISTf:RES
ht DES
FT'DN!S ÉTKANGERES
T DE LA GUERRE
------
N° 1376
Jeudi 12 février 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
1 NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont dM
t résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
--
h
V AT TAMANDE. - La livraison des au-
i TEUR.§ d'actes criminels (Frankfurter
fy^actuhn r& Vorwarts, Leipziger Neueste
ht
MlvICAINE* — Les Etats-Unis et le
Iv e ! Yersailles (Evenrng Post,.
Neu) York Times, Chicago Daily News),
rn mp.Ire ottoman (New York Ti-
rnes Boston Heraild). — Les Etats-
Unig , °~ HeraM ) — Les Etats-
^entrai le ravitaillement de l'Europe
? raIe (Evening Post, World).
RESSE o\N'GL t,
^i^ e^ AISE. — La question adriatique
lI:Ia ITALIENNE. — La livraison par l'Alle-
rtlagne des auteurs d'actes criminels
rice8co Coppola, dans ldea Nazio-
nale) : question adriatique (Mus-
s°linï- - La question adriatique (Mus-
1, dans Popolo d'Italia).
politique GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ÉTATS-UNIS
'TRAITÉ DE VERSAILLES
j'
26 ati",, RATIFICATION. - Une dé-
t Orga.n' e 40 Personnes représentant
fir Ili* satiOns s'est rendue à Washing-
^3 i
^!61" pour demander au Sénat
et à, L sIdent la ratification immédiate du
«0^ manîff11^ urs Lodge et Hitchcock
f'°^s SStt leur désir d'arriver à un
tyile %atinrTr des concessions mutuelles.
4luit~ IOn n a 'Pas pu voir le Président
sori; elle a été reçue par son secrétaire
NING POST [de New-Yorkl, 14.1.
) , 14.1.
r Tî
titre] ET SOLENNEL REFERENDUM »
approbatio - La pétition, en vue de
ation mediate du traité vue de
Ss ^Promi,, Immédiate du traité grâce à
la Sénat qui a été présentée aux lea-
~~7 ~!é~i et transmise au président
Nsp S^tei?8i 26 organisations, dé-
au la ratification. Elle de-
et au Sénat d'accom-
»lt Ift^i r ^Voir ?n tant qu'organes du Gou-
tioll e e trerésentatif * En face des mil-
1 S citovt? 0 signataires de cette péti-
énat ne peut pas alléguer des dif-
g¡.% Pila in P,rOcédure et le président ne
peut Pla - rsister ~sur la nécessité « d'un
inSter sur la nécessité « d'un
rt • referendum » pour juger
6st riemis et lui. Le referendum
plus * est 611 faveur de la con"
am^eut-o? obKtenir une expression
cett enti0l1 obtenir une expression
la volonté populaire
Uu ^anif eStx ati0n groupe les élé-
q ui groupe les élé-
Us variés, agriculteurs, ou-
vriers, hommes d'affaires, églises, collè-
ges, organisations féminines ?.
La volonté de l'Amérique d'aujourd'hui
a été ainsi enregistrée à Washington ;
celle de l'Amérique de demain l'a été dans
les votes séparés des collèges qui détien-
nent la direction et les promesses futures.
Dans le referendum des collèges, plus de
17.000 suffrages (sur 25.000 environ) ont
demandé la ratification pure et simple "bu
avec des réserves.
Le peuple américain a clairement parlé
en faveur des réalités que Lodge ne peut
pas négliger et que le président a recon-
nues quand il a ordonné la première réu-
nion de la Société des Nations. Si M. Wil-
son était convaincu que l'Amérique atten-
dra quatorze mois encore avant d'en faire
partie, il n'aurait pas parlé de la Société
/les Nations comme d'une force vivante,
car elle ne peut pas être cette force sans
la participation de l'Amérique. Et s'il avait
douté de cette participation il aurait pu in-
former les Alliés qu'en raison de la situa-
tion des affaires chez nous il ne se sen-
tait pas désigné pour exercer le privilège
qui lui a été conféré par le traité de Ver-
sailles. Une telle déclaration de la faillite
de l'Amérique aurait été de bonne tacti-
que si le président était décidé à combattre
jusqu'au bout. Mais M. Wilson a dû voir
que le spectacle de l'ouverture de la So-
ciété des Nations faite sans l'Amérique
pourrait exercer sa pression autant sur
Lodge que sur lui-même. En ordonnant sa
réunion le président reconnaît aussi les
réalités qui poussent à un compromis. -
(Ed.)
EVENING POST de New-York], 14.1.
« LE COMMANDEMENT SUPREME
CONTINUE » rSOllJS ce titre]. — Le Conseil
de la Société des Nations doit se réunir
vendredi, sans l'Amérique. C'et là une cir-
constance fâcheuse à laquelle il sera sans
doute porté remède plus tard. En attendant,
les puissances européennes font ce qu'el-
les peuvent en dehors de nous. Une des
plus significatives parmi les nombreuses
choses qu'elles font est cellle que rapporte
l'Echo de Paris suivant une dépêche pu-
bliée par le Times d'hier. Les fonctions du
maréchal Foch en tant que généralissime
des armées alliées ont pris fin, au moment
où le traité de paix est devenu effectif ;
mais immédiatement après, les gouverne-
ments français, britannique et italien —
auxquels se joindra probablement la Bel-
gique — ont décidé de prolonger l'existence
du Conseil militaire de Versailles sous la
présidence du maréchal Foch et avec « une
Siphère d'activité plus étendue ».
D'après l'Echo de Paris, le Conseil s'oc-
cupera non seulement de l'application du
traité mais de « questions d'intérêt géné-
ral » au sujet desquelles on lui demandera
son avis. Pour l'instant, ses pouvoirs sont
purement consultatifs, mais des observa-
teurs français y voient l'embryon d'une or-
ganisation militaire interalliée autour de la-
quelle pourra se former, pour commencer,
une alliance solide entre la France, l'Angle-
terre, la Belgique et l'Italie. A vrai dire,
cette alliance se dessine déjà.
Si cette quadruple alliance se forme, elle
sera presque aussitôt élargie par l'adhésion
die la Pologne, si intimement liée à la poli-
tique française et le plus immédiatement
menacée par une renaissance militaire en
Allemagne, ou par une poussée vers l'ouest
de la part de la Russie. La Tchéco-Slova-
quie et la Roumanie suivront peut-être bien-
tôt le mouvement ; la Yougoslavie se join-
dra aux autres quand sera réglée la ques-
tion de l'Adriatique et la Grèce dès qu'il en
sera de même de la question turque-
Il y a donc Dien des chances pour que
nous voyions là à bref délai, par la force
même des choses, une nouvelle Société des
Nations d'urne farce et d'une grandeur. im-
posantes — une Société au, sein d'une So-
ciété, car tous ses membres appartiendront
à 'l'organisation créée par le traité de Ver-
sailles. C'est une Société de Puissances
ayant, malgré les questions qui les divi-
sent, un intérêt immédiat et primordial à
empêcher l'Allemagne d'entreprendre une
guerre de revanche et à arrêter toute croi-
sade bolleheviste. Et son organe essentiel
n'est pas le Conseil prévu pour la Société,
appelé ou non à siéger à Genève, mais un
commandement militaire unifié — en d'au-
tres termes l'état-major général internatio-
nal que la vanité française s'est vainement
efforcée d'introduire dans le pacte de la
Société des Nations.
Tout ceci nous offre l'occasion d'intéres-
santes conjectures politiques. On peut se
demander si le Conseil militaire mourra
graduellement faute de trouver à s'em-
ployer, au cas où la Société des Nations se
formerait et commencerait à fonctionner,
ou bien si cette Société plus grande ne su-
bira pas dans une large mesure l'influence
de la Société intérieure. Mais on peut tirer
de cet état de choses des déductions pra-
tiques, que l'Allemagne fera bien d'étudier
avec soin. Il a été nettement donné à en-
tendre que quelques-unes des conditions de
paix recevront un adoucissement si les
Allemands se conduisent sagement ; aujour-
d'hui l'avertissement est donné que les Al-
liés se tiendront sur leurs gardes contre
tout mouvement vindicatif die la part de
l'Allemagne.
S'il existe en Allemagne des hommes que
lia haine et le dépit n'aveuglent pas au point
de leur faire méconnaître les véritables inté-
rêts du pays ils doivent se rendre compte
que l'acceptation des faits, le retour au tra-
vail, l'effort en vue de rétablir autant que
possible la situation commerciale de l'Alle-
magne, seront la ligne de conduite la plus
sage et la plus profitable.
NEW YORK TIMES, 14.1.
« LE SIEGE VIDE A LA SOCIETE DES
NATIONS » [sous ce titre]. — Le traité de
paix de Versailles est complètement entré
en vigueur en Europe et en Asie. Une des
premières conséquences importantes de ce
fait, c'est la convocation par le président
Wilson de la première séance du conseil de
la Société des Nations. Pendant que se fai-
ht DES
FT'DN!S ÉTKANGERES
T DE LA GUERRE
------
N° 1376
Jeudi 12 février 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
1 NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont dM
t résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
--
h
V AT TAMANDE. - La livraison des au-
i TEUR.§ d'actes criminels (Frankfurter
fy^actuhn r& Vorwarts, Leipziger Neueste
ht
MlvICAINE* — Les Etats-Unis et le
Iv e ! Yersailles (Evenrng Post,.
Neu) York Times, Chicago Daily News),
rn mp.Ire ottoman (New York Ti-
rnes Boston Heraild). — Les Etats-
Unig , °~ HeraM ) — Les Etats-
^entrai le ravitaillement de l'Europe
? raIe (Evening Post, World).
RESSE o\N'GL t,
^i^ e^ AISE. — La question adriatique
lI:Ia ITALIENNE. — La livraison par l'Alle-
rtlagne des auteurs d'actes criminels
rice8co Coppola, dans ldea Nazio-
nale) : question adriatique (Mus-
s°linï- - La question adriatique (Mus-
1, dans Popolo d'Italia).
politique GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ÉTATS-UNIS
'TRAITÉ DE VERSAILLES
j'
26 ati",, RATIFICATION. - Une dé-
t Orga.n' e 40 Personnes représentant
fir Ili* satiOns s'est rendue à Washing-
^3 i
^!61" pour demander au Sénat
et à, L sIdent la ratification immédiate du
«0^ manîff11^ urs Lodge et Hitchcock
f'°^s SStt leur désir d'arriver à un
tyile %atinrTr des concessions mutuelles.
4luit~ IOn n a 'Pas pu voir le Président
sori; elle a été reçue par son secrétaire
NING POST [de New-Yorkl, 14.1.
) , 14.1.
r Tî
titre] ET SOLENNEL REFERENDUM »
approbatio - La pétition, en vue de
ation mediate du traité vue de
Ss ^Promi,, Immédiate du traité grâce à
la Sénat qui a été présentée aux lea-
~~7 ~!é~i et transmise au président
Nsp S^tei?8i 26 organisations, dé-
au la ratification. Elle de-
et au Sénat d'accom-
»lt Ift^i r ^Voir ?n tant qu'organes du Gou-
tioll e e trerésentatif * En face des mil-
1 S citovt? 0 signataires de cette péti-
énat ne peut pas alléguer des dif-
g¡.% Pila in P,rOcédure et le président ne
peut Pla - rsister ~sur la nécessité « d'un
inSter sur la nécessité « d'un
rt • referendum » pour juger
6st riemis et lui. Le referendum
plus * est 611 faveur de la con"
am^eut-o? obKtenir une expression
cett enti0l1 obtenir une expression
la volonté populaire
Uu ^anif eStx ati0n groupe les élé-
q ui groupe les élé-
Us variés, agriculteurs, ou-
vriers, hommes d'affaires, églises, collè-
ges, organisations féminines ?.
La volonté de l'Amérique d'aujourd'hui
a été ainsi enregistrée à Washington ;
celle de l'Amérique de demain l'a été dans
les votes séparés des collèges qui détien-
nent la direction et les promesses futures.
Dans le referendum des collèges, plus de
17.000 suffrages (sur 25.000 environ) ont
demandé la ratification pure et simple "bu
avec des réserves.
Le peuple américain a clairement parlé
en faveur des réalités que Lodge ne peut
pas négliger et que le président a recon-
nues quand il a ordonné la première réu-
nion de la Société des Nations. Si M. Wil-
son était convaincu que l'Amérique atten-
dra quatorze mois encore avant d'en faire
partie, il n'aurait pas parlé de la Société
/les Nations comme d'une force vivante,
car elle ne peut pas être cette force sans
la participation de l'Amérique. Et s'il avait
douté de cette participation il aurait pu in-
former les Alliés qu'en raison de la situa-
tion des affaires chez nous il ne se sen-
tait pas désigné pour exercer le privilège
qui lui a été conféré par le traité de Ver-
sailles. Une telle déclaration de la faillite
de l'Amérique aurait été de bonne tacti-
que si le président était décidé à combattre
jusqu'au bout. Mais M. Wilson a dû voir
que le spectacle de l'ouverture de la So-
ciété des Nations faite sans l'Amérique
pourrait exercer sa pression autant sur
Lodge que sur lui-même. En ordonnant sa
réunion le président reconnaît aussi les
réalités qui poussent à un compromis. -
(Ed.)
EVENING POST de New-York], 14.1.
« LE COMMANDEMENT SUPREME
CONTINUE » rSOllJS ce titre]. — Le Conseil
de la Société des Nations doit se réunir
vendredi, sans l'Amérique. C'et là une cir-
constance fâcheuse à laquelle il sera sans
doute porté remède plus tard. En attendant,
les puissances européennes font ce qu'el-
les peuvent en dehors de nous. Une des
plus significatives parmi les nombreuses
choses qu'elles font est cellle que rapporte
l'Echo de Paris suivant une dépêche pu-
bliée par le Times d'hier. Les fonctions du
maréchal Foch en tant que généralissime
des armées alliées ont pris fin, au moment
où le traité de paix est devenu effectif ;
mais immédiatement après, les gouverne-
ments français, britannique et italien —
auxquels se joindra probablement la Bel-
gique — ont décidé de prolonger l'existence
du Conseil militaire de Versailles sous la
présidence du maréchal Foch et avec « une
Siphère d'activité plus étendue ».
D'après l'Echo de Paris, le Conseil s'oc-
cupera non seulement de l'application du
traité mais de « questions d'intérêt géné-
ral » au sujet desquelles on lui demandera
son avis. Pour l'instant, ses pouvoirs sont
purement consultatifs, mais des observa-
teurs français y voient l'embryon d'une or-
ganisation militaire interalliée autour de la-
quelle pourra se former, pour commencer,
une alliance solide entre la France, l'Angle-
terre, la Belgique et l'Italie. A vrai dire,
cette alliance se dessine déjà.
Si cette quadruple alliance se forme, elle
sera presque aussitôt élargie par l'adhésion
die la Pologne, si intimement liée à la poli-
tique française et le plus immédiatement
menacée par une renaissance militaire en
Allemagne, ou par une poussée vers l'ouest
de la part de la Russie. La Tchéco-Slova-
quie et la Roumanie suivront peut-être bien-
tôt le mouvement ; la Yougoslavie se join-
dra aux autres quand sera réglée la ques-
tion de l'Adriatique et la Grèce dès qu'il en
sera de même de la question turque-
Il y a donc Dien des chances pour que
nous voyions là à bref délai, par la force
même des choses, une nouvelle Société des
Nations d'urne farce et d'une grandeur. im-
posantes — une Société au, sein d'une So-
ciété, car tous ses membres appartiendront
à 'l'organisation créée par le traité de Ver-
sailles. C'est une Société de Puissances
ayant, malgré les questions qui les divi-
sent, un intérêt immédiat et primordial à
empêcher l'Allemagne d'entreprendre une
guerre de revanche et à arrêter toute croi-
sade bolleheviste. Et son organe essentiel
n'est pas le Conseil prévu pour la Société,
appelé ou non à siéger à Genève, mais un
commandement militaire unifié — en d'au-
tres termes l'état-major général internatio-
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efforcée d'introduire dans le pacte de la
Société des Nations.
Tout ceci nous offre l'occasion d'intéres-
santes conjectures politiques. On peut se
demander si le Conseil militaire mourra
graduellement faute de trouver à s'em-
ployer, au cas où la Société des Nations se
formerait et commencerait à fonctionner,
ou bien si cette Société plus grande ne su-
bira pas dans une large mesure l'influence
de la Société intérieure. Mais on peut tirer
de cet état de choses des déductions pra-
tiques, que l'Allemagne fera bien d'étudier
avec soin. Il a été nettement donné à en-
tendre que quelques-unes des conditions de
paix recevront un adoucissement si les
Allemands se conduisent sagement ; aujour-
d'hui l'avertissement est donné que les Al-
liés se tiendront sur leurs gardes contre
tout mouvement vindicatif die la part de
l'Allemagne.
S'il existe en Allemagne des hommes que
lia haine et le dépit n'aveuglent pas au point
de leur faire méconnaître les véritables inté-
rêts du pays ils doivent se rendre compte
que l'acceptation des faits, le retour au tra-
vail, l'effort en vue de rétablir autant que
possible la situation commerciale de l'Alle-
magne, seront la ligne de conduite la plus
sage et la plus profitable.
NEW YORK TIMES, 14.1.
« LE SIEGE VIDE A LA SOCIETE DES
NATIONS » [sous ce titre]. — Le traité de
paix de Versailles est complètement entré
en vigueur en Europe et en Asie. Une des
premières conséquences importantes de ce
fait, c'est la convocation par le président
Wilson de la première séance du conseil de
la Société des Nations. Pendant que se fai-
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